Le socialo-communisme révolutionnaire, c’est réellement le mal français

L’islamo-gauchisme, comme le socialo-communisme, c’est le mal français. C’est toute l’idéologie de la haine de classe contre les classes moyennes et les famille soi-disant réactionnaires. Déjà le 2 juin 2016, Le Point avait titré judicieusement “La vraie histoire du “mal français“. Blocages, violences, CGT, modèle social”.

Cela avait été l’occasion pour l’Internationale communiste révolutionnaire de condamner le propos de l’hebdomadaire qui demandait des “réformes courageuses” et la fin des “privilèges” des syndicats anarcho-gauchistes et communistes, et des assistés que sont les délégués des travailleurs syndiqués de ce pays.

Il est vrai qu’à l’époque, la haine de classe des chiens de garde socialo-communistes a voulu contrer l’ordre bourgeois capitaliste qualifié de réactionnaire. Cela a été l’occasion pour l’Internationale communiste révolutionnaire de faire sa propagande mise en vers par la candidature Mélenchon lors de la présidentielle, et poursuivie par les députés de la France insoumise en chemise et avec des nouilles à l‘Assemblée nationale.

Les pays démocratiques se représentent le mythe, presque comme une énigme, de l’Internationale communiste révolutionnaire, comme un monstre socialo-communiste né au milieu de nulle part au sein de l’Occident libéral, contre le bon sens et contre l’Europe des Lumières. Dans la propagande de l’Internationale communiste révolutionnaire, la rupture radicale anti-capitaliste est la nostalgie du régime stalinien autoritaire contre les peuples. Il est clair que l’idéologie soviétique a ses racines dans la pensée totalitaire stalinienne.

Avec la radicalité islamo-gauchiste et la rupture avec la culture dominante de l’Europe des Lumières, on reconnaît clairement la terreur stalinienne, alors que les chiens de garde socialo-communistes ont toujours agi avec une violence extrême contre les peuples, contre leurs opposants politiques, et contre des personnes.

La propagande de l’Internationale communiste révolutionnaire prône le retour de la terreur stalinienne socialo-communiste contre la gauche non communiste, sociale-démocrate et libérale réactionnaire.

Le socialo-communisme anarcho-libertaire incarne une rupture révolutionnaire dans l’idéologie, dans la haine de classe et dans l’action politique et syndicale. Mais au niveau des idées, si l’on fait une analyse de la vision du monde de l’Internationale communiste révolutionnaire, on découvre que ces éléments sont d’une grande banalité dans la nostalgie post-soviétique de la terreur stalinienne.

Les islamo-gauchistes puisent largement dans les prêches pro-migrants du pape François et dans la repentance des chrétiens contemporains. C’est ce qui les rend dangereux jusqu’au début de la guerre civile.

On se demande pourquoi les démocraties n’ont pas réagi face à l’islamo-gauchisme. Elles croyaient que ce que disait le pape François dans ses discours politiques était honorable et très chrétien, après que l’UE sous la tutelle de l’Allemagne de Merkel soit devenue un paradis pour tous les migrants et les islamistes dont les pays africains et arabes voulaient se débarrasser. Dans ce climat de lutte contre les peuples, l’UE sous la tutelle de l’Allemagne de Merkel apparaissait comme le terreau du communisme révolutionnaire.

Seules les nations encore vivantes d’Europe de l’Est, comme la Pologne, la Hongrie ou la Tchéquie, apparaissaient comme un rempart contre l’islamo-gauchisme révolutionnaire.

Lorsque le pape François partisan-militant post-marxiste évoque ses exigences immigrationnistes en politique, ses déclarations sont de moins en moins reçues comme paroles d’évangile tellement il est étranger aux réalités de l’Occident chrétien. Cet homme est si peu fiable, violant ainsi toutes les règles de la neutralité en matière de religion. Protestation des peuples contre le pape François partisan-militant pro-migrants.

Devant cet amalgame partisan-militant politico-religieux, le pape François fait des discours islamisants où il déclare qu’il est responsable du sort de millions de migrants que l’Allemagne de Merkel doit nourrir. Il est clair que l’Allemagne a besoin de conquérir à l’aide des migrants un nouvel espace dans l’UE, un espace vital.

Ce qui fait que les démocraties occidentales, elles, deviennent des colonies de l’UE germanique.

On a vu que les grandes démocraties de l’UE n’ont rien eu à redire à l’Allemagne de Merkel pour faire accueillir des millions de migrants qui mettent en péril la civilisation et les mœurs du monde occidental, parce que les islamistes pensent en terme de djihad alors que les démocraties pensent en terme de liberté.

Les discours du pape François partisan-militant post-marxiste sont structurés par une idéologie et une logique : les peuples blancs doivent se soumettre quand les islamistes doivent pouvoir s’étendre au détriment d’autres peuples plus civilisés. On note une logique encore plus clairement raciste : il doit y avoir adéquation entre l’espace conquis et l’espèce, entre le territoire conquis et les mœurs des peuples africains.

Quand les peuples européens sont placés face à ce genre de discours, que peuvent-ils répondre ? Surtout de la part de pays comme la France qui voient les banlieues, soit 10% de son territoire, confisquées par les communautarismes. Le discours du pape François partisan-militant post-marxiste joue sur la mauvaise conscience des Occidentaux et le fait qu’il existe un espace commun dans l’UE sans frontières, donc un espace vital propice pour les invasions de migrants qui posent bien des problèmes que personne ne conteste.

Le discours du pape François pro-migrants et ses vœux d’accueillir les islamistes, pour des raisons marxistes, ont pour principal objectif de “déblanchir” les populations de l’Occident chrétien. Il y a un travers politique dans la mesure où le pape François reprend les idées, très banales, très communes, qui constituent la grille de la propagande des islamo-gauchistes et de l’Internationale communiste révolutionnaire contre les peuples Occidentaux. Les islamo-gauchistes et l’Internationale communiste révolutionnaire veulent mettre en application la terreur communiste dans une vision stalinienne du monde soviétique très organisé, et surtout de l’Occident chrétien soumis à la terreur de l’islamisme radical. La réaction attendue des peuples insoumis se présenterait au risque de fascisation réactionnelle. C’est alors que l’Internationale communiste révolutionnaire pourrait déployer son programme de la terreur des intellectuels communistes contre les peuples.

Conclusion : Avec le discours du pape François pro-migrants et la propagande socialo-communiste révolutionnaire anarcho-libertaire, c’est réellement là que le peuple prend conscience du “mal français”.

Thierry Michaud-Nérard