BHL le charognard de l'humanitaire prône l'accueil de 100 millions de migrants



Daech voile les femmes. A Erbil, elles défendent leur patrie, à égalité avec les hommes. Liliane Lazar. pic.twitter.com/xLhgwbCBjU
Et, face à un BHL qui indique dans l’Express : « il faut que l’Europe accueille 100 millions de migrants, elle le doit à l’Afrique »

les internautes les plus censés se sont emparés des clichés pour les moquer. Un classique du genre pour BHL sur le Web. Revue de tweets.
D’autres internautes auraient pu aussi poser la question qui tue BHL : « BHL accueille combien de jeunes migrants chez lui, dans sa grande maison, où beaucoup de pièces sont libres ? Réponse 0 ».
L’affaire des migrants a coûté 15 milliards à nos compatriotes
Nous partageons l’avis du philosophe Michel Onfray à propos de BHL sur les migrants : « Il ferait mieux de rester caché ». Michel Onfray a rappelé l’engagement de Bernard-Henri Lévy en Libye au moment des révolutions arabes en 2011 : « A un moment donné, il faut un peu de pudeur », a-t-il lancé, évoquant « tous ces gens qui ont rendu possible cet enfant mort – et Bernard-Henri Lévy en fait partie ». Le philosophe a appelé à l’arrêt de la « politique criminelle » migratoire mise en place par les dirigeants internationaux.
« BHL n’a pas honte, lui, franchement. Il ferait mieux de rester caché », a surenchérit le philosophe Michel Onfray sur BFMTV jeudi 3 septembre, citant le cinéaste Michel Audiard : « Les cons, ça ose tout, c’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnaît. Il ferait mieux de rester chez lui. »
L’auteur de Cosmos (2015) a positivement réagi aux propos tenus absurdes tenus par son confrère Bernard-Henri Lévy sur la photo du petit syrien retrouvé mort sur une plage de Bodrum (Turquie) mercredi, qui a fait le tour du monde. Interrogé par téléphone, BHL avait osé déclarer aux médias : « Il y a eu des photos dans les trente, quarante dernières années qui ont eu la vertu paradoxale comme ça, d’un seul coup, de réveiller les opinions (…), de casser la mécanique froide des chiffres, de donner un visage à ce qui n’était jusque-là que des statistiques (…). C’est difficile de dire ça parce qu’un enfant qui meurt, il meurt d’abord pour rien, (…) mais elle peut avoir cette petite vertu.«
Dans le même temps, la « machine de communication BHL » tentait de répondre aux critiques et moqueries, via la plume de Lilian Lazar, le « nègre » de BHL qui administre le compte Twitter de BHL, en écrivant :