Le traitre et le néant, un livre qui confirme l’intégrité du Gal de Villiers

Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
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Dans le même temps, Éric Zemmour a levé « le voile » sur ses intentions pour la présidentielle. Une lettre a été envoyée par Eric à de nombreux maires pour tenter de récolter des parrainages.
À sept mois de la prochaine élection présidentielle, l’éventail des potentiels candidats commence à se restreindre. Après la défection de Laurent Wauquiez à droite, dont les idées fondamentales sont proches de celles d’Eric Zemmour, et dans l’attente d’une primaire écologiste qui fait déjà parler d’elle, c’est au tour d’Éric Zemmour d’abattre ses cartes. Eric Zemmour a en effet adressé un courrier à certains maires afin de récolter les 400 signatures d’élus qui lui manquent encore et qui lui permettront de concourir à l’élection présidentielle 2022.
La droite institutionnelle française a donc trouvé son candidat naturel. C’est Eric Zemmour. Ils l’ont longtemps cherché, ils ne l’avaient jamais trouvé : voilà des années que, sans succès nationaux, Les Républicains espéraient un miracle, en recherchant leur « candidat naturel ». Beaucoup avaient misé sur Laurent Wauquiez, qui vient de jeter l’éponge, le bébé et l’eau du bain.
Alors, pour tous ces jeunes « LR » déçus, choqués par l’immigration de masse que subit la France, le candidat qui s’impose comme une évidence auprès des militants et des électeurs en incarnant un programme susceptible de séduire à nouveau une majorité de Français, est bien Eric Zemmour. Et ils le font savoir haut et fort.
« Alors que Laurent Wauquiez annonce qu’il n’est pas candidat à l’élection présidentielle, nous sommes plus de 100 jeunes militants et sympathisants Les Républicains à souhaiter que le parti soutienne Éric Zemmour. À nos yeux de jeunes adhérents et sympathisants du parti, les têtes d’affiche de l’appareil font pâle figure à côté de l’intellectuel et écrivain Éric Zemmour, dont le courage, la pensée, le positionnement et le talent sont les plus à même de faire triompher nos idées » écrivent ces jeunes des Républicains dans l’hebdomadaire Le Point.
Ils ajoutent : « Pour nous qui déplorons depuis longtemps le long déclin de notre famille politique, l’espoir renaît enfin. Il y a des années que la droite française navigue à vue, faute d’avoir su faire émerger de ses rangs un dirigeant capable d’enclencher une dynamique intellectuelle, susceptible de répondre aux angoisse et aux attentes des français. C’est un navire sans capitaine, à l’équipage déboussolé. Un paradoxe alors que les crises successives rencontrées ces dernières années par la France nous ont donné raison sur quasiment tous les points : crise identitaire, désindustrialisation, péril islamiste, affaiblissement du niveau scolaire, etc
« Sur tous ces sujets, les militants (N.D.L.R. du mouvement Les Républicains), de nombreux élus locaux des Républicains, et les intellectuels qui gravitent autour de notre mouvement ont su dénoncer les périls qui menacent le Pays et proposer des solutions pour sortir de ces périlleux récifs » ajoute ce collectif de jeunes LR.
« En bref, les Français n’ont probablement jamais été aussi à droite. Mais où est la droite ?
Nous ne pouvons plus attendre. En quelques années, Les Républicains ont perdu les trois quarts de leurs adhérents. Malgré quelques victoires d’élus locaux, le parti ne parvient pas à créer une synergie nationale. Et l’avenir est sombre : dans tous les sondages qui s’accumulent à l’approche de la prochaine élection présidentielle, le parti fait figure de repoussoir chez les jeunes et les actifs, se muant progressivement en « parti de boomers », circonscrit à une portion congrue de l’électorat, fidèle mais âgée.
« En face, Éric Zemmour rassemble chaque semaine plus de militants. Il s’agit de 1 800 jeunes enthousiastes, plein d’espoir, ayant envie de se battre pour lui et de gagner pour la France. Nombreux sont ceux qui viennent de LR, de l’UNI ou d’ailleurs et qui ont été déçus par la pauvreté des perspectives de leur parti. »
Lancé au lendemain du renoncement de Laurent Wauquiez à l’élection présidentielle de 2022 et à la veille de la déclaration de candidature d’Eric Zemmour à la même élection présidentielle de 2022, cet appel des jeunes LR constitue le début d’un mouvement fédérateur, comme « l’appel de Cochin » (1) de Jacques Chirac le 6 décembre 1978.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
(1) Selon Wikipedia, l’appel de Cochin est un texte communiqué, le 6 décembre 1978, par Jacques Chirac, alors maire de Paris, président du Rassemblement pour la République, et ancien Premier ministre.
Cet appel est signé de Jacques Chirac, mais on en attribue habituellement la paternité réelle aux deux plus proches conseillers de celui-ci à l’époque, Pierre Juillet et Marie-France Garaud.
Sa publication entrait dans le cadre de la « précampagne » du RPR pour les élections européennes de juin 1979, premières élections au suffrage universel du Parlement européen, jusque-là désigné par les Parlements nationaux des pays membres de la Communauté économique européenne.
Ce texte dénonçait notamment la politique « antinationale » de l’Europe fédérale d’un « parti de l’étranger », soit, dans l’esprit du signataire, l’Union pour la démocratie française, parti de centre-droit créé le 1er février 1978 à l’initiative de Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République.
