L’Eglise réformée publie la photo d’un Blanc et d’un Noir nus, enlacés…

Un Africain noir est couché, nu,  sur le dos, avec les bras en croix et un blanc, nu, est couché au dessus de lui. Le titre du journal Le Matin est “La photo d’un couple gay qui agite les protestants”.

Selon Gilles Bourquin “Cette photographie montre la dignité de la relation homosexuelle. Il y a de la noblesse dans ces deux corps qui se touchent avec tendresse”.

Ouais, bon, je ne vois pas ce qu’il y a de digne ou de noble dans l’accouplement de deux mecs. L’accouplement en soi, aussi libérateur soit-il, a déjà sa dose de grotesque, surtout si le mec a gardé ses chaussettes.

Cette photo devrait aussi évoquer le calvaire subi par les homosexuels dans les pays répressifs. Est-ce ce genre de photo qui va faire avancer le schmilblick ? Bien au contraire : ça va crisper encore plus !

Après avoir lu le livre “Sex & the Vatican” de Carmelo Abbate et vu la photo du pape François qui embrasse l’enfant Jésus de la Crèche pas vraiment chastement sur le front mais juste à un endroit évocateur… j’imagine qu’au Vatican on puisse être très ému par ce genre de tendresse.

“Tendresse entre adultes” c’est quand même mieux que “abus sexuels sur mineurs”

Cette photo plait sans doute aussi à un large éventail de nos zélites forcément progressistes ; justement ceux qui balancent les porcs hétérosexuels blancs dépourvus de noblesse ou de dignité.

Mais vous, avez-vous un problème avec cette photo ? Y a des gens qui pourraient en avoir… Ben oui, justement les protestants, les calvinistes qui ne passent pas pour être des gais lurons olé, olé. Les Bantous sont en général pudiques. Pour les arabo-musulmans se montrer nu, ça n’existe pas et en plus les homosexuels sont pendus aux grues ou jetés du haut des immeubles à défaut de hautes falaises. Chez les cathos, la nudité et l’homosexualité, c’est pas leur tasse de thé non plus.

On se souviendra de ce président africain qui, au sujet des caricatures de Mahomet, dit à Xavier Lambrechts (?) “Quelle serait votre réaction si on caricaturait Jésus ?”… Nos journalistes estomaqués n’ont pas eu l’à propos de répondre “lisez Charlie… Notre Jésus en a vu d’autres…”

Quelle différence y a-t-il entre une photo comme celle de la colle miracle http ://lelombrik.net/25174  et celle du couple homosexuel ?

La première est impertinente, la deuxième est indécente.

Il y a aussi ceux qui crient au scandale dès qu’on touche aux symboles sacrés comme la croix. N’ont-ils pas fait un pataquès autour de la croix de Johnny parce qu’un christ avec une guitare ça ne se fait pas ? Un Jésus crucifié avec un mec enlacé n’est-ce pas, par dessus le marché, une allusion à son éventuelle homosexualité ? Alors que, selon les Evangiles, Jésus vivait entouré de femmes et pas des moindres, même des putes qui lui baignaient les pieds avec leurs larmes et les essuyaient avec leurs cheveux. Jésus une lopette ? (= homme lâche, sans caractère – wiki ) ses esclandres prouvent le contraire, il était plutôt du genre caïd.

Et le film de Scorsese “ La dernière tentation du Christ” ? Hou ! Scandale !

Tout cela est bien sacrilège !

Bref cette photo, au lieu de militer en faveur de la tolérance envers les “sexuellement divers”, réussit le contraire et fédère tout ce qu’il y a d’homophobe, négrophobe, xénophobe, raciste, anti-multikulti, anti-vivre-ensemble, mais aussi les traditionalismes religieux et en général les BCBG, les poussiéreux et les rancis… ça fait un bon paquet. Autant dire que cette malheureuse photo fait l’unanimité contraire au message qu’elle était censée délivrer. Bravo !

Autre « cas photo »  : quand, en 1991 Demi Moore enceinte a posé nue, cela a été un choc. Que l’on apprécie ou pas, cela a été une étape dans l’art de la photo et même de la morale. Mais, par la suite la banalisation des photos de femmes enceintes nues a viré au grotesque et puis simplement à l’indécence. Par contre la duchesse de Cambridge conduit ses grossesses avec tact et élégance. Ben oui, cette petite a de la classe et c’est la classe qui fait la différence.

Là ou le bât blesse avec les homosexuels, c’est quand ça devient de  exhibitionnisme.

Dans les années 60, j’avais un ami dont la vie était difficile, même dans sa famille. Depuis lors l’homosexualité s’est libérée, a été acceptée et avec “La cage aux folles” s’est tout à fait décomplexée. Nous avons tous des homosexuels parmi nos amis et dans nos familles. C’est devenu cool. Mais là où ça n’est plus cool du tout, c’est quand le mieux devient l’ennemi du bien et qu’il y indigestion, quand on dépasse le stade de la normalité et qu’on ne parle plus que de ça, qu’on ne voit plus que ça, que d’écœurants Ruquier s’en vantent. Comme si tout d’un coup la moitié de la population avait muté… Ce qui n’est d’ailleurs pas exclu puisque nombre de substances chimiques, additifs alimentaires ou autres pollutions provoquent des mutations génétiques.

