Carnaval des Gueux à Montpellier : fiasco du Préfet face aux gauchistes

 

On allait voir ce que l’on allait voir… bombement de torse, gonflement de biceps, effets de menton, la Préfecture de l’Hérault venait de se transformer en Poste de Commandement. A la suite de Saurel, mis en cause par les commerçants du centre-ville pour son laxisme, monsieur le préfet Pouëssel prenait un arrêté interdisant les rassemblements de plus de 3 personnes dans la zone de l’Écusson et déployait les forces de police à la limite de la haute et de la basse ville – comme quoi les choses ont peu évolué depuis le Moyen-âge puisqu’une porte de la ville se trouvait à l’époque rue de la Saunerie -. Moyennant quoi, les « dégueus » retrouvaient leur quartier de prédilection et se donnaient rendez-vous, en dehors du périmètre de sécurité de Monsieur Pouëssel, ce mardi gras, au Peyrou.

Forcément ce qui devait se passer se passa et les Montpelliérains médusés ont pu assister « en live » à une émeute urbaine dans une zone délimitée par l’Arc de Triomphe, Saint Denis, Rondelet, Place Salengro et le Plan Cabane. En fait Pierre Pouëssel, préfet de l’Hérault, né à Cherbourg à 1.000 kms du Clapas et grand stratège, a déshabillé Pierre pour habiller Paul en sécurisant les quartiers bourgeois totalement désertés ce jour-là à partir de 20 heures au détriment des quartiers populaires…

Malgré un déploiement impressionnant de forces de police CRS, Gendarmes mobiles, Bac, Police municipale, 2 canons à eau… 130 (oui, vous avez bien lu cent-trente) « dégueux » encadrés par une quinzaine de « No borders » encagoulés ont pu mener une guérilla urbaine pendant 4 ou 5 heures : voitures incendiées, mobilier urbain saccagé, incendies de conteneurs, mise à sac de chantiers, tags sur façades, vitrines brisées, journalistes TV dépouillés et policiers blessés, dont un grièvement à la tête, attaqué lâchement et par surprise… il faut rajouter que les nuisibles n’étaient pas venus les mains nues : barres de fer, cocktails Molotov, tessons de bouteilles, mortiers à feux d’artifice, bombes de peintures, pieds de biche… et même marteaux !

Au final la préfecture annonçait 5 interpellations – ce sont en général des lampistes fortement alcoolisés et titubants -, ce qui semble un mauvais rapport qualité-prix quand on met ce chiffre en regard des personnels de police déployés (plusieurs centaines). A signaler plusieurs bagarres avec les habitants excédés qui voulaient protéger, qui leur véhicule, qui leur petit commerce, qui leur tranquillité. Nous vous conseillons vivement la vidéo (jubilatoire) de Lengadoc-info qui a filmé une bagarre, place Salengro où les no-border se sont fait proprement rosser par des riverains qu’ils ont traités, en décampant, de « sales harkis ».

A la tête d’une délégation de la Ligue du Midi, Richard Roudier se déplaçait, durant une partie de la soirée, entre les rues de la Loge, rue Saint Guilhem et Grand-rue Jean Moulin où de nombreux commerçants s’étaient vu remettre la semaine précédente des tracts de la Ligue dénonçant le laxisme des pouvoirs publics.

Il semblerait que la députée « insoumise » de Montpellier, Muriel Ressiguier, tout en critiquant l’interdiction du carnaval, se soit, quelque peu, mise en retrait devant l’escalade des exactions commises par ses petits copains d’extrême gauche, alors qu’elle avait manifesté ces derniers mois, à deux reprises devant le Palais de Justice de Montpellier, puis devant le Commissariat de police pour défendre les no-borders Georges, Jules et Gaby auteurs de violences et menaces contre des policiers. Peut-être Muriel, comme elle l’a déjà fait pour la Ligue du Midi, va-t-elle demander au ministre de l’Intérieur la dissolution des groupes no-borders au titre de l’article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure, qui reprend la loi de 1936 sur les milices et bandes armées… Ne rêvons pas, ceci en raison de la porosité idéologique qui règne à l’intérieur de la gauche depuis les gauchistes jusqu’aux sociaux-démocrates en passant par les trotskistes, les communistes, les socialistes, les radicaux et qui influence jusqu’à la majorité départementale du Conseil Général sans parler des bobos libéraux-libertaires et d’une partie de la fausse droite.