Ce nom d’« appel de Cochin » a été donné à ce communiqué aussitôt après sa publication, en raison des circonstances dans lesquelles il a été élaboré. Jacques Chirac avait en effet été victime, le 26 novembre précédent, d’un accident de la route en Corrèze, département dont il était député de la 3e circonscription et président du Conseil général, et avait aussitôt été transporté à Paris, à l’hôpital Cochin, pour y recevoir les soins nécessités par ses blessures.
Plusieurs auteurs y voient une référence claire à l’appel du 18 juin, lié à l’héritage gaulliste du parti, Giscard d’Estaing étant ainsi allusivement comparé au maréchal Pétain et sa politique au régime de Vichy.
Philippe Lamy estime que Georges Albertini « n’est pas étranger » à l’appel.
La route de l’Elysée semble bien ouverte pour notre ami Eric Zemmour, même si certains malfaisants essayent de le faire « trébucher ». Première victoire : Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel
Après les auteurs à Succès qui quittent l’éditeur félon Albin Michel, c’est au tour de l’éditrice et directrice éditoriale des collections Lise Boëll (1) de rompre avec cette grosse maison d’édition ayant perdu ses repères déontologiques. Président d’Albin Michel et proche ami d’Emmanuel Macron, Gilles Haéri doit aujourd’hui méditer cet adage populaire « un malheur n’arrive jamais seul ».
Comme l’a fait Sophie Roselli, cheffe du pôle enquête de la Tribune de Genève, par solidarité pour son rédacteur en chef Pierre Ruetschi, viré comme un « malpropre » à l’automne 2018, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction des éditions Albin Michel annonce son départ par solidarité avec Eric Zemmour, trahi par la maison d’édition où elle officie. Elle y travaillait depuis une vingtaine d’années. Une des rares photos de la discrète, mais redoutablement efficace, Lise Boëll, 54 ans, âme des éditions Albin Michel depuis une vingtaine d’années.
Rappelons les faits marquants ayant provoqué ces réactions en chaîne. Tout a commencé le mardi 29 juin par un communiqué d’Albin Michel. Gilles Haéri, le président de la maison d’édition, annonçait qu’il ne publierait pas le prochain livre d’Éric Zemmour « La France n’a pas dit son dernier mot » dont le manuscrit, presque terminé, était prévu pour une sortie en septembre. La raison évoquée? La probable candidature de l’auteur à la présidentielle. Suite à de probables pressions de l’Elysée, Gilles Haéri étant un proche d’Emmanuel Macron.
Ce jour là, Eric Zemmour est lâchement abandonné par son éditeur Albin Michel. Ce dernier n’imagine pas l’effet de souffle qui va suivre cette « rupture ».
Manuscrit refusé par Albin Michel, la machine Zemmour grippée ?
Certains auteurs à succès, à l’image de Philippe de Villiers (dont les ouvrages à succès étaient toujours publiés chez Albin Michel) ont décidé de cesser leur collaboration avec l’éditeur.
Mais, le plus gros coup dur pour Albin Michel est le départ d’un de ses piliers, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction et éditrice de l’auteur Eric Zemmour (également chroniqueur au Figaro). Elle annonce qu’elle quitte la maison d’édition, par solidarité avec l’écrivain.
Après l’ancien ministre Philippe de Villiers qui a claqué la porte du président d’Albin Michel, la réaction en chaîne amène donc Lise Boëll, l’éditrice de ces auteurs à grand succès, à quitter elle aussi la maison d’édition.
Lise Boëll, c’est l’âme des éditions Albin Michel. Celle qui a la confiance des grands auteurs. Difficile de confondre Eric Zemmour avec Calimero ou Philippe de Villiers avec Dora l’exploratrice ! Il existe toutefois un point commun entre ces auteurs à succès et ces héros enfantins : Lise Boëll, leur éditrice chez Albin Michel.
Selon Lise Boëll, « Cette décision s’inscrit dans une longue suite de péripéties internes ». C’est Lise Boëll, qui travaillait dans les essais politiques, après avoir été une éditrice à succès du secteur jeunesse, qui fut missionnée par Francis Esmenard, PDG d’Albin Michel et Richard Ducousset, directeur des éditions Albin Michel, pour récupérer Éric Zemmour après le succès de Mélancolie française (Fayard). En 2014, Le Suicide français paraît donc chez Albin Michel avec l’effet de souffle que l’on sait.
Tout s’est accéléré en 2019, avec l’arrivée de Gilles Haéri, le nouveau directeur de la maison Albin Michel. Cet ancien directeur de Flammarion, pas forcément à l’aise avec la part populaire et tonitruante d’une maison qui publia en son temps Jean Montaldo, conduit à l’isolement de Lise Boëll, de plus en plus marginalisée.
Pourtant les résultats sont là. Avec ses « mains d’or », Lise Boëll publie le professeur David Khayat, le docteur Frédéric Saldmann, Philippe de Villiers… tous des best-sellers. Mais elle doit avaler de plus en plus de couleuvres. Cela se poursuit avec le livre du Cardinal Barbarin, dont le projet a été «stoppé» net, par la direction, du fait de «vives oppositions internes». Et probablement externes ! La décision de Gilles Haéri de ne pas publier Éric Zemmour ne pouvait que provoquer le départ de Lise Boëll. «C’est un drame de la liberté d’expression et d’édition», a expliqué Lise Boëll à un proche Reste à savoir où l’éditrice, qui reste associée à d’énormes succès d’édition, trouvera refuge: dans un grand groupe ou à son compte ?
Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel
Selon une indiscrétion confirmée par notre ami Eric Zemmour, le nouveau livre du probable candidat à la présidentielle de 2022, intitulé “La France n’a pas dit son dernier mot”, sortira dans les librairies le 15 septembre, Eric Zemmour confirme qu’il a décidé d’auto-éditer son livre.
https://ripostelaique.com/eric-zemmour-publiera-son-nouveau-livre-le-15-septembre.html
Eric Zemmour, censuré par Albin Michel et la quasi totalité des éditeurs français, a réussi à rebondir et à contourner l’odieuse censure du monde de l’édition. Il publiera bien son nouveau livre le 15 septembre. Du coup, Eric Zemmour impose son timing et une parution en septembre, à la veille d’une période électorale sensible à laquelle il est susceptible de participer, à la plus grande satisfaction de nombreux français.
L’ouvrage « La France n’a pas dit son dernier mot » paraîtra le 15 septembre et reprend la suite du « Suicide français » paru en 2014.
Dans ce nouveau livre, Eric Zemmour aborde divers sujets politiques et sociétaux ciblés, en revenant par exemple sur l’islam ou la théorie du grand remplacement.
(1) Lise Boëll est une éditrice française née le 25 novembre 1966 à Paris.
Dans les années 2000, elle édite en France pour les éditions Albin Michel Dora l’exploratrice qui constitue un immense succès de librairie pour la maison d’édition.
Chez Albin Michel, elle est l’éditrice de l’écrivain à succès Éric Zemmour et de l’homme politique Philippe de Villiers.
Elle a été jusqu’en juillet 2021 directrice éditoriale non fiction aux éditions Albin Michel.
Après avoir été lâchement abandonné par son éditeur Albin Michel, Eric Zemmour ne s’est pas découragé pour autant. Selon une indiscrétion de l’entourage d’Eric Zemmour, l’écrivain a décidé d’auto-éditer son livre qui devrait s’intituler « La France n’a pas dit son dernier mot ».
L’ouvrage paraîtra le 15 septembre et reprend la suite du « Suicide français » paru en 2014. Dans ce nouveau livre, Eric Zemmour abordera divers sujets politiques et sociétaux ciblés, en revenant par exemple sur l’islam ou la théorie du grand remplacement.
Contrairement à la France où les chefs des Frères musulmans prolifèrent (à croire que notre pays en fait l’élevage)
http://www.lareference-paris.com/485
la confrérie des Frères musulmans (1) était déjà dans le collimateur du Gouvernement autrichien depuis l’attentat de Vienne qui a fait quatre morts et 23 blessés, le 2 novembre 2020. Cette « secte islamiste » est désormais inscrite, depuis la fin de la semaine dernière (8 juillet 2021), sur la liste noire des organisations liées à la « criminalité à motivation religieuse ». Tous ses slogans et sa littérature sont frappés d’interdiction. Selon les dispositions de cette nouvelle loi antiterroriste autrichienne, toute détention ou propagation de slogans ou de documents faisant l’apologie des groupes inscrits sur la liste noire sera punie d’une amende de 4 000 euros et/ou d’une peine d’emprisonnement d’un mois. En cas de récidive, les condamnations pourront aller jusqu’à 10 000 euros d’amende et six mois de prison.
http://www.marianne.net/lautriche-premier-pays-europeen-a-interdire-les-freres-musulmans
Selon nos confrères de Marianne, Vienne a aussitôt été accusée sur les sites dédiés aux Frères musulmans et à l’organisation turque des Millî Görüs d’« alimenter l’islamophobie » et de « multiplier les attaques contre les musulmans ». Pourtant, l’Autriche reste le seul pays d’Europe à accorder un statut officiel à l’islam. En outre, le pays a longtemps été l’un des principaux fiefs des Frères musulmans et l’une des plaques tournantes financières de l’islamisme politique sur le Vieux continent.
http://www.marianne.net/culture/les-freres-musulmans-vivent-dans-le-complot
« Plus judicieuse que la simple interdiction de groupes ou d’associations, lesquels se reconstituent aussitôt sous de nouveaux intitulés, cette stratégie autrichienne dite de « l’interdiction des symboles » s’avère très efficace », selon nos confrères de la rédaction de Marianne. D’après le ministre de l’Intérieur, Karl Nehammer (2), plus de 27 000 infractions ont été constatées depuis sa mise en place au lendemain des attentats de novembre 2020. Le fait de l’étendre aux Frères musulmans est le coup le plus dur jamais porté à la confrérie en Europe.
Force est de constater que les Frères musulmans, tenants de l’instauration d’un califat mondial, violemment antisémites, est une organisation aux buts et aux structures opaques.
Voici plusieurs années, Michaël Prazan avait effectué une enquête inédite, une plongée dans l’histoire et dans les réseaux d’une confrérie qui avait dirigée l’Égypte.
