Dechavanne n’aime pas que l’on plaisante sur son pognon ou sa bien-pensance !

Les fans de Quelle époque ! ont été témoins d’une scène étonnante, le 10 juin dernier.

Alors que l’émission se terminait, Christophe Dechavanne a brusquement quitté le studio consécutivement à une alerte cambriolage sur son smartphone.

“Ah, il a sa sirène. C’est son médoc”, a réagi Philippe Caverivière, ne prenant pas la situation au sérieux, l’humoriste a alors plaisanté sur les nombreuses Rolex, tableaux et autres objets de luxe qu’il posséderait…

Cette séquence a suscité de nombreuses réactions, surtout sarcastiques… y compris du milieu politique.

Dominique Bilde, députée RN, a osé se moquer de l’ancien animateur de La roue de la fortune,  déclarant sur Twitter : “Christophe Dechavanne est de gauche. Il est aussi un bobo, un privilégié qui a toujours imposé sa vision politique aux autres, tant que les problèmes ne viennent pas perturber sa petite vie tranquille. Le boomerang de la réalité française l’a rattrapé en direct !”

Ce crime de lèse-Dechavanne ayant outré Christophe… Il a immédiatement rétorqué : “J’ai été victime de deux cambriolages dans ma vie. C’est trrrès (sic) désagréable. Je ne vois pas ce que vous pensez que cela va m’apporter. Oui, je suis un privilégié. Oui, je me suis fait tout seul. Non, ma vie n’est pas tranquille. Un boomerang lancé avec saleté ne revient pas propre.”

Apparemment, il semble qu’il n’ait subi qu’une tentative de cambriolage, qu’un dispositif de sécurité très performant, et donc onéreux, ait empêché.

Combien de Français sont-ils victimes chaque jour de cambriolages réussis de la part de chances pour la France… dont avec ses amis, il prône l’arrivée ?

La semaine précédente, dans la même émission, il eut un échange fort édifiant avec Aymeric Caron.

Revenant sur le drame d’Annecy et la gestion des flux migratoires sur le sol français, Hala Salamé déclara :”J’ai regardé le programme présidentiel de Jean-Luc Mélenchon, il n’y a pas une mesure pour réguler les flux.”

“Elles existent déjà et on ne va pas les durcir”, précisa le chantre de l’anti-corrida.

“Je me fais l’avocat du diable parce que je suis plutôt tolérant de ce côté là mais quand vous dites que c’est régulé, les migrants qui arrivent en Italie (…), ils arrivent par l’Italie, ils rentrent en France, ce n’est pas régulé”, ajouta Dechavanne.

“Certains d’entre eux essayent avec des moyens dérisoires de sauver leur peau et pour ça, ça leur fait prendre beaucoup de risques (…) Je pense qu’il n’y a personne qui quitte son pays, sa famille, ses enfants en étant heureux de le faire”, répliqua Caron.

“Vous n’allez convaincre personne ici. On sait tous que ces gens ont besoin de partir parce que c’est l’enfer chez eux mais quand vous dites que c’est régulé…”

“Ce qu’on n’a pas encore fait, c’est peut-être ça dont vous rêvez, c’est de mettre des grands murs, ça on peut le faire”

“Mais vous me prenez pour qui pour dire des trucs pareils?”, s’est alors offensé “l’invité permanent” de Salamé, amenant Caron à calmer le jeu: “Mais je sais que vous ne le voulez pas Christophe, je vous connais”.

“Ah d’accord, soyez gentil alors. Ne soyez pas caricatural”, termina l’atrabilaire Dechavanne, craignant que sa bien-pensance fut égratignée…. Cette bien-pensance ostentatoire qui lui permet d’encore se montrer et de gagner beaucoup d’argent sur le service public…

En fait, comme il ressort de sa réponse vipérine à la député RN, Dechavanne était surtout furieux des allusions de Philippe Caverivière à certains de ses signes extérieurs de richesse…

Mitrophane Crapoussin




Hala Salamé aussi chameau que vulgaire !

Tout le monde sait combien Hala Salamè est hargneuse jusqu’à l’imbécillité avec ses adversaires politiques dont Éric Zemmour, à ne pas vouloir le saluer en quittant un plateau… Cette fausse journaliste mais véritable propagandiste est incapable de neutralité et ne s’en cache pas.

C’est aussi une peste vacharde : un vrai chameau ! Lors de son dernier C’est en direct avec Ruquier, elle s’est ouvertement moquée du nom de l’agresseur du candidat de Reconquête : Valentin Abdelmajid. Certes, ce monsieur ne nous est pas des plus sympathiques, cependant, il porte le prénom que ses parents lui ont donné, contrairement à elle qui n’assume pas du tout le sien et l’a raconté lors d’une interview à L’Orient Le jour, journal libanais (cf. la vidéo).

