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Autriche : les démocraties doivent dénoncer cette dérive

 

 

LES CANDIDATS NE PEUVENT PAS ECHAPPER AU SUJET DE NOS LIBERTES,  DE LA SUPPRESSION DU PASS  ET DE L INJECTION GENIQUE MORTIFERE

COMBIEN DE NOUVELLES MALADIES DE LA VACHE FOLLE PENDANT LEUR SILENCE ?

Ils doivent maintenant affirmer leur volonté de libérer le peuple de ces mesures liberticides contre une pandémie organisée et une vaccination mondiale ayant déjà généré des milliers de décès et des millions d’effets secondaires dont des maladies de la vache folle.

 

LA DERIVE TOTALITAIRE EN AUTRICHE QUI EN TENTE BIEN D’AUTRES

Israël est le modèle déclaré du chancelier autrichien Sebastian Kurz en ce qui concerne la politique anti-Covid, mais l’Autriche veut faire mieux dans la dictature. Les restrictions des libertés, pourtant sans aucune efficacité sanitaire démontrée, sont de plus en plus sévères dans ce pays critiqué pour ne plus être démocratique.

Le pass sanitaire autrichien

En juin 2021, alors que la situation sanitaire était satisfaisante dans son pays le chancelier Kurz a imposé un passe-sanitaire pour forcer la population à accepter les injections anti-Covid expérimentales.

Le passe a instauré la ségrégation entre ceux qui se croient protégés par la vaccination ou des tests négatifs et les vaccino prudents.

Les enfants ont été lourdement discriminés : sans tests, aller à la piscine, jouer sur les terrains de sport et participer à la vie sociale leur a été interdit. À l’école, le masque et les tests leur ont été imposés.

Pourtant les enfants ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas. La littérature scientifique et toutes les sociétés de pédiatrie sont unanimes sur ces points.

Mais en Autriche, si les élèves refusent le test Covid, ils risquent d’être séparés de leurs parents. Le conseiller municipal de Vienne pour l’éducation Christoph Wiederkehr (NEOS) a annoncé, lors d’une conférence de presse conjointe avec le ministre de l’Éducation Heinz Faßmann, que si « les élèves ne se laissent pas tester à la demande de leurs parents », la protection de l’enfance interviendrait.

Pourtant le pass sanitaire augmente les contaminations journalières

La nocivité sanitaire du pass est rapidement apparue avec un nombre de nouveaux cas qui a fortement augmenté et pris une allure exponentielle, passant de moins de 100 cas par jour avant le passe à 10 400 le 14/11/2021.

Mais plutôt que de prendre acte de la nocivité du pass, le gouvernement autrichien l’a aggravé en réduisant validité des certificats de vaccination de 12 à 9 mois, puis en supprimant la possibilité de l’obtenir par des tests !

L’échec du pass réside dans le changement insidieux du comportement de ses titulaires qui se croient protégés et sont moins prudents, donc susceptibles davantage d’attraper un des nombreux virus hivernaux. Par exemple en France, le réseau Sentinelles montre en ce débit novembre la montée de métapneumovirus, de VRS et de virus grippaux, tous potentiellement capables de positiver les tests (comme la FDA l’a souligné).

Par ailleurs, il est maintenant démontré que les pseudo vaccins actuels ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. L’exemple caricatural du porte-avions Queen Elizabeth aurait pourtant dû alerter : sur ce porte-avions, la totalité de l’équipage a été vaccinée, mais après une escale plus de 100 marins ont attrapé le Covid. Tous vaccinés, mais pas protégés !

Le pass sanitaire accroît la mortalité quotidienne

Cette augmentation des contaminations, apparue depuis l’usage du pass, a été suivie d’une augmentation de la mortalité « attribuée » au Covid ainsi que le montrent les données publiées par l’OMS (consultables à OMS Covid Dashboard Austria), illustrées par la courbe tracée par les statisticiens de l’université John Hopkins (consultable à OurWorldinData Covid Austria).