Dans le passé, les homosexuels célèbres n’ont pas manqué : les Oscar Wilde dandy, André Gide amateur de jeunes garçons et autres Jean Cocteau opiomane, sulfureux ? provocateurs ? Certes, mais eux, ils avaient du style alors que le grotesque vulgaire des gay pride est dégradant, humiliant.

L’indigestion provoque le ras-le-bol et le stade suivant c’est le retour de l’homophobie exactement comme l’indigestion de multikulti ramène le racisme et la xénophobie.

Mais, au delà qu’est-ce que tout cela signifie ?

Dans les années 70, nous étions à l’aise avec le sexe et pensions que l’avenir allait être à l’amour libre.

Tout au contraire, aujourd’hui c’est l’hystérie avec débauche d’homosexualité, harcèlement, clitoris qui osent, plugs anaux artistiques, vagins de reine à Versailles, vagin du monde censuré et monologues de vagins même ministériels… Quelle obsession  maladive ! Normalement c’est le tout jeune enfant qui passe par la période zizi, pipi, caca. Nos adultes sont-ils donc en pleine régression ?

Et cette photo de mauvais gout de la part de l’église réformée ? Bof ! En ces temps d’églises vides : du racolage facile de clients improbables.

Anne Lauwaert




Noir c’est noir

Communiqué du Ministère de l’Education nationale Obligatoire et Infaillible. Juin 2022/ Règle n°1456

Faisant suite à de nombreuses plaintes formulées par des personnes s’estimant discriminées et victimes de racisme, des groupes de personnes se déclarant stigmatisées et minorés et suite à des réclamations d’intellectuels et philosophes du ministère du travail ;

Nonobstant, les précédentes publications frappant d’interdit et d’aménagements les mots suivants :

– Patron : avantageusement remplacé par son synonyme « Exploiteur »
– Migrant devenu personne en mobilité accentuée à la recherche de son accomplissement personnel
– Aveugle et sourd remplacés par non-voyant ou malentendant
– Nain remplacé par personne à verticalité réduite
– Capitalisme remplacé par exploitation des masses populaires
– Technicien de surface ancien métier et mot du vieux français désignant un « balayeur ». (Actuellement BTS de traitement de surface et de chimie appliquée à l’environnement horizontal). Utilisait un outil dénommé balai disparu aujourd’hui remplacé par l’aspirateur. Resté dans la langue parlée avec par exemple l’expression « Con comme un balai »

Sont donc décrétés les aménagements suivants concernant le mot « Noir » et ses dérivés.

Sont modifiés dans leur acception les expressions suivantes :

– Au café, boire un petit noir devient boire un café sombre
– Broyer du noir ou voir tout en noir devient démarrer un burn-out
– Le Chocolat Noir suit désormais la norme Européenne avec la désignation Chocolat foncé à 100% avec x% de Cacao

– le boudin est sombre jusqu’à preuve du contraire. Ou blanc.  Ca c’est bien blanc..
– L’expression c’est écrit noir sur blanc est désormais remplacé par c’est écrit en contraste prononcé
– On n’achètera plus au noir mais sous le manteau mais pas noir
– Noir comme dans un four devient inutile sachant que depuis la norme européenne EU2455 tous les fours doivent être équipés d’un éclairage interne et d’une vitre permettant de voir à l’intérieur.
– Il est impérativement demandé à la population d’arrêter d’avoir peur du noir ce qui est du racisme au premier degré. Avoir peur de l’obscurité à la rigueur. Mais on peut fort bien avoir peur aussi du jour. Alors ça suffit.
– Avoir des points noirs devient impossible. Nouvelle expression : amas de sébum dans un pore de la peau ou vulgairement comédon. (NB mal comprenants : ne pas confondre comédon avec Comédien)

Les expressions suivantes sont modifiées et doivent être intégrées immédiatement dans leur nouvelle signification :

– Les desseins seront désormais incolores
– Le marché est le marché. Point barre. Pas question qu’il soit attribué à une couleur discriminante
– le voile noir des pilotes de chasse devient le voile où on ne voit plus rien

De plus :
– En boulangerie les têtes de nègres et les nègres en chemise sont désormais bannis.

Les œuvres artistiques sont également modifiées avec l’expression la plus proche possible :

– Les romans noirs, la série noire deviennent des romans sombres ou des romans à tendance dépressive
– Le Rouge et le Noir devient Le Rouge et la couleur très foncée

– Le parfum de la dame en noir devient le parfum de la dame en deuil
– Les dix petits nègres devient les dix petits hommes à la peau très foncée exploités par de sales colonialistes
– Tintin et l’Ile noire devient Tintin et l’ïle opaque.