Se voyant prédestinée à une carrière importante, à treize ans, elle a compris qu’en France, ce serait difficile avec un tel prénom… Elle eut peut-être raison, quoique… jusqu’au jour où, à force de harceler Zemmour sur le problème des prénoms, les Français retrouvèrent le sien, ce qui lui conféra moins de crédibilité encore.

Ce chameau présomptueux, qui ponctue de sa supériorité chacune de ses questions, sauf avec les puissants du moment, est atrocement vulgaire. L’anecdote suivante apporte un autre éclairage à la haine qu’elle manifeste à l’endroit d’Éric Zemmour.

 Dans La France n’a pas dit son dernier mot… il l’a massacrée en trois lignes, hélas insuffisamment relevées.

Donc, page 203,  en date du 8 janvier 2015, il est écrit « Rencontre inopinée – Je croise Léa Salamé dans les escaliers imposants de Radio France. Elle me sourit tristement et me lance : « Charlie te donne raison sur tout ! Ça me troue le cul quand même ! ».

La veille, deux islamistes enragés venaient de trucider douze personnes… et voilà ce que cette tuerie inspirait à madame Salamé ! 

Faut-il être intrinsèquement vulgaire pour oser proférer de tels propos dans un lieu très fréquenté.

Éric Zemmour, lui aussi probablement médusé, n’a pas ajouté une ligne de commentaire, passant à la date du 4 mars suivant.

Désormais, en croisant Hala Salamé, sur France Inter ou France 2, il conviendra de se souvenir que derrière cette intervieweuse arrogante, tendance intello parisienne, se dissimule une madame indécente, auquel le tragique n’inspire qu’une très grande trivialité.

Son compagnon et père de son fils, l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, un peu vert, un peu socialo, un peu gaucho, surtout, tendance fils de riche-n’importe quoi…  étant par trop présent dans cette campagne,  Hala faisant à chaque fois la preuve qu’elle est pathologiquement incapable d’impartialité… il conviendrait qu’elle ne sévisse plus sur France Inter et Antenne 2 jusqu’à la fin avril 2022. Ce serait la moindre décence.

Un chameau en est-il capable ?

Daphné Rigobert

 




Le Pen n’a pas déméritée mais n’a pas fait exploser Darmanin

Je n’ai pas regardé le débat madame Le Pen/monsieur Darmanin. Je n’avais pas envie de revivre cette déculottée que la candidate Le Pen s’était prise en 2017 avec le candidat Macron.

Tout d’abord et aussi parce que cette émission eut lieu sur France 2, une télévision d’État, aux mains d’une direction gauchisante, immigrationniste et défendant les thèses racialistes de la « diversité ». J’évite les radios et télévisions de la propagande.

Monsieur Darmanin est un politicien roué si ce n’est retors. Il a dû préparer son débat avec minutie, a sans doute collecté des tonnes d’informations à éviter, à édulcorer. Et a appris, en regardant les débats, les prises de paroles et les avis de madame Le Pen, comment la contrer.

Le voir débattre à l’Assemblée en coq de basse-cour, sûr de lui et de la pauvreté d’expérience de la majorité des députés, tout en maniant la causticité, le mépris et l’humour grinçant, je savais à l’avance qu’il allait être un redoutable adversaire et utiliser les coups bas.

Il avait une alliée de poids à travers la journaliste madame Salamé, une Libanaise naturalisée Française depuis peu, et qui est issue d’une famille de la très haute bourgeoisie libanaise, dont le père était un proche du pouvoir. Elle n’a aucune sympathie pour l’identité française, la remigration. Il suffit de se souvenir de ses déclarations contre Éric Zemmour chez Ruquier pour se faire une idée.

Salamé vue par Charlie

Les différents articles et avis que j’ai lus, entre autres sur Riposte Laïque, n’ont fait que confirmer mes préjugés. Monsieur Darmanin a défendu son bilan qu’il trouve bien sûr formidable, et il a justifié ses actions qu’il trouve fantastiques. Pour le reste, il a trouvé des excuses bidons qu’il trouve géniales.

Mais non, il n’y a pas de Grand Remplacement, c’est un fantasme.

Bien entendu, l’islam n’est pour rien dans la situation déliquescente actuelle. Tout va bien, si ce n’est, peut-être, à la marge, vaguement, une minorité agissante appelée islamiste qui, finalement, ne remettrait pas vraiment en cause les lois de la République, ni même, d’ailleurs, l’avenir de la France. Le « Grand Remplacement » ? Une fadaise de « l’extrême droite » et qui est fortement exagérée, et bla-bla.

