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Coup de chapeau au sénateur UMP Alain Milon qui propose une loi mettant fin au régime coranique de la kafala

Il a fallu une proposition de loi pour que nous découvrions qu’existe, dans la législation française, grâce à la majorité socialiste de l’époque (en 2001, et il y a encore des naïfs pour prétendre ne pas comprendre pourquoi Jospin a été battu …) un texte affirmant carrément le primat de la “loi personnelle” de l’enfant (autrement dit la loi coranique) sur la loi française…
« L’adoption d’un mineur étranger ne peut être prononcée si la loi personnelle prohibe cette institution, sauf si ce mineur est né et réside habituellement en France. » (Loi n° 2001-111 du 6 février 2001 relative à l’adoption internationale). Comme le dit Alain Milon dans sa proposition de loi, “on ne peut être plus clair : ce texte impose aux juges français d’appliquer la loi du pays de naissance des enfants recueillis en kafala et leur interdit d’appliquer la loi française, contrairement aux règles énoncées par la loi du 6 février 2001 en matière”.
Ahurissant !
Qu’est-ce que la kafala ? C’est la façon, en Algérie et au Maroc, d’accueillir un enfant sans famille, pratique qui ne coupe pas l’enfant de sa famille d’origine comme l’adoption chez nous. C’est sans doute pour cette raison que deux gardes des sceaux du gouvernement Jospin, Elisabeth Guigou et Marilyse Lebranchu ont fait des pieds et des mains pour que les enfants marocains ou algériens accueillis en France sous système de kafala ne soient pas adoptables légalement par leur famille adoptive. La première a mis son veto (16 février 1999) à l’adoption des enfants kafala adoptés par des Français, de crainte que ces enfants ne soient coupés de leurs racines (autrement dit morte de peur à l’idée qu’un enfant né musulman pourrait être élevé en entendant “nos ancêtres les Gaulois”) et la seconde en permettant que figure au Code Civil l’extrait cité plus haut de la loi de 2001, pour les mêmes raisons.
Il ne faut pas creuser bien loin pour repérer, dans ce passé relativement récent, les racines du mal dont souffre la France actuellement et pour en vouloir, encore plus si c’était possible, aux socialistes qui ont détricoté l’amour et la fierté de notre pays à coups de lois auxquelles personne n’a vraiment prêté attention, englué dans l’atmosphère “acceptons toutes les cultures, elles se valent et en tout cas elles valent mieux que la française”.
Nous ne savons pas si la proposition de loi d’Alain Milon sera votée… En tout cas elle a le mérite de poser publiquement un problème de fond. Ecoutez Xavier Lemoine nous parler du régime de la kafala qui prévaudrait en Seine Saint Denis, encouragée par le Conseil Général et la CAF ! Et totalement illégalement, puisque, si la loi, jusqu’à présent interdisait l’adoption d’enfant sous le régime de kafala, cela ne concernait obligatoirement que les enfants nés à l’étranger, ce qui n’est sans doute pas le cas de ceux qu’évoque le maire de Montfermeil…
XavierDéfrancisation, qui n’a pas lu ou en tout cas pas compris le texte, n’importe pas la kafala en France mais fait cesser un scandale.
L’exposé des motifs de la proposition de loi, bien que complexe, est fort intéressant, et on y découvre qu’en France, des enfants, parce qu’ils sont nés ailleurs, de parents biologiques décédés ou qui les ont abandonnés, sont condamnés à ne pas pouvoir porter le nom de ceux qui les élèvent, à ne pas pouvoir en hériter, à avoir un statut hybride au nom du respect d’une culture/appartenance d’origine qui enfermerait chacun, dès sa naissance, dans un communautarisme dommageable ! On s’étonne ensuite que la Marseillaise soit sifflée…
Alors oui, coup de chapeau à Alain Milon, qui, contrairement à ce qu’a affirmé le site
Christine Tasin
Résistance républicaine




Le revenu citoyen de Villepin : pire que le RMI de Rocard, une insulte à la valeur travail