Ces trois ouvrages sont par ailleurs en réédition complète (suite à la mise au pilon obligatoire des exemplaires existants). 10% de leur vente iront au fonds de soutien de la langue française.

Les groupes musicaux comprenant le mot noir sont priés de changer de dénomination. Exemple : Noir désir, Les Black Eyed Peas ou les Chaussettes noires devront s’adapter. Le Gris foncé peut en la matière être accepté.

Le ministère réfléchit ( !!) activement pour les adaptations concernant les échiquiers, la roulette et le cirage.

Par contre les expressions suivantes sont pour l’instant licites et peuvent être utilisées (malgré plusieurs plaintes en cours) :

– Blanc comme un linge
– Battre les blancs en neige (au contraire usage encouragé, tout ce qui domine le blanc est bienvenu)
– Etre blanc comme neige (malgré la protestation officielle déposée en 2016 concernant le fait que la neige est souvent noire ou grise quand elle est sale est considéré comme une marque discriminatoire)
– Avoir un blanc (expression que l’on peut juger dévalorisante pour les autres possibilités)
– De but en blanc (malgré les remarques exprimées en conseil des ministres, certains faisant remarquer que les buts c’est plutôt les personnes de couleur très sombre qui les marquent)

Par contre pas de plainte sur :
– Saigner à blanc (également encouragé, très bien ça..)
– Chauffer à blanc

Pierre Bleven

Nota bene pour les mal-comprenants :

Nonobstant https://fr.wiktionary.org/wiki/nonobstant
Balayeur https://fr.wiktionary.org/wiki/balayeur
Acception https://fr.wiktionary.org/wiki/acception
Dessein https://fr.wiktionary.org/wiki/dessein
Français https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ais




Les Misérables version anglaise : puisque Javert nous vient d’Afrique…

Les Misérables vu par nos amis d’outre-Manche. Javert nous y arrive tout droit d’Afrique.

http://www.bbc.com/news/entertainment-arts-42623067

Soit.

Je suggère donc, puisque la vanne est ouverte, un Valjean pakistanais, membre d’un gang, une Cosette allemande engagée chez le Calife et un Marius mongol radicalisé. Concernant les Thénardier, la France peut prêter, au nom d’un Victor Hugo ressuscité en Général Giap, Clémentine Autain et Alexis Corbière, dans des rôles de composition bien sûr, soyons clairs, il ne s’agit pas d’eux en tant que personnes. Mais rien que des Blancs, dans de bons rôles de Blancs, bien gras-du-cerveau, colonialistes et profiteurs de guerre, détrousseurs de cadavres et très sales sur eux. Des grossiers parlant le farsi pour les besoins du scénario, rêvés par tous ceux qui traficotent la littérature européenne agonisante pour la mettre au niveau de sa régénération par l’allogénie, opération d’envergure programmée et sérieusement mise en oeuvre à l’heure qu’il est.

L’époque est à la forfaiture culturelle. Carmen tue Don José sous la bronca d’un public italien tout de même un peu agressé, ou qui du moins pense l’être. Ne plaisantons pas : la chirurgie du texte est un univers à conquérir qui s’ouvre devant les médiocres, les plagieurs, les censeurs et amputeurs, les jaloux et les frustrés, les impuissants et les Jaquelangue-en-fin-de-parcours, les truands des Lettres et les djihadistes de la contre-édition, les reîtres-à-plume-dans-le-cul et les pisse-copie moches tatouées Femen.

Rien que du beau monde. En nombre !

Des idées pour ces cloportes transformables en limaces. Au lieu d’écraser sa cigarette et de se perdre dans la foule, Thérèse Desqueyroux s’en va mettre le feu à la forêt californienne en criant Allah akbar, Edmond Dantès ouvre une charcuterie halal à Saint-Denis, la petite Fadette meurt en Syrie, tuée par un drone des Émirats, Emma Bovary tente d’empoisonner Donald Trump tandis que le Roi Lear se finit à la chicha entre deux rafales de kalachnikov.

Stop. Je vais passer la semaine à ce jeu délétère….

Amusons-nous cependant et place à l’imagination quoiqu’il en soit ! Elle sera aussi infinie et talentueuse que la création dont nous sommes les héritiers dépossédables. Donc en cours de dépossession accélérée.

Nous allons vivre des temps littéraires absolument passionnants.

Jean Sobieski

 




Et si les lèche-babouches d’H&M se faisaient péter leurs magasins par les Noirs en colère ?

H&M est dans la tourmente, et j’avoue que j’ai du mal à ne pas m’exclamer : “Bien fait pour leur gueule !”. Les faits : pour lancer un nouveau produit, le groupe suédois a réussi l’exploit, se voulant provocateur, de faire poser un enfant noir avec le message suivant : “le singe le plus cool de la jungle”. Inutile de vous dire que dans le climat d’hystérie actuel, le résultat était couru d’avance.

Inutile d’expliquer aux antiracistes hystériques, et encore moins aux Africains offensés, que l’animalisation des êtres a toujours fait partie de l’Histoire de France, comme l’avait démontré, en pleine affaire Taubira, magistralement Maxime Lepante, dans un article intitulé “Taubira et les singes : pour la Garde des Sceaux, les  noirs sont-ils une race supérieure ?”.

http://ripostelaique.com/taubira-et-les-singes-pour-la-garde-des-sceaux-les-noirs-sont-ils-une-race-superieure.html

On se doute qu’après la ridicule affaire Griezmann, accusé de racisme pour avoir rendu hommage aux Harlem Globe Trotters, en se teintant de noir, les choses ne vont pas en rester là. Et en effet, on n’est pas déçu !

Un nouveau machin, un espèce de Cran-bis, appelé “La Ligue de Défense Noire Africaine” (LDNA) s’est emparé de l’affaire, escomptant se faire connaître à travers cette affaire.

http://www.fdesouche.com/934433-ligue-de-defense-noire-africaine-ldna-se-mobilise-contre-hm

Bref, en France, on peut appeler les Blancs “face de craie”, c’est la revanche contre le colonialisme. On peut interdire aux Blancs de participer à des stages syndicaux de l’Education nationale, version Sud-Education, c’est pour mieux lutter contre les discriminations. On peut représenter Jean-Marie Le Pen ou Valérie Giscard d’Estaing en singe, pas de souci. Mais Taubira, là, c’est raciste. Et plus question de faire de l’humour publicitaire liant le Noir au singe, c’est également raciste. On est donc en plein dans l’antiracisme à géométrie variable et dans la connerie, qui fait qu’on n’a plus le droit d’appeler un mec qui écrit pour vous “un nègre”, qu’on n’a plus le droit de commander dans une boulangerie “Une tête de nègre”, que bientôt il sera interdit de commander dans un café “Un petit noir”, et que le rôle de Blanche-Neige devra bientôt être confié à Rokhaya Diallo pour montrer que la France n’est pas raciste !

C’est dans ce contexte de fous que ces mecs de la LDNA appellent leurs frères de couleur à aller foutre le bordel dans tous les H&M de France. Voilà ce que devient la France de Macron, à force d’avoir accueilli tout le monde depuis quarante ans ! Des mecs qui parlent à peine français, qui ne possèdent que 200 mots de vocabulaire, s’auto-proclament justiciers de la cause noire, et, dans la pire tradition anglo-saxonne, préparent les émeutes raciales de demain, où on cassera du Blanc gratuitement !

Maintenant, pourquoi j’écris que j’ai du mal à ne pas dire que c’est bien fait pour la gueule d’H&M ? Parce qu’on a une vieille histoire avec ceux. Ces crapules se disent fiers de faire travailler des caissières voilées. Et quand Riposte Laïque a signalé ce fait, ils ont justifié la tenue de leurs salariées avec le même argument que les islamistes : “la laïcité, c’est chacun s’habille comme il veut, le voile, c’est leur choix, c’est leur liberté !”.

Cela avait commencé à Thionville…

https://ripostelaique.com/non-aux-caissieres-voilees-au-hm-de-thionville-action.html

Cela a continué à Aeroville, près de Roissy…

https://ripostelaique.com/h-m-aeroville-deux-caissieres-voilees.html

Et s’est poursuivi à Mandelieu, où là, le maire a réagi…

http://ripostelaique.com/hm-impose-ses-caissieres-voilees-a-mandelieu-cest-le-programme-de-macron.html

Mais il y a eu bien pire. Pour avoir diffusé la photo des deux caissières voilées d’Aeroville, puis, devant leurs menaces, leurs noms, Riposte Laïque a subi un procès des deux musulmanes, Soumaya Cheikh et Dahima Moussi.

Et le pire, c’est que nous avons été condamnés, alors que le dossier était vide, les plaintes mal rédigées, les vices de formes nombreux, à acquitter au total 9.000 euros aux deux musulmanes, que nous avons considérées comme des militantes politiques…

http://ripostelaique.com/les-deux-caissieres-voilees-dhm-sont-des-militantes-politiques-de-lislam.html

… Comme s’est comporté en militante politique le juge Caroline Kuhnmunch (ancienne collaboratrice de Taubira…), qui s’est permis de condamner les éditions Riposte Laïque, présidées par Ghislaine Dumesnil, alors qu’elles n’ont aucune responsabilité dans la sortie des textes de RL. Cela s’appelle une faute professionnelle, qui profite bien aux plaignantes musulmanes, et nous a lourdement pénalisés.

http://ripostelaique.com/le-juge-kuhnmunch-veut-que-rl-donne-8000-euros-aux-deux-caissieres-voilees.html

Et l’appel, que nous avions engagé, a été repoussé, parce que ces dames voilées et leurs avocats n’étaient pas prêts ! En attendant, les 9000 euros que nous avons casqués sont dans les poches des voilées, car en cas de référé, l’appel n’est pas suspensif ! Les éditions Riposte Laïque avaient même eu leurs comptes bloqués, à cause de cette affaire. C’est dire si on aura de la mémoire avec H&M.

Naturellement, les islamistes étaient ravis d’avoir une direction qui n’hésitait pas à envoyer balader les clients qui se plaignaient de ce fait.

H&M remet à sa place un client islamophobe après qu’il se soit plaint de caissières voilées

Alors, suite à ces faits, si les lèche-babouches d’H&M se font péter leurs magasins par des apprentis “Blacks Panthers” de banlieue, ce n’est pas nous qui allons pleurer pour ces islamo-collabos !

Martin Moisan

 

 




Griezmann s’est excusé, contrairement à Maëva Coucke

Les accusations de racisme se multiplient à travers les réseaux sociaux  qui sont devenus une cellule de veille et de dénonciation.

Un propos raciste ! Vite, une dénonciation et un lynchage immédiat en place publique. Foin de la présomption d’innocence ;

il y a toujours l’affaire Miss France qui n’en finit pas de faire des rebonds.

Il y a ceux qui voient la marque du racisme profond des Français et les autres. Les autres ? Ceux qui  ne sont pas les haineux. Ce sont les condescendants, qui acceptent les Blancs… à condition qu’ils s’excusent. Plein de bonne volonté, Hadrien Mathoux, journaliste à Marianne,  prenant la défense de Maëva Coucke, parlera de “remarque maladroite”.

L’image est malheureuse mais l’intéressée n’aura pas le temps de s’en expliquer voire de s’en excuser.

Comment l’idée de racisme a-t-elle pu germer dans les esprits même les plus particulièrement vétilleux, soupçonneux ? Le brillant journaliste de Marianne nous en fournit la réponse. Parce qu’elle animalise la femme noire.

Joëlle Dago-Sery, l’une des chroniqueuses des Grandes Gueules adopte hier sur RMC  la même attitude. Certes, Miss France n’est pas raciste mais maladroite. La femme noire est animalisée, affirme-t-elle. On parle de tigresse à son  sujet. C’est un souvenir de l’esclavage.

Petites remarques en forme de rectificatifs :

Remarque sémantique : Crinière de lionne est une expression – plus ou moins heureuse car ce sont plutôt les lions qui ont une crinière –  consacrée dans les magazines féminins et les salons de coiffure pour désigner des cheveux gonflés, non lissés.

Remarque biologico-environnementale :  il n’y a encore moins de tigresses en Afrique que de crinières sur le crâne des lionnes. C’est en Asie qu’on les trouve.

Remarque historique :  toute allusion à l’Afrique ne fait pas forcément référence à l’esclavage, sous-entendu dont les seuls Blancs se seraient rendus coupables. C’est tout de même un comble qu’il faille dire aux Africains que l’histoire de leur continent ne se résume pas à l’esclavage et qu’ils sont les premiers à en donner une image misérabiliste.

Remarque linguistique :  les métaphores animalières ne sont pas dévalorisantes.  C’est ignorer à quel point  – et c’est visible dès la préhistoire – l’homme établit des ponts entre lui et l’animal dont les signes sont multiples dans la langue.

Faudra-t-il s’interdire  taille de guêpe,  jambes de gazelle, œil de lynx ?

Aurons-nous des métaphores acceptables pour les Blancs mais non pour les Noirs ?

Sans aucun doute. Et aussi des déguisements.

Voici maintenant au tour de Griezmann d’être sur la sellette. Mal inspiré, le malheureux a voulu rendre hommage aux Harlem Globe Trotters. Il s’est donc noirci le visage et a mis une perruque dont je ne dirais pas qu’elle est en crinière de lionne mais crépue tout simplement.

C’est un blackface s’indigne Ana sur twitter

C’est un blackface quand les blancs ne voulaient pas avoir à payer des acteurs noirs, ajoute une autre.

La tenue des Harlem est facilement reconnaissable.  Griezman n’avait pas à se grimer en noir.

Griezmann il vient de rentrer dans le Top 3 du classement des personnalités préférées du FN.

La même chroniqueuse qui parlait de l’animalisation des Africaines, décrète qu’être noir n’est pas un déguisement mais une couleur de peau.

Le Cran crie au racisme et demande au Gouvernement de se mêler de l’affaire et de condamner un tel délit. La ministre temporise. C’est un acte malvenu mais non mal intentionné.

Il va falloir, nous les Blancs, être particulièrement vigilants à l’époque du Carnaval. Nos enfants pourront-ils encore se faire des peintures de guerre lorsqu’ils se déguiseront en Indiens ? Trouvera-t-on encore des costumes de Dark Vador ?

On pourrait en rire si l’on ne voyait se mettre en place une société où la parole des Blancs, a priori tenue en haute suspicion, est passée au crible le plus ténu, condamnée sans jugement – ce que le Tribunal honni de l’Inquisition n’a jamais fait, livrée illico à la vindicte publique, et ceci, en préalable à un nouveau rite d’humiliation : le Blanc, sans autre forme de procès se voit dans l’obligation de s’excuser. Pour parodier Audiard, c’est d’ailleurs à ça qu’on le reconnait.

Griezman s’est donc livré  au rituel devenu maintenant  consacré : Je reconnais que c’est maladroit de ma part.  Si j’ai blessé certaines personnes je m’en excuse.

Griezmann s’est excusé. Miss France non. Décidément, elle me plaît de plus en plus, notre Miss nationale.

Florence Labbé

 




Si j’étais noire, j’aurais honte des propos de Patrick Lozes (Cran)

« Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’exclamait – déjà  – le duc de Saint-Simon, dans ses Mémoires de 1829. Que dirait-il aujourd’hui, devant l’accession fulgurante d’un Sopo, d’une Diallo et, par-dessus tout, d’un Patrick Lozès ?

Le piston, les réussites financières, professionnelles et politiques imméritées ont toujours existé. Mais le talent de notre siècle est de les avoir savamment déguisés en croisade du Bien. C’est ainsi que depuis bientôt quarante ans, des associations, leurs membres et fondateurs, vivent de la tonte du contribuable et en profitent pour le noyer sous des accusations gratuites et des discours absurdes, injustifiés ou révoltants (cochez les trois cases).

Patrick Lozès appartient à cette sainte Inquisition. Nous pourrions avoir quelque indulgence pour lui, s’il était un peu distrayant dans sa haine (façon Houria Bouteldja) ou dans son hypocrisie (façon Mouloud Aounit). Mais il fait si bien péter les scores de la bêtise, de l’ignorance et de l’obscurantisme, que l’on ne peut plus que se taire, muré dans un silence navré, devant chacune de ses prises de positions. Il nous régale ainsi régulièrement de communiqués tous plus absurdes les uns que les autres. Savoir que c’est ce genre de gougnafier qui donne des leçons à un Eric Zemmour nous prouve l’ampleur de l’abîme intellectuel dans lequel nous baignons depuis des années.

Il a ainsi eu l’outrecuidance d’expliquer que l’homme Noir était entré dans l’Histoire… en s’appuyant sur le film Le Roi Lion. Voilà donc un dessin animé, où l’on serait bien en peine de trouver le moindre homme, noir ou blanc, où les singes côtoient les éléphants et les hyènes, et dont tout le monde connaît la chansonnette « Hakuna Matata », qui est censé nous prouver la puissance, l’éclat, de l’entrée de l’homme Noir dans l’histoire. Patrick Lozès aurait pu citer Cheikh Hamidou Kane, auteur de L’Aventure ambigüe, ou Léopold Sedar Senghor. Non, il a cité le Roi Lion.

Je serais noire, je me couvrirais de cendre après de tels propos, et j’attendrais Patrick Lozès devant chez lui, pour lui expliquer très démocratiquement combien il fait honte à tous les hommes en général, et aux Noirs en particulier.

Il se faisait discret, depuis quelque temps. Il faut dire, à sa décharge, que son copain Sopo mobilisait tout l’espace médiatique disponible (notamment en roulant des épaules, à défaut d’argumenter, lors du procès de Zemmour). Le Français moyen ne respirait pas, non, il changeait juste de monoxyde de carbone. Passant de la peste au choléra, on n’était pas bien sûr d’aller mieux, en revanche on souffrait toujours autant. Le choléra, trop occupé à arpenter la XVIIème chambre correctionnelle, laissa le champ libre à la peste : Patrick Lozès en remit une couche. Et s’interrogea avec angoisse sur les termes d’ « islam de France ».

Patrick Lozès ne comprend pas que l’islam puisse poser problème à une société composée de gens simples, qui apprécient l’idée de la liberté de conscience, de l’égalité hommes-femmes, d’une vie libre et adulte. De gens lamentablement habitués à voir des clochers, des femmes marcher tête nue dans la rue, des médecins hommes soigner leur fille, des rues où l’on circule normalement, etc etc etc. Alors Patrick Lozès s’indigne, et demande : « Pourquoi n’exige-t-on pas un « christianisme de France » ?

Pourquoi ? Pourquoi, en effet, ou plutôt comment un cancre dépourvu de toute culture, de toute capacité de réflexion, de toute faculté d’analyse personnelle, peut-il aujourd’hui, dans notre pays, être considéré comme une personnalité incontournable, et sortir les pires énormités, sans que jamais personne ne le mette face à ses propres contradictions ?

Que la France porte en elle les gênes du christianisme, nul ne songerait à le contester, que l’on soit athée ou bouddhiste. Des clochers de nos villes, à notre littérature, en passant par l’esprit de la plupart de nos lois, toute l’histoire de France, que cela plaise ou nous, est imprégnée de christianisme. Et si aujourd’hui l’islam nous pose problème, c’est bien parce que l’héritage culturel – et donc, entre autres, chrétien – de la France, est à l’opposé absolu d’un islam prônant le châtiment de la femme, la polygamie, la takhya, la dhimmitude, et autres joyeusetés.