Signalons enfin le traitement apporté, à ce qui est tout de même une émeute, par le quotidien que personne ne lit plus : « (les manifestants) ont joué au chat et à la souris »/« aucun blessé à déplorer » (les flics apprécieront)/« un cortège coloré »/« fêtards désorientés », « une fanfare les a rejoint pour les faire danser »/« le groupe a arrêté un fêtard sacrément énervé qui voulait monter sur un tramways » (sic) -Midi-Libre dans son édition du 14/02/18-… visiblement les journalistes n’ont pas assisté au même événement que le reste de la population…

Nous disons simplement au préfet, au maire, à la députée :

« tout le monde a pu constater que, contrairement à ce que vous voulez nous faire accroire via les médias, nous n’avions pas affaire à d’inoffensif fêtards, mais à des malfaisants organisés qui tombent sous le coup de la loi en tant que « bande armée » ; ces gens-là ne respectent rien et surtout pas vos arrêtés ni la loi qui stipule que toute manifestation doit être déclarée et les contrevenant poursuivis, vous les connaissez, vous savez où sont leurs repaires, leurs entrepôts, leurs squats et leurs bases de repli. C’est de votre responsabilité…

Agissez ou laissez la place ! »

https://www.facebook.com/lengadocinfo/videos/2077232982302053/

Vidéo Lengadoc Info

Richard Roudier




Les nationalistes corses ont sur les mains le sang du préfet Erignac

 

Quand les Corses remettent dans l’axe des musulmans qui veulent faire la loi sur la plage de Sisco, j’approuve à 100%.

Quand ils suppléent l’Etat défaillant, pour réclamer des comptes aux racailles qui agressent des pompiers, je soutiens totalement leur démarche citoyenne.

Quand ils vénèrent Napoléon, alors que la l’Etat poltron n’ose plus célébrer ce personnage illustre, pour ne pas déplaire aux Noirs qui en ont fait un esclavagiste, je suis du côté des Corses.

Quand ils déclarent qu’ils ne tolèreront aucun prêche d’imams radicalisés sur leur île, et que leur réponse sera immédiate et “sans états d’âme”, j’approuve aussi à 100%.

Mais quand les nationalistes confondent défense de leur identité et rébellion contre la République, je ne suis plus d’accord.

Rappelons que c’est “l’Etat colonial” qui subventionne cette île à 80%.

Rappelons que 35% des emplois corses relèvent de la fonction publique et sont financés par le contribuable républicain.

La Corse n’est pas la riche Catalogne, puisque 20% des habitants vivent sous le seuil de pauvreté.

Rappelons aussi que la France n’est ni Cuba, ni le Venezuela et qu’il n’y a pas de prisonniers politiques qui croupissent dans les geôles du continent.

Les détenus ont tous été jugés par un Etat de droit  respectueux de la démocratie.

Par conséquent, la violence verbale des “natios” devient intolérable.

Ils oublient que pendant plus de 40 ans ils ont transformé la Corse en zone de non droit, semant la mort à coups de règlements de comptes incessants, et posant leurs bombes par centaines à travers l’île.

Une sinistre époque où les cagoulés armés jusqu’aux dents, croyaient imposer leur loi alors qu’ils ne faisaient que mener les Corses dans une impasse.

Si toutes les régions de France s’étaient comportées comme la Corse, en opposition frontale avec la République, notre pays aurait fait un bond de 600 ans en arrière, revenant à l’époque de Louis XI, quand la France était morcelée.

Aucune région de France ne s’est mise hors la loi à ce point, allant jusqu’à assassiner un préfet de la façon la plus lâche et la plus ignoble possible.

Trois balles dans la tête alors que ce préfet marchait sans protection, n’est-ce  pas un acte terroriste des plus crapuleux ?

Accorder l’amnistie aux coupables serait porter un coup fatal à l’autorité de l’Etat et serait une insulte suprême à la famille du préfet Erignac.

Ce crime est inexcusable, impardonnable.

Saluons le courage et la dignité de Dominique Erignac et de ses enfants.

Les familles du “commando Erignac”, qui réclament le retour des prisonniers sur l’île, au prétexte qu’elles ne peuvent leur rendre visite comme elles le voudraient, devraient  d’abord penser à la femme et aux enfants du préfet pour lesquels il n’y jamais eu le moindre droit de visite pendant 20 ans !