Michaël Prazan, documentariste et journaliste, auteur notamment d‘Einsatzgruppen, les commandos de la mort nazis (Seuil, 2010) et d’Une histoire du terrorisme (1945-2011) (Flammarion, 2012). Il a sillonné le monde arabe, l’Europe et les États-Unis durant deux ans, afin de comprendre qui étaient vraiment les Frères musulmans. « Islamistes modérés », comme ils aiment à se présenter, « bienfaiteurs du peuple, des pauvres et des nécessiteux », ils sont en réalité des théocrates intransigeants, tenants d’une vision radicale de la religion et partisans de l’instauration d’un califat mondial.
En reconstituant minutieusement l’histoire du mouvement, en rencontrant ses membres et ses responsables les plus éminents, en interviewant des spécialistes, Michaël Prazanil a mis en évidence leurs liens avec une multitude de mouvements, d’Al-Qaïda au Hamas palestinien en passant par le Front islamique du salut algérien et Ennahda, en Tunisie.
Créée en 1928 par Hassan al-Banna, la confrérie a repris le chemin de la clandestinité. Emprisonnés, traqués, les Frères musulmans s’avouent-ils pour autant vaincus depuis leur destitution à la suite du coup d’État militaire en Égypte du 3 juillet 2013 ? L’auteur Michaël Prazan a démontré les liens historiques entre la confrérie des Frères musulmans et le nazisme,
les alliances entre sunnites égyptiens et chiites iraniens et son rôle dans la propagation d’une idéologie antisémite dans le monde musulman.
À la lumière de ces quelques éléments, on comprend mal pourquoi les gouvernements français successifs ont donné asile aux chefs des Frères musulmans, traqués par la police et les services de sécurité égyptiens et protègent toujours ces terroristes sur le sol français. Cherchez l’erreur !
(1) La Société des Frères musulmans (en arabe : جمعيّة الإخوان المسلمين ; jamiat al-Ikhwan al-muslimin), raccourcie en Frères musulmans (الإخوان المسلمون ; al-Ikhwān al-Muslimūn), est une organisation transnationale islamique sunnite fondée en 1928 par Hassan el-Banna à Ismaïlia, dans le nord-est de l’Égypte, selon le site Wikipedia. Composée d’un appareil militaire et d’une organisation ouverte, son objectif officiel est la renaissance islamique et la lutte non violente contre « l’emprise laïque occidentale » et « l’imitation aveugle du modèle européen » en terre d’Islam. Cette organisation panislamiste est officiellement considérée comme organisation terroriste par le gouvernement égyptien, la Russie7, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Mais pas par la France et les pays européens. L’organisatione a rapidement essaimé ses idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, comme au Soudan ou en Afrique du Nord, et a également établi des instances nationales et des bases d’action dans des pays non musulmans, comme l’Europe. Certains groupes de partisans se sont constitués en mouvements autonomes, comme le Jama’a al-islamiya ou le Hamas.
Son opposition fondamentale et parfois violente aux États laïcs arabes a amené son interdiction ou la limitation de ses activités dans certains pays, comme la Syrie et l’Égypte. La lutte contre l’État d’Israël est au cœur du mouvement, et le théoricien du jihad armé, Sayyid Qutb, qui entrera par la suite en rupture avec le mouvement, fut pendant un temps l’un de ses membres égyptiens les plus en vue. Ses différentes branches ont encouragé le recours à la violence en dehors de la Palestine. Le mouvement entretient avec les institutions promouvant le wahhabisme saoudien des relations alternant entre coopération et rivalité.
La nébuleuse des Frères musulmans serait coordonnée par la Muslim Association of Britain de Londres, s’appuyant sur la banque Al-Taqwa. Néanmoins, selon Xavier Ternisien, elle ne constitue pas une structure pyramidale centralisée mais une mouvance hétérogène, labile et multiforme.
(2) Karl Nehammer, né le 18 octobre 1972 à Vienne, est un homme politique autrichien, membre du Parti populaire autrichien (ÖVP) et ministre de l’Intérieur depuis le 7 janvier 2020. De janvier 2018 à janvier 2020, il est secrétaire général de l’ÖVP et du 9 novembre 2017 au 7 janvier 2020 membre du Conseil national.
Selon le site Wikipedia,
Karl Nehammer poursuit ses études au Kollegium Kalksburg et au Mariahilfer Gymnasium, où il obtient en 1992 son baccalauréat (Matura en Autriche). Ensuite il s’engage pendant un an dans le Bundesheer avec périodes de réserve jusqu’en 1996. En 1997, il est nommé lieutenant. Ensuite, il est formateur pour les officiers d’information pour le ministère de la Défense nationale et formateur pour la communication stratégique dans différentes institutions comme l’Institut de formation professionnelle (Berufsförderungsinstitut, BFI) et l’Académie politique du parti ÖVP (Politische Akademie der ÖVP). En 2012, il est diplômé de l’université du Danube de Krems en communication politique auprès de Peter Filzmaier ; il obtient en 2014 un master en science en communication politique en formation continue, certification qui ne correspond pas au grade universitaire du même nom.
Il est membre de la KÖStV Sonnberg Perchtoldsdorf, corporation étudiante catholique au sein de la Mittelschüler-Kartell-Verband (MKV)2. Son beau-père est l’ancien modérateur de l’ORF Peter Nidetzky. Karl Nehammer est marié avec Katharina Nehammer qui a été nommée chef de cabinet adjoint au ministère de la Défense sous Klaudia Tanner au début de 2020 et avait auparavant travaillé pour le ministre de l’Intérieur Wolfgang Sobotka en tant que porte-parole et membre du cabinet, puis a rejoint le parlement avec lui. En juillet 2020, elle passe dans le secteur privé.
