Je suis démasqué, je suis un agent du Parti Communiste Chinois

L’information ayant été rendue publique, je suis obligé de passer aux aveux : je suis bien un agent du Parti communiste chinois, les preuve exhibées sont accablantes. Mais je suis également un agent suisse, israélien, russe et américain, ce qui fait vraiment beaucoup pour quelqu’un qui se réclame patriote. Donc, maintenant que j’ai été démasqué, je balance tout le monde !

Q SCOOP – Cartographies des réseaux du PCC en France.

 




Suède, le pays qui se croit parfait

Sur Arte, est visible pendant quelques jours un documentaire de 56 minutes intitulé Là où les putains n’existent pas. Il a été réalisé par Ovidie de son vrai nom Éloïse Becht, une ancienne actrice du cinéma porno qui est passée avec succès derrière la caméra.

Là où les putains n’existent pas est l’histoire vrai d’Eva-Marree Smith Kullander, privée de ses enfants pour prostitution (quinze jours dans le métier), puis tuée par le père de ceux-ci de trente-deux coups de couteau.

Le drame a eu lieu le 11 juillet 2013 dans un foyer des services sociaux suédois.

https://www.arte.tv/fr/videos/071485-000-A/la-ou-les-putains-n-existent-pas/

Le film n’est pas vraiment pertinent sur le thème de la prostitution et le meurtre d’une jeune femme de 27 ans par un Ougandais de 31 ans, Joel Kirungi Kabagambé.

Drogué, violent, il frappait Eva-Marree qui a eu deux enfants avec lui. Elle l’a quitté et sans ressources s’est prostituée durant deux semaines. Elle s’en est vantée à des proches qui l’ont dénoncée et aussitôt les services sociaux lui ont enlevé ses deux enfants alors âgés de 1 et 2 ans.

Eva-Marree arrête de se prostituer, mais ne parvient pas à récupérer les enfants dont la garde a été confiée à leur père.

Elle dénonce les lois en vigueur et les abus de pouvoir des services sociaux qui font la chasse aux travailleuses du sexe privant les prostituées de leurs droits élémentaires en prétendant les protéger.

Après avoir emporté de haute lutte un droit de visite auprès de ses enfants, puis que leur père s’y soumette, elle est assassinée lors du premier rendez-vous dans un foyer des services sociaux. Joel Kabagambé la transperce avec un couteau à pain qu’il a pris dans la cuisine du foyer.

L’intérêt du film d’Eloïse Becht est ailleurs.

Si elle ne dit rien clairement sur le fait qu’une jeune Suédoise se retrouve dans les bras d’un Ougandais qui ne semble pas faire partie du sel de la terre, elle donne une explication en filigrane par les interviews de la mère d’Eva-Marree, de Zenitha, son avocat, d’une ethnologue militante du syndicat des travailleurs du sexe et d’une thérapeute du sexe, de ses amis.

Au fil des minutes, la Suède apparaît comme un Etat totalitaire soft, une démocrature, un pays qui se raconte des monceaux de conneries sur lui-même (démocratie parfaite, égalité édénique entre les citoyens) et en bourre le crâne de ses habitants dès leur plus jeune âge.

La Suède, où le protestantisme le plus pénible inflige à l’esprit de ses citoyens une vision puritaine et punitive de la vie sociale – et contrairement à une image des années 70, en particulier dans le domaine du sexe –, est très habile dans la culpabilisation de sa population tout en affirmant l’aider.

Dans cet Etat européen qui se revendique comme le plus moral de tous les Etats, dès que vous attirez l’attention sur un sujet qui sort des sentiers battus du politiquement correct, vous devez être puni ou soigné car toute déviance à la moutonnerie commune est considérée comme une maladie mentale.

Eva-Marree en refusant de se repentir, de se renier en tant que prostituée “temporaire”, de se soumettre au chantage des services sociaux, semble pour l’administration avoir eu ce qu’elle méritait.

Un des moments cruciaux du documentaire est l’interview d’une thérapeute du sexe. En Suède comme en France, ce sont les clients des prostituées qui sont criminalisés. Devant la thérapeute, un homme arrêté par la police parce qu’il achetait du porno sur Internet. La thérapeute le menace de le dénoncer à son patron et demande à voir sa femme. Il s’agit de l’obliger à se soumettre sans discuter. Selon la thérapeute, les hommes du monde entier ont un problème avec le sexe et devraient tous être soignés.

Dans Là où les putains n’existent pas, la Suède – modèle de nombreux politicards pour son accueil des migrants, pour son féminisme qui fait de presque toute relation intime un viol (quatre fois plus de plaintes pour viol qu’en France mais seulement 5% de condamnations – est-ce qu’avec la présence sexuelle très actives de migrants devenus incontrôlables, le pourcentage augmentera ?) ressemble à une dystopie : dénonciation, violence de l’Etat au nom du contrôle de la vie privée, sanctions sans justification (enfants enlevés à leurs parents parce que de l’eczéma été confondu avec des traces de coups, parents d’Eva Marree interdits de voir leurs petits-enfants), police plus attentive aux mœurs des Suédois de souche qu’à celui des Autres…

Au bout de cette petite heure d’excursion au pays d’Olof Palme, nous avons le sentiment que la Suède n’est pas exactement le pays où nous aimerions vivre, un pays que les auteurs de polars – Mankell, Larsson, Edwardson, Läckberg et compagnie – ont oublié de nous décrire.

Mais l’ambiance en France est-elle si éloignée que cela de celle de la Suède ?

Marcus Graven




Propagande : après “Intouchable”, on a droit à “Qu’est-ce que j’ai fait au bon dieu”

Lors d’articles précédents, j’avais signalé si ce n’est fortement souligné les émissions, téléfilms et autres films chargés de reformater l’esprit des Français en général, et de manipuler les sentiments profonds des Français, y compris à travers les non-dits, l’émotionnel et le mensonge s’il le faut.

J’avais alarmé avec d’autres, sur l’utilisation systématique de l’émotion et donc, sur l’évitement de la raison. Contesté les manipulations du substrat populaire et de la générosité des Français. Alerté sur la mémoire politique des Français bien trop souvent défaillante, grâce à des médias complices qui ne cherchent plus à informer, et encore moins à entretenir la mémoire des faits. Les faits ont peu d’importance face à la reconstruction d’une mémoire à base de clichés clés en main. Le mensonge devenant vérité à force d’être asséné en permanence. Grâce à ces télévisions privées dont on nous avait dit, dans les années 1980, ô combien elles allaient apporter à la culture, à la connaissance, à la formation, à la promotion de la critique et de la raison et à la liberté d’expression. Quelle immense déception bien sûr. Nous pouvons constater chaque jour aux heures de grande écoute, la baisse du  niveau culturel des émissions. Certaines exploitant parfois, les travers les plus tristes de l’âme humaine, comme la jalousie, l’envie, et la violence et n’ont d’autres buts en fait, que de préparer la pub suivante. Télé fric, télé choc d’abord… télé abêtissante le plus souvent.