La vie de cette malheureuse famille s’est désintégrée à la seconde où des barbares sans la moindre humanité ont décidé de tuer un innocent, au prétexte qu’il était le représentant de l’Etat français.

Cet assassinat ignoble restera comme une tâche  indélébile dans l’histoire de la Corse.

J’ajoute que si les nationalistes ont remisé au placard  armes et cagoules depuis 2014,  je n’ai entendu ni Talamoni, ni  Simeoni condamner les violences passées.

Or, la politique de la main tendue, ça consiste avant tout à reconnaître et à condamner les crimes du passé.

Par conséquent, quand les natios réclament du respect de la part de l’Etat, qu’ils commencent par respecter eux mêmes la République, ne serait-ce qu’en déployant le drapeau tricolore à côté de l’emblème à tête de Maure lors des manifestations nationalistes.

Ces natios semblent avoir oublié l’image d’un Bonaparte traversant le pont d’Arcole, en brandissant le drapeau révolutionnaire à bouts de bras pour entrainer ses troupes.

C’est bien le drapeau français que porte le général  corse le plus emblématique de tous les temps, ce monument de notre histoire de France, que vénèrent à juste titre tous les Corses.

Restons lucides, on n’écarte pas d’un revers de la main un drapeau pour lequel des millions de Français se sont sacrifiés, y compris des citoyens corses.

Un peu de décence envers les symboles républicains serait la bienvenue !

 

Description de cette image, également commentée ci-après

Tout le discours des élus nationalistes porte sur l’identité corse, la langue corse, le statut de résident, les “prisonniers politiques” et les revendications spécifiques anticonstitutionnelles, ce qui ouvrirait la porte, tôt ou tard, au scénario à la catalane.

Car sous couvert d’autonomie, les nationalistes purs et durs n’ont jamais abandonné leur objectif final, l’indépendance.

Or, non seulement la Corse n’est pas viable et ne pourrait supporter un divorce sans pension alimentaire, mais l’immense majorité des Corses souhaite rester dans le giron de la République.

La victoire des nationalistes n’est due qu’à l’abstentionnisme sans précédent qui a marqué les dernières élections.

Mais cette victoire facile, faute de combattants, leur monte à la tête.

Grisé par le succès électoral, le tandem Siméoni-Talamoni, a cru pouvoir imposer sa loi au gouvernement. C’est raté.

On aimerait les entendre parler de chômage, de développement économique, de pouvoir d’achat et de lutte contre la pauvreté.

Mais ils ne parlent que d’identité corse, langue corse, spécificités corses et amnistie des prisonniers “politiques”.

C’est consternant.

La Corse restera arrimée à la République parce que les natios sont et resteront minoritaires.

Et aux prochaines élections, il est certain que la majorité silencieuse, qui souhaite rester dans la République mais qui paie aujourd’hui le prix de son inconséquence, se déplacera en masse pour aller voter afin de décider elle-même de son avenir.

Car il est temps de mettre un terme aux rêves farfelus d’une poignée d’illuminés, qui vendent une indépendance illusoire, sans aucun moyen de subsistance !

La Corse, c’est 0,4% du PIB français. La Catalogne, c’est 20% du PIB espagnol !

Y a pas photo ! Le discours indépendantiste, c’est du vent.

Jacques Guillemain




Les Zadistes montrent leur cul à Madame le Préfet, mais tout va très bien !

Madame le préfet de Loire-Atlantique, Nicole Klein, a rendu visite aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes.

Cette visite a surtout été une occasion de voir à l’œuvre la propagande gouvernementale.

Après sa brève déambulation sur les restes de bitume de la départementale 281, la représentante de l’Etat s’est dit enthousiasmée par ce qu’elle a vu sur la “route des chicanes”  : «  Le retour à l’État de droit  », « Une avancée considérable », « La route est dégagée, les fossés sont dégagés ».

Elle a bu un verre de cidre avec les pseudo agriculteurs, discuté avec les zozos crasseux et, épanouie comme une astronaute sur la Lune, elle s’est félicitée d’avoir « marché et roulé sur la route », « étape fondamentale ».

Un petit pas pour Madame le préfet, un grand pas pour le gouvernement Philippe.