Gilles Haéri, le président de la maison d’édition Albin Michel, a annoncé mardi qu’il ne publierait pas le prochain livre d’Éric Zemmour. Suite à de probables pressions politiques, Albin Michel se prive d’un auteur de best-sellers. Le Suicide français avait dépassé les 500.000 exemplaires vendus.
Mardi 29 juin : La maison d’édition Albin Michel (2) annonce qu’elle refuse de publier le prochain livre de l’essayiste Eric Zemmour (1) en prétextant que ce dernier va s’engager dans la présidentielle, et fait référence à une discussion entre l’éditeur et l’écrivain. Mais le journaliste Eric Zemmour dément la réalité de cette discussion et promet des suites judiciaires (la femme d’Eric Zemmour est avocate).
Ecrivain à succès comme Michel Onfray, Eric Zemmour est un des journalistes les mieux payés de France, sa fortune et sa renommée proviennent des livres édités chez Albin Michel, et souvent vendus à plus de 500 000 ou 600 000 exemplaires. Des tirages à rendre jaloux bien des écrivains.
Pourquoi un tel succès ?
Outre le contenu des livres écrits par Zemmour, l’immense succès est d’abord du à la « mécanique » Albin Michel. Comme les éditions Grasset et les éditions Michel Lafon (où j’ai eu l’honneur d’être édité voici 15 ans), Albin Michel a un bataillon d’attachées de presse, qui harcèlent les rédactions de journaux, magazines, radios, télévisions, etc pour vendre le dernier livre de l’auteur.
Il en découle un « marathon rédactionnel » et des journées éprouvantes, dès l’annonce de la sortie d’un livre, alors que l’ouvrage n’est pas encore en librairie. L’auteur, totalement pris en charge par l’éditeur au niveau hôtels, repas, transports (souvent une voiture de maître pour le déposer et le reprendre), passe heure après heure d’une rédaction parisienne à une autre, d’un plateau télé à une interview radio. Avec en prime une attachée de presse qui corrige et « briefe » les petites erreurs remarquées sur les échanges plateaux.
A ce rythme de management et de prise en charge, l’auteur décolle donc est mis en orbite.
La rupture annoncée par l’éditeur Albin Michel constitue une catastrophe pour l’écrivain Eric Zemmour. D’un seul coup, la belle mécanique Zemmour se grippe, et la décision affecte le porte-monnaie d’Eric Zemmour. Sa notoriété future aussi. Alors qu’Eric Zemmour dément avoir parlé d’une quelconque ambition présidentielle avec son éditeur.
Albin Michel a publié cinq ouvrages de celui qui était alors un journaliste et essayiste. Leur histoire commune commence en 2012 avec « Le Bûcher des vaniteux » (2012) puis le deuxième volume du même nom en 2013. Vient ensuite le best-seller d’Eric Zemmour, « Le Suicide français », paru lui aussi chez Albin Michel, en 2014. L’éditeur assurera aussi la parution en 2016 de son livre « Un Quinquennat pour rien » puis, en 2018, de « Destin français ».
Si les bénéfices apportés par ces ouvrages restent à la discrétion des services d’Albin Michel, les statistiques sont parlantes : « Le Suicide français » s’était imposé comme un grand succès de librairie. Deuxième des ventes pendant un mois, et premier du top 50 « Essais & Références » pendant 15 semaines, il s’est vendu à plus de 500 000 exemplaires, selon les données d’Edistat.
Son dernier essai, « Le Destin français », avait en 2018 détrôné l’auteure à succès Amélie Nothomb pour se hisser au premier rang des ventes de livres tous genres confondus pendant trois semaines. L’ouvrage, qui fait état d’une décadence de la France régulièrement dépeinte comme telle par Eric Zemmour, s’était écoulé à près de 70 000 exemplaires pendant ces trois seules semaines.
Des spécialistes de la presse redoutent d’autres « placardisations » de Zemmour
« Il est possible qu’Eric Zemmour ait été victime d’interventions politiques, au plus haut niveau, pour empêcher la sortie de son prochain livre » confie un spécialiste de la presse ayant travaillé avec un précédent président de la République.
Il y a un précédent à l’affaire Zemmour. Sous la présidence de François Mitterrand, lorsque l’écrivain Jean-Edern Hallier découvre l’existence de Mazarine, la fille cachée du Président, qui a grandi sous le sceau du secret d’Etat, 19 éditeurs français (les principales maisons d’édition, dont Albin Michel) refusent de publier son manuscrit consacré à l’affaire. Il est immédiatement surveillé et placé sous écoutes téléphoniques.
Pour l’Elysée, l’écrivain est allé trop loin
Depuis 1992, Albin Michel publie environ 450 nouveautés par an (contre une centaine en 1967). Quatrième groupe d’édition français, ses auteurs se classent régulièrement parmi les meilleures ventes, selon le site Wikipedia.
Depuis les années 1920, Albin Michel s’est constitué en groupe éditorial, rachetant au fil des décennies des fonds de maison, s’associant avec d’autres, développant ses métiers, ajoutant à la littérature, le livre pratique, éducatif et universitaire, ainsi que la bande dessinée, etc. Le groupe contrôle également depuis 1982 sa distribution-diffusion et possède un réseau de librairies, ce qui lui permet de maintenir son indépendance et de préserver l’un des principaux relais de diffusion des livres.