D’une moyenne de 2 morts par jour avant le pass, l’Autriche est passée à une moyenne de 30 décès quotidiens dans la deuxième semaine de novembre.

Délire totalitaire ségrégationniste en marche sous prétexte sanitaire

Au lieu d’annuler ce pass antidémocratique et contre-productif sur le plan sanitaire, le gouvernement autrichien s’enfonce dans son délire liberticide, en instaurant un confinement des non-vaccinés, créant ainsi un apartheid de ses citoyens, médicalement stupide et profondément contraire aux idéaux démocratiques européens.

Dès aujourd’hui, les 2,5 millions d’Autrichiens non vaccinés sont assignés à domicile (sauf pour les travailleurs, qui ont encore droit aux tests gratuits, mais pas pour longtemps)).

Des contrôles fachos sont pratiqués par la police avec amendes astronomiques

Interdiction d’arranger des rencontres de non-vaccinés, même payantes (genre café résistant, ou clubs, ou raves, ou dîners), sous peine d’amendes allant jusqu’à 30 000 euros ; apparemment, les couples non mariés sont encore autorisés à se rendre visite (ce qui n’était pas le cas au 1er confinement, du fait d’un décret secondairement annulé par la cour constitutionnelle).

Ils annoncent déjà un durcissement pour dans 10 jours. (probablement interdiction de voir sa famille et sa parenté, masques en extérieur…).

Le plus cruel de tout est bien sûr de séparer les familles et les couples…

Et depuis la semaine dernière (à l’incitation du maire de Vienne, socialiste, Michael Ludwig), injection pour les 5-12 ans, même sans autorisation de l’EMA. L’Autriche renoue avec son passé totalitaire, ça fait froid dans le dos.

La démocratie suédoise est plus efficace que le totalitarisme

À l’autre bout de l’Europe, la Suède a conservé ses valeurs démocratiques tout au long de la crise et maîtrise parfaitement l’épidémie depuis plus de 4 mois.

Le pays n’a pas succombé à la tyrannie d’experts sur-instruits et sous-expérimentés. Il n’a pas mis en œuvre des politiques autoritaires conçues plus pour briser les esprits que pour briser la pandémie.

Il a permis aux enfants de poursuivre une scolarité normale, sans masque ni peur. Il a minimisé les dégâts économiques des mesures sanitaires appliquées ailleurs (perte de PIB 2020 2,5 % en suède contre 8 à% en Europe confinée. Il a permis une vie quasi normale à la population.

Et il n’a pas transformé ses électeurs en quasi-prisonniers. Anders Tegnell, le héros qui a su résister aux pressions de l’OMS, des médias[1][2][3][4] et de certains médecins suédois corrompus et refusé tout confinement, est tellement aimé du peuple que les gens se font tatouer son visage sur la peau.[5]

En Suède, lorsque l’agence sanitaire recommande une mesure volontaire, la population est confiante et l’applique.

La comparaison des courbes de cas et de décès quotidiens observés dans ces deux pays de populations à peu près égales par leur nombre, leur âge moyen et le pourcentage de vaccinés démontre que miser sur le respect des libertés fondamentales, l’honnêteté de l’information officielle et l’intelligence de ses citoyens est plus efficace que miser sur la propagande, la censure des opposants et la contrainte policière, ce qu’avait déjà constaté le ministre de la Santé de Taiwan au début de la crise.[6]

Espérons que les Français suivront bientôt l’exemple suédois et retrouveront la joie de vivre, sans masque ni contraintes infondées, au lieu d’écouter les sirènes du totalitarisme inefficace sur le plan sanitaire et mis en place dans d’autres objectifs.

Que tous les Français épris de démocratie interrogent les candidats aux élections sur leur stratégie anti-Covid, afin d’éliminer tous les partisans du totalitarisme qui se camouflent derrière des prétextes sanitaires ou climatiques, comme Xavier Bertrand et Valérie Pécresse qui veulent astreindre à domicile les vaccino-prudents, pour les contraindre à accepter une injection expérimentale.

Mais les Autrichiens n’ont pas dit leur dernier mot.