Au point presse à la mairie de Notre-Dame-des-Landes, elle a déclaré : « Nous ferons tout pour que rien ne bloque cette route. À partir de lundi, une remise en état va commencer, par un diagnostic.  »

Le coût de la remise aux normes est estimé entre 600 000 et un million d’euros. Madame le préfet a bien sûr précisé que l’Etat prendrait en charge le coût des travaux. Autrement dit, ces cons de contribuables que nous sommes paieront les dégradations de la racaille zadiste.

Macron et Philippe c’est aussi cela : faire payer aux gueux la restauration de ce que l’Etat “zupitérien” a été incapable de protéger.

Mais surtout Nicole Klein et la plupart des journaleux qui l’accompagnaient ont refusé de voir quelques éléments intéressants du bocage.

D’abord, précisons que la représentante de l’Etat n’était pas particulièrement seule durant sa balade bucolique dans la zone à zozos : véhicule que certains ont même vu blindé, dizaines de gendarmes mobiles en protection (plus, sans doute, des négociations en amont pour que tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes de la communication).

Pour l’entrée de Madame le préfet dans la zone à débiles, une haie d’honneur de culs zadistes.

Comme nous le savons, montrer son cul est légèrement plus méprisant que le fait de tourner le dos à quelqu’un. Mais Nicole Klein tout à son idée d’être la première à marcher sur la RD 281, a dû croire que cette invitation lunaire était de bon augure.

Neil Armstrong me voilà.

Plus loin, des types encagoulés qui faisaient la circulation n’ont pas davantage perturbé madame Klein. Il est vrai qu’elle a l’habitude de voir dans les rues nantaises, des hordes d’encagoulés saccagés périodiquement le centre-ville.

Madame le préfet n’a pas, non plus, pris le temps de lire la délicate prose de nos poètes de la lande, prose disposée comme autant de bouquets de fleurs le long de la route : “Barricades pré-faites”, “Yes Chicane”.

Nicole Klein est la personnification de la nullité de l’Etat macronien.

Venue à Canossa pour faire allégeance à des crétins chevelus, occupants illégaux de terrains nous appartenant (ayant été rachetés par l’Etat, ils sont donc la propriété de tous les Français et pas de cette minorité de fumeurs de joints), la représentante de Macron sur terre (mariligérienne – il paraît que c’est ainsi que l’on nomme les habitants de la Loire-Atlantique) s’est prêtée à cette comédie honteuse, cet abaissement de l’autorité de l’Etat.

Son attitude illustre parfaitement la politique philippo-macronienne de force contre les faibles (hausse de la CSG sur les retraites, hausse du gazole et la limitation à 80 km/h qui touchent surtout la France périphérique…) et de faiblesse envers les forts (Versailles pour les plus riches de la planète avec en supplément un discours servile à Davos, métamorphose en carpette devant les grands patrons avec cadeaux fiscaux à la clé…).

Quand transformerons-nous la France en vraie ZAD, zone à défendre contre tous les salopards qui la salissent depuis des décennies, qui la laissent envahir sans broncher, qui la dépècent de son industrie, qui la vendent au plus offrant ?

Marcus Graven




Le préfet du Lot Filipini préfère s’en prendre à un élu FN qu’aux islamistes

La saga continue. Ou plutôt le bras de fer entre d’un côté Emmanuel Crenne, responsable départemental FN, et, de l’autre, le Préfet Jérôme Filippini,- le procureur – les responsables de la mosquée.

On pourrait penser que tout cela est très disproportionné mais on ne vient pas à bout comme cela d’un Emmanuel Crenne qui se bat et se défend comme un beau diable pour alerter les autorités et la population des risques liés à la mosquée de Souillac que le Préfet refuse de faire fermer.

Souillac : Jérôme Filippini, Préfet du Lot, ne sait pas que dans les mosquées, on incite à la haine ?

Nous avons rapporté ce matin les différents épisodes de l’affaire :

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/18/mosquee-de-souillac-le-responsable-fn-denonce-le-laxisme-detat-au-tribunal-des-le-lendemain/

Depuis, les plaintes tombent dru contre le Conseiller régional FN, d’autant que, cerise sur le gâteau, un petit plaisantin aurait – horresco referens –  envoyé une « lettre de menaces » à la mosquée et déposé la tête d’un cochon brûlé sur la porte d’icelle.