Ainsi, début 2014, Albin Michel lance une nouvelle stratégie d’acquisition en se portant acquéreur de sept librairies (Paris, Châlons en Champagne, Limoges, Orléans, Besançon, Sarreguemines et Lorient) du réseau Chapitre.
Le journal Le Monde qualifie en 2016, la maison d’édition de « vitrine de la droitisation de la société française », à cause de la publication de nombreux auteurs défendant la société française comme Éric Zemmour ou Philippe de Villiers.
Attaqué par huit individus motorisés sur ses terres, le berger de la Lettaz souffre de multiples blessures et contusions.
Classé Natura 2000, le massif des Voirons était jusqu’à ce jour le paradis des bergers, des apiculteurs et du pastoralisme, celui d’une agriculture authentique, où l’homme vit encore à son rythme.
Un fait divers terrible, réel, relaté par nos amis de la rédaction du Messager, plus fort tirage des journaux hauts-savoyards, m’a retourné les tripes tant je connais bien ce massif des Voirons, où j’ai résidé de nombreuses années et où je posais mes ruches avec l’accord des bergers pastoraux, pour obtenir un délicieux miel d’alpage.
Dans ce massif haut-savoyard s’est jouée une version inédite du « bâton de berger » : 8 clandos ont tabassé un paisible berger, le berger de l’alpage de la Lettaz sur sa propriété.
La raison ? Ce montagnard, éleveur de moutons, qui perpétue la tradition familiale, ancrée ici depuis plusieurs siècles, a demandé poliment à huit intrus des cités d’Annemasse, chevauchant des quads, de quitter ses terres, car le bruit et les évolutions des engins perturbaient ses brebis, qui se dispersaient et devenaient folles.
En guise de réponse, les huit intrus ont tabassé le paisible berger à coup de bâtons, de poings, de pieds, avec un acharnement qui dépasse l’entendement. Alors que l’agriculteur pastoral était prêt à dialoguer avec eux, et probablement prêt à partager la tomme, le pain, le saucisson d’alpage.
Car ici, au cœur du massif des Voirons, dominé par le monastère des petites sœurs moniales de Bethléem,
https://bethleem.org/monasteres/montsvoirons.php
au dessus des communes de Cranves-Sales et de Saint-Cergues, il y a cette tradition d’accueil, de paix, d’assistance, de savoir-vivre.
Certes, « le massif des Voirons est en proie à des conflits d’usage depuis plusieurs mois. Des engins à moteur perturbent promeneurs et faune alors que des événements de type rave party et des feux ont déjà été déplorés sur un site classé Natura 2000 et qui fait l’objet d’un arrêté de protection de biotope », explique un maire du secteur, contacté par téléphone, mais qui souhaite conserver l’anonymat, par peur de représailles.
Ils étaient huit sur des quads contre un à pied
« Il y a une dizaine de jours, ces incivilités croissantes ont atteint leur paroxysme avec la violente agression du berger de la Lettaz, un alpage situé à cheval sur Cranves-Sales et Saint-Cergues. Huit personnes en quad et à moto ont débarqué pour s’amuser sur sa propriété. Lorsqu’il leur a demandé de partir, l’homme a été sauvagement pris à partie et souffre de multiples blessures et contusions, et les urgences de l’hôpital de l’agglomération d’Annemasse ont dû recourir à de nombreux « points de suture » expliquent nos confrères du Messager. Il a porté plainte auprès de la brigade de gendarmerie de Reignier qui couvre ce très vaste territoire.
L’enquête avance selon une source proche du dossier. Et des auteurs des faits ont déjà pu être identifiés, assure un militaire. La communauté de communes Annemasse Agglo, par la voix de son président Gabriel Doublet (également maire de Saint-Cergues), a fait savoir « qu’elle se constituait partie civile pour soutenir la victime. Les élus vont également écrire au procureur pour appuyer sa plainte ».
Dans d’autres zones de cette belle région, des ruchers sont vandalisés et dévastés, les ruches culbutées et renversées. Comme si la Haute-Savoie et d’autres régions de montagne étaient en guerre.
Au rythme où la délinquance progresse, un habitant du secteur estime que les prochaines victimes pourraient être « les petites religieuses de Bethléem, car leur couvent, situé au sommet des Voirons, au dessus de Boëge, est très isolé et coupé du monde… ».
Les faibles effectifs des forces de l’ordre, le laxisme des juges, l’inertie du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin suffisent-ils à expliquer ce désastre dans nos montagnes et la multiplication des zones de non-droit ? Car les victimes sont toujours les mêmes : des Français qui travaillent dur pour survivre et payer leurs impôts ! Cherchez l’erreur…
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Ce livre de 200 pages, confié aux éditions Riposte Laïque, sans bla-bla, parfaitement argumenté, sans concession, dénonce une idéologie aussi trompeuse que mortelle, mais aussi la supercherie de la mondialisation. L’officier supérieur d’aviation met en garde contre « la menace existentielle qui plane sur une France millénaire », comme l’avait fait Philippe de Villiers voici quelques temps.