@AnonymeCitoyen 14 nov.

Des manifestants se rassemblent à Innsbruck en Autriche contre le confinement des personnes non vaccinées dès ce soir minuit dans le pays. #Autriche #Austria

 

 

Enfin, on regrettera que le pseudovaccin Covid soit devenu la dernière lessive à la mode : nous avions déjà souligné l’effroyable confusion entre consentement éclairé et publicité mensongère appuyée sur le don d’un coca cola, d’une visite d’un musée ou de deux places gratuites au concert de Céline Dion (malheureusement annulée en raison de ses complications post vaccin)… Mais l’Autriche vient de gagner le pompon avec la proposition de trente minutes de sexe gratuit contre l’acceptation de l’injection.

Faut-il que le vaccin soit mauvais, inefficace et dangereux pour en arriver si bas ?

“Ils ont osé. Le “Funpalast” entend jouer son rôle dans la lutte contre le Covid-19: cette maison close de Vienne, en Autriche, propose ainsi depuis le 1er novembre d’offrir quelques minutes de sexe aux personnes qui acceptent de se faire vacciner sur place.

Comme le précisent l’agence Reuters et le Daily Mail, il s’agit d’une opération commerciale pour faire revenir les clients qui ont déserté l’établissement coquin depuis la crise sanitaire: les vaccinés pourront donc bénéficier de 30 minutes gratuites dans un “sauna sexuel” avec “la dame de leur choix”.

Et on en rajoute : les ados aussi :

“Les adolescents dès 14 ans peuvent entrer dans ce “vaccinodrome” d’un nouveau genre, à condition d’être accompagnés d’un adulte.

Et le patron a de la suite dans les idées: selon le quotidien britannique, il souffle aux curieux quelques excuses pour rester discret, comme admirer le monument du peintre Gustav Klimt, situé juste à deux pas de l’établissement. ”

 

Nicole Delépine

Un vaccin… et 30 minutes gratuites: l’idée osée d’une maison close contre le Covid-19 (bfmtv.com)


  1. [1] CBS News a déclaré : « La Suède devient un exemple de la façon de ne pas gérer le Covid-19. »
    Sweden becomes an example of how not to handle COVID-19 – CBS News.[↩]
  2. [2] L’ Université de Virginie a publié un communiqué de presse intitulé : « L’absence de verrouillage a augmenté les décès dus au Covid-19 en Suède. »
    Lack of Lockdown Increased COVID-19 Deaths in Sweden (uvahealth.com).[↩]
  3. [3] Le New York Times mis en bonne page un article intitulé : « La Suède tente un nouveau statut : l’État de Paria »
    Sweden Tries Out a New Status: Pariah State – The New York Times (nytimes.com).[↩]
  4. [4] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
    Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).[↩]
  5. [5] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
    Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).[↩]
  6. [6] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire.
    The Coronavirus Outbreak: How Democratic The Coronavirus Outbreak: How Democratic Taiwan Outperformed Authoritarian China | by Lin PU 普麟 | Medium

 




Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs [1] [2]

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable de cette la médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020. Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record [3].

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale [4] britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration. [5]

Rappelons [6] qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

 

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine

[1] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès

Mondialisation.ca, 30 mai 2021 https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051

[2] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176

[3] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html

[4] https://coronavstats.co.uk/

[5] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays

[6] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html




L’épidémie régresse de façon spectaculaire, et le vaccin n’y est pour rien !

La nouvelle du jour : l’épidémie régresse de façon majeure, contrairement aux scénarios encore péjoratifs de nos médias.

Comment, certes, conditionner les Français à se faire vacciner à tout prix si le virus nous fait un énorme pied de nez en disparaissant juste avant qu’une tranche suffisante de la population soit vaccinée ?