Comme d’habitude, on peut penser que la lettre de « menaces « est sans doute plutôt anecdotique, eu égard à la rhétorique victimaire que l’on lit sur les forums et les comptes facebook ou twitter du CCIF… Et puis, quand on a vécu Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice… pour ne parler que des plus connus, entendre parler de menaces pour une simple lettre ou une tête de cochon, ça pourrait faire doucement rigoler, ça fait en fait hurler.

Naturellement également, l’association qui dirige la mosquée  accuse nommément Emmanuel Crenne d’avoir « armé » la main du petit rigolo… Et il est bien possible que les juges considèrent que ce sont ses tracts, allégations et compagnie qui sont responsables de ces deux terribles attentats !

L’association insiste sur cette transparence et évoque son profond désarroi après avoir découvert « une lettre de menaces et la tête d’un cochon brûlé sur la porte de la mosquée suite aux propos de Monsieur Crenne.

https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/18/2724317-fn-lotois-association-al-nour-affrontent-apre-combat-terrain-judiciaire.html

Jean-Luc Garcia, le journaliste, terriblement objectif, ajoute tout de go :

Deux éléments de plus qui pourraient peser dans la balance de la justice.  S’il le dit… Et il est fort possible qu’il trouverait cela normal, le journaleux qui n’a aucun scrupule à parler de « parti d’extrême-droite » à propos du FN…

Et son confrère de Medialot,Thibaut Souperbie,  se contente de rapporter les propos ahurissants du Préfet sans pointer du doigt ses énormités :

Le préfet du Lot, Jérôme Filippini, a tenu à mettre les points sur les i suite à la conférence de presse d’Emmanuel Crenne du 12 janvier : « A l’occasion d’une conférence de presse, M. Emmanuel Crenne, conseiller régional d’Occitanie, fait état d’informations qui auraient été communiquées par lettre anonyme au parti dont il est le secrétaire départemental, informations qui l’ont amené à me demander de fermer la mosquée de Souillac. De plus, dans un tract intitulé « islamisme, danger à Souillac », M. Crenne fait état d’un certain nombre d’informations, qui reprennent les déclarations qu’il avait faites sur le même sujet le 21 octobre 2017. Je dois tout d’abord contredire une nouvelle fois les affirmations concernant le nombre d’individus fichés S ou faisant l’objet d’une surveillance des services spécialisés dans le département, qui ne correspondent pas à la réalité du Lot, sauf à vouloir créer un climat de peur et de défiance vis à vis de certains de nos concitoyens.Ensuite, je redis ma totale confiance dans l’action des services qui assurent au quotidien, chacun dans leur domaine, la protection des lotoises et des lotois contre le risque terroriste. Il convient en ce domaine de les laisser travailler discrètement et efficacement. Enfin, je rappelle que la fermeture d’un lieu de culte par le préfet est régie par les articles L227-1 et L227-2 du code de la sécurité intérieure. Cette mesure tend expressément à prévenir la commission d’actes de terrorisme, et elle vise uniquement les lieux dans lesquels « les propos qui sont tenus, les idées ou théories qui sont diffusées ou les activités qui s’y déroulent provoquent à la violence, à la haine, à la discrimination, ou provoquent à la commission d’actes de terrorisme ou font l’apologie de tels actes ». Or, à ce jour et en l’état des informations dont je dispose, ni la mosquée de Souillac ni aucun autre lieu de culte du département ne répond aux critères légaux qui pourraient me conduire à engager une procédure de fermeture.»

Lire l’ensemble de l’article ici :

http://medialot.fr/fn-46-mosquee-de-souillac-le-feuilleton-continue/

Dans son désir effréné de se justifier, d’expliquer pourquoi, quoi qu’en dise le FN, il ne ferme pas la mosquée de Souillac, le Préfet est très bavard. Trop.

D’abord, il révèle que son premier souci est bien de protéger les musulmans, fût-ce au prix du danger couru par nos concitoyens non musulmans.  Bref, des nouvelles décapitations plutôt que de voir les non musulmans se défier des musulmans susceptibles d’être de futurs terroristes. D’une logique à toute épreuve. Cela s’appelle la politique macronienne. Cela s’appelle la préférence étrangère. Cela s’appelle le non respect d’une des fonctions régaliennes de l’Etat, la sécurité.