Vous avez dit Grand Remplacement ?

  • Tant pis s’il existe des classes comportant plus de 80 % d’enfants d’immigrés parlant à peine le français, et que ce pourcentage plombe le niveau scolaire des 20 % qui restent ;
  • Tant pis si les élèves ont un niveau faible sur toutes les matières et que désormais, le Bac ne vaut pas grand-chose, voire moins qu’un CEP de primaire des années 1960 ;
  • Tant pis si monsieur Macron envisage de faire pour l’ENA ce qui fut fait pour Sciences Po, à savoir supprimer l’anonymat et le remplacer par un grand oral pour s’assurer de la couleur et de la diversité, et éliminer les questions de culture générale qui seraient discriminantes ;
  • En effet, savoir que Napoléon 1er n’a pas été le Premier ministre d’Henri IV ou de Louis XIV est fortement discriminant pour tous. Savoir que les rois existaient bien avant la République également. Que l’Empire fut bien plus glorieux que la République aussi. Que la France, en géographie, n’a pas de frontière avec la Russie ou même la Pologne ;
  • Tout cela est discriminant pour nos futurs dirigeants de la République islamique de France. l’Oumma n’a pas de frontières. 

Monsieur Darmanin a tenu un discours d’assureur, de pacifiste d’avant-guerre. Quand je lis le compte rendu de Jacques Guillemain, je devine la volonté de noyer le poisson en l’inondant de poncifs, d’humanisme, de générosité et de culpabilité. Il a donc menti honteusement sur le nombre de musulmans vivant en France. Il a oublié de donner son avis sur les près de 60 % de jeunes musulmans dits français, qui voudraient vivre sous la charia, etc.

Charles Demassieux confirme quelque peu : « Darmanin, égal à lui-même – qu’on oubliera bien plus sûrement que Marine étant donné son indigence intellectuelle et sa morale de scorpion –, a joué la carte de la condescendance macroniste, tandis que Marine a brillé comme elle aurait dû le faire pendant le débat de l’entre-deux tours de la présidentielle de 2017. »

Que dit madame Le Pen ? Elle parle en candidate et, par précaution, parle de l’islamisme alors même que c’est de l’islam qu’il faut parler ! De sa vision conquérante, de ses obligations inscrites dans le Coran qui sont de faire le djihad, qu’il appelle à la soumission à Allah, à son prophète, de tous ceux qui ne sont pas musulmans. Pourquoi parler d’islamisme alors qu’un Erdogan dit lui-même qu’il n’y a pas plusieurs islams, un gentil, un modéré comme disent les faux-culs et un violent, une version méchante de l’islam. Il n’y a qu’un islam, même si de nombreux musulmans ignorent les fondamentaux de leur religion qui n’est pas un traité d’amour, de paix et de tolérance.

Ils ignorent le plus souvent les appels aux meurtres, celui des homosexuels, le refus de devenir amis avec des non musulmans, et l’inégalité “divine” des sexes voulue par leur Coran. Cela commence dès le départ par l’Al-Fatiha répétée cinq fois par jour, ce qui souligne et sépare l’humanité en deux, entre les gentils musulmans et les égarés, voire les ennemis : Le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés. Quand on connaît la misère de la population musulmane dans ces pays, on peut trouver affolant qu’ils n’aient pas compris.

Madame Le Pen affirme qu’elle « veut un référendum sur l’immigration, le droit du sol, les expulsions, en limitant les arrivées autour de 10 000 par an ». C’est une bonne chose, mais madame Le Pen pense toujours que l’islam est compatible avec les lois de la République. Malgré la loi islamique qui condamne à mort tous ceux qui seraient tentés par l’apostasie, qui considèrent que madame Le Pen n’est pas l’égale d’un homme (S4v34), qu’elle serait mineure à vie sous des cieux musulmans, voire possiblement frappée par son mari si elle en avait un, etc.

Tous les commentaires s’accordent pour dire que son débat était casse-gueule et qu’elle risquait gros à l’avoir accepté. C’était quitte ou double. Elle faisait comme en 2017, et c’était la mort politique assurée. Ce ne fut pas le cas.

Faut-il s’en féliciter ou le regretter ? Clairement, cela ne va pas arranger ceux qui,  à la droite nationale, aimeraient bien avoir un autre candidat à mettre sur la ligne de départ. Ceux qui aimeraient ne pas avoir à voter pour le seul candidat se rapprochant, mais sans en avoir la certitude, de leur volonté d’en finir avec l’immigration, avec l’islam et retrouver la souveraineté française pleine et entière.

Gérard Brazon