Des musulmans et des juifs enterrés hors de France : Z a raison !
La France, l’Italie (fasciste) et la Bulgarie furent les trois nations qui sauvèrent le plus de Juifs durant les « heures sombres ».
Ils eurent des citoyens qui n’étaient pas de gauche et qui ont su protéger les Juifs des délires racistes des nazis. Alors pourquoi ce tropisme permanent entre la globalité (la Nation) et le particulier (le citoyen). Au 1er janvier 2020, il y avait 27 712 citoyens parmi les 51 nations honorées par l’État d’Israël. Ils furent appelés les Justes.
Pour mémoire, il y a eu 8 000 citoyens italiens de confession juive (15 %) sur environ 53 000 Italiens juifs qui ont péri dans l’Holocauste, l’un des plus bas chiffres enregistrés dans les pays occupés par les Allemands.(Source) (Source).
Pour les gauchistes, qui amalgament tout et n’importe quoi, les socialo-nationalistes qu’étaient les fascistes en Italie, ont, jusqu’en 1938, considéré les Juifs italiens comme des citoyens ordinaires. Contrairement à l’Allemagne, la France et l’Autriche, l’Italie avait été relativement épargnée par l’antisémitisme et la formation, à la fin du XIXe siècle, de mouvements et de partis antisémites. (Source)
Les politiques actuels en France, de droite et de gauche, ne cherchent même plus à réfléchir et à comprendre que durant ces années mortifères, les citoyens et les nations étaient, et sont encore toujours, dissociables.
L’État et les citoyens qui composent le peuple sont clairement des entités différentes. Il ne faut pas tout confondre comme le font certains Juifs qui critiquent Éric Zemmour sur ses livres lorsqu’il écrit sur la période de l’Occupation.
Benito Mussolini, ex-socialiste, détestant toujours la bourgeoisie, et nationaliste, avait nommé des Juifs à des postes importants, (Italie fasciste) et loué à maintes reprises les contributions juives à la vie italienne, ridiculisé les excès racistes d’Hitler et fait de l’Italie un refuge ou un point de transit pour les Juifs allemands qui fuyaient la persécution après 1934. Qui à gauche et même à droite le rappelle à ce jour ? Désormais, il est de bon ton de tout amalgamer et de traiter la droite nationale, identitaire, patriote, de fasciste, en oubliant que le fascisme, tout comme le nazisme, est d’extrême-gauche.
Le CRIF, UJFP (Union juive française pour la paix) organisations juives de gauche à travers leurs représentants, la plupart bien subventionnées, aiment rappeler les histoires particulières des déportés, les crimes commis sur des familles, la rafle du Vel-d’Hiv’ organisée par René Bousquet, grand ami du socialiste Mitterrand. Elle en tire la condamnation sans appel de tous l’ensemble du pays qui aurait, globalement, été infesté de collabos et dont le premier d’entre eux serait Philippe Pétain. Impossible de débattre là-dessus. (Source)
Éric Zemmour, d’origine juive et pied-noir, redresse certaines vérités qui, dans l’absolu, n’excusent en rien les dérives antisémites de l’État français et de ceux qui le gouvernaient et dans lequel d’ailleurs, il y avait beaucoup de radicaux-socialistes.
Il est toujours bon de rappeler, comme le fait Éric Zemmour, que ce sont les députés issus du Front Populaire qui ont donné les pleins pouvoirs au maréchal Philippe Pétain, le héros de la Première Guerre mondiale, un pur produit des mentalités de cette époque qui était loin d’être philosémite à tous les niveaux de la vie politique.
En cela, le CRIF et l’ensemble de ces organisations juives dénient toutes organisations qui pourraient affirmer que l’antisémitisme est aussi de gauche.
Si la révolution de 1789 qui a été décrétée de gauche par la gauche justement, valida en effet que les 50 000 Juifs de France de l’époque étaient des Français à part entière. Mais c’est cette gauche qui continue à nier à Napoléon 1er son rôle de libérateur des Juifs en Europe. Pour elle, c’était un dictateur.
L’écrivain allemand Henri Heine (1797-1856) a raconté comment les armées de Napoléon sont entrées dans les villes d’Europe sous les acclamations des Juifs. La France, avait dit Samuel Lévy, dans une lettre à l’Assemblée constituante, la France est notre Palestine, ses montagnes sont notre Sion, ses fleuves notre Jourdain. La liberté n’a qu’une langue, et tous les hommes savent son alphabet. La nation la plus asservie priera pour elle qui a délié les chaînes des esclaves. La France est le refuge des opprimés. Un texte que devrait relire les tarés de la Woke et autres indigénistes.
Ces Juifs de gauche et cette gauche dans son ensemble sont hémiplégiques.
Cette gauche s’affirme socialiste, humaniste, et elle loue les révolutions en permanence, considère que la France est née en 1789, mais oublie singulièrement les massacres de Septembre, ceux commis en Vendée, les noyades de Nantes, et les milliers de guillotinés.
La République a le droit de massacrer le peuple sans avoir à rendre des comptes.
La gauche ignore les massacres issus des révolutions qui ont suivi ; ceux commis lors des révolutions russe en 1917, de Lénine, chinoise de Mao, du Cambodge de Pol Pot , etc., qui furent toutes encensées par nos gauchistes et leurs médias en France.
Il y avait certes Pétain en France, comme en Italie il y avait Mussolini et en Allemagne il y avait Hitler et sa folie, mais c’était il y a 80 ans.
Les organisations juives de gauche souhaitent enfermer les patriotes français d’aujourd’hui dans cette mâchoire infernale de la culpabilisation quand elle rappelle à chaque instant des faits familiaux et individuels. Elle évite toujours de faire la lumière sur les responsabilités de cette gauche qui est loin d’être innocente de ces crimes. À commencer par le Parti communiste et les Radicaux-Socialistes.
C’est trop facile de balayer d’un revers de main les réalités de l’invasion migratoire, le Grand Remplacement que chacun peut voir dans la rue, avec une histoire individuelle, familiale, douloureuse, issue du nazisme il y a 80 ans, pour empêcher, par la culpabilité, que les citoyens Français ne puissent aujourd’hui réaliser la politique immigrationniste menée par ceux qui nous gouvernent depuis 40 ans.
En Conclusion, Éric Zemmour a raison, n’en déplaise aux Juifs de gauche et autres immigrationnistes pro-islam, quand il constate que pour être enterré, il y a des familles qui préfèrent enterrer leurs morts hors de France. Dans la patrie de cœur plutôt que dans le pays dans lequel ils sont nés, où ils vivent, se sont mariés, ont fait des enfants, etc. Ces familles sont soit musulmanes, soit juives.
Cela pose crûment la question de la binationalité. Ces familles se vivent en France comme dans un pays étranger. Ce n’est pas être antisémite ou islamophobe que de le dire.
La France est donc, pour ces familles, un pays en location. Elles y payent un loyer (impôts directs et indirects), touchent des rémunérations sociales ou travaillent dans des entreprises, mais elles ne se sentent pas chez elles, comme à la maison.
La gauche parle d’intégration. Cela lui suffit. Nous parlons avec Éric Zemmour d’assimilation et d’amour de son pays, de patriotisme. Nous sommes en droit de nous poser la question : pour quel pays les membres de ces familles sont-ils prêts à sacrifier leur vie ? Pour la France ou leur pays de cœur ?
Je le dis souvent, en tant que Français je n’ai qu’un seul pays. Il semble bien que pour ceux qui se font enterrer à l’étranger, chez eux, ce soit la même chose. Ils n’ont qu’un seul pays, mais ce n’est pas la France.
Gérard Brazon