Le cinéma n’échappe pas à la règle du décervelage ! Après le film l’« Intouchable » dont j’ai expliqué les raisons pour lesquelles,  je ne voulais pas le voir , nous touchons le fond de l’infamie avec le film « Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ». Oui, infamie pour le patriote que je suis, qui aime sa culture et son histoire et peut encore voir de nouveau une charge sur ce que nous sommes en tant que Français de souche.

Les Français  nous dit-on, vont voir ce film en masse ! Il est promis au même succès « qu’Intouchable » qui aurait lui-même détrôné la « Grande Vadrouille » de Bourvil et De Funès dans les scores de la filmographie française. Info ? Intox ? Je n’en sais rien, mais cela m’attriste profondément. Quel est donc d’ailleurs, le rapport dans les scénarios ?  Le rire et la moquerie de soi peut-être. Mais la cible est ailleurs.

Là encore, avec ce nouveau film et cette fois, sans précaution aucune, à la louche des cantines, si ce n’est à la pelleteuse des chantiers, on nous déverse tous les clichés masochistes, anti France, anti franchouillards,  pour ne pas dire anti vieille France. Celle de nos parents et grands-parents, forcément devenus tous des vieux cons attardés face à la richesse de cette nouvelle France promise pour demain.


Nos faiseurs d’opinions et autres manipulateurs cherchent à façonner une population française jugée trop conservatrice, comprenez anti multiculturelle, anti communautariste et donc par définition, anti européenne. Ils constatent que les élections d’hier et de demain prouvent malgré leurs diverses manipulations. Ils insistent encore et encore.

A tout hasard, veuillez noter que le Bon Dieu invoqué est celui des Chrétiens. Nous connaissons la bonté du Dieu issu du Coran qui propage son amour partout dans le monde, et ce depuis 1400 ans.

A noter également, que c’est à quelques semaines des élections européennes, et ce ne peut pas être un hasard, alors même que des milliers d’immigrants, la plupart africains et musulmans, franchissent les frontières de l’Espagne, celles de l’Italie et les nôtres de facto, grâce à Schengen, et partent à la recherche du mieux disant en terme d’allocations et de bien-être. De là, à imaginer que ces films sont des entreprises de désarmement culturel ?

Par ailleurs et pour mémoire, je suis certain que ce ne fut pas un hasard  si le film Intouchable est sorti quelques semaines avant les Présidentielles, un film réalisé en 2011 par Éric Toledano. Souvenez-vous de ce gentil scénario, la belle et émouvante histoire d’un aristocrate français, un blanc tétraplégique et très riche (l’argent ne fait pas le bonheur, c’est bien connu et surtout bien appris par les couches populaires.) et le noir de service, venu d’ailleurs, sans un sous mais tellement généreux, si serviable et si disponible. Une vraie richesse de la France comme les aiment nos biens pensants. Le parfait cliché, émotionnel à souhait. Fait pour pleurer dans les chaumières françaises mais surtout dans les HLM des Provinces qui ne sont pas encore infestées par la réalité du communautarisme, le multiculturel, les violences racistes des anti-blancs devenus pour le coup, intouchables judiciairement grâce à madame Dati et Taubira les ministres de la “justice” française.

Qu’Intouchable ne soit pas tout à fait conforme à la réalité n’était pas important. Postures et impostures. L’essentiel étant de remuer le fond du bon peuple, sa générosité  et finalement de l’orienter dans ses choix politiques allant dans le sens du politiquement correct.

Dans ce nouveau film de propagande émotionnelle, « Qu’est-ce que nous avons fait au bon Dieu » réunit tous les clichés antiracistes. « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » sauf pour les« beaufs » ce couple de chrétiens, blanc bien sûr, bourgeois et riches, et bien entendu adepte d’un conservatisme d’élite franchouillarde, forcément dépassé. Bref, des Français moyens comme tous les chômeurs et smicards le savent. Ils ont quatre filles. Il ne manque plus qu’une cinquième fille, homo cette fois et voulant se marier avec sa copine qui voudrait avoir beaucoup d’enfants. Ce sera le sujet d’un prochain film, probablement à la veille des prochaines Présidentielles de 2017. Il ne faudrait pas faire avaler au bon peuple tout d’un seul coup. Gare à l’indigestion d’autant plus que les téléfilms s’en chargent à tout de bras. L’avez-vous remarqué ? Plus un seul téléfilm où le couple homo et sa volonté d’enfants, n’est pas de service. Idem pour les émissions d’ailleurs. Revenons au film ! La morale bien pensante est là. Les vieux beaufs, catholiques, bourgeois, et franchouillards finissent par se ranger à la doxa bien-pensante. Vive la mixité ethnique, vive la multiculturalité religieuse, riez bien et dormez bien braves gens, tout va bien. Exit les conflits. Les gendres sont sans relief et tous animés d’une grande tolérance pour l’autre. Alléluia mon frère, sur le Coran te dis-je et dans la position du lotus s’il te plaît. Yahvé reconnaîtra les siens.

Ce qui m’effare, c’est ce flot de discours dithyrambiques sur ce type de films, cet encensement permanent par des journalistes, ces regards convaincus d’avoir vu la vérité, ces réflexions de sorties de cinéma par les spectateurs qui tous, soulignent le rire, l’émotion et jamais n’expriment le fond du film qui est tendancieux, orienté et politique.

Ce qui m’horrifie, c’est d’entendre chez le bien-pensant  Bourdin, un auditeur affirmer qu’il avait été bousculé dans ses convictions politiques, et qu’il ne savait plus pour qui aller voter aux prochaines élections car, a-t-il dit, ce film l’avait touché. Bigre ! Mais quelles étaient donc les convictions de cet auditeur pour qu’un simple film puisse les bousculer. Sûrement pas des convictions très solides, structurées, acquises, construites et culturellement comprises. Mais plus sûrement des convictions à la manière de ces Français consuméristes, « Iphonés », facebookés que nous pouvons voir partout désormais et qui, dans toutes les émissions de cette télévision de démolition de notre culture, ne savent même plus qui est Louis XIV, Napoléon 1er, sans parler de nos Rois de France et de nos Lumières.

Non, désolé, je ne crois pas que l’islam soit une religion qui accepte la tolérance religieuse, même si bien sûr,  il y a probablement des musulmans non pratiquants qui acceptent la différence religieuse parce qu’à titre personnel, ils s’en moquent au fond. Mais sont-ils encore musulmans ? L’Imam du coin leur dirait que non, voire pire.

Non, je ne crois pas que la famille juive pratiquante apprécierait globalement que leur fille se marie avec un chrétien, pas plus avec un musulman. On devient juif par la femme vous diront les pointilleux de la doxa juive.

Non, je ne crois pas que des chrétiens croyants apprécieraient que leur fille se marie avec un musulman pratiquant, dont le Coran appelle ouvertement à dominer les chrétiens et les juifs et à tuer le mécréant en particulier. Le gendre cherchera à convertir sa femme pour qu’elle lui fasse des petits musulmans. Mais il vrai que le chrétien de France est d’une naïveté à la limite de la bêtise. Il faut dire que sa hiérarchie dhimmisée en est responsable.

Je serai moins catégorique envers le Bouddhisme, tout simplement parce que je suis moins informé sur les us et coutumes du Bouddhisme. Tout en sachant que ce n’est pas une religion prosélyte.

