1

Le traitre et le néant, un livre qui confirme l’intégrité du Gal de Villiers

|
Le général Pierre de Villiers, très intègre, a refusé de se laisser acheter par Emmanuel Macron. Droit dans ses bottes jusqu’au bout !
Le livre sort demain. Les journalistes Fabrice Lhomme et Gérard Davet publient en effet, un livre-enquête sur le président en exercice. Emmanuel Macron et son quinquennat, ou “Le traître et le néant”, 620 pages qui abreuvent de détails sur la fin politique de François Hollande, et l’émergence d’Emmanuel Macron. Il révèle aussi les petits arrangements proposés par Emmanuel Macron et son cuisant échec lors de sa “tentative d’achat” du Général Pierre de Villiers.
La naissance politique d’Emmanuel Macron, la trahison “avec méthode” au dépend de François Hollande et du PS, la création du “nouveau monde” et les presque cinq années sans partage à la tête de l’État bousculées par les crises sociales et sanitaires, tout cela est magnifiquement raconté.
De ces 620 pages, nous retiendrons le témoignage du général Pierre de Villiers, qui relate le moment où Emmanuel Macron a tenté de l’acheter lors de sa démission. Cet épisode incite à davantage de respect pour la probité de cleui qui fut le chef d’état major des armées, et montre une  France telle qu’on l’aime.
Dans ce chapitre, on découvre qu’Emmanuel Macron a tenté d’acheter le silence du chef d’État-major des armées, Pierre de Villiers. Les auteurs nous
révèle les dessous de cet épisode jusqu’alors méconnu.
Selon les deux auteurs, “le lendemain ou le surlendemain de l’épisode du 14 juillet, Macron, en fait, se ravise – sous l’influence de qui, on ne sait pas – et il demande à voir Pierre de Villiers à La Lanterne, discrètement. Il le voit, et il lui dit : “Il faut rester.” Et, en gros, il lui dit : “Et si vous partez, moi, je vous nomme dans un poste qui vous permettra d’avoir d’importants émoluments…’ Il utilise ce mot-là !
Il lui propose d’avoir une très belle retraite! Et Pierre de Villiers, droit dans ses bottes, luirépond: “Monsieur le Président, ma décision était prise, mais là, vous venez de franchir la ligne rouge, parce que vous ignorez tout de ce que je suis et de ce qu’est ma famille. Nous sommes une vieille famille de chevaliers français. Et donc, là, vous venez de m’insulter…”.
Le traître Macron n’a pu acheter l’intègre général Pierre de Villiers. Car l’honneur d’un de Villiers ne se vend pas, ne se brade pas !
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411



Une tribune de 100 jeunes LR appelle à la candidature Zemmour

|

Afficher l’image source

Eric Zemmour est le seul à pouvoir remettre la France à flot et permettre la victoire de la droite

Coup de tonnerre dans le landerneau politique Français. Laurent Wauquiez, un des favoris de la droite, vient d’annoncer qu’il renonce à se présenter à l’élection présidentielle de 2022, malgré sa brillante réélection à la présidence de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Du coup, face à la crise identitaire, la désindustrialisation, face au péril islamiste, dans une tribune libre, publiée ce jour dans l’hebdomadaire “Le Point”, 100 jeunes issus du mouvement “Les Républicains” appellent LR à soutenir une candidature Eric Zemmour, qui totalise déjà, à ce jour, 100 parrainages de maires (sur les 500 nécessaires d’ici mars 2022 pour déposer légalement sa candidature).

Dans le même temps, Éric Zemmour a levé “le voile” sur ses intentions pour la présidentielle. Une lettre a été envoyée par Eric à de nombreux maires pour tenter de récolter des parrainages.

À sept mois de la prochaine élection présidentielle, l’éventail des potentiels candidats commence à se restreindre. Après la défection de Laurent Wauquiez à droite, dont les idées fondamentales sont proches de celles d’Eric Zemmour, et dans l’attente d’une primaire écologiste qui fait déjà parler d’elle, c’est au tour d’Éric Zemmour d’abattre ses cartes. Eric Zemmour a en effet adressé un courrier à certains maires afin de récolter les 400 signatures d’élus qui lui manquent encore et qui lui permettront de concourir à l’élection présidentielle 2022.