Il faudrait expliquer à Monsieur Lozès pourquoi un organisme rejette un corps étranger, par exemple, lui rappeler l’anecdote de la patiente qui souffrait de la paire de pinces laissée dans son abdomen par un chirurgien. Gageons que Patrick Lozès serait capable de nous prouver par A+B que l’on peut tout à fait s’accommoder d’une lame de 15 dans l’œsophage ; il suffit d’être un peu gentil avec la lame de 15, de l’accepter dans son enrichissante différence de lame de 15, voire de lui proposer plus de place, de la faire déménager de l’œsophage au cœur, par exemple. Il n’est plus à une énormité près. Après tout, n’a-t-il pas fondé le CRAN ?

Nul ne semble d’ailleurs être choqué par le fait que dans ce pays – qui n’est censé reconnaître de communauté que si elle nationale – on puisse fonder un CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France). Essayez un peu de fonder un CRAB (conseil représentatif des associations blanches de France), et votre vie deviendra un enfer. Car Lozès est obnubilé par sa couleur de peau, mais entend que cette obsession soit sans partage. Les titres de ses deux ouvrages (Nous, les Noirs de France et Les Noirs de France sont-ils des Français à part entière ?) donnent l’ampleur de sa bêtise. Là aussi, écrivez Nous, les Blancs de France, et attendez la réaction de l’ami Lozès. Car quand il pollue les plateaux télé, les antennes radio et les colonnes des journaux de ses diatribes antiracistes, c’est de la défense « des Français de la diversité » (on ne rit pas). Quand Marine Le Pen estime que le CRAN fait la promotion du communautarisme, le CRAN l’accuse de défendre « la communauté blanche de France ».

Et alors, puisque Lozès dirige lui-même une officine qui défend la communauté noire de France ? Cela signifierait-il que l’on peut défendre les Noirs au motif qu’ils sont noirs, et pas les Blancs au motif qu’ils sont blancs ? J’aurais personnellement bien du mal à défendre très sérieusement, et sans m’étouffer de rire, les Blancs de France parce qu’ils sont Blancs. Cela m’obligerait à soutenir Dominique Wolton, Patrick Klugmann ou Olivier Besancenot : ben dame : c’est qu’ils sont Blancs ! Tout Blancs !

Lozès, lui, n’a cure de ce genre de considérations. Il en est resté, intellectuellement, au niveau du Roi Lion, et à des raisonnements du type : « Toi Noir. Moi Noir. Donc Moi Noir être ami toi parce que Noir ».

Soyons donc généreux, et donnons-lui encore quelques années : dans trente ans, avec un peu de chance, on ne saura pas très bien ce qui relèvera de la bêtise ou de la sénilité.

Antigone




Si j'étais noire, j'aurais honte des propos de Patrick Lozes (Cran)

« Quel bon pays est la France, à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! » s’exclamait – déjà  – le duc de Saint-Simon, dans ses Mémoires de 1829. Que dirait-il aujourd’hui, devant l’accession fulgurante d’un Sopo, d’une Diallo et, par-dessus tout, d’un Patrick Lozès ?

Le piston, les réussites financières, professionnelles et politiques imméritées ont toujours existé. Mais le talent de notre siècle est de les avoir savamment déguisés en croisade du Bien. C’est ainsi que depuis bientôt quarante ans, des associations, leurs membres et fondateurs, vivent de la tonte du contribuable et en profitent pour le noyer sous des accusations gratuites et des discours absurdes, injustifiés ou révoltants (cochez les trois cases).

Patrick Lozès appartient à cette sainte Inquisition. Nous pourrions avoir quelque indulgence pour lui, s’il était un peu distrayant dans sa haine (façon Houria Bouteldja) ou dans son hypocrisie (façon Mouloud Aounit). Mais il fait si bien péter les scores de la bêtise, de l’ignorance et de l’obscurantisme, que l’on ne peut plus que se taire, muré dans un silence navré, devant chacune de ses prises de positions. Il nous régale ainsi régulièrement de communiqués tous plus absurdes les uns que les autres. Savoir que c’est ce genre de gougnafier qui donne des leçons à un Eric Zemmour nous prouve l’ampleur de l’abîme intellectuel dans lequel nous baignons depuis des années.

Il a ainsi eu l’outrecuidance d’expliquer que l’homme Noir était entré dans l’Histoire… en s’appuyant sur le film Le Roi Lion. Voilà donc un dessin animé, où l’on serait bien en peine de trouver le moindre homme, noir ou blanc, où les singes côtoient les éléphants et les hyènes, et dont tout le monde connaît la chansonnette « Hakuna Matata », qui est censé nous prouver la puissance, l’éclat, de l’entrée de l’homme Noir dans l’histoire. Patrick Lozès aurait pu citer Cheikh Hamidou Kane, auteur de L’Aventure ambigüe, ou Léopold Sedar Senghor. Non, il a cité le Roi Lion.