A quand un film drôle, sensible, larmoyant sur les réalités du communautarisme, du multiculturalisme, sur le racisme anti-blanc, le racisme anti-chrétiens des musulmans, celui des familles qui tuent leurs filles trop indépendantes dans notre société libre, celui des sénégalais, des maliens, des algériens, des marocains, des tunisiens, des pakistanais, des afghans qui, s’ils ont le choix de brandir un drapeau, soulèvent en général, celui de leur pays d’origine quand ce n’est pas celui de l’islam.

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Qu’attendent donc nos gentils producteurs et réalisateurs, nos aimables et biens pensants acteurs, nos financiers du cinéma subventionnés par les contribuables, pour réaliser des films plus réalistes. Sans doute parce que les Français seraient en réalité dans la peau des victimes et non dans celle de l’exploiteur, l’ancien colonialiste, l’ancien négrier et j’en passe de ces clichés nauséabonds et donc, ce ne serait plus drôle du tout. Postures et impostures encore.

Je refuse de tomber dans ces manipulations dévastatrices. Je conteste cette vision imbécile qui consiste à démolir l’image du Français qui aime son histoire, sa culture et souhaite rester chez lui et continuer à découvrir l’étrange et l’étranger quand bon lui semble, lors de ses voyages ou de ses rencontres voulues et désirées et non pas dans l’obligation culpabilisante.

Je partage tout à fait cette idée qui consiste à dire que l’on peut aimer découvrir l’étranger chez lui, connaître sa culture dans son pays, partager ses repas dans son ambiance et apprécier l’étrangeté. Mais je persiste : chacun chez soi.

Je refuse que cet étranger, cette autre culture s’impose, revendique et me transforme en autre chose qu’un Français fier de mes ancêtres, de mon histoire, de ma culture et de mes racines grecques et judéo-chrétiennes.

Non je n’irais pas voir « Qu’est-ce que nous avons fait au Bon Dieu ». Et vous ?

Gérard Brazon (Le Blog-Puteaux-Libre)




Le tueur norvégien: un jihadiste anti-jihadiste (quatrième partie)

            (Les précédents articles à propos de Breivik sont ici : première partie, deuxième partie, troisième partie)
 
            Anders Breivik s’identifie avec les jihadistes jusqu’à prôner les mêmes moyens de préparation individuelle, les mêmes objectifs théologico-politiques (une sorte d’Europe chrétienne à structuration califale) et la même eschatologie sacrificielle.
ABB défend tout d’abord l’utilisation d’une sorte de dissimulation stratégique qui est identique à la takkiyya. C’est ce qui lui a permis de ne pas être identifié et neutralisé à temps. « Je n’ai jamais été aussi heureux qu’aujourd’hui et je ne trouve pas problématique de cacher à tout le monde mon véritable agenda idéologique. Pour tous ceux que je connais, je suis un modéré de droite et non pas un combattant de la résistance. » (p.855).
Pour les moyens matériels, il conseille « Si les activités criminelles sont la seule option possible pour toi, sache ceci : il est politiquement et stratégiquement justifié d’ « exproprier » des ressources si cela finance le combat armé. C’est le critère premier qui distingue les guérillas urbaines des criminels de droit commun. Les criminels volent pour leur seul profit, alors qu’une guérilla de résistance urbaine exproprie en vue de servir son peuple et le pays. » (p.849) Cet argument est exactement celui utilisé par les bandes de fanatiques musulmans pour extorquer des fonds aux pauvres gens qui n’avaient pas demandé qu’on s’intéresse tant à leur avenir (voir l’exemple tragique de l’Algérie).
Mais le calque des méthodes jihadistes va jusqu’aux techniques de manipulation mentale. Il écrit : « Etre un Chevalier Justicier n’est pas donné à tout le monde. (…) Tu dois dépasser des défis psychologiques difficiles au début, et faire un petit bilan mental chaque jour jusqu’à ce que l’opération soit terminée. (…) Se dédier au martyre n’est pas quelque chose que tu décides soudainement de faire, mais c’est un processus qui prend du temps et demande des efforts et de l’introspection. (…) Je fais un bilan mental tous les jours en méditant et en philosophant. (…) Cela consiste en une promenade quotidienne d’une quarantaine de minutes en philosophant idéologiquement/en m’endoctrinant moi-même et en simulant mentalement l’opération à venir, tout en écoutant de la musique qui m’inspire et qui me motive. (…) Cet exercice ou rituel quotidien me maintient motivé à fond, et recharge mes batteries. (…) Acquérir les capacités/rituels de nous motiver nous-mêmes et d’être capables de suivre ce rituel quotidiennement est peut-être l’aspect le plus essentiel de notre combat dans la phase 1. Une des raisons pour lesquelles les musulmans sont si efficaces dans le combat de guérilla est qu’ils se maintiennent motivés en priant cinq fois par jour et en récitant des sourates du Coran qui les motivent. » (p.855)
Cela montre toute la religiosité d’ABB : la seule chose qui compte pour lui dans la religion, c’est ce que celle-ci peut lui apporter comme soutien pragmatique pour son bien-être personnel. Il y a beaucoup plus de New Age dans son utilisation de la religion que de « christianisme fondamentaliste ». Un véritable chrétien ne pourrait pas écrire que « si la prière t’apporte une stimulation ou un apaisement mental, prier est la chose la plus pragmatique. » (p.1346) La prière chez Breivik, c’est du même acabit que la prise de stéroïdes, ou l’écoute de la « musique qui inspire » : une technique de mieux-être.
Comme les jihadistes qui demandent aux « mécréants » de se convertir à l’islam avant de perpétrer leurs attaques, de même ABB demande aux « marxistes culturels/multiculturalistes » de capituler et de se convertir au « conservatisme culturel » avant le 1er janvier 2020. (p.795)
Concernant le martyre, il copie encore les jihadistes, en faisant revivre pour son usage, la théorie des Indulgences, dans un sens oubliée depuis la première Croisade. Ainsi il croit que tout « Chevalier justicier » de son acabit, est en quelque sorte pardonné par avance de toute mauvaise action ou péché qu’il pourrait commettre avant son « opération martyre ». Il écrit : « La quantité de grâce et de bonne volonté divine générée lors de ton sacrifice total (dans l’opération martyre) sera si abondante que cela annulera et effacera tout péché mineur ou majeur que tu auras commis avant l’opération. » (p.856) Cela est symétrique à la croyance musulmane selon laquelle le guerrier qui meurt en défendant l’islam va directement au paradis, quand bien même il aurait été un pécheur invétéré auparavant. Sans entrer plus dans le détail de son bricolage, qui n’a que l’air mystique, il suffit de dire que sa compréhension de la théorie catholique des Indulgences lui est complètement personnelle.
L’imitation des fous d’Allah sur ce plan est consciente, car ABB écrit « Il est essentiel d’honorer les héros vivants de notre cause et de s’assurer que les martyrs tombés pour elle soient commémorés. (…) Le monde musulman est un bon exemple. Honorer et commémorer les jihadistes a été institutionnalisé depuis des siècles et implique même une compensation financière pour la famille de chaque martyr. (…) Nous devons faire la même chose. » (p.1079)
Toutes ces citations suffisent à montrer le caractère mimétique du délire d’ABB. Les articles de Jean-François Mayer précédemment invoqués explicitent assez clairement d’autres points pour ceux qui veulent plonger encore plus dans le détail de ses rêves.
J’aimerais à présent critiquer le fond du diagnostic d’ABB sur la situation européenne. Il attribue l’islamisation de l’Europe au multiculturalisme, qu’il assimile à un suicide de l’Europe. Ce diagnostic, que d’autres personnes, nullement délirantes, posent aussi, doit être critiqué parce qu’il entretient une confusion indue entre société et culture. Voici des précisions absolument nécessaires pour le développement du débat autour de l’impact de islam sur la société européenne.
            « Si la notion de société comporte une base objective et des réalités matérielles qui ont leur poids (le milieu physique, l’espace, le temps, le nombre d’hommes, l’état des techniques) et est donc soumise à des contraintes matérielles dont l’ampleur varie avec les ressources techniques, elle organise surtout des rapports de force entre les hommes (sexes, groupes, professions, spécialités, classes, nations). Les découpages sont grandement culturels, mais la force pratique des entités conçues tient à leur capacité à enclore et à fixer des forces dont la présence matérialise la société. Elle doit faire face à la violence, à la guerre, à la mort, elle est traversée de conflits structurants. Elle obéit à des durées différentes, dont certaines, très longues, passent inaperçues.
La culture est différente, elle est dépendante de la main et du gros cerveau, de l’outil et du langage, de la machine et de la création de mémoires artificielles et de mémoires collectives. Elle est donc sous la dépendance de la société : l’apprentissage par imitation et transmission est par définition social, certaines machines ne sont concevables et activables que si un groupe y consent, etc. Mais en même temps, elle déborde la société. En reposant sur le langage ou la pensée symbolique, en transposant ses techniques en valeurs symboliques et intellectuelles, elle décolle de la société et même du monde environnant et est liée à l’imagination et autant soumise au principe de plaisir que de réalité. (…)
Le propre de la culture, c’est d’ajouter, voire de substituer l’imaginaire et le symbolique au réel, et de les recueillir et de les mixer dans les réseaux de sens qui font les systèmes symboliques dotés d’une relative autonomie, alors que la société reste toujours soumise à des contraintes de survie, à la pression du milieu, aux données quantitatives, aux rapports de force, au possible du moment historique. (…) La société athénienne est morte pour tout le monde. Elle ne nous touche que par ce qui a vécu de sa culture et nous adresse d’incomplets messages. Déliée de son empire, de ses trirèmes et de son esclavage, la culture d’Athènes gagne en universalité. »
C’est au sociologue des religions Camille Tarot que j’ai emprunté tous ces éclaircissements. (1) Ailleurs, ce professeur précise : « Les sociétés ne peuvent pas s’exporter sans conflits lourds, les cultures si. Si vous voulez une comparaison en effet frappante, c’est la différence qu’il y a entre exporter la culture américaine par le Net qui est un succès mondial et exporter la démocratie en Irak, dont tout le monde attend encore les résultats après combien de morts ? (…) C’est l’absence de cette distinction qui obère tant la thèse de Huntington sur le choc des civilisations, puisqu’il traite les cultures comme si elles étaient des sociétés, aussi défensives qu’elles ! Il faut, au contraire, (…) penser la contradiction qu’il y a entre culture et société et que l’on peut résumer ainsi dans une première approximation : une société est par nature centripète, même ou surtout quand elle s’étend, une culture est par nature centrifuge et d’autant plus qu’elle se détache de sa société d’origine. Dans la religion, le sacré, bien qu’extensif à cause des énergies qu’il contient, est centripète, le rite assure ce retour au central.
Le symbolique est bien plus centrifuge par la dynamique même du sens, (…). Dans combien de religions, Dieu est vide ou une place absente sans que les représentations s’effondrent ? C’est parce qu’elle est centrée qu’aucune société n’est et ne peut être universelle, même ou surtout pas un empire mondial. Et malgré leur ethnocentrisme qui est l’effet entre autre de leur inscription sociale, il y a de l’universel dans toutes les cultures, même dans celle de la plus oubliée des petites tribus. En tout cas, le contact des sociétés et des cultures dans des systèmes impériaux romains ou anglais ou dans la mondialisation actuelle aboutit nécessairement à un certain choc des sociétés en même temps qu’il crée un immense appel d’air pour des fusions et des délocalisations culturelles, bien plus rapides et plus intenses que celles de nos industries dont la base sociale est plus lourde. » (2)
Avec l’islam, nous n’avons pas à faire à un choc des civilisations, ni à un choc des cultures. Ce n’est pas le multiculturalisme qui pose problème, c’est le « multi-sociétalisme », autrement dit le communautarisme. L’islam, de par sa spécificité de religion prosélyte de la Loi, œuvre en vue de refonder une société distincte à l’endroit où ses fidèles se trouvent, dans la mesure où « le rite assure le retour au central ». La religion/culture musulmane se distingue de la religion/culture des chinois par exemple, dans la mesure où cette dernière ne fera pas apparaître une société parallèle, là où des chinois migrent. C’est parce que « la société reste toujours soumise à des contraintes de survie, à la pression du milieu, aux données quantitatives, aux rapports de force » que certains Européens peuvent avoir l’impression que leur société est mise en danger par le développement sur le sol européen de la religion musulmane, institutrice d’une société musulmane. C’est cet aspect fondateur d’une socialité à part que les pouvoirs publics doivent traiter dans leur rapport à l’islam.
Le multiculturalisme est un fait observable et indéniable : les contenus culturels n’ont jamais circulé aussi vite qu’aujourd’hui d’une extrémité du globe à l’autre. Mais le multi-sociétalisme est une illusion. On peut aimer la culture des autres, mais on ne peut pas vivre dans deux sociétés à la fois. Et l’on est parfaitement en droit de vouloir sauvegarder sa société, dans le respect des cultures des autres. Que les politiques ne veuillent pas prendre en compte la modification des rapports de force, due aussi à la pression migratoire sur l’Europe, est un aveuglement qu’ils commencent à payer ! Qu’ils accusent de racisme ou d’intolérance à la culture de l’autre, ceux qui veulent sauvegarder leur société, est criminel.
 
Radu Stoenescu
 
(1)   Le symbolique et le sacré, Ed. MAUSS/La découverte, Paris, 2008, p.688-689
(2)   Religion, faut-il avoir peur de qui et de quoi ?, Quelques remarques sur les critiques de François Gauthier sur Le symbolique et le sacré, Revue du MAUSS permanente, 7 novembre 2008
 
 




Arnaud Montebourg, caricature de la gauche Inch'Allah

Dans les années 80-90, nous avons connu la gauche caviar. Dans les années 90-2000, ce fut le tour de la gauche Marrakech. Il semblerait que depuis une décennie nous assistions à l’émergence de la gauche Inch’Allah.