Ensuite, et là c’est Byzance, il rappelle qu’il ne peut fermer un lieu de culte que si les propos ou activités qui s’y déroulent provoquent à la haine, à la discrimination, provoquent à la commission d’actes de terrorisme ou font l’apologie de tels actes.

Et ça, c’est du poulet ? 

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association (d’autres divinités à Allah) et que la religion soit entièrement à Allah seul… » (coran 2.193).

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association (d’autres divinités à Allah), et que la religion soit entièrement à Allah… » (coran 8.39).

Ibn Jarir a dit : « Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et qu’Allah seul soit adoré sans partenaire ni associé, et que les afflictions et les calamités, qui sont la mécréance et le polythéisme, soient arrachées de la Terre par les esclaves d’Allah, et que la religion soit pour Allah seul, et afin que l’obéissance et l’adoration soient consacrées à lui seul et à personne d’autre ».

Ibn Kathir a dit : « Allah nous a ordonné de combattre les mécréants jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de fitna, c’est-à-dire d’association, et que la religion soit entièrement et seulement consacrée à Allah, c’est-à-dire que la religion d’Allah triomphera de toutes les autres religions ».

Le prophète a dit : « On m’a ordonné de combattre les gens jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’y a de Dieu qu’Allah et que Mohammad est le Messager d’Allah, et qu’ils accomplissent la prière et paient la zaka, s’ils le font, alors ils sauveront leurs vies et leurs biens de moi excepté de la loi islamique, et leur jugement revient à Allah ». (Rapporté par al-Boukhâri et Moslim).

33.27Et Il vous a fait hériter leur terre, leurs demeures, leurs biens, etaussi une terre que vous n’aviez point foulée. Et Allah est Omnipotent.

« Le Prophète a dit : La Résurrection n’arrivera pas avant que les musulmans ne combattent les Juifs et que les musulmans les tuent. Les musulmans tueront les Juifs, s’en réjouiront, se réjouiront de la victoire d’Allah. Les msulmans tueront les Juifs et ceux-ci se cacheront. » (hadith rapporté notamment par Mouslim 2921 et par Boukhari 2926).

. « Le Messager de Dieu a dit : “Ne viendra l’Heure que lorsque vous combattrez les Juifs, que lorsque la pierre derrière laquelle se cache le Juif dira : « musulman ! Voici un Juif derrière moi, tue-le ! »

. « Le Prophète a dit : Les juifs se cacheront derrière l’arbre et le rocher et l’arbre et le rocher diront « Ô serviteur d’Allah ! Ô musulman ! Il y a un juif derrière moi, viens le tuer. »

Extraits du Coran proposés par notre ami Philippe Jallade, trop tôt disparu, dans différents articles écrits pour Résistance républicaine

J’imagine l’air atterré de Jérôme Filippini… Avec les articles  L227-1 et L227-2 du code de la sécurité intérieure, on devrait, on doit… fermer TOUTES LES MOSQUEES. 

Enfin atterré… Menteur, plutôt. On ne me fera pas croire qu’un Préfet ne reçoit pas suffisamment de rapports de RG pour ne pas savoir ce qui se dit et se fait dans toutes les mosquées.

Le Préfet sait. Collomb sait. Macron sait. Mais reconnaître que, à chaque prière, il se dit des horreurs interdites par la loi dans les mosquées, c’est reconnaître qu’il faut interdire l’islam et fermer toutes les mosquées…. Et alors là, les émeutes, le scandale au niveau international, le pétrole, le gaz… tout ça pour éviter quelques Bataclan, vous n’y pensez pas. La paix des lâches vaut bien quelques centaines de victimes innocentes pour ces policiticiens de merde, comme dirait Trump.

Panique à bord. Alors ils tapent sur ceux qui disent la vérité, alertent, dénoncent, préviennent et voudraient bien, comme Emmanuel Crenne, qu’il n’y ait pas de Laura et de Maurane dans son département.

Faites savoir au Préfet que nous sommes des millions à savoir…

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/oui-nous-sommes-des-millions-a-savoir-ce-qui-se-dit-dans-les-mosquees-dites-le-au-prefet-du-lot/

Christine Tasin

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/souillac-jerome-filippini-prefet-du-lot-ne-sait-pas-que-dans-les-mosquees-on-incite-a-la-haine/

Lire également :

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/oui-nous-sommes-des-millions-a-savoir-ce-qui-se-dit-dans-les-mosquees-dites-le-au-prefet-du-lot/?