Ce pilote de chasse, qui « bombarde » Macron et l’Élysée, a le mérite de rechercher les racines du mal, dès le chapitre 1. Intitulé « Macron à l’Élysée, un coup d’État des juges et des médias », ce premier chapitre analyse l’effondrement de François Hollande, les révélations téléguidées du « Canard Enchaîné », la mise en examen de François Fillon et de sa femme Pénélope.
Jacques Guillemain décrypte une justice à deux vitesses. D’un côté, il y a le « massacre à la tronçonneuse » du candidat LR François Fillon. De l’autre, des juges qui classent à tour de bras les soupçons de financements irréguliers de la campagne d’Emmanuel Macron. Chiffres à l’appui, déclaration de patrimoine d’Emmanuel Macron en renfort.
Dans ce livre facile à lire et chiffré page après page, le pilote de chasse passe le « mur du son » lorsqu’il analyse l’outil industriel surbradé par Emmanuel Macron (chapitre 14) et les conséquences désastreuses pour la France, et le « tsunami migratoire » favorisé par un président de la République qui « accélère le Grand Remplacement » (chapitre 15), contrairement à ses engagements de campagne de 2017.
Jacques Guillemain a le mérite de rappeler aux lecteurs « qu’au moment de la crise des Gilets jaunes, ce sont 600 policiers et gendarmes qui protégeaient le Président tétanisé, terré dans son bunker élyséen. »
L’officier supérieur ne croit pas aux candidatures des généraux à la retraite. En l’absence d’une tête nouvelle à la présidentielle de 2022, dans le camp des patriotes, il recommande de voter Marine Le Pen. Mais, pour lui, point de salut sans une candidature d’Éric Zemmour, décrit par Jacques Guillemain comme l’homme providentiel.
« Verrons-nous un Zemmour se jeter dans l’arène pour nous préserver du naufrage ? Et redonner des couleurs à la France. Mais, le voudra-t-il ? » interroge « l’officier stratège » Jacques Guillemain, dans un discernement de dernière chance.
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Journaliste et écrivain
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titre du 4eme livre |
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Le SOS des élus et commerçants Lyonnais est parfaitement résumé dans ce document. Le ministre des polices Dar Malin n’a pas tenu ses engagements sécuritaires pour la capitale des Gaules, submergée par des coupes jarrets et des mamelouks.
Michel Dulac et ses collègues du marché contribuent à la prospérité de Lyon, en se levant tôt le matin et en travaillant dur !
Comme il l’a fait, ce 15 février 2020 à Annemasse, où il inaugurait un nouveau commissariat de police, en promettant 15 flics de plus pour lutter contre les trafiquants et « coupes jarrets » du quartier du Perrier, aux portes de Genève et de cette Suisse si tranquille, « Gérald Dar Malin » le ministre des polices d’Emmanuel Macron avait promis, voici plusieurs mois, à l’élu Lyonnais Michel Dulac des effectifs supplémentaires pour lutter contre l’insécurité dans le centre de Lyon. Mais les élus de Lyon n’ont pas vu arriver les policiers promis. A leur place, davantage de hordes de trafiquants de drogue et de dealer, proposant « épices » et « poudre blanche ».
Alors, une fois encore, le fleuriste Michel Dulac, l’élu sans peur du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes, et artisan fleuriste dans le 3e arrondissement de Lyon, « épine » de Dar Malin à Lyon impose au ministre des polices de “faire son job”
« La situation a Lyon est devenue incontrôlable, ce jour les dealeurs et les trafiquants ont envahis comme d’habitude toutes les rues et les places environnantes de notre quartier de la Guillotière, déplore Michel Dulac en s’adressant au ministre de l’intérieur. je suis vraiment scandalisé de la mollesse et du laisser faire de nos dirigeants et de nos élus en place…. ».
Le ministre des polices Gérald Dar Malin préfère se rendre en Haute-Savoie à Annemasse plutôt qu’à Lyon, en situation d’insurrection mafieuse dans le centre ville. Pourquoi ? Il ne risque pas d’être confronté au fleuriste Michel Dulac à Annemasse. Par contre à Lyon, le même fleuriste Michel Dulac, qui a beaucoup échangé par mails et tweet avec Gérald Dar Malin, risque de lui « mettre le nez dans le caca ».
Car dans le 3e arrondissement de Lyon, comme dans le 2e, ou du côté de la Pardieu, il y a d’un côté des centaines de racailles qui trafiquent et vendent la drogue devant les magasins, qui intimident et menacent les passants, brûlent occasionnellement les voitures, une police qui n’intervient plus depuis la destitution du grand flic Michel Neyret. De l’autre côté Michel Dulac, un vrai Lyonnais, le fleuriste du quartier, issu d’une des plus grandes familles de fleuristes lyonnais, conseiller régional RN, qui part en guerre contre toutes les racailles, qui entend imposer au ministre de l’Intérieur et des polices Gérald Darmanin l’éradication des racailles et des trafiquants de drogue à Lyon.
Dar Malin se fout de Lyon, le patriote Michel Dulac aime Lyon
Le ministre des polices a peur de venir à Lyon. « Il a peur de se retrouver en face de Michel Dulac » explique un commissaire de police d’arrondissement, joint par téléphone, mais qui préfère conserver l’anonymat. Il ajoute : « Le ministre serait vite à court d’argument face à Michel Dulac, susceptible de le prendre par la manche et de l’emmener au milieu des racailles…. ». Rires.
Michel Dulac, dont les ancêtres ont contribué à la prospérité de Lyon, est un vrai patriote. Il veut éradiquer les racailles qui ont envahi sa ville. Un combat de chaque instant…
Pendant des décennies, le “petit fleuriste” du 3e arrondissement, qui combat l’insécurité, a été redouté par tous les maires de Lyon, surtout par Gérard Collomb lorsqu’il était maire de Lyon, puis ministre de l’Intérieur. Car Michel Dulac est capable de remuer des montagnes pour défendre la France, la loi, son quartier, les petits commerces, les habitants malmenés par les racailles. Car il aime Lyon, comme il aime la France.
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
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Scène ordinaire sur le marché de Trappes dans les Yvelines, site où on rencontre moins de français qu’à Marrakech !
L’élection du nouveau maire de Trappes désigné en 2020, Ali Rabeh (Génération.s) vient d’être annulée par le tribunal administratif.
Les « Trappistes » vont devoir retourner aux urnes. Pas les moines qui fabriquent de la bière dans les Abbayes. Mais les habitants de Trappes, dans les Yvelines, submergés par des migrations massives. Dans cette ville, où il semblerait qu’il y ait moins de français de souche qu’à Marrakech, le nouveau maire de Trappes élu en 2020, Ali Rabeh (Génération.s), n’avait pas déclaré tous ses comptes de campagne. Le tribunal administratif et républicain a donc annulé son élection obtenue « au rabais ».
Mardi dernier, Le tribunal administratif de Versailles (Yvelines) a constaté les fraudes et a donc annulé l’élection municipale de juin 2020 à Trappes, à la suite d’un recours déposé par la liste d’opposition « Engagement Trappes Citoyens ».
https://www.leparisien.fr/elections/municipales/resultats/2020-trappes-78190.php
Car l’ancien poulain de Benoît Hamon, Ali Rabeh, qui avait récolté 40 % des suffrages au second tour des élections municipales a commis des manquements importants aux règles du code électoral. Alors qu’il était qualifié pour le second tour, le candidat Ali Rabeh (Génération. s) a mené des actions auprès de personnes fragiles pendant le confinement, en utilisant l’association « Cœurs de Trappes qu’il présidait à l’époque ».
Ali Rabeh, qui conduisait la liste « La gauche unie pour que Trappes respire » a acheté les électeurs en leur distribuant des colis alimentaires.
Pour gagner coûte que coûte cette élection, Ali Rabeh a utilisé les mêmes méthodes que « le croissant rouge » dans les pays musulmans.
Pendant les trois mois qui se sont écoulés entre le premier et le second tour, reporté à cause de l’épidémie de Covid-19, les membres de l’association présidée par Ali Rabeh sont en effet restés mobilisés. Ils ont distribué des colis alimentaires ou encore des masques aux habitants dont ils sollicitaient les votes. Or, ces actions sont « passées à la Trappe » et n’ont pas été chiffrées et déclarées dans les comptes de campagne du candidat Ali Rabeh.
Ali Rabeh et les … 40 votants
La commission nationale de contrôle des comptes de campagne et des financements politiques avait déjà alerté les juges et les autorités en décembre 2020. Les sages de la commission estimaient « qu’Ali Rabeh, toujours en lice pour le second tour et toujours à la tête de Cœurs de Trappes, aurait dû se mettre en retrait de l’association avant le premier tour en adoptant une attitude plus réservée ».
http://www.prechi-precha.fr/eric-zemmour-trappes-cest-lhistoire-de-lente-inexorable-islamisation-dune-terre-francaise-cest-grand-remplacement/
Mais Ali Rabeh ne voulait passer à « la Trappe » et voulait cette mairie, même au « rabais ».
Comme on peut facilement l’imaginer, Ali Rabeh veut rester maire de Trappes six mois de plus, car ça rapporte en terme d’indemnités. il a donc immédiatement fait appel du jugement. En attendant la décision du Conseil d’Etat, qui sera rendue dans les six mois, Ali Rabeh reste maire de Trappes.
Les résultats des élections municipales de Trappes ont aussi montré que les électeurs confessionnels votent pour « ceux qui leur donnent à bouffer ou qui distribuent des masques ». Le programme électoral, l’idéologie, les arguments ne les intéressent pas. Ali Rabeh l’a bien compris, avant ses autres concurrents musulmans ou laïques, de gauche ou non inscrits.
Car le « vent du boulet » a été mis en oeuvre par Othman Nasrou, un correlegionnaire d’Ali Rabeh, arrivé second le soir du 2 ème tour. Dans les médias locaux, le requérant a démenti les propos de son rival et a affirmé : « Ce n’est pas de l’acharnement de notre part puisque la commission des comptes de campagne avait rejeté les comptes d’Ali Rabeh. »
Othman Nasrou, qui est désormais premier vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, protégé de la LR Valérie Pecresse, chargé des relations internationales et des affaires européennes, n’a pas digéré les distributions de colis alimentaires de son concurrent et sa campagne « du couscous contre des voix ». Il rappelle « lors des distributions de colis alimentaires par Ali Rabeh et des actions caritatives de ce dernier, la photo d’Ali Rabeh circulait partout ! Le maire de Trappes a triché de manière massive et délibérée ».
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
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Municipales à Trappes : un nouveau maire et déjà des frictions
https://resistancerepublicaine.com/2018/05/10/trappes-schiappa-fuit-un-cafe-tenu-par-des-musulmans/