Vaccination, ralentissement de la pandémie de Covid-19 : le point hebdo du Général Delawarde (breizh-info.com)

Ce jour tant attendu de régression importante et générale de l’épidémie semble pourtant bien arrivé et, à temps, avant qu’une partie importante de la population mondiale ne soit vaccinée, ce qui bien sûr aurait été mis rapidement sur l’effet de la vaccination. Mais il n’en est rien à ce jour. À ce jour moins de 1 % de la population mondiale a reçu une première injection vaccinale et moins de 0,25 % a reçu ses deux injections. Le vaccin ne peut, en aucun cas, être la cause de cette évolution récente et rapide sur l’ensemble de la planète.

Saluons l’étude du général Delawarde publiée sur Breizh-info

La grande étude publiée ce jour par le général Delawarde, extrêmement précise, démontre clairement cette chute majeure des contaminations, et, en rapport, des malades et des décès. Il est souhaitable de lire cet article en détail pour en être convaincu.

Voici les grandes lignes de ce passionnant papier à ne pas laisser passer.

« Depuis la deuxième semaine de janvier, la contamination est en baisse rapide et très importante au niveau de la planète. Cette baisse est observable sur tous les continents et sous-continents, et dans tous les hémisphères. Elle concerne la quasi-totalité des pays. Ainsi, des 746 000 tests « positifs » quotidiens (moyenne sur les 7 derniers jours) du 12 janvier dernier, la contamination mondiale est passée, en un mois, à près de 400 000 positifs par jour. (-46%)

 L’ampleur, la rapidité et la persistance de cette baisse sont très importantes et inédites à ce jour. Cela constitue un signe très encourageant d’un reflux de l’épidémie que chacun espère complet et peut être définitif. »

L’arrivée des vaccins ne peut, en aucun cas, être à l’origine de ce reflux

« puisque le 12 janvier dernier, moins d’un « terrien » sur 10 000 avait reçu une première injection vaccinale, et que le vaccin met du temps à « agir » (jusqu’à 28 jours), selon ses concepteurs. »

Les causes de ce reflux sont naturelles

L’« effondrement » de la contamination à partir du 12 janvier dernier est concomitante de deux autres baisses importantes observées avec un léger décalage dans le temps, parfaitement logiques. Le nombre des cas sérieux ou critiques qui a culminé à 115 000 au niveau planétaire en 3e semaine de janvier est retombé à 99 300 aujourd’hui. (-15 %)

Le nombre des décès hebdomadaires attribués à la Covid-19 qui a culminé à 101 000 le 26 janvier dernier est désormais tombé à 84 600 (-15 %).

Ces baisses sont importantes et surtout rapides et « naturelles ».

Les variants n’ont rien changé

« L’apparition des variants anglais, sud-africains et brésiliens n’a rien changé, depuis un mois, à la tendance fortement et rapidement baissière de la contamination sur la planète. La contamination est d’ailleurs aujourd’hui en forte baisse au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil, comme partout ailleurs sur la planète ».

Cet article est passionnant et remonte le moral. Car gageons qu’il sera difficile aux autorités de poursuivre leurs mesures liberticides si ce mouvement se poursuit. Ce qui est probable, car il semble bien que ce soit l’histoire naturelle des épidémies car que le SARS et le Mers ont déjà présenté cette séquence.

Nicole Delépine

 




Israël champ d’expérimentation pour le vaccin anti-covid

Où en est la situation israélienne au 23/1/2021 après un essai large du vaccin anti-covid Pfizer ?

Un essai clinique à grande échelle transforme le pays en réservoir de cobayes. Pour quel bénéfice ?

Désinformation mondiale et censure des médias

Les médias du monde entier glorifient Israël comme champion de la vaccination et félicitent unanimement ce pays pour avoir réussi en un mois à vacciner près de 40 % de sa population.

Mais le succès d’une vaccination ne doit pas se mesurer au pourcentage de vaccinés, mais seulement à ses résultats médicaux, à l’évolution de la maladie. La vaccination permet-elle de ralentir les contaminations ? Et surtout permet-elle de diminuer la mortalité liée à la maladie ? Deux critères essentiels auxquels l’essai de Pfizer n’a pas répondu à ce jour. D’après les chiffres de l’OMS, la campagne de vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations et du nombre quotidien de morts.

