Risque d’apartheid en Israël : cécité de Le Drian sur la situation française…
Le 23 mai dernier, lors de l’émission Le Grand jury RTL/Le Figaro/LCI, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian (photo) a cru devoir dénoncer un « risque d’apartheid » en Israël.
Commentant les récents événements au Proche Orient, le ministre a déclaré : « Ce qui m’a frappé le plus dans cette crise, c’est qu’il y a eu des conflits en Israël. Dans les villes israéliennes, les communautés se sont affrontées. »
Et Le Drian de poursuivre : « Et ça monte, et ça monte… En Israël, c’est la première fois, c’est la première fois ! Et ça montre bien que si d’aventure, on avait une autre solution que la solution à deux États, on aurait alors les ingrédients d’un apartheid qui durerait longtemps, donc il faut essayer d’éviter cette situation. »
« C’est la première fois que l’on a pu constater des situations de conflictualité dans les villes, et je ne parle pas de la Cisjordanie (…) C’est la réalité du fait que des communautés vivent l’une à côté de l’autre sans perspectives politiques réelles. » a insisté le ministre.
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On rêve… Le Drian croit discerner un risque d’ « apartheid » en Israël mais reste totalement aveugle sur les risques de sécession de territoires entiers en France même, risques pourtant annoncés dès 2016 par l’ex-président Hollande dans son livre d’entretien Un président ne devrait pas dire ça avec les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.
Le Drian sait-il que si, dans notre pays, il n’y a pas d’affrontements directs entre « souchiens » et immigrés, c’est parce qu’en France, les colons arabo-afro-musulmans ont su faire le vide autour d’eux, les « petits blancs », apeurés et travaillés par la culture de la repentance, ayant préféré la valise à la lutte ? Les anglophones désignent cette réalité par l’expression « White flight ».
Le Drian a-t-il connaissance des caillassages quotidiens dont les forces de l’ordre et les pompiers, lorsqu’ils osent encore s’y aventurer, sont les victimes dans les quartiers de l’immigration ?
Le Drian est-il au courant, en tant que ministre de l’Intérieur, du fait que les islamo-racailles font impunément régner leur loi dans les territoires perdus de la République ?
Le Drian a-t-il médité – ou même simplement entendu – cette déclaration de Gérard Collomb, le 3 octobre 2018, lors de sa passation de pouvoir avec Edouard Philippe (qui assura l’intérim à l’Intérieur avec Christophe Castaner) :
« Aujourd’hui, on vit côte à côte, mais je crains que demain, on vive face à face » :
A cette occasion, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur démissionnaire, a insisté sur la situation « très dégradée » dans les quartiers « sensibles » et réclamé une « vision d’ensemble pour recréer de la mixité sociale ». Formule par ailleurs parfaitement creuse : dans ces quartiers dits « sensibles », il n’y a plus de « mixité sociale » : ces quartiers sont la plus pure illustration de ce qu’est l’apartheid au sens étymologique : « mise à part », « éviction », en l’occurrence selon des critères racialo-religieux.
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Dans les 751 zones de non droits, comme à Trappes ou à Mantes-la-Ville, la « mixité sociale » est dorénavant une vue de l’esprit. Les Blancs partent, comme ce vieux médecin mantais, pourtant de bonne volonté :
A Mantes-la-Ville, il ne reste plus que cinq médecins pour 22.000 habitants…
Agressé – lui et son épouse – à son domicile de Combs-la-Ville par une bande de « sauvageons » :
🗣 Bernard Tapie sur l'agression dont lui et sa femme ont été victimes : "Je n'avais rien fait pour mériter ça […] Il y avait une haine de parler, de dire, de faire. On sentait qu'on était quelqu'un à abattre."
📺 #BernardTapie #LE20H @GillesBouleau. pic.twitter.com/P44GdPHT51
— TF1LeJT (@TF1LeJT) April 26, 2021
Bernard Tapie a cru amadouer ses agresseurs en leur disant qu’il s’était toujours « battu pour eux ». Réponse des « sauvageons » : « va te faire enc*** ! Ce temps-là est mort ! » (entre 2:30 et 3:45) :
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Le 26 mai dernier, réponse du berger Netanyahu à la bergère Le Drian : le Premier ministre israélien ironisait sur « la leçon de morale hypocrite et mensongère » que le ministre français des Affaires étrangères s’est permis d’adresser à l’Etat hébreu.
Peu de chance que cette réplique lucide serve à éclairer la lanterne d’un Le Drian…
In girum imus nocte ecce et consumimur igni
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L’image du juge au XIX ème siècle : dépassée ?
Sur les 58 députés présents hier soir à l’assemblée nationale (sur un total de 577), 30 parlementaires ont eu le courage de voter contre les insecticides tueurs d’abeilles, et ont infligé une « dégelée Royal » à Stéphane Le Foll
Lorsqu’il a été nommé ministre de l’agriculture, Le Foll a visité des exploitations apicoles dans la Sarthe (ici chez Sophie Dugué), spécialisées dans l’élevage des reines d’abeilles. Il avait alors promis d’aider les apiculteurs et les abeilles. Aujourd’hui, Le Foll fait son beurre en tuant 9 milliards d’abeilles en soutenant les pesticides et insecticides tueurs d’abeilles. Si les abeilles collectaient des billets de banque à la place du pollen et du miel, elles seraient mieux défendues par les ministres socialistes, par les députés et les sénateurs. 
De par le sang versé par ces combattantes Kurdes, l’Occident et l’ONU devront, demain, accorder un état souverain aux 37 millions de Kurdes
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Comme son mentor François Hollande, Jean-Jacques Urvoas est plus souvent à table qu’au chevet des victimes et des justiciables, et en ce 9 mars il 
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