Quand il se déplace dans des contrées qui lui sont étrangères, l’Homme de gauche se fait un devoir d’épouser les us et coutumes des autochtones. Le mardi 22 mars, Arnaud Montebourg était venu apporter son soutien à Renaud Gauquelin, maire et candidat au poste de conseiller général à Rillieux-la-Pape, canton situé en banlieue nord-est de Lyon.
Et, c’est en distribuant des tracts anti-FN, que le sémillant Montebourg a éprouvé le besoin de montrer qu’il n’était pas insensible à la culture dominante des lieux, en lançant un vigoureux «Inch’Allah» (1). Un peu comme avait su le faire avant lui l’apprenti révoutionnaire Olivier Besancenot lors de sa venue dans un quartier de Toulouse en 2008 (2).
Outre le fait qu’il est curieux de voir un socialiste solliciter les faveurs du tout puissant pour une campagne électorale, comment comprendre que son choix ne se soit pas porté sur l’une des nombreuses expressions françaises comme : « Que Dieu vous entende. Qu’à Dieu ne plaise. Seul Dieu le sait…ainsi soit-il ! »

Démagogie + essentialisme = Citoyenneté musulmane

Pourquoi donc «Inch’Allah»? Pour faire plus couleur locale ? Pour leur rappeler, à eux, les enfants de l’autre rive, que lui aussi vient de là-bas et qu’il fait parti de la famille ?
Comme le clin d’oeil complice que l’on adresse à l’ouvrier plein d’espoir, comme la main que l’on pose sur l’épaule du paysan fatigué, comme la caresse sur la tête de l’enfant qui vient vous offrir un dessin, comme la petite claque dans le dos que l’on prodigue au militant découragé… le «Inch’Allah» de Montebourg est un sourire de démagogue… un attrape nigaud… un geste de mépris. On est en droit d’attendre de la part d’un homme politique qui se dit volontiers républicain, qu’il s’exprime avec un peu plus de distance, et qu’il fasse la promotion de la langue nationale. Quelle sera la prochaine étape pour Montebourg ? Saluer les gens des quartiers avec un tonitruant «Salam Alikoum» en portant sa main droite au niveau du coeur ?

Cependant, ne voir dans cette anecdote qu’un exemple supplémentaire de la démagogie de gauche serait réducteur. Il convient ici de souligner que l’on assiste à une montée d’anti-républicanisme à gauche au profit d’un multiculturalisme débonnaire mais désastreux pour l’unité de notre pays. Le «Inch’Allah» de Montebourg est le signe que la gauche s’est soumise à une approche culturaliste et essentialiste des minorités. C’est ce renversement idéologique qui est à l’origine de l’effacement des valeurs et des principes de la République assimilationniste. Après ses multiples échecs aux élections présidentielles, on aurait pu s’attendre à ce que le Ps se retourne vers le passée et rectifie le tir.
Or il n’en est rien. C’est même pire ! Si l’on en croit une note de synthèse produite par un groupe de réflexion proche du PS Terra Nova (3), il faudrait renforcer l’évolution de notre société vers le multiculturalisme, et inscrire un jour des religions au nombre des fêtes célébrées par notre calendrier républicain. Dans un chapitre dont le titre claque comme un reniement total de l’histoire de ce pays «Débat sur l’islam : pour une citoyenneté musulmane» (4) Terra Nova annonce la couleur : «la communauté nationale, hier blanche et d’origine judéo-chrétienne, s’enrichit aujourd’hui des apports des Français issus de l’immigration d’après-guerre, aux couleurs de la diversité et d’origine musulmane pour l’essentiel. A l’épicentre de cette mutation, il y a la question de l’islam, religion quasi-inexistante en France il y un siècle et référence aujourd’hui pour plus de 10% des Français. […]
C’est aux Français « de souche » de porter cette mutation, mais aussi aux Français musulmans […]
»
Voilà donc un exemple supplémentaire de l’abandon définitif par la gauche du modèle républicain assimilationniste et émancipateur. Si certains s’interrogent encore pour savoir si le FN est un parti républicain ou pas, on peut d’ores et déjà affirmer que la gauche l’est de moins en moins.
A l’avenir, la gauche Inch’Allah laissera-t-elle la place à la gauche Allah Akbar ?… Nous ne sommes pas dans le secret des dieux, mais au train où vont les choses cela ne m’étonnerait qu’à moitié !
Jérôme Cortier
(1)

Montebourg à Rillieux : contre le vote FN "Inch’Allah"


(2)

(3)http://www.tnova.fr/note/musulmans-de-france-pour-une-citoyennet-inclusive
Notons que ce Think tank de gauche réagit à l’actualité sur le site du journal Le Monde, (http://www.lemonde.fr/idees/terra_nova/). Le Monde qui est devenu le journal de la gauche bien pensante ( un de plus !) avec à sa tête le banquier de gauche Matthieu Pigasse, le mécène historique de la gauche Pierre Berger , et Xavier Niel soutien de ségolène Royale aux dernières élections présidentielles… qui a dit que la presse était pro Sarkosy ?.
(4) Terra Nova a mis quelques jours avant de changer de titre. Voilà une partie du blabla pour se justifier:” il semble que le titre que nous avions choisi, « pour une citoyenneté musulmane » , puisse donner lieu à une interprétation erronée du propos, de nature communautariste. Par « citoyenneté musulmane » nous ne parlons pas d’une citoyenneté spécifique, à part, encore moins en contradiction avec la citoyenneté tout court. Nous voulons souligner que les Français d’origine musulmane ne sont pas encore pleinement citoyens : ils sont très peu reconnus dans la classe politique, et participent de ce fait peu au débat citoyen.




Arnaud Montebourg, caricature de la gauche Inch’Allah

Dans les années 80-90, nous avons connu la gauche caviar. Dans les années 90-2000, ce fut le tour de la gauche Marrakech. Il semblerait que depuis une décennie nous assistions à l’émergence de la gauche Inch’Allah.

Quand il se déplace dans des contrées qui lui sont étrangères, l’Homme de gauche se fait un devoir d’épouser les us et coutumes des autochtones. Le mardi 22 mars, Arnaud Montebourg était venu apporter son soutien à Renaud Gauquelin, maire et candidat au poste de conseiller général à Rillieux-la-Pape, canton situé en banlieue nord-est de Lyon.
Et, c’est en distribuant des tracts anti-FN, que le sémillant Montebourg a éprouvé le besoin de montrer qu’il n’était pas insensible à la culture dominante des lieux, en lançant un vigoureux «Inch’Allah» (1). Un peu comme avait su le faire avant lui l’apprenti révoutionnaire Olivier Besancenot lors de sa venue dans un quartier de Toulouse en 2008 (2).

Outre le fait qu’il est curieux de voir un socialiste solliciter les faveurs du tout puissant pour une campagne électorale, comment comprendre que son choix ne se soit pas porté sur l’une des nombreuses expressions françaises comme : « Que Dieu vous entende. Qu’à Dieu ne plaise. Seul Dieu le sait…ainsi soit-il ! »

Démagogie + essentialisme = Citoyenneté musulmane

Pourquoi donc «Inch’Allah»? Pour faire plus couleur locale ? Pour leur rappeler, à eux, les enfants de l’autre rive, que lui aussi vient de là-bas et qu’il fait parti de la famille ?
Comme le clin d’oeil complice que l’on adresse à l’ouvrier plein d’espoir, comme la main que l’on pose sur l’épaule du paysan fatigué, comme la caresse sur la tête de l’enfant qui vient vous offrir un dessin, comme la petite claque dans le dos que l’on prodigue au militant découragé… le «Inch’Allah» de Montebourg est un sourire de démagogue… un attrape nigaud… un geste de mépris. On est en droit d’attendre de la part d’un homme politique qui se dit volontiers républicain, qu’il s’exprime avec un peu plus de distance, et qu’il fasse la promotion de la langue nationale. Quelle sera la prochaine étape pour Montebourg ? Saluer les gens des quartiers avec un tonitruant «Salam Alikoum» en portant sa main droite au niveau du coeur ?

Cependant, ne voir dans cette anecdote qu’un exemple supplémentaire de la démagogie de gauche serait réducteur. Il convient ici de souligner que l’on assiste à une montée d’anti-républicanisme à gauche au profit d’un multiculturalisme débonnaire mais désastreux pour l’unité de notre pays. Le «Inch’Allah» de Montebourg est le signe que la gauche s’est soumise à une approche culturaliste et essentialiste des minorités. C’est ce renversement idéologique qui est à l’origine de l’effacement des valeurs et des principes de la République assimilationniste. Après ses multiples échecs aux élections présidentielles, on aurait pu s’attendre à ce que le Ps se retourne vers le passée et rectifie le tir.
Or il n’en est rien. C’est même pire ! Si l’on en croit une note de synthèse produite par un groupe de réflexion proche du PS Terra Nova (3), il faudrait renforcer l’évolution de notre société vers le multiculturalisme, et inscrire un jour des religions au nombre des fêtes célébrées par notre calendrier républicain. Dans un chapitre dont le titre claque comme un reniement total de l’histoire de ce pays «Débat sur l’islam : pour une citoyenneté musulmane» (4) Terra Nova annonce la couleur : «la communauté nationale, hier blanche et d’origine judéo-chrétienne, s’enrichit aujourd’hui des apports des Français issus de l’immigration d’après-guerre, aux couleurs de la diversité et d’origine musulmane pour l’essentiel. A l’épicentre de cette mutation, il y a la question de l’islam, religion quasi-inexistante en France il y un siècle et référence aujourd’hui pour plus de 10% des Français. […]
C’est aux Français « de souche » de porter cette mutation, mais aussi aux Français musulmans […]
»

Voilà donc un exemple supplémentaire de l’abandon définitif par la gauche du modèle républicain assimilationniste et émancipateur. Si certains s’interrogent encore pour savoir si le FN est un parti républicain ou pas, on peut d’ores et déjà affirmer que la gauche l’est de moins en moins.
A l’avenir, la gauche Inch’Allah laissera-t-elle la place à la gauche Allah Akbar ?… Nous ne sommes pas dans le secret des dieux, mais au train où vont les choses cela ne m’étonnerait qu’à moitié !

Jérôme Cortier

(1)

Montebourg à Rillieux : contre le vote FN "Inch’Allah"

(2)

(3)http://www.tnova.fr/note/musulmans-de-france-pour-une-citoyennet-inclusive
Notons que ce Think tank de gauche réagit à l’actualité sur le site du journal Le Monde, (http://www.lemonde.fr/idees/terra_nova/). Le Monde qui est devenu le journal de la gauche bien pensante ( un de plus !) avec à sa tête le banquier de gauche Matthieu Pigasse, le mécène historique de la gauche Pierre Berger , et Xavier Niel soutien de ségolène Royale aux dernières élections présidentielles… qui a dit que la presse était pro Sarkosy ?.

(4) Terra Nova a mis quelques jours avant de changer de titre. Voilà une partie du blabla pour se justifier:” il semble que le titre que nous avions choisi, « pour une citoyenneté musulmane » , puisse donner lieu à une interprétation erronée du propos, de nature communautariste. Par « citoyenneté musulmane » nous ne parlons pas d’une citoyenneté spécifique, à part, encore moins en contradiction avec la citoyenneté tout court. Nous voulons souligner que les Français d’origine musulmane ne sont pas encore pleinement citoyens : ils sont très peu reconnus dans la classe politique, et participent de ce fait peu au débat citoyen.




Pierre Cassen : Islamisation, multiculturalisme, immigration… le suicide de la gauche (vidéo 35 minutes)

Les catholiques en rêvaient, les musulmans l’ont fait. Sous la pression des prières de rue, l’UMP se dit aujourd’hui prêt à remettre en cause les principes fondamentaux de la laïcité française. Une réforme qui, si elle devait voir le jour, serait une victoire pour les musulmans, mais aussi pour les catholiques les plus intégristes.
Ces derniers pourront alors remercier la gauche. Cette gauche qui leur fut si farouchement opposée, mais qui se montra largement complice et avenante envers toutes les revendications musulmanes et juives.
Car ne nous y trompons pas. Si Nicolas Sarkozy peut avancer ses pions c’est parce que la gauche, dans les communes, les départements, les conseils régionaux où elle a le pouvoir, a fait le sale boulot. Égrener ici les exemples de son renoncement et de sa veulerie ne servirait à rien. Nous les connaissons tous. Et hier encore, Jean-Luc Mélenchon nous démontrait qu’il était incapable de se sortir de la fange du multiculturalisme. Incapable de s’émanciper des divagations modernes, de la frénésie du divers, de l’idolâtrie de l’Autre, de la pensée canonique du relativisme. Incapable de penser autrement que ses petits camarades du PS qu’il soutient vaille que vaille. Incapable de s’opposer aux écolobobos, antirépublicains, communautaristes, et fervents partisans de la laïcité ouverte ou positive chère à Sarko.
Au mieux frileux opposants au pire alliés objectifs, la gauche et ses média auront soutenu pendant plus de trente ans une immigration de masse aujourd’hui démographiquement dévastatrice. Confrontés à une tribalisation et une féodalisation de la société, ils constatent, impuissants, les effets produits par l’abandon irresponsable du modèle assimilationniste. Un modèle qu’ils ont combattu avec une ardeur que l’on ne rencontre que chez des soldats en guerre.
Silencieux et complices de l’islam, ils ont ignoré et même lutté contre les assises internationales de l’islamisation. Muets sur les prières de rue, opposants à une loi contre les signes religieux, collabos avec les revendications communautaires, complices de l’Europe des marchands, ils ont trahi les hommes et les femmes qui votaient pour eux. Ils ont trahi leur principe, leur culture, leur tradition, leur espérance. Ils ont trahi un peuple qui aujourd’hui ne reconnait plus le pays pour lequel se sont sacrifiés des ancêtres autrement plus audacieux et généreux que ces rebelles abâtardis.
 On pourrait croire la situation désespérée, or des hommes et des femmes veulent en finir avec la duperie, le chantage, le terrorisme intellectuel, et la pénalisation des esprits. Ils sont de plus en plus nombreux. Parmi ceux là, il y a Riposte Laïque. Que font-ils ? Ils se battent. On peut critiquer Riposte Laïque. On peut soupçonner Riposte Laïque. On peut insulter Riposte Laïque. On peut trainer en justice Riposte Laïque. On peut même se boucher le nez en entendant parler de Riposte Laïque… tout cela ne servira pas à grande chose. Il est trop tard. Pourquoi ? Parce que Riposte Laïque a cassé les digues de la bienpensance… et le torrent n’a pas finit de couler. Pour le pire ou le meilleur… chacun jugera en temps et en heure.
UNE VIDEO A VOIR
Pendant 35 minutes, grâce à des montages remarquables, un ami de Riposte Laïque pose des questions à Pierre Cassen, sur l’actualité récente. Celui-ci n’esquive aucune question, notamment sur les révolutions arabes. La manière dont le réalisateur ridiculise les contre-manifestants des Assises de Charenton, notamment Caroline Fourest,  est savoureuse. Cette interview date du 17 février, avant notamment les événements de Lybie.
Pierre Cassen : des assises à Mélenchon en passant par l’Egypte
Dans la première partie Pierre Cassen, rédacteur de Riposte Laïque, revient sur les assises internationales contre l’islamisation, sur la venue de l’ex-mufti de Jérusalem à Lille, sur le procès d’Elisabeth Sabaditsch-Wolff, sur la remise en cause du multiculturalisme par Cameron, Merkel et Sarkozy, sur l’immigration, sur la laïcité selon Mélenchon.
Dans la seconde partie Pierre Cassen, revient sur les révolutions dans les pays arabes, sur la crise financière en Europe, les médias…
Une liberté de ton qui résume l’esprit de Riposte Laïque, et son analyse impitoyable sur la gauche actuelle, incapable de remettre en cause son discours formaté sur l’islam, l’insécurité et l’immigration.

Paul Le Poulpe




Calendrier 2011 : L'UE édite un calendrier mentionnant toutes les fêtes religieuses… sauf les chrétiennes !

Calendrier européen 2011
L’Union Européenne vient de sortir un calendrier 2011 mentionnant la date de toutes les fêtes religieuses musulmanes, juives, sikh, hindouistes, etc…….à l’exception absolue des fêtes chrétiennes, Noël n’étant même pas mentionné.
Devant les protestations et se rendant compte qu’ils avaient poussé les choses un peu loin, ils se proposent de retirer ce calendrier et d’en éditer un autre…ne mentionnant plus aucune fête religieuse. Surtout, ne pas avoir à mentionner les fêtes chrétiennes, alors que la grande majorité de la population européenne est tout de même chrétienne ou d’origine chrétienne !
C’est exactement la technique stalinienne d’effacement de l’histoire : il faisait supprimer sur les documents anciens ou actuels toute mention d’un personnage ou d’une idée tombée en disgrâce
C’est la technique de la « novlangue » décrite par Orwell dans « 1984 » : si vous voulez supprimer une idée, supprimez d’abord le vocabulaire exprimant cette idée, et la plus petite mention de cette idée, comme le nom ou même le souvenir d’une fête, ou même la trace d’un souvenir.
C’est ce qui se passe au Canada et en Angleterre avec les fameux « accomodements raisonnables », où on ne doit plus parler de « Joyeux Noël » mais de « Joyeuses fêtes » ou encore de « Joyeux décembre ( !) » . Bien sûr les musulmans continuent à se souhaiter un « Bon Ramadan » ou un « Joyeux Aïd », et il en est de même pour les autres religions. Cette technique du « Joyeuses fêtes » est d’ailleurs appliquée en France par nos élus pour Noël, mais pas pour le Ramadan où on les entend souhaiter un bon Ramadan aux musulmans.
Mais qu’ont-ils tous en tête ? Faire de nous des ectoplasmes décervelés n’ayant plus aucune histoire, aucun passé, des zombis sans mémoire, et pourquoi ? Quelle est cette rage destructrice concernant nos origines chrétiennes (partie de notre héritage pour la plupart d’entre nous, croyants ou non), et uniquement elles, alors qu’une place et un respect démesurés sont attribués au moindre signe de religiosité dès qu’elle n’est pas chrétienne. Toujours deux poids et deux mesures.
Cette rage destructrice frappe également notre histoire, toute notre histoire, et on peut entendre à la radio des gens très sérieux nous dire : la France n’a pas d’histoire ( !).
Il y a vraiment de quoi halluciner !
Messieurs nos dirigeants , dans votre rage de créer « l’homme nouveau » en lui ôtant toute référence, vous allez obtenir l’effet exactement inverse, un soulèvement des consciences contre ce monde d’Orwell que vous voulez mettre en place.
Quant à vos motivations, même en examinant toutes les hypothèses imaginables, elles restent mystérieuses. Que voulez-vous faire exactement de cet « homme nouveau » que vous cherchez à créer ?
Alors qui détient un semblant d’explication à cette rage de destruction qui frappe absolument toutes les classes politiques nationales, européennes, canadiennes ou américaines ?
Que diable ont-ils en tête ?
Nous sommes entrés de plein pied dans le monde d’Orwell et de la Novlangue.
Martine Chapouton




Je ne suis pas métisse, dois-je m'excuser ?

Identité nationale. L’idée du débat était excellente au départ, mais le débat est actuellement tronqué.
Comment, en est-on arrivé à ce la Française que je suis, n’ayant jamais commis la moindre infraction, n’ayant jamais eu le moindre à priori sur aucun de mes compatriotes, comment se fait-il qu’aujourd’hui je me sente presque honteuse (non, on voudrait que je me sente honteuse) de n’être que la descendante de générations et de générations de Français ?
Métissage, la France est mixte, la France est métis, soit! Mais je ne le suis pas …est-ce une tare ??? Je commence sérieusement à me le demander, me demander si je ne devrais pas m’excuser,
excuser ces ancêtres qui ont épousé les dames de leurs villages, ou de villages voisins qu’ils avaient probablement connues à des mariages venant de villages voisins. C’est devenu honteux selon certains… et si j’ajoutais que c’est à la messe qu’ils se sont probablement aperçus pour la plupart, pour la première fois, je commettrais presque un blasphème républicain!
La mode est à l’Islam, pour entrer dans la bonne configuration du Français bien vu, je devrais à présent être métis et de préférence musulmane, voilà…
Mais je ne le peux!!! Mes ancêtres de qui j’ai cherché les actes de baptêmes, de mariages, n’ont jamais quitté ma terre bretonne et si une branche est partie du sud, mes ancêtres Cevenoles partageaient la même foi que mes ancêtres Bretons, je garde et garderai, quoi qu’on me dise, quoi qu’on me fasse ces racines là, parce que j’en suis fière, parce que je les honore ces générations qui ont construit la France dont j’étais encore si fière il y a peu!
J’ai des compatriotes athées agnostiques, catholiques, juifs et musulmans, je les ai depuis que je suis née, je les respecte parce qu’ils ont comme moi l’amour de ce pays, qu’ils en ont choisi le mode de vie , de pensée, parce que laïques ou croyants nos convictions se vivent dans le secret de nos coeurs depuis 1905, nous avons réussi cet exploit du vivre ensemble, regardant dans la même direction, dans le respect de la liberté de chacun de penser ce qu’il veut tant qu’il n’impose pas ses idées aux autres.
Mais voilà que des prêcheurs étrangers, aux moeurs rétrogrades envahissent la place publique et qu’on me demande d’accepter de me cacher, je ne corresponds plus au modèle français…
A quel titre devrais-je accepter cela? Devrais-je demain devenir antisémite pour plaire aux nouveaux arrivés ???
Hélas, je crois que la France perd la tête et avec la tête tout ce qui a fait d’elle cette nation libre, véritable maison-témoin pour tous ceux qui, à la recherche de la liberté de penser, de vivre, de partager, rêvaient de s’ajouter à nos compatriotes!

Des générations de musulmans sont nés Français, la dernière s’est laissée emporter dans la nasse d’une secte rétrograde et malfaisante à qui l’Etat et une majorité de journalistes imbus de leur personne déroulent le tapis rouge. Nous allons changer nos lois, j’ai même lu hier qu’il était question d’ôter les croix de nos cimetières pour complaire à cette minorité invasive….
Pauvre France! Alors, de ces bons Français de toujours, qui ne savent plus vers quel saint se tourner pour retrouver leur France,celle de toujours, une partie va essayer de trouver refuge auprès de politiques… Làs! Les gens de gauche qui en veulent toujours à l’Eglise de la place qu’elle a tenue choississent de s’allier à ceux qui veulent tout détruire, sans même prendre la peine de se renseigner sur ces illustres prêcheurs de haine; les gens de droite entrent dans le ballet en voulant récupérer les voix précieuses que la gauche s’appropie en promettant minarets et tout ce qui va avec, pourquoi pas encore se lier avec d’autres pays musulmans,
aller chercher d’autres compatriotes en Afrique musulmane pour nous convaincre que nos racines ancestrales sont moisies, sentent mauvais.
Certains vont voter pour les extrêmes, espérant retrouver dans le Nationalisme acerbé une oreille bienveillante, sans chercher à savoir que ceux -là se sont alliés plus tôt aux mauvais prêcheurs sur une idéologie commune, la haine du Juif (et que ma célèbre compatriote
ne dise pas le contraire, son père n’est-il pas l’ami intime d’un non moins célèbre ecclésiaste intégriste, qui accuse publiquement lui aussi le juif d’être celui qui empêche la terre de tourner rond, je ne crois pas à ceux qui prétendent renier ce dont ils ont été
bercés dès leur plus jeune âge…).
Alors que dois-je faire? Reconnaître que les “Frères Musulmans” sont des musulmans comme ceux à côté desquels j’ai grandi ? Mais non, je sais que ce ne sont que les messagers sombres d’une idéologie barbare qui a même été chassée de pays musulmans.
Pourtant, comme ils sont adulés dans les banlieues (on voit le résultat) à la télé! Hier, encore, dans “Vous aurez le dernier mot”, un de ces prêcheurs s’emparait du débat, ne laissant que peu de chances à l’un des plus dignes représentant de cette France dont on
était si fiers, M. De Gaulle.
Ils sont pour l’apaisement disent-ils, eux qui font l’apologie de El-Banna , fondateur des “Frères Musulmans” dans leurs conférences!
Et que dire du tapis rouge déployé en France à Tariq Ramadan qui à l’instar de Marine prétend être le seul à ne pas suivre l’idéologie sectaire de son grand-père, de son père, de ses frères ??) Lui, assure s’être détaché du groupe… mais ouvre la tribune aux prêcheurs
venus de ce courant et incite fortement la France, à ne pas suivre son voisin la Suisse- ce pays ami depuis la nuit des temps -, ce T. Ramadan qui voile sa femme et recommande vivement à notre président de permettre aux citoyennes françaises de porter la burqa ?
On pourrait s’attendre à ce que notre Président lui rétorque : SINON QUOI ??? Mais non, il faut plaire à l’électorat musulman, alors on va faire tout comme ils demandent! A-til seulement songé, notre cher Président, que la majorité silencieuse des musulmans qui vivent chez nous depuis longtemps ne sont pas tous pratiquants, que certains ont justement fui les pays tyranniques et où la liberté de croire ou pas est bannie ?
Va-t-on les livrer et livrer la totalité des citoyens à cette tyrannie nouvellement arrivée ? On me l’a demandé, j’ai obéi, j’ai retiré de mon cou, ma Croix que j’ai portée un demi-siècle, sans qu’elle m’ait value aucune remarque déplaisante, elle “heurtait” soudainement la vue de mes compatriotes musulmans.
Les kippas ont aussi disparu de l’espace public… ostentatoires disent-ils, mais alors que dire de ces milliers de gamines le cou enserré dans d’affreux fichus noirs ?? Que dire de ces femmes qui envahissent nos rues , nos marchés dans des robes allant jusqu’aux pieds, qui certes ne portent pas de burqa puisqu’on peut encore distinguer leurs visages , seulement le visage …ne savons-nous pas tous, même de loin qu’il s’agit de musulmanes ?
Serait-ce alors, “ostentatoire”? Oui, mais ça fait partie du politiquement agréé. Même M. Melenchon ne les voit pas, il remarquerait une bonne soeur bien de chez nous à 1km, mais, ça c’est l’islmam, prosternons-nous à l’unisson!
En fait, nos hommes politiques craignent ces gamins de banlieues instrumentalisés par ces prêcheurs fraîchement débarqués, craignent de déplaire à ceux qui ont le pétrole, surtout accepter tout et il n’y aura pas de vagues.
Tout refus de se plier à ces directives sera considéré comme du racisme, poursuivi, le peuple doit s’adapter, accepter de voir changer tout ce à quoi il croyait! Mais, que je sache, l’islam n’est pas plus une race que le judaïsme n’en est une? Nos racines sont bien judéo-chrétiennes que M. Sarkosy l’admette ou pas.
Il reste un vieux peuple de France qui lui ne renie ni sa foi ni ses racines, croyez-vous qu’il le fera ? Pourquoi aller toujours brader notre nationalité auprès de gens qui disposent déjà d’une autre nationalité, qui viennent de pays où la religion est obligatoire, qui viennent en France en sachant que la république est laïque?
Ne serait-il pas plus simple pour ces personnes qui se sentent mal de vivre leur foi en catimini chez nous, de choisir de retourner vivre chez leur autre eux où ils seraient plus heureux ?
Ce cher Président ne réalise-t-il donc pas qu’en 2005, s’il avait fait rajouter nos racines judéo-chrétiennes dans la Constitution, ces coucous qui veulent prendre la place laissée vide se seraient tournés vers d’autres contrées ?
Pourquoi, la France, Pays des Droits de lHomme, n’accueille-t-elle pas en priorité ces chrétiens de Syrie, d’Egypte, de Somalie, du Soudan qui ne sont plus tolérés dans leurs pays à cause de leur foi? Nous aurions moins de problèmes, ces gens-là ne tenteraient nullement de semer la pagaille dans notre pays.
Prenez garde, Français, ceux qui ne veulent pas courber la tête pourraient eux aussi se rebeller et mettre ce pays en cendres,car tous ne sont prêts à tomber dans l’extrêmisme juste pour revendiquer leur droit à vivre en paix, chez eux, puisqu’ils n’ont qu’une Patrie et qu’elle leur convenait tout à fait il y a encore peu.
France, réveille-toi, l’amour, la paix et la tolérance sont des valeurs que nous pratiquons depuis des siècles, sans avoir à prendre de leçons d’ailleurs!
Jeanne Bourdillon