Évolution des contaminations en Israël depuis la vaccination

L’OMS montre que les contaminations ont explosé depuis le début de la campagne de vaccination :

Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 5674 cas le 20 janvier 21.[1]

Le Dr Sharon Elrai-Price, des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus. Elle a ajouté que 17 % des patients gravement malades actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4 500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin.

Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9 000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre » et depuis son interview le chiffre aurait atteint 10 000 !

Évolution de la mortalité covid-19 en Israël depuis la vaccination

Depuis la campagne de vaccination, selon les chiffres de l’OMS du 23 janvier 2021, la mortalité journalière a été multipliée par 3 à 5, passant de 16 le 20 décembre à 86 le 20 janvier 2021, et conduisant le gouvernement à prolonger le 3e confinement du pays pour une durée indéterminée.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer en Israël, pays à la couverture vaccinale la plus élevée, sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes sont restés stables durant cette période et à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie covid-19 entre les pays, premiers de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Depuis l’administration large du vaccin Pfizer, le nombre de contaminations et de morts quotidiennes a fortement augmenté en Israël et en Grande-Bretagne, alors que chez nos irréductibles Gaulois, l’épidémie est en lente décrue.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Expérience des vaccins à complications connues secondairement

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anticancer : vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie, vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux Philippines.

Les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et mettent en danger les victimes de la propagande forcenée actuelle, ceux qui se font vacciner en Israël comme ailleurs contre le covid-19.

Les anticorps facilitateurs sont-ils responsables de cette catastrophe ?

Après vaccination, les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateur (en anglais antibody-dependent enhancement).

Chez l’homme, un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de ce mécanisme. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post-vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccin contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

Dans un communiqué récent, l’Académie de médecine [14] a averti : « sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination.

Ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs/déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave. Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile, comme c’est le cas pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées. Je suis contre le vaccin lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal : “on se vaccine pour protéger les autres“, n’est pas non plus pertinent, puisqu’il est loin d’être démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques. Le principe de précaution justifie donc de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle. De toute façon rappelons que les plus âgés comme les plus jeunes bénéficient d’un traitement précoce d’une maladie symptomatique sur diagnostic clinique par le protocole Raoult ou l’ivermectine, zinc, vitamines, antibiotiques y compris les grands vieillards. Des centenaires renvoyés de l’hôpital dans leur famille et par chance traités par de vrais médecins en sont témoins aujourd’hui.

Il est tragique que pour cette maladie somme toute bénigne comme une grippe plus ou moins sévère, mais curable facilement si on traite précocement, les précautions habituelles d’essai thérapeutique contrôlé sur un temps suffisamment long n’aient pas été respectées par les laboratoires ni exigées par les agences du médicament comme la FDA aux USA ou l’EMA en Europe.

Ce qui aurait été compréhensible pour une véritable peste ne l’est en aucun cas pour cette virose, ce qui authentifie l’impression que le but de cette année blanche n’est pas sanitaire mais politique où la préoccupation prioritaire ne doit plus être la santé que les prétendues mesures sanitaires ne défendent pas mais la défense de nos libertés fondamentales qu’elles piétinent allègrement.

Dr Gérard Delépine




Et si le vaccin Pfizer augmentait la mortalité du Covid ?

i24NEWS 12 janvier 2021. Israël : 4.500 personnes infectées au covid 19 après avoir reçu la première dose de vaccin

Signal d’alerte fort venant d’Israël

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.

Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 9416 cas le 12 janvier21. Le Dr Sharon Elrai-Price, responsable des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.[1] Elle a ajouté que 17% des patients gravement malades qui sont actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin, dont 375 ont été hospitalisées en raison de la maladie. Parmi les personnes hospitalisées, 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine, et 7 plus de 15 jours après avoir reçu le vaccin.

Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre

 

Et la mortalité journalière est passée de 18 le 20 décembre à 50 le 17 janvier conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

Signal d’alerte fort en Grande-Bretagne depuis la vaccination

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé de 14898 le 4/12/2020 à 68063 le 9 janvier 2021.