Une tribune de jeunes LR appelle a la candidature d'Eric Zemmour

 

La droite institutionnelle française a donc trouvé son candidat naturel. C’est Eric Zemmour. Ils l’ont longtemps cherché, ils ne l’avaient jamais trouvé : voilà des années que, sans succès nationaux, Les Républicains espéraient un miracle, en recherchant leur « candidat naturel ». Beaucoup avaient misé sur Laurent Wauquiez, qui vient de jeter l’éponge, le bébé et l’eau du bain.

Alors, pour tous ces jeunes “LR” déçus, choqués par l’immigration de masse que subit la France, le candidat qui s’impose comme une évidence auprès des militants et des électeurs en incarnant un programme susceptible de séduire à nouveau une majorité de Français, est bien Eric Zemmour. Et ils le font savoir haut et fort.

“Alors que Laurent Wauquiez annonce qu’il n’est pas candidat à l’élection présidentielle, nous sommes plus de 100 jeunes militants et sympathisants Les Républicains à souhaiter que le parti soutienne Éric Zemmour. À nos yeux de jeunes adhérents et sympathisants du parti, les têtes d’affiche de l’appareil font pâle figure à côté de l’intellectuel et écrivain Éric Zemmour, dont le courage, la pensée, le positionnement et le talent sont les plus à même de faire triompher nos idées” écrivent ces jeunes des Républicains dans l’hebdomadaire Le Point.

Ils ajoutent : “Pour nous qui déplorons depuis longtemps le long déclin de notre famille politique, l’espoir renaît enfin. Il y a des années que la droite française navigue à vue, faute d’avoir su faire émerger de ses rangs un dirigeant capable d’enclencher une dynamique intellectuelle, susceptible de répondre aux angoisse et aux attentes des français. C’est un navire sans capitaine, à l’équipage déboussolé. Un paradoxe alors que les crises successives rencontrées ces dernières années par la France nous ont donné raison sur quasiment tous les points : crise identitaire, désindustrialisation, péril islamiste, affaiblissement du niveau scolaire, etc

“Sur tous ces sujets, les militants (N.D.L.R. du mouvement Les Républicains), de nombreux élus locaux des Républicains, et les intellectuels qui gravitent autour de notre mouvement ont su dénoncer les périls qui menacent le Pays et proposer des solutions pour sortir de ces périlleux récifs” ajoute ce collectif de jeunes LR.

Ils effectuent aussi une analyse sociologique de l’électorat français : “En parallèle, l’électorat n’a eu de cesse de se « droitiser » pour revenir aux racines de ce que faisait le RPR encore dans les années 1990 : dans l’intégralité des enquêtes d’opinion effectuées ces dernières années, les Français de tout âge et de toute catégorie sociale réclament toujours plus de fermeté sur les questions sécuritaires et migratoires, un État stratège et moins pesant pour nos entreprises et un retour de l’exigence et du mérite sur les bancs de l’école.

“En bref, les Français n’ont probablement jamais été aussi à droite. Mais où est la droite ?
Nous ne pouvons plus attendre. En quelques années, Les Républicains ont perdu les trois quarts de leurs adhérents. Malgré quelques victoires d’élus locaux, le parti ne parvient pas à créer une synergie nationale. Et l’avenir est sombre : dans tous les sondages qui s’accumulent à l’approche de la prochaine élection présidentielle, le parti fait figure de repoussoir chez les jeunes et les actifs, se muant progressivement en « parti de boomers », circonscrit à une portion congrue de l’électorat, fidèle mais âgée.

“En face, Éric Zemmour rassemble chaque semaine plus de militants. Il s’agit de 1 800 jeunes enthousiastes, plein d’espoir, ayant envie de se battre pour lui et de gagner pour la France. Nombreux sont ceux qui viennent de LR, de l’UNI ou d’ailleurs et qui ont été déçus par la pauvreté des perspectives de leur parti.”

Lancé au lendemain du renoncement de Laurent Wauquiez à l’élection présidentielle de 2022 et à la veille de la déclaration de candidature d’Eric Zemmour à la même élection présidentielle de 2022, cet appel des jeunes LR constitue le début d’un mouvement fédérateur, comme “l’appel de Cochin” (1) de Jacques Chirac le 6 décembre 1978.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

(1) Selon Wikipedia, l’appel de Cochin est un texte communiqué, le 6 décembre 1978, par Jacques Chirac, alors maire de Paris, président du Rassemblement pour la République, et ancien Premier ministre.

Cet appel est signé de Jacques Chirac, mais on en attribue habituellement la paternité réelle aux deux plus proches conseillers de celui-ci à l’époque, Pierre Juillet et Marie-France Garaud.

Sa publication entrait dans le cadre de la « précampagne » du RPR pour les élections européennes de juin 1979, premières élections au suffrage universel du Parlement européen, jusque-là désigné par les Parlements nationaux des pays membres de la Communauté économique européenne.

Ce texte dénonçait notamment la politique « antinationale » de l’Europe fédérale d’un « parti de l’étranger », soit, dans l’esprit du signataire, l’Union pour la démocratie française, parti de centre-droit créé le 1er février 1978 à l’initiative de Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République.

Ce nom d’« appel de Cochin » a été donné à ce communiqué aussitôt après sa publication, en raison des circonstances dans lesquelles il a été élaboré. Jacques Chirac avait en effet été victime, le 26 novembre précédent, d’un accident de la route en Corrèze, département dont il était député de la 3e circonscription et président du Conseil général, et avait aussitôt été transporté à Paris, à l’hôpital Cochin, pour y recevoir les soins nécessités par ses blessures.

Plusieurs auteurs y voient une référence claire à l’appel du 18 juin, lié à l’héritage gaulliste du parti, Giscard d’Estaing étant ainsi allusivement comparé au maréchal Pétain et sa politique au régime de Vichy.

Philippe Lamy estime que Georges Albertini « n’est pas étranger » à l’appel.




Tempête chez Albin Michel, contourné et ridiculisé par Eric Zemmour

|

La route de l’Elysée semble bien ouverte pour notre ami Eric Zemmour, même si certains malfaisants essayent de le faire “trébucher”. Première victoire : Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel

Après les auteurs à Succès qui quittent l’éditeur félon Albin Michel, c’est au tour de l’éditrice et directrice éditoriale des collections Lise Boëll (1) de rompre avec cette grosse maison d’édition ayant perdu ses repères déontologiques. Président d’Albin Michel et proche ami d’Emmanuel Macron, Gilles Haéri doit aujourd’hui méditer cet adage populaire “un malheur n’arrive jamais seul”.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2016/10/15/lise-boell-de-dora-l-exploratrice-a-eric-zemmour_5014261_823448.html

Comme l’a fait Sophie Roselli, cheffe du pôle enquête de la Tribune de Genève, par solidarité pour son rédacteur en chef Pierre Ruetschi, viré comme un “malpropre” à l’automne 2018, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction des éditions Albin Michel annonce son départ par solidarité avec Eric Zemmour, trahi par la maison d’édition où elle officie. Elle y travaillait depuis une vingtaine d’années. Une des rares photos de la discrète, mais redoutablement efficace, Lise Boëll, 54 ans, âme des éditions Albin Michel depuis une vingtaine d’années.

‌Rappelons les faits marquants ayant provoqué ces réactions en chaîne. Tout a commencé le mardi 29 juin par un communiqué d’Albin Michel. Gilles Haéri, le président de la maison d’édition, annonçait qu’il ne publierait pas le prochain livre d’Éric Zemmour « La France n’a pas dit son dernier mot »  dont le manuscrit, presque terminé, était prévu pour une sortie en septembre. La raison évoquée? La probable candidature de l’auteur à la présidentielle. Suite à de probables pressions de l’Elysée, Gilles Haéri étant un proche d’Emmanuel Macron.

Ce jour là, Eric Zemmour est lâchement abandonné par son éditeur Albin Michel. Ce dernier n’imagine pas l’effet de souffle qui va suivre cette “rupture”.

Manuscrit refusé par Albin Michel, la machine Zemmour grippée ?

Certains auteurs à succès, à l’image de Philippe de Villiers (dont les ouvrages à succès étaient toujours publiés chez Albin Michel) ont décidé de cesser leur collaboration avec l’éditeur.