Je serais noire, je me couvrirais de cendre après de tels propos, et j’attendrais Patrick Lozès devant chez lui, pour lui expliquer très démocratiquement combien il fait honte à tous les hommes en général, et aux Noirs en particulier.

Il se faisait discret, depuis quelque temps. Il faut dire, à sa décharge, que son copain Sopo mobilisait tout l’espace médiatique disponible (notamment en roulant des épaules, à défaut d’argumenter, lors du procès de Zemmour). Le Français moyen ne respirait pas, non, il changeait juste de monoxyde de carbone. Passant de la peste au choléra, on n’était pas bien sûr d’aller mieux, en revanche on souffrait toujours autant. Le choléra, trop occupé à arpenter la XVIIème chambre correctionnelle, laissa le champ libre à la peste : Patrick Lozès en remit une couche. Et s’interrogea avec angoisse sur les termes d’ « islam de France ».

Patrick Lozès ne comprend pas que l’islam puisse poser problème à une société composée de gens simples, qui apprécient l’idée de la liberté de conscience, de l’égalité hommes-femmes, d’une vie libre et adulte. De gens lamentablement habitués à voir des clochers, des femmes marcher tête nue dans la rue, des médecins hommes soigner leur fille, des rues où l’on circule normalement, etc etc etc. Alors Patrick Lozès s’indigne, et demande : « Pourquoi n’exige-t-on pas un « christianisme de France » ?

Pourquoi ? Pourquoi, en effet, ou plutôt comment un cancre dépourvu de toute culture, de toute capacité de réflexion, de toute faculté d’analyse personnelle, peut-il aujourd’hui, dans notre pays, être considéré comme une personnalité incontournable, et sortir les pires énormités, sans que jamais personne ne le mette face à ses propres contradictions ?

Que la France porte en elle les gênes du christianisme, nul ne songerait à le contester, que l’on soit athée ou bouddhiste. Des clochers de nos villes, à notre littérature, en passant par l’esprit de la plupart de nos lois, toute l’histoire de France, que cela plaise ou nous, est imprégnée de christianisme. Et si aujourd’hui l’islam nous pose problème, c’est bien parce que l’héritage culturel – et donc, entre autres, chrétien – de la France, est à l’opposé absolu d’un islam prônant le châtiment de la femme, la polygamie, la takhya, la dhimmitude, et autres joyeusetés.

Il faudrait expliquer à Monsieur Lozès pourquoi un organisme rejette un corps étranger, par exemple, lui rappeler l’anecdote de la patiente qui souffrait de la paire de pinces laissée dans son abdomen par un chirurgien. Gageons que Patrick Lozès serait capable de nous prouver par A+B que l’on peut tout à fait s’accommoder d’une lame de 15 dans l’œsophage ; il suffit d’être un peu gentil avec la lame de 15, de l’accepter dans son enrichissante différence de lame de 15, voire de lui proposer plus de place, de la faire déménager de l’œsophage au cœur, par exemple. Il n’est plus à une énormité près. Après tout, n’a-t-il pas fondé le CRAN ?

Nul ne semble d’ailleurs être choqué par le fait que dans ce pays – qui n’est censé reconnaître de communauté que si elle nationale – on puisse fonder un CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France). Essayez un peu de fonder un CRAB (conseil représentatif des associations blanches de France), et votre vie deviendra un enfer. Car Lozès est obnubilé par sa couleur de peau, mais entend que cette obsession soit sans partage. Les titres de ses deux ouvrages (Nous, les Noirs de France et Les Noirs de France sont-ils des Français à part entière ?) donnent l’ampleur de sa bêtise. Là aussi, écrivez Nous, les Blancs de France, et attendez la réaction de l’ami Lozès. Car quand il pollue les plateaux télé, les antennes radio et les colonnes des journaux de ses diatribes antiracistes, c’est de la défense « des Français de la diversité » (on ne rit pas). Quand Marine Le Pen estime que le CRAN fait la promotion du communautarisme, le CRAN l’accuse de défendre « la communauté blanche de France ».

Et alors, puisque Lozès dirige lui-même une officine qui défend la communauté noire de France ? Cela signifierait-il que l’on peut défendre les Noirs au motif qu’ils sont noirs, et pas les Blancs au motif qu’ils sont blancs ? J’aurais personnellement bien du mal à défendre très sérieusement, et sans m’étouffer de rire, les Blancs de France parce qu’ils sont Blancs. Cela m’obligerait à soutenir Dominique Wolton, Patrick Klugmann ou Olivier Besancenot : ben dame : c’est qu’ils sont Blancs ! Tout Blancs !

Lozès, lui, n’a cure de ce genre de considérations. Il en est resté, intellectuellement, au niveau du Roi Lion, et à des raisonnements du type : « Toi Noir. Moi Noir. Donc Moi Noir être ami toi parce que Noir ».

Soyons donc généreux, et donnons-lui encore quelques années : dans trente ans, avec un peu de chance, on ne saura pas très bien ce qui relèvera de la bêtise ou de la sénilité.

Antigone