Et malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1564 le 14/2021) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020).

Inquiétudes aux USA

Depuis cette date, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021)  et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

La Norvège, vient d’émettre le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[2] [3] chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Evolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anti-cancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[4] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus[5]), quelques candidats vaccins contre le Sida qui ont été abandonnés et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande pro vaccin actuelle met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux : « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront »

La cause de ces résultats paradoxaux : les anticorps facilitateurs ?

Après vaccination les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateurs (en anglais Antibody-dependent enhancement ADE).

Chez l’homme un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[8] (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[9] [10] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline[11] a été abandonné à cause de ce mécanisme [12] Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essai de vaccin contre le coronavirus du Mers les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

L’apparition de tels anticorps facilitateurs est favorisée par la persistance d’un taux d’immunité insuffisante. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants[13]

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination

 Je ne suis ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué.

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs /déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

En conclusion :

Il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner : ils constituent les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population réelle.

Gérard Delépine

[1] Israël/Covid-19 : 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin i24NEWS12 janvier 2021

[2] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

[3] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

[4] La vaccination anti hépatique B a été suivi en occident par une multiplication de 2 à 4 de l’incidence des cancers du foie ;

[5] les vaccins anti HPV ont été suivi d’une augmentation de 30 à 200% de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes d’âge les plus vaccinés.

[6] Peter Doshi : Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020  https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

[7] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403 .

[8] . Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

[9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

[10] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018)

[11] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[12] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[13] Académie de médecine Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?




La mort programmée des restaurants : stop confinement !

Les trois quarts des restaurants vont disparaître si la profession n’agit pas. Tel est l’un des buts réels des mesures prétendument sanitaires.

Le Covid19 menace-t-il encore vraiment les français ?

Depuis trois semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux sans aucun intérêt sanitaire réel. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positifs dont même l’OMS reconnaît les limites.

Or les « cas » asymptomatiques ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus. Et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications utilisé.

Une épidémie se mesure au nombre de malades qui souffrent de symptômes, qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement. Nous disposons en France d’un réseau de médecins de ville qui transmettent leurs constatations : le réseau Sentinelle.

C’est lui qui permet de suivre chaque année l’épidémie de grippe et sa virulence. Et aussi les bronchiolites des petits[1]. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Et ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières, mais qui dépend du ministre qui vérifie que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes, c’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles et dont chacun mesure chaque jour la nocivité. Tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les pauvres, les cafés-restaurants, le monde de la culture et du sport, les précaires, les petits commerçants, les jeunes adulte. Tous sont  les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches.

Réseau sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une infection virale aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés) En semaine 53 aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation (23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

Cette absence de malade de Covid19 confirmé dure depuis septembre.

Ces données permettent d’estimer que le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale serait inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants [2], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

Cette quasi-absence de malades Covid-19 vus en médecine générale et en pédiatrie dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement faux. Si l’épidémie était encore active les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades.

Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos, bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021 précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson que le gouvernement suit à la lettre.

 

Que peuvent faire les restaurateurs et les autres victimes de ces mesures aberrantes ?

Cesser d’avoir peur d’un virus qui crée actuellement moins de malades que les rhumes saisonniers.

Cesser d’être dupes de la propagande gouvernementale et des promesses d’indemnisation et de réouverture prochaine toujours promise dans 15 jours et toujours reportée à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier, alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant.

Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR ne sert à rien ni pour celui qui les subit [3] ni pour son entourage [4], mais uniquement à la propagande de la terreur et au maintien des fermetures. Stop tests !

Rappeler les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid-19.

Joindre ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous tout en leur rappelant que la prolongation des restrictions, en tuant l’économie, menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français.

Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis.

Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions.

Dr Gérard Delépine

[1] Pour lesquels, par manque de lits de réanimation infantile, on transfère souvent des bébés à des centaines de km de Paris quand les hôpitaux parisiens sont pleins.

[2] Pour la grippe saisonnière, on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000

[3] Puisque les cas positifs ne sont pas traités

[4] L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts