Les injections géniques dangereuses et inutiles doivent être interdites

Selon les CDC, organismes officiels du ministère de la Santé américain (un fédéral, et un par État) « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.[1]

Les chiffres les plus récents du CDC publiés le 29 juillet 2022 font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés pour les USA.

600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS (reseauinternational.net)

Ce qui frappe le plus tous les commentateurs objectifs est l’augmentation faramineuse de signalements depuis l’introduction des injections géniques, frauduleusement appelées vaccins, en comparaison avec les trente années précédentes. Or ce site fonctionnait de la même manière : signalements, puis vérifications avant publication, depuis ces trois décennies.

La comparaison publiée par le VAERS avec les autres vaccins ne souffre pas de doute : les décès liés aux vaccins sont indiscutablement plus élevés à la suite des injections à ARNm supposées anticovid :

Par million de doses administrées aux USA :

Vax anticovid : vingt décès par million depuis leur autorisation en 2020
H1N1 et tous vaccins entre 2006 et 2019 : 0,5 décès par million

Ces événements « indésirables » « accidents, blessures » selon les termes américains utilisés sont de fait des complications médicales de traitement supposé préventif injecté à des personnes en bonne santé. Est-ce acceptable ? De fait, ces maladies induites peuvent se décliner par catégorie comme ici les myocardites qui touchent particulièrement les jeunes pourtant à risque zéro de covid et ne justifiant donc sous aucun prétexte de recevoir ce poison.

Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des pseudo-vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le nombre de rapports d’événements indésirables déclarés au VAERS a été multiplié par 30 tous liés à l’injection Pfizer. Selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021, elle a embauché plusieurs centaines d’employés supplémentaires pour traiter les événements indésirables (information pourtant niée par nos pseudo-experts des médias).

MALHEUREUSEMENT LE MENSONGE A RÉGNÉ EN MAÎTRE PENDANT LA CRISE COVID.

EXCLUSIF : les CDC admettent avoir communiqué de fausses informations concernant leur surveillance sur la sécurité des vaccins Covid-19 | Epoch Times PAR Z STIEBER 12 août 2022

« les CDC n’ont pas analysé le VAERS pour y déceler des signaux d’alerte précoce en matière de sécurité pendant plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, ce qui constitue un dysfonctionnement grave », Il n’y a pas non plus de raison crédible pour expliquer pourquoi ils ont attendu jusqu’au 31 mars 2022 pour calculer les PRR Proportionnas Reporting Ratio (PRR).

LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID [2]

Le pire est que les enfants innocents du covid, à risque zéro de cette virose, sont de plus en plus menacés d’une large « vaccination » que les lobbys veulent rendre obligatoire aux USA et en UE obéissante et servile.

Selon R Kennedy, ce serait le moyen de poursuivre la campagne de dépopulation et en se protégeant juridiquement.

Aux USA : « Quand les “vaccins” sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi. C’est ce qu’explique Robert Kennedy à Veronika Krylenko, écrivaine américaine et collaboratrice du média Thenewamerican.com :

« Bien sûr qu’il faut l’abroger (cette loi qui protège les laboratoires). Si vous voulez savoir pourquoi il y a une telle poussée pour vacciner les enfants, il faut comprendre comment la loi fonctionne. En vertu de la Loi CARES et de la loi PREP, l’autorisation d’utilisation des vaccins est protégée par rapport à la responsabilité des entreprises pharmaceutiques. Tant qu’il s’agit d’un vaccin, ils ne peuvent pas être poursuivis, même s’ils sont imprudents et quelle que soit la gravité des complications ou le degré de négligence. Normalement, une fois qu’un vaccin est approuvé, cette protection légale ou “immunité” disparaît et c’est là que nous pouvons les poursuivre, à moins qu’il s’agisse d’un vaccin recommandé pour les enfants, car selon la loi sur les lésions dues aux vaccins pour enfants, tout vaccin recommandé pour les enfants bénéficie automatiquement d’une immunité de responsabilité, même lorsqu’un tel vaccin est administré à un adulte. »

En France, nous assistons à un subterfuge similaire bien que nos lois soient différentes. Il s’agit de faire passer la vaccination covid dans la liste des 11 vaccins infantiles obligatoires.

La loi sur la vaccination obligatoire a été mise en œuvre par la ministre de la Santé A. Buzyn en 2017.

La justification de santé publique était alors artificiellement construite comme le dénonce un article des Échos et renvoie également aux conflits d’intérêts entretenus par A. Buzyn avec l’industrie pharmaceutique.

Elle a été mise en examen en mars 2020 pour « mise en danger de la vie d’autrui » par la Cour de justice de la République. Au total, sur les 14 500 plaintes liées à la gestion de la crise sur covid, la Cour de justice de la République en juge seize recevables. Autant dire qu’elle ne risque pas grand-chose… En 2021, elle a même été promue comme directrice générale des affaires multilatérales à l’OMS, organisation en charge de la mise en place d’un passe vaccinal mondial. »

The New American — That Freedom Shall Not PerishPourquoi s’acharner à vouloir vacciner les… | Flora Fournier (vk.com)

En France, si les pseudo-vaccins étaient rendus obligatoires, les labos seraient protégés, car en cas de plaintes de victimes, ce serait l’État (donc nos impôts) qui paierait les indemnités aux plaignants via l’ONDIAM. Donc si Pfizer et Moderna obtiennent une AMM normale, après les AMM conditionnelles, elles veulent être couvertes en cas de plainte.

 

En UE, pour que les labos soient dispensés de compensations en cas de plaintes, il faut que cela soit stipulé dans les contrats (mention du contrat rendue illisible, car surchargé en noir même pour les députés européens).

Néanmoins si l’État comme la France rend la vax obligatoire, alors elle doit indemniser lui-même les victimes reconnues via nos impôts. Comme au temps pas très lointain, en Chine, ou la famille devait payer la balle utilisée pour tuer leur fils.

L’agence américaine des médicaments (FDA) et les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC, USA) ont autorisé, mi-juin 2022, la vaccination pour les tout-petits, dès l’âge de six mois avec Moderna et Pfizer. Une aberration scandaleuse.

La FDA autorise en effet la vaccination des enfants de six mois à cinq ans. Elle publie un rapport Pfizer et Moderna que tout le monde peut lire où il est écrit que ces vaccins ne sont pas efficaces et qu’ils sont même toxiques ! Elle conclut en disant qu’elle a un doute sur le rapport bénéfice/risque, mais elle fait une exception pour les enfants, sans expliquer pourquoi, et elle autorise des vaccins qui sont efficaces à moins de 50 %.

Et Pfizer va déposer une demande d’autorisation pour cette tranche d’âge auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA)…

Le maire de New York a annoncé que la vaccination des enfants sera obligatoire à la rentrée. Il faut que les parents s’y opposent avec force et vigueur, la vie de leurs enfants est en jeu. À l’évidence, l’Europe va suivre, comme toujours. C’est une folie criminelle

CAR CETTE INJECTION INUTILE EST DANGEREUSE.

INCIDENTS GRAVES ET DÉCÈS CHEZ LES ENFANTS DE 6 MOIS À 5 ANS — DONNÉES RÉCENTES

USA — Depuis le 01/06/2022, 829 enfants âgés entre 6 mois et 5 ans ont subi des effets indésirables à la suite des injections ARN Lésions cérébrales, cardiaques, hallucinations, chocs anaphylactiques, convulsions, hémorragies…
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php

142 New Cases of COVID-19 Vaccine Injuries in Babies Added to VAERS as CDC Now States “Unvaccinated People Have Same Guidance as Vaccinated”—Vaccine Impact par Brian Shilhavy Rédacteur en chef, Health Impact News

142 autres nouveaux cas de complications liées au vaccin CONTRE LA COVID-19 chez les bébés et les tout-petits âgés de 6 mois à 4 ans ont été ajoutés à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reported System) gérée par le gouvernement américain aujourd’hui, portant le nombre total de cas déposés pour ce groupe d’âge à 829 depuis que les vaccins ont été autorisés par la FDA il y a quelques semaines en juin. (La source.)

Les lésions cérébrales et cardiaques, les hallucinations, le choc anaphylactique, les convulsions, les éruptions cutanées, les lésions gastro-intestinales, les hémorragies et d’autres affections graves continuent d’être répertoriés comme effets secondaires de ces injections toxiques injectées aux bébés et aux tout-petits.

Les rapports du VAERS suggèrent que l’expérimentation sur des enfants avec des « vaccins » Covid peut les tuer (expose—news-com.translate.goog) Par Joël Smalley

« Rien qu’aux États-Unis, 45 cas d’enfants sont décédés après avoir reçu le “vaccin” Covid. Vingt-sept de ces enfants (60 %) étaient auparavant en parfaite santé. Trois des enfants ont participé aux essais cliniques.

Dans le passé, tout vaccin aurait été retiré après 25 à 50 décès de personnes de tous âges !

Les agences de réglementation et les fabricants de “vaccins” ont toujours nié la causalité dans le cas des injections anticovid et pourtant……

Cependant, la proximité temporelle de l’apparition des symptômes avec la date de “vaccination” seule pour la majorité des rapports indique une causalité vraisemblable.

Il est également possible que de nombreux autres décès n’aient pas été signalés s’ils ne sont pas survenus à proximité de la date de “vaccination”. De plus, la majorité des causes de décès sont d’origine cardiaque. La proximité temporelle et la cohérence sont deux des critères clés de Bradford Hill pour établir la causalité.

COVID Vaccine Deaths of Children Reported to VAERS. (substack.com) :

Les constatations sur les dégâts des injections, particulièrement inacceptables chez les jeunes à risque zéro du covid sont décrites dans de nombreux pays du monde. Quelques exemples :

EN THAÏLANDE

Une augmentation de 18 % des anomalies de l’ECG est notée chez les enfants injectés de 13 à 18 ans. Quel sera leur avenir global et sportif ?

Dr. Kelly Victory : New Thailand study shows an 18% increase in EKG Abnormalities post-jab in 13 to 18 year old. Share.@DavidAvocadoWolfe https://t.me/covidvaxinjury/2169

Même le New York Post dénonce les mensonges des autorités sur ces injections expérimentales dangereuses et inutiles, en particulier chez les enfants Dans les médias mainstream et la presse française complice aux ordres : RIEN, silence complet !

Des médecins du monde entier tentent d’informer les parents avant les drames

« Le vaccin favorise la covid sévère et multiple »  chez les enfants. Hélène Banoun [3] explique ici pourquoi les vaccins sont « inefficaces et toxiques » pour les enfants.

Sur le site des statistiques européennes, on voit aussi la surmortalité des jeunes de 0 à 14 ans qui a augmenté à partir de la semaine 21 de 2021 qui est précisément le moment où on a commencé à vacciner les moins de 18 ans.

 

ET PENDANT CE TEMPS-LÀ LES AUTORITÉS FRANÇAISES TENTENT D’ÉCOULER ENCORE LES VAX ACHETÉS ET OSENT DIRE :

« Les femmes enceintes et, implicitement, leurs bébés pourraient être injectés sans danger ! » 

Ce matin en août 2022, c’est clairement ce message que veulent faire passer les médias mainstream français qui l’affirment sur la base d’une étude de CANVAS alors que les femmes enceintes sont invitées depuis trois semaines à réaliser leur 2e dose de rappel contre le covid. »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-vaccins-contre-le-covid-19-sont-sans-danger-pendant-la-grossesse-confirme-une-etude-canadienne_5304211.html.

Canvas est une institution très provax depuis sa création et au sein de laquelle on trouve CANImmunize, société bénéficiaire des dons de Bill Gates qui développe une application numérique destinée à permettre aux employeurs de savoir quels sont leurs salariés vaccinés ou non vaccinés et de les tracer. Voici la publication originale du Lancet qui confirme la participation de CanImmmunize dans cette étude « très indépendante »…

https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099 (22) 00426-1/fulltext

« Les vaccins contre le Covid-19 serait sans danger pendant la grossesse », prétend cette étude canadienne largement répétée en France. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple comparaison de cohortes de femmes définies arbitrairement par les auteurs qui peuvent ainsi facilement biaiser la comparaison. Ces femmes n’ont fait l’objet d’aucun examen médical ni biologique, mais ont été seulement interrogées par téléphone ! Et la comparaison des deux groupes a été effectuée au 7jour de l’injection alors qu’on ne peut juger du bon déroulement d’une grossesse qu’après l’accouchement ! Le niveau de preuve de ce torchon est donc proche de zéro ! Sa publication scandaleuse par le Lancet s’explique uniquement par le contrôle de cette revue jadis prestigieuse par RELX de Blackrock, actionnaire numéro 2 de Pfizer, précédemment illustré par l’affaire du Lancet Gate.[4][5]

EN UE comme aux USA les complications explosent :

Au Canada

Pendant que Bill Gates reçu par Macron et passant au JT de France 2 raconte que seuls les non-vaccinés meurent sans que le journaliste ne l’arrête, le Canada publie ses données du 21 mars au 10 avril 2022 : 17,12 hospitalisations pour 100 000 triple vax (en rouge) contre 9,41 pour 100 000 non-vaccinés (en vert) suivis de 2,13 décès pour 100 000 triple vax contre 1,6 pour 100 000 non-vaccinés. Comment gouvernements, institutions, médecins, médias peuvent-ils mentir à ce point ?

Néanmoins lueur d’espoir : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ! est — ce que cela rendra plus raisonnable les dirigeants européens ? pas sûr, mais c’est au peuple de dire « ça suffit »

Aucun symptôme ? Pas de problème.
Vacciné ou non ? Même conseil.
Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

Et luttons contre la diabolisation des résistants !

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti-covid-19 représenterait une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection. (Source — La diabolisation de la dissidence) »

UN FACTEUR D’ESPOIR EN UE : le Danemark interdit la vax des moins de 18 ans. Qu’il serve de modèle !

« No Longer Possible » : Denmark ENDS Covid Vaccinations For Children Under 18—News Punch August 10, 2022 Baxter Dmitry

LE GOUVERNEMENT MET FIN AUX VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS !!

LE DANEMARK A INTERDIT LES VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS EN RAISON DE L’ABSENCE DE RISQUES GRAVES POUR LA SANTÉ DES JEUNES POSÉS PAR LE « VIRUS ».

L’ANNONCE DE L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE EST À LA FOIS UNE DÉCLARATION DE LA RÉALITÉ SELON LAQUELLE LES ENFANTS EN BONNE SANTÉ NE COURENT PRATIQUEMENT AUCUN RISQUE AVEC LE COVID-19 ET UN VOTE DE NON-CONFIANCE DANS LE PROFIL RISQUES/AVANTAGES À LONG TERME DES VACCINS À ARNM.

IL NE SERA PLUS POSSIBLE POUR LES JEUNES ET LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS DE RECEVOIR LE PREMIER VACCIN ET, À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 2022, IL NE SERA PLUS POSSIBLE DE RECEVOIR LE DEUXIÈME VACCIN.

LES RAPPELS NE SONT PAS RECOMMANDÉS PAR L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE POUR LES PERSONNES DE MOINS DE 50 ANS.

L’AUTORITÉ SANITAIRE ÉVALUERA ULTÉRIEUREMENT SI TOUTES LES FEMMES ENCEINTES OU SEULEMENT CERTAINES D’ENTRE ELLES DOIVENT SE VOIR PROPOSER LE VACCIN.

AGISSONS POUR INTERDIRE CE POISON PARFOIS MORTEL ET SOUVENT TOXIQUE.

Dre Nicole Delépine

 

Cet article a été publié initialement sur le site nouveau-monde.ca

Notes :

[1] CDC conscient du nombre de rapports d’événements indésirables déposés dans le VAERS sur ces injections de COVID-19, et la façon dont cela contraste fortement avec le nombre de rapports historiques le plan de dotation en personnel et d’opérations a été revu : axé uniquement sur les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins après vaccins COVID-19 pour aider à traiter environ 770 000 rapports numériques par an.
Le CDC sait : ils recrutent de nouveaux employés pour faire face au grand nombre de personnes qui, selon eux, soumettront des rapports d’événements indésirables dans le cadre des injections de COVID-19, et ils compensent à cet égard, mais sans reconnaissance publique.
https://jessicar.substack.com/p/a-question-and-answer-document-on

[2] voir notre livre chez fauves editions par g et n delepine janvier 2022

[3] Pharmacien biologiste, ancien chercheur INSERM, membre du Conseil scientifique indépendant.

[4] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-coronavirus-le-lancetgate-ou-le-naufrage-de-la-science-business_4014381.html

[5] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931

Articles Par :Dre Nicole Delépine

Nicole Delépine Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer




En direct sur BFM TV, le Pr Claverie réaffirme que les vaccins ne marchent pas !

 

« On n’a jamais vu un vaccin qui dure trois mois ! », « ces vaccins ne marchent pas ! » déclarait-il dans une interview au site Sputnik mi-décembre 2021.

Le professeur Jean-Michel Claverie, virologue du laboratoire Information génomique et structurale (IGS) de l’université Aix-Marseille, s’insurge contre le scandale du marché vaccinal confié à seulement deux entreprises, Pfizer et Moderna, dans des conditions si opaques qu’il est impossible d’accéder aux contrats les liant à l’UE. Un scandale qu’il qualifie, à juste titre, « d’escroquerie ». Il évoque même une « obsolescence programmée »…

Il dénonce le passe vaccinal, une inacceptable  inégalité avalisée par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, qui le sidère.

À très peu d’exceptions près, les enfants ne risquant rien, il ne faut pas les vacciner.

Omicron est très contagieux mais pas très dangereux et il faudrait le laisser se propager, pour provoquer une immunité naturelle. Un peu protégés du variant Delta et de la souche originelle, il est logique qu’Omicron s’attaque plutôt aux vaccinés.

Selon lui, le gouvernement doit revoir de fond en comble sa stratégie sanitaire, qui est une catastrophe et va en dépit du bon sens. 

Il vient de réitérer sur BFM TV, provoquant un malaise certain…  allant totalement à l’encontre des attentes de ces propagandistes de la vaccination se disant journalistes. Affirmant dès le début de l’interview :

“La mauvaise nouvelle c’est que le vaccin ne marche pas et ne marche pas du tout. Il n’empêchait pas la transmission déjà sur le variant Delta mais alors avec Omicron, il n’empêche pas la transmission avec les vaccinés et surtout les études montrent maintenant que la 3e dose n’est efficace que pendant trois mois.

On ne va pas pouvoir vacciner les Français tous les trois mois dont il va falloir trouver une solution. Je pense que le vaccin n’est plus une arme pour lutter contre le virus avec Omicron. Cette notion de 3e dose que l’on veut forcer est totalement illusoire.”

En toute fin d’interview, le journaliste, rémunéré à cet effet… dut conclure en affirmant “que la seule arme reste le vaccin et que le nombre de cas a diminué à plusieurs reprises face au vaccin”… 

Évidemment, la vidéo est introuvable… mais perdure sur RT celle dans laquelle il s’élève contre la vaccination des enfants.

Il est fort à parier que l’on ne reverra plus cet éminent chercheur sur aucune chaîne d’infos bien-pensante !

Daphné Rigobert

 

 




Pr Claverie : avoir confié la vaccination à deux boîtes est une escroquerie !

« On n’a jamais vu un vaccin qui dure trois mois ! », « ces vaccins ne marchent pas !”

Le professeur Jean-Michel Claverie, virologue du laboratoire Information Génomique et Structurale (IGS) de l’université Aix-Marseille, s’insurge contre le scandale du marché vaccinal confié à seulement deux entreprises, Pfizer et Moderna, dans des conditions si opaques qu’il est impossible d’accéder aux contrats les liant à l’UE. Un scandale qu’il qualifie, à juste titre, « d’escroquerie ». Il évoque même une « obsolescence programmée »…

Il dénonce le passe vaccinal, une inacceptable  inégalité avalisée par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État, qui le sidère.

À très peu d’exceptions près, les enfants ne risquant rien, il ne faut pas les vacciner.

Omicron est très contagieux mais pas très dangereux et il faudrait le laisser se propager, pour provoquer une immunité naturelle. Un peu protégés du variant Delta et de la souche originelle, il est logique qu’Omicron s’attaque plutôt aux vaccinés.

Selon lui, le gouvernement doit revoir de fond en comble sa stratégie sanitaire, qui est une catastrophe et va en dépit du bon sens. 

Désormais, nous n’en savons que trop sur Macron, Castex, Véran, leurs sbires… aux mains de la mafia industrielle de la vaccination et avons bien compris leurs ignominieux mensonges et leurs infâmes stratégies.

Comme trop souvent, les lucides sont minoritaires et doivent subir les inconséquences des naïfs manipulés.

Avec l’avènement d’une dose trimestrielle et de mesures de plus en plus liberticides et aberrantes, reste à souhaiter que la crédulité et la docilité de la plupart des Français s’émoussent enfin. À défaut…

Daphné Rigobert




Pour Brigitte Macron, transsexuelle est une insulte !

 

Après quarante-huit heures d’ébullition sur les réseaux sociaux interrogeant le genre d’origine de Brigitte Macron, laquelle serait en fait Jean-Michel Trogneux… Au lieu d’en rire tant c’est énorme, l’épouse du dictateur de l’Élysée se fâche et va attaquer, ainsi que le révèle Libération, prouvant que selon Macronella transsexuelle est une insulte.

Contacté par CheckNews, le cabinet de l’épouse du Président nous a indiqué que « l’avocat de Brigitte Macron » était « chargé de défendre ses intérêts suite à ces publications ». Ce dernier, Me Jean Ennochi, nous a confirmé ce mercredi soir qu’il y aurait « des poursuites ».

Conférer autant d’importance à ce canular grotesque est significatif. Après s’être pris pour Jupiter, le psychopathe narcissique se prend pour un être d’exception exceptionnel, intouchable, admirable… et il n’est pas de raison que la potiche de l’Élysée ne soit pas aussi gravement contaminée.

Il est à déplorer que Pfizer, l’employeur du VRP Macron, n’ait pas encore mis sur le marché une dose d’humour pour soigner la présomption et le syndrome de la grosse tête, et que son concurrent Moderna n’ait pas encore inventé de génothérapie contre les troubles de mémoire.

Que les publications de Faits&Documents ne soient pas finaudes peut s’admettre, cependant, qui s’est exhibée dans Paris Match en maillot de bain ?

Qui s’est longtemps baladé avec des minijupes tellement courtes que la presse italienne en a ricané après l’hommage rendu à Simone Veil aux Invalides ?

Qui s’est dandinée ridiculement au soir de l’ignoble fête de la Musique 2018 ?

Comment se prénomme le chef de l’État qui a osé placer sur son portrait officiel un ouvrage de l’ignominieux pédéraste Gide ?

Qui a un époux photographié, énamouré, dans les bras d’un jeune Antillais torse nu, à Saint-Martin ?

Qui est marié avec “un type pas fini » qui a déclaré : «Benalla n’est pas mon amant », alors qu’on ne lui demandait rien ? Etc.

Après un long étalage de sa vie privée… plus de cinq ans de comportements indécents… oser réagir à cet énorme « burlesquerie » est preuve de stupidité et une indécence de plus.

Si Macronella peut promener ses volumineuses perruques dans un beau palais empli de serviteurs à sa dévotion et celui de ses caprices, se parer de luxe, voguant de privilèges en privilèges, c’est aux contribuables français qu’elle le doit. Comme le relevait un rapport de la Cour des comptes de 2018, elle se fait tout financer, jusqu’à son maquillage plâtras  et le brushing de ses faux cheveux… Sans nous, elle n’est rien.

Ayant osé nous faire rembourser les lunettes dévorées par le chien de François Hollande, reste à espérer, sans trop y croire, qu’elle ne va pas en plus nous faire régler les honoraires de son avocat.

Daphné Rigobert




Pr La Scola : Omicron très médiatisé pour vendre un nouveau vaccin

 

L’abominable Omicron va ravager la France

Peu d’informations sont encore disponibles sur cette nouvelle souche du SARS-CoV-2 qui  “affole” les médias. À l’heure où les Français sont appelés à recevoir une troisième dose pour contrer la cinquième vague, ce variant semble en fait bien moins contagieux que le Delta. Comme vous vous en doutez le très indigne Delfraissy, l’abominable Véran et toute leur mafia paniquent la population à des fins mercantiles.

Selon Bernard La Scola, professeur de microbiologie à l’IHU de Marseille, en se répandant la souche perd en virulence donc contrairement aux dires.

Fabriqués pour la souche Wuhan, les vaccins “sont d’une efficacité modeste”. La vaccination de masse est “une erreur à abandonner”.

Omicron est “très médiatisé pour vendre de nouveaux vaccins”, “c’est une fuite en avant qui ne va jamais s’arrêter”.

Le site John Hopkins, corrélant le nombre de doses injectées et le nombre de cas, prouve qu’il est manifeste  que “l’apparition des variants se fait sous pression de sélection des vaccinés, résistants aux variants”. Ce sont bien les vaccinés qui transmettent le plus le Covid.

L’épicentre d’Omicron se trouvant en Afrique du Sud, plus il s’en éloigne moins il est dangereux. N’ayant pas engendré localement de cas graves, il sera pour l’Europe plus bénin encore.

Ces vingt-et-un mois de propagande acharnée sont un immonde scandale, la quasi-obligation vaccinale et les mesures liberticides sont pires encore, sans parler de  l’effrayante vaccination des enfants…

L’on en vient à rêver que le professeur Perronne fasse un coup d’État, nous libérant de cette infâme tyrannie !

Et pendant ce temps, sans vergogne mais avec acharnement, le VRP de Pfizer et Moderna, Castex poursuit sa promo, osant déclarer que la vaccination des enfants de moins de onze ans est “une nécessité”…

Daphné Rigobert

Une précédente vidéo du professeur La Scola, dans laquelle, il dénonçait l’infficience des vaccins et le fait que ces technologies avaient été utilisées très majoritairement pour du bétail, ayant disparu au bout de 48h, l’on ne peut que vous inciter à  faire tourner celle-ci rapidement.

 




Delfraissy, jusqu’à l’overdose !

Saint Nicolas est passé mais le père Fouettard nous est resté ! 

Depuis mars 2020, avec une grande régularité, de plateau en plateau, de radio en radio, Delfraissy vient balader les Français du  haut de sa “science” sur tous les sujets ayant trait au Covid-19. La recension de ses méfaits serait trop longue, aussi nous ne nous en tiendrons qu’aux plus récents.

Bardé de titres et de médailles, certainement admirablement rémunéré… l’on pourrait espérer qu’à soixante-treize ans Jean-François Delfraissy soit un homme sage et honnête. Ce vil personnage est totalement indigne et c’est pour cela que Macron l’a promu président du Conseil scientifique ; il lui fallait un homme sans foi ni loi, un menteur absolu, très servile. Caution ou inventeur, on lui doit les confinements et toutes les mesures liberticides, jusqu’au passe dit sanitaire.

Parmi tous les redoutables dont il convient de se méfier et surtout, de surveiller, il est peut-être l’un des pires car sans son aval, rien ne se dit ou se fait. À de rares exceptions, nul se méfie de lui. Avec ses cheveux blancs et ses gros yeux pochés, on le prendrait pour un gentil bon papa inoffensif. Derrière le FFP2 dont il s’affuble de nouveau, aux fins de convaincre les naïfs que, malgré trois deux ou trois doses de “vaccin”, la France est en grand péril.  C’est lui qui a dû inspirer le dernier décret de Castex interdisant de danser dans les bars et restaurants…

Très récemment, le professeur Raoult s’est étonné que ce bon vieux Jeff ait publié cinq articles ventant des traitements incluant de l’Hydroxychlroquine, sans jamais mentionner des effets secondaires ayant trait à des problèmes cardiaques… Souvent, Delfraissy varie, bien fol est qui s’y fie… Il fut un temps où il osa affirmer que le Covid-19 ne générait aucun variant.

Afin de conférer à ses récentes déclarations un aspect plus solennel, pour la quatrième fois de l’année, l’homme lige de Macron s’est donc exprimé devant des sénateurs.

Pour mieux faire peur, il a dit toute son inquiétude quant aux prochains jours et semaines : « Est-ce que la vaccination va suffire pour limiter la cinquième vague ? La réponse est non ». En parallèle de l’accélération de la campagne dose 3, il appelle les Français à restreindre leurs interactions sociales, bref à ce que chacun « d’entre nous » fasse des « efforts individuels ». « Il faut qu’à titre personnel on limite notre agenda, les dîners, les pots de réception, de service. », et évidemment, même vacciné, faire test sur test.

Cette année, les grands-parents n’iront pas déguster leur part de bûche à la cuisine, ils resteront chez eux !

« On va de nouveau souffrir », papy Jeff  évoque des « situations particulièrement difficiles » dans certaines régions. Il faut donc limiter le nombre de convives lors des repas de fête. Mieux encore, il fustige la tenue de grands rassemblements politiques, sans respect des gestes barrières, absence du port du masque… « La démocratie doit évidemment exister mais il y a un moment donné où il faut appeler un chat, un chat. Ce n’est pas raisonnable », surtout quand Zemmour triomphe devant 15 000 personnes à Villepinte.  Tel un berlingot de Mir ou un Swiffer, Delfraissy sert à tout !

Jean-François, c’est un cumulard. Il préside aussi le Comité consultatif national d’éthique, lequel doit rendre dans huit jours un avis sur l’ignoble projet de “vaccination” des 5-11 ans, prouvant ainsi que c’est bien lui qui décide de tout. Préparez-vous au pire !

Et pour mieux terroriser le bon peuple crédule, ce médecin très imaginatif a évoqué les nombreuses « incertitudes » entourant Omicron: « Il semblerait peut-être même qu’il entraîne une forme clinique un peu différente, avec moins d’atteintes respiratoires » et d’ajouter : « Il a, semble-t-il, une autre particularité : il touche plus les enfants. » Nous y voilà ! Les Sud-Africains n’en parlaient pas mais papy Jeff vient de l’inventer pour mieux justifier sa décision de la semaine prochaine.

Et pour bien assurer le (sale) coup, il s’est fait aider d’Alain Fischer, pédiatre et président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, lequel vient de déclarer: Nous avons des données tout à fait encourageantes” mais “nous attendons les résultats de la vaccination (des enfants) en cours aux Etats-Unis”, pour “avoir des données de sécurité très solides”…

En sus de ses présidences, il est aussi VRP et en a profité pour nous vendre une autre marque de thérapie génique, pour écouler la fin du stock : les Français « n’ont pas à avoir de craintes vis-à-vis de Moderna ». « C’est très bien aussi ». 

Et pour clore, il a annoncé : « il est possible que nous ayons besoin d’une quatrième dose »…

Avec Delfraissy, ce sera jusqu’à l’overdose !

Mitrophane Crapoussin

 

 




Les “vaccins” leur rapportent 1000 $ par seconde !

Macron et sa mafia ne vous contraignent pas aux “vaccins » contre le Covid, à triple voire quadruple dose, pour rien, ils travaillent activement pour Moderna, Biotech et Pfizer,  multinationale, multirécidiviste et condamnée au pénal ! 

Autrichiens non vaccinés confinés, députés lettons non vaccinés interdits de Parlement, Australiens non vaccinés maltraités, soignants français non vaccinés interdits de travail… les mesures et lois liberticides, toutes les coercitions et autres inacceptables dérives totalitaires poursuivent partout la même finalité, elles vont rapporter 34 milliards de dollars, soit 65 000 dollars par minute à ce trio de menteurs, de dissimulateurs, de falsificateurs et d’assassins.

 Ces chiffres ressortent d’une étude de la People’s Vaccine Alliance, organisation comptant parmi ses quatre-vingt membres Oxfam et Onusida, militant pour une meilleure répartition des vaccins à travers le monde. En fait, pour qu’il s’en vende beaucoup plus encore…

Seuls AstraZeneca et Johnson & Johnson commercialiseraient leurs vaccins à prix coûtant…

Évidemment, les labos savent se montrer très généreux avec leurs innombrables VRP à travers le monde. D’ailleurs, comme tous les gangsters, ils copinent beaucoup. C’est ainsi qu’Ursula von der Layen, le 10 novembre 2021, lors d’une cérémonie de l’Atlantic Council à Washington, a remis le prix du Meilleur dirigeant commercial au PDG de Pfizer. C’est vous dire l’impudence de ces truands.

« Cette année nous a rappelé que nous devons défendre la démocratie au quotidien » a déclaré la présidente de la Commission européenne  en félicitant, Albert Bourla, PDG de la mutinationale multicondamnée. L’Atlantic Council est un think tank américain dont le but est de promouvoir la coopération américano-européenne, le fameux axe atlantique…

En avril dernier, la très probe Ursula annonçait la signature d’un nouveau contrat d’achat, de 1,8 milliard de doses, de vaccins anti-Covid auprès de BioNTech-Pfizer, avec des livraisons prévues jusqu’en 2023… « D’autres contrats et d’autres technologies de vaccins suivront », a-t-elle précisé. Suppression du passe dit sanitaire fin juillet 2022?

D’après Le Monde diplomatique, la Commission européenne considère le lobbying comme partie intégrante du système démocratique : « 15 000 lobbystes y sont installés pour tenter d’influencer la politique européenne. Placées au plus près des institutions européennes, des entreprises comme Google, Facebook ou IBM tentent de peser sur les discussions européennes. » 15 000 organisations sont ainsi inscrites au registre officiel des lobbys faisant de Bruxelles la capitale européenne des intérêts privés…

Dans une étude publiée en 2015, l’ONG Transparency International appelait l’Europe à engager d’importantes réformes pour lutter contre ce lobbying qualifié d’« opaque »… A minima.

En avril 2021, le New York Times rapportait que, lors des pourparlers sur l’achat de vaccins, Ursula von der Leyen avait échangé des appels et des SMS avec le directeur général de Pfizer, des SMS ayant étrangement disparu… Quand le Médiateur européen a demandé à la présidente de la Commission d’expliquer cette perte, elle s’est contentée de déclarer qu’elle n’en avait aucune trace… Et pour cause!

De même, l’ensemble des contrats passés avec les laboratoire sont absolument illisibles car majoritairement raturés… Interdits aux payeurs!

Collusions, corruptions… l’abonnement vaccinal se profile, jusqu’à sa banalisation, sans parler des nouveaux vaccins qui vont arriver pour des virus aussi anodins que le Covid-19 et que l’Europe va déclarer extrêmement dangereux.

Pendant que le peuple docile oublie de réfléchir, cède et obtempère, les affaires continuent !

Daphné Rigobert

 




Pourquoi ne sommes-nous pas libres de choisir notre vaccin ?

Nous sommes plusieurs, voire plusieurs millions de personnes qui refusons la logique du passe sanitaire lié à une thérapie génique. Car on ne peut pas parler de vaccin avec Pfizer et Moderna.

La pression est forte dans les familles, les relations amicales, et désormais par les employeurs pour que vous « choisissiez la liberté » comme ils disent. La liberté sous un collier de fer. La liberté sous contrôle. La liberté du chien que l’on sort le midi et le soir pour qu’il fasse ses besoins essentiels.

Car, qu’est-ce d’autre, au fond, que cette liberté conditionnelle qu’une liberté de façade qui nous est serinée chaque jour, à travers le sourire de la vieille dame ravie de recevoir ses petits-enfants car elle serait protégée par cette thérapie génique? On sait que c’est faux maintenant.

Dans les familles il y a des tensions ! Entre les parents, entre les parents et les enfants, entre eux et les écoles, entre salariés, entre eux et les entreprises, entre les employeurs qui collaborent et ceux qui alarment et constatent que leur chiffre d’affaires périclite. Il y aurait de l’humour acide si nous sommes sauvés in fine, par le fric ?

Celui que ne perçoivent plus les entrepreneurs, comme les gérants des hypermarchés Leclerc, Super U, Auchan, Castorama et autre Leroy-Merlin qui voient fondre leurs bénéfices et leurs clientèles pour des tas de raisons et entre autres parce que ceux-ci ne comprennent rien avec les fameux 20 000 m2 interdits aux non vaccinés.

Des recours ont lieu dans les tribunaux administratifs, des interdits levés, car bien souvent, dans ces centres commerciaux de plus de 20 000 m2, il y a aussi des hypermarchés alimentaires. Ces tribunaux administratifs déclarent qu’il est légalement et constitutionnellement interdit d’interdire aux Français d’aller chercher de l’alimentation essentielle.

Des tensions fortes entre les parents d’élèves et les écoles puisque le ministre Blanquer ne cache pas son intention de vacciner les enfants en installant des vaccindromes sous les préaux, dans les cours, à côtés des écoles et menace « d’évincer » un élève s’il présentait des symptômes de Covid.

Une enseignante, lors d’une manifestation, affirmait que La loi “Kouchner” du 4 mars 2002, interdisait à un enseignant, un inspecteur, un infirmier, un acteur de vaccination obligatoire de fait, d’inoculer une substance sans le “consentement libre et éclairé du patient aux actes et traitements qui lui sont proposés, et son corollaire, le droit du patient d’être informé sur son état de santé“.

Cela va plus loin, puisque la loi Kouchner étend son champ d’application au-delà du seul consentement.  Elle formule, par exemple, le principe du droit d’accès du patient à son dossier médical. Elle contient également des dispositions qui intéressent directement l’actuelle campagne, puisque le texte facilite le droit de recours des patients et leur indemnisation dans le cas où les conséquences d’un acte médical seraient néfastes pour leur santé, même en l’absence de faute médicale avérée. (Source LCI).

Concernant le vaccin de Pfizer, voici des remontées qui semble être négligées par les autorités médicales et gouvernementales. Plus de 42,5 millions de doses avaient été administrées au 1er janvier 2021 (dont 700 000 à des jeunes de 16 à 18 ans) et 31 389 cas effets/évènements indésirables déclarés, principalement par les professionnels de santé. 

Parmi eux, 8 689 événements « graves » survenus à partir de l’âge de 30 ans (27,7 % du total des événements indésirables), dont 2 551 mises en jeu du pronostic vital, 460 invalidités ou incapacités et 761 décès. (Source)

Certes, les ratios démontrent que 8 689 « événements graves », par rapport aux 42,5 millions de vaccinés, ne seraient pas énormes. On notera que cette terminologie médiatique évaporante est du même tonneau que le terme « d’incident » quand une personne se fait égorger dans la rue. Cela n’émeut pas la Macronie ambiante.

Il n’en reste pas moins, que ces « 8 689 événements » sont à la charge des familles qui doivent assumer émotionnellement les décès, les invalidités, les hospitalisations en leur sein.

Source : CRPV de Bordeaux, CRPV de Marseille, CRPV de Toulouse, CRPV de Strasbourg, Enquête de pharmacovigilance du vaccin Pfizer – BioNTech Comirnaty

Alors l’expression d’être redevenu libre parce que l’on vous a mis un collier autour du cou me semble excessive. Qui dit collier dit également la laisse qui ne manquera pas de finaliser le processus. Nous allons avoir le droit de dépenser nos sous, aller dans les restaurants, les hôtels, les maisons d’hôtes, les cinémas, les festivals mais sous contrôle.

Est-ce bien encore de liberté que l’on parle ?

La question in fine est : qu’est-ce qu’il y a vraiment dans cette thérapie génique Pfizer ?

  • Pourquoi nous est-il refusé le Sputnik V de Russie, ou le vaccin CoronoVac de Sinovac de Chine ? Faut-il croire que la géopolitique est plus importante que la politique sanitaire française ?
  • Pourquoi ceux qui sont vaccinés par ces vaccins, non reconnus par l’UE (Union européenne), doivent-ils se faire revacciner chez Pfizer?  La contrepartie et en échange d’amabilités, nous avons des “expats” français (cadres travaillant à l’étranger) qui sont obligés, avant leur retour en Chine, de se refaire vacciner par un laboratoire reconnu par la Chine à Paris, et obligés, une fois en Chine, d’être en quarantaine et sous surveillance. La Chine n’est pas la France, où tout le monde peut entrer sans souci.
  • Pourquoi les autorités sanitaires françaises n’acceptent-elles pas la liberté de choisir son vaccin ?

Tout cela nourrit une lourde méfiance qui inonde et est partagée par les millions de manifestants qui ne sont pas anti-vaccins, loin de là, mais veulent choisir et sont surtout anti-passe sanitaire.

Gérard Brazon  




L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin

Tous les propagandistes des « vaccins anti-covid » sortent le label « Pasteur », comme si cela justifiait l’indéfendable et surtout coupait court à toute discussion sur son utilité et ses risques, sous peine d’être taxé d’antivax, de complotiste, de mauvais citoyen, de brebis galeuse et menacé d’être arrêté par la police et menotté en attendant un futur goulag.

L’utilisation de la renommée de Pasteur constitue ici une escroquerie, car ces injections anticovid ne sont pas des vaccins mais des substances géniques expérimentales, des médicaments préventifs et devraient en conséquence, obéir à leur législation propre.[1]

LE VACCIN TRADITIONNEL AUQUEL LES PROMOTEURS MÉDIATIQUES FONT RÉFÉRENCE, UN AUTRE MONDE

Selon le dictionnaire Larousse, un vaccin est une « substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Le principe vaccinal de Pasteur est de présenter les antigènes du virus à l’organisme hôte, dans le but de déclencher une réponse immunitaire qui génère des anticorps spécifiques. Lorsque le vaccin est efficace, le stock d’anticorps ainsi constitué et la mémoire immunitaire informée permettent le plus souvent d’éviter ou d’atténuer fortement la maladie naturelle ou ses conséquences délétères lors d’un contact ultérieur avec l’agent infectieux. Ceci correspond aux vaccins classiques anti-tétanos, antipolio, anti-diphtérie etc.

À l’exception de SinoPharm et de SinoVac qui sont des vrais vaccins inactivés, aucun des traitements expérimentaux anti-covid 19 ne contient d’antigène. Ils appartiennent à des nouvelles générations de médicament improprement appelés vaccins, pour des raisons de pur marketing, et rassurer le consommateur qui croit avoir affaire à quelque chose de connu.

LE « VACCIN GÉNIQUE EXPÉRIMENTAL », à ARNm, à ADN OU OGM

De nouvelles technologies développées en génie génétique (« genetic engineering ») sont fondées sur l’administration de molécules d’ADN ou d’ARNm artificiellement synthétisées avec pour objectif de contraindre un organisme hôte à produire lui-même les protéines codées par cette information génétique.

L’information génétique reçue transforme de facto l’organisme qui les reçoit en organisme génétiquement modifié.

L’insertion de génome viral dans le génome humain est un phénomène rare mais connu et observable, que ce soit pour les virus à ADN, comme à ARN. Au cours de l’évolution, de nombreuses séquences génomiques d’origine virale ont été intégrées au génome humain et transmises à la descendance, au point que près de 8 % de notre génome est constitué d’ADN viral.

AVEC L’INJECTION DE CES MÉDICAMENTS NOUS JOUONS À L’APPRENTI SORCIER

MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE INNOVANTE DE TYPE ATMP [2] [3]

Les technologies vaccinales préventives de nouvelle génération (jamais mises en œuvre chez l’homme auparavant) sont

– le « vaccin à ARNm » qui propose d’injecter une information génétique du virus (ARNm viral), pour la faire fabriquer par la cellule humaine (ex : stratégies de Pfizer-BioNTech et de Moderna) ;

– le « vaccin OGM » qui propose d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca) [4]

Les pseudo-vaccins anticovid actuellement appliqués en France (Moderna, Pfizer, Janssen, et AstraZeneca) appartiennent à cette catégorie sur le plan scientifique, mais aussi juridique.

Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP) – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (integra.fr) [5]

Les médicaments de type ATMP [6] ont les caractéristiques suivantes :

Les substances à ARNm

Comirnaty (Pfizer) contient une protéine appelée ARN messager (ARNm) comprenant des instructions pour la production d’une protéine du SARS-CoV-2 (rappel : le SARS- CoV-2 provoque la Covid-19).

 Comirnaty ne contient pas le virus lui-même et ne peut provoquer la Covid-19.

  • Les substances géniques contiennent une substance active qui contient ou constitue un acide nucléique recombinant et est administré à des personnes en vue de réguler, de réparer, de remplacer, d’ajouter ou de supprimer une séquence génétique
  • Leur effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique dépend directement de la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

La stratégie du « vaccin à ARNm » repose sur le principe de faire produire par l’hôte une protéine de virus, c’est-à-dire de modifier génétiquement l’homme afin de lui conférer l’information qui est considérée comme manquante pour lutter contre la Covid-19. 

Le « vaccin à ARNm » a la particularité d’être constitué d’un acide nucléique de synthèse.

Cette stratégie génique vise des individus sains. Ces stratégies anti-Covid-19 sont expérimentales, car elles ont fait l’objet d’un développement accéléré (en « fast-track »), sans évaluation chez l’animal.

Ces produits en essai ne sont pas juridiquement des vaccins, mais bien des médicaments OGM.

2 Les autres « vaccins OGM »

Ils proposent d’injecter un organisme génétiquement modifié (ex : adénovirus de chimpanzé recombinant ChAdox1 de AstraZeneca)

Le vaccin AZD1222 d’AstraZeneca est un vaccin à vecteur viral recombinant.

Cette technologie consiste à utiliser un virus non pathogène (ici un virus du singe modifié afin de l’empêcher de se répliquer).

Ensuite est intégrée dans son génome la séquence codant la protéine S (Spike) du SARS-CoV-2, et ce afin d’induire une réponse immunitaire humorale et cellulaire de l’organisme dirigée spécifiquement contre la protéine S, (et donc contre le SARS-CoV-2).

Ces substances géniques improprement appelées vaccins anticovid sont des médicaments OGM et dépendent de cette catégorie pour leur législation.

LE CODE DE LA SANTÉ PUBLIQUE (ARTICLE L.5111-1) DÉFINIT AINSI LE MÉDICAMENT :

« toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. »

L’article 13 de la convention d’Oviedo ratifiée par la France stipule, concernant les interventions sur le génome humain : une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance.

Or aucune étude sérieuse n’a été publiée démontrant que ces ARM messagers ne pouvaient en aucun cas s’incorporer au génome des receveurs.

Les exemptions législatives liées aux vaccins classiques telles que les onze vaccins obligatoires chez l’enfant ne peuvent en aucun cas servir de références juridiques ni médicales à une éventuelle obligation vaccinale anti-covid. 

Les pseudo-vaccins anticovid relèvent de la législation du MÉDICAMENT tant en UE qu’en France.

Nicole Delépine

[1] document RITA déc. 2020 par des scientifiques francophones : Note%20d’expertise%20RITA%20(002).pdf

[2] ATMP (pour Advanced Therapy Medicinal Products).

[3] Procédure d’autorisation de mise sur le marché ANSM

Les ATMP doivent être développés en respectant le cadre législatif global concernant le développement et la mise sur le marché des médicaments.

Les essais cliniques doivent être effectués conformément à la directive 2001/20/CE applicables aux essais cliniques de médicaments humains, et dans le respect des bonnes pratiques cliniques (GCP). La procédure à suivre est identique à celles des autres médicaments.

La procédure d’obtention d’une autorisation de mise sur le marché doit obligatoirement être centralisée. La classification et la certification sont des procédures optionnelles, également gérées par l’Agence européenne des médicaments (EMA).

 

[4] Une dose (0,5 ml) d’AstraZeneca contient :  antigène au moins 2,5 × 108 particules virales (U.I.) de l’Adénovirus de chimpanzé, codant la glycoprotéine Spike du SARS-CoV-2 (ChAdOx1-S) produit dans des cellules rénales embryonnaires humaines (Human Embryonic Kidney, HEK) 293 génétiquement modifiées, par la technologie de l’ADN recombinant.

 

[5] Médicaments de thérapie innovante et préparations cellulaires à finalité thérapeutique site ANSM

Le contexte réglementaire des médicaments de thérapie innovante

Règlement européen sur les médicaments de thérapie innovante

Les trois types de produits : les MTI, les MTI-PP et les préparations

Le produit est-il un MTI, un MTI-PP ou une préparation ? Comment le déterminer ?