Mais, le plus gros coup dur pour Albin Michel est le départ d’un de ses piliers, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction et éditrice de l’auteur Eric Zemmour (également chroniqueur au Figaro). Elle annonce qu’elle quitte la maison d’édition, par solidarité avec l’écrivain. 

Après l’ancien ministre Philippe de Villiers qui a claqué la porte du président d’Albin Michel, la réaction en chaîne amène donc Lise Boëll, l’éditrice de ces auteurs à grand succès, à quitter elle aussi la maison d’édition.

Lise Boëll, c’est l’âme des éditions Albin Michel. Celle qui a la confiance des grands auteurs. Difficile de confondre Eric Zemmour avec Calimero ou Philippe de Villiers avec Dora l’exploratrice ! Il existe toutefois un point commun entre ces auteurs à succès et ces héros enfantins : Lise Boëll, leur éditrice chez Albin Michel.

Selon Lise Boëll, “Cette décision s’inscrit dans une longue suite de péripéties internes”. C’est Lise Boëll, qui travaillait dans les essais politiques, après avoir été une éditrice à succès du secteur jeunesse, qui fut missionnée par Francis Esmenard, PDG d’Albin Michel et Richard Ducousset, directeur des éditions Albin Michel, pour récupérer Éric Zemmour après le succès de Mélancolie française (Fayard). En 2014, Le Suicide français paraît donc chez Albin Michel avec l’effet de souffle que l’on sait.

Tout s’est accéléré en 2019, avec l’arrivée de Gilles Haéri, le nouveau directeur de la maison Albin Michel. Cet ancien directeur de Flammarion, pas forcément à l’aise avec la part populaire et tonitruante d’une maison qui publia en son temps Jean Montaldo, conduit à l’isolement de Lise Boëll, de plus en plus marginalisée.

Pourtant les résultats sont là. Avec ses “mains d’or”, Lise Boëll publie le professeur David Khayat, le docteur Frédéric Saldmann, Philippe de Villiers… tous des best-sellers. Mais elle doit avaler de plus en plus de couleuvres. Cela se poursuit avec le livre du Cardinal Barbarin, dont le projet a été «stoppé» net, par la direction, du fait de «vives oppositions internes». Et probablement externes ! La décision de Gilles Haéri de ne pas publier Éric Zemmour ne pouvait que provoquer le départ de Lise Boëll. «C’est un drame de la liberté d’expression et d’édition», a expliqué Lise Boëll à un proche Reste à savoir où l’éditrice, qui reste associée à d’énormes succès d’édition, trouvera refuge: dans un grand groupe ou à son compte ?

Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel

Selon une indiscrétion confirmée par notre ami Eric Zemmour, le nouveau livre du probable candidat à la présidentielle de 2022, intitulé “La France n’a pas dit son dernier mot”, sortira dans les librairies le 15 septembre, Eric Zemmour confirme qu’il a décidé d’auto-éditer son livre.

https://ripostelaique.com/eric-zemmour-publiera-son-nouveau-livre-le-15-septembre.html

Eric Zemmour, censuré par Albin Michel et la quasi totalité des éditeurs français, a réussi à rebondir et à contourner l’odieuse censure du monde de l’édition. Il publiera bien son nouveau livre le 15 septembre. Du coup, Eric Zemmour impose son timing et une parution en septembre, à la veille d’une période électorale sensible à laquelle il est susceptible de participer, à la plus grande satisfaction de nombreux français.

L’ouvrage « La France n’a pas dit son dernier mot » paraîtra le 15 septembre et reprend la suite du « Suicide français » paru en 2014.

Dans ce nouveau livre, Eric Zemmour aborde divers sujets politiques et sociétaux ciblés, en revenant par exemple sur l’islam ou la théorie du grand remplacement.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

(1) Lise Boëll est une éditrice française née le 25 novembre 1966 à Paris.

Dans les années 2000, elle édite en France pour les éditions Albin Michel Dora l’exploratrice qui constitue un immense succès de librairie pour la maison d’édition.

Chez Albin Michel, elle est l’éditrice de l’écrivain à succès Éric Zemmour et de l’homme politique Philippe de Villiers.

Elle a été jusqu’en juillet 2021 directrice éditoriale non fiction aux éditions Albin Michel.