Les médicaments de thérapie innovante (MTI, ATMP)

Les médicaments de thérapie innovante préparé ponctuellement (MTI-PP, Exemption hospitalière)

Les préparations cellulaires ou tissulaires

[6] Les médicaments de thérapie innovante ou Advanced Therapy Medicinal Products (ATMP) sont des médicaments à usage humain qui comprennent la thérapie génique, la thérapie cellulaire somatique, l’ingénierie tissulaire et les médicaments combinés de thérapie innovante.




Scandale AstraZeneca : les clowneries de l’Agence européenne du médicament

Une semaine après avoir déclaré, le jeudi 18 mars dernier, que le vaccin anglo-suédois AstraZeneca est un « vaccin sûr et efficace », l’Agence européenne du médicament (AEM) a annoncé ce jeudi 25 mars dans un communiqué que le comité de sécurité de l’Agence va « convoquer un groupe d’experts ad hoc le 29 mars pour apporter une contribution supplémentaire à l’évaluation [du vaccin AstraZeneca] ».

Une seule semaine aura donc suffi pour que l’AEM invalide les conclusions de son premier groupe d’ « experts », et affirme la nécessité de… continuer les études sur l’innocuité de l’AstraZeneca ! On croit rêver…

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Rappelons que lors d’une conférence de presse tenue jeudi 18 mars, la directrice exécutive de l’AEM, Emer Cooke, avait déclaré, à propos du vaccin AstraZeneca :

« Notre comité d’experts est parvenu (…) à une conclusion scientifique claire : il s’agit d’un vaccin sûr et efficace. Ses avantages en matière de protection des personnes contre le covid 19 (…) dépassent les risques. Nous sommes également parvenus à la conclusion que le vaccin n’est pas lié à l’augmentation de risque de thrombose (…) ».

Sur la foi des déclarations de la directrice de l’AEM, de nombreux pays européens qui avaient suspendu la vaccination par AstraZeneca l’ont reprise, dont la France.

À quoi sert donc notre Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), (voir ici et ici) qui a emboîté le pas sans broncher à l’AEM, alors que son rôle était d’évaluer les risques associés au vaccin anglo-suédois sur la base de sa propre expertise, et non sur celle de l’AEM ?

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Dans son communiqué du jeudi 25 mars, l’AEM précise que des experts externes, notamment en hématologie, en médecine cardiovasculaire et en neurologie, « se réuniront pour donner leur avis sur des aspects tels que tout mécanisme d’action plausible, les éventuels facteurs de risque sous-jacents et toute donnée supplémentaire nécessaire pour mieux comprendre les événements observés et le risque potentiel ».

« Les résultats de la réunion d’experts, ainsi que l’analyse plus approfondie des cas signalés, alimenteront l’évaluation en cours », a ajouté l’AEM.

L’agence a précisé que les conclusions de ce deuxième groupe d’experts seront rendues publiques lors d’une réunion plénière qui se déroulera entre le 6 et le 9 avril.

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Rappelons que dans un communiqué en date du 27 août 2020 portant sur la signature d’un accord avec la firme AstraZeneca, la Commission européenne précise que :

« Afin de compenser les risques élevés pris par les fabricants, les contrats d’achat anticipé prévoient que les États membres indemnisent le fabricant pour les responsabilités encourues dans certaines conditions. La responsabilité reste endossée par les sociétés. »

Une phrase pour le moins ambiguë qui annonce de belles joutes d’avocats lors des procès à venir concernant les responsabilités respectives d’AstraZeneca et des gouvernements de l’UE dans les cas délétères enregistrés depuis le début de la campagne de vaccination (dernier en date ici)

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« Données obsolètes »

À noter que lundi 22 mars, des résultats préliminaires des essais menés aux États-Unis ont été présentés par l’entreprise dans un bref communiqué : le vaccin serait efficace à 79 % pour prévenir les cas symptomatiques du Covid-19, et à 100 % pour empêcher les formes sévères de la maladie et les hospitalisations, affirme AstraZeneca dans ce communiqué.

Mais le lendemain, l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID) américain publie un communiqué s’inquiétant du fait que les résultats allégués par la firme anglo-suédoise aient pu inclure des « données obsolètes » qui pourraient « avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité [du vaccin] ».

À la suite de ce communiqué du NIAID, AstraZeneca a avoué avoir en effet « utilisé des données remontant à avant le 17 février », et s’est engagée à en fournir de plus récentes « sous 48 heures ». Le rêve continue…

« C’est regrettable que ce soit arrivé  », a déclaré sur la chaîne américaine ABC le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID. « Les données sont plutôt bonnes, mais quand [les dirigeants du laboratoire anglo-suédois] les ont mises dans le communiqué de presse, ce n’était pas complètement juste », a-t-il ironisé…

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Ce n’est pas le premier couac qui a rompu la confiance que le gouvernement américain accordait au départ à l’entreprise AstraZeneca

Ainsi, en septembre 2020, un participant à l’essai clinique britannique tombe malade. La firme suspend alors les tests dans le monde. Les autorités sanitaires américaines ne l’apprendront que quelques jours plus tard et… par la presse ! Les tests reprendront au bout de quelques jours au Royaume-Uni. Aux États-Unis en revanche, les tests sont interrompus pendant six semaines.

AstraZeneca annonce par la suite que son vaccin est efficace à 70 %. En réalité, l’efficacité n’est que de 62 % chez ceux ayant reçu les deux doses réglementaires, mais monte à 90 % chez un sous-groupe de volontaires ayant reçu une demi-dose en guise de première injection. Or, cette demi-dose était… une erreur du protocole expérimental ! L’entreprise annonce alors la nécessité de procéder à des études complémentaires

Les responsables américains découvrent quelques jours plus tard que le groupe ayant montré 90 % d’efficacité n’incluait aucune personne âgée de plus de de 55 ans

Ajoutons à ce tableau atterrant des retards récurrents de livraison de la part d’Astrazeneca

Il semble que la nouvelle administration américaine, refroidie par ces dysfonctionnements, ait décidé de se passer des services du laboratoire anglo-suédois et axera la campagne nationale de vaccination uniquement sur Pfizer/BioNTech, Moderna, et Johnson & Johnson.

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Quant aux Français, ils attendent la position de leur ministre de la Santé, Olivier Véran. Rappelons que le deuxième groupe d’experts de l’AEM ne rendra son rapport qu’entre le 6 et le 9 avril.

Véran va-t-il une nouvelle fois suspendre la vaccination avec AstraZeneca, avec le risque d’une désorganisation supplémentaire de la campagne de vaccination, déjà laborieuse à souhait, dans l’attente du nouveau verdict de l’AEM ? Ou bien va-t-il autoriser la poursuite de la vaccination avec AstraZeneca, avec le risque de nouveaux accidents dans lesquels sa responsabilité serait directement engagée ?

Choix cornélien, en vérité…

Henri Dubost