La gauche le promet depuis des lustres et a tout fait pour nous habituer peu à peu à cette idée ?  Villepin l’a fait ! Il s’agit de l”une de ses promesses de campagne : on rase gratis ! Tant pis pour le barbier condamné à être le seul à travailler pour les beaux yeux du rasé et à se contenter de vivre d’amour et d’eau fraîche.
La grande invention de Villepin ? Un revenu qu’il ose nommer “citoyen”,qui permettrait à chacun de survivre en donnant de temps en temps des petits coups de mains, volontaires,  à des associations, ou bien en faisant acte de création (autant dire 850 euros de prime pour faire du macramé,  pour creuser des citrouilles pour halloween ou pour donner des coups de main gratuits aux associations qui croulent déjà sous les subventions comme SOS racisme pour les aider à attaquer tous ceux qui ne pensent pas droit et parfaire leur destruction de la France… )
Eh bien cela signifie, en clair, que tous les courageux qui, jusqu’à présent, faisaient, pour 1050 euros nets,  l’effort de se lever, de se prêter à des horaires et à des tâches qui n’avaient rien d’agréable pour, tout simplement, gagner leur pain  quotidien et participer au fonctionnement de la société étaient ou seront, s’ils persistent, des imbéciles.
En proposant 850 euros à ne rien faire, sans rien imposer en échange, Villepin signe l’arrêt de mort d’une société de la solidarité et de l’échange pour la remplacer par une société de l’individualisme à tout crin où l’on encourage chacun à considérer que “l’Etat”, “la société” et donc “les autres” vous doivent tout et qu’il est tout à fait admissible d’envisager de passer sa vie aux crochets de ceux qui travaillent !
Il est évident que Villepin, comme l’ont fait Rocard puis Sarkozy avec le RMI et le RSA, jouent sur la corde sensible : qui peut admettre que l’on regarde crever de faim des jeunes gens, des pères et mères de famille, des seniors sans travail qui ont éclusé tous leurs droits au chômage ? Personne. D’ailleurs personne n’a l’idée de dire que si on sortait de l’Europe et de la zone euro pour faire cesser les délocalisations et recréer  un tissu industriel il y aurait moins de chômage et moins de misère.  D’ailleurs personne n’a l’idée de dire que si on faisait cesser l’immigration les emplois seraient plus nombreux et les salaires meilleurs…  Alors, bien sûr, la grande idée du revenu minimum versé à tous sans condition est tentante, sauf que…
Sauf que la somme versée est trop importante par rapport au smic (et on ne parle pas de tous les temps partiels imposés) pour que les salariés et notamment les femmes, continuent d’aller au boulot.
Sauf qu’il n’y a pas de meilleure façon de dévaloriser à jamais la valeur travail en faisant une société d’assistés et d’oisifs partageant, dès 18 ans, leur temps entre TF1 et  les beuveries sur la voie publique avec l’idée terrifiante donnée aux enfants qu’il n’y a rien à espérer en travaillant à l’école ou en grandissant. Bref, on ne saurait mieux faire pour que le niveau culturel et moral  de ce bas peuple régresse et cesse d’être un danger. Qui aurait l’idée folle de voter contre Bruxelles, le TCE, les délocalisations etc. si on était assuré de ne devoir jamais travailler et de pouvoir néanmoins vivoter ?
Sauf que si tous les Français (Villepin introduit la notion de préférence nationale, sans que cela pose problème apparemment, à ceux qui la pourfendent quand elle vient du FN) peu ou mal payés, au chômage etc cessent de travailler ou de demander du travail, il va falloir, forcément, faire entrer encore plus d’immigrés, légaux ou illégaux, pour accomplir les multiples tâches nécessaires à la vie en société ou à la vie tout court. Qui fera les routes ? Qui sera le coiffeur de ces dames ? Qui fera le ménage dans les hôpitaux ou s’occupera des personnes âgées ? Qui répondra au téléphone et gèrera restaurants et hôtels ? Qui élèvera les volailles ou les bœufs (et les sacrifiera selon le rite halal) ? Qui envahira absolument tous les secteurs, toutes les villes, toutes les entreprises ??? Tous ceux qu’on appellera à venir de l’étranger, les plus pauvres, les plus démunis, les moins capables de se rebeller mais les plus étrangers à nos valeurs, à nos traditions, tous ceux dont on fera miroiter qu’ils paieront les retraites des seniors et leur feront leurs courses (leur interdisant de fait de manger du porc…), tous ceux qui se partageront un pays qui n’a plus d’industrie ni de richesses, juste habité par des zombies de 18 ans attendant que la vie passe en musique et des vieillards ne reconnaissant pas leur pays, notre pays, la France.
Voilà l’invention de Villepin, la fausse bonne idée ! Il est clair qu’Attali et  Bruxelles ne sont absolument plus crédibles quand ils veulent nous convaincre du bien-fondé de l’immigration, au moment où  même un Cameron menace de sanctions rétro-actives les travaillistes ayant fait entrer trop  d’étrangers en Grande Bretagne ces dernières années. Alors il faut bien que nos traîtres et collabos en tous genres trouvent une façon de contourner le problème et de renverser la vapeur. Ils ont trouvé leur Chamberlain en la personne de Villepin, celui qui voulait il y a six ans inventer un sous-contrat de travail aux jeunes, celui qui a commencé sa campagne présidentielle de 2012 par une tournée au Maghreb et dans les banlieues islamisées, bref, celui qui caresse le rêve de remplacer la population française par une autre, corvéable et malléable à merci, rendue obéissante par sa religion majoritaire, celle qui prône la soumission, l’islam, pour le plus grand bonheur des patrons du cac 40, des spéculateurs en tous genres, de la Commission Européenne, de l’OMC et du FMI…
Villepin-Strauss-Kahn ? La sainte alliance…  Les deux affament les peuples, les contraignent à vivre avec de moins en moins de moyens et de confort, pour que naisse un monde standardisé débarrassé de ses irréductibles Gaulois.
Ils peuvent toujours rêver. Nous serons leur cauchemar.
Christine Tasin
Résistance républicaine




Jihad dans le 93

Le sympathique activiste de Forsane Alizza, qui avait défrayé la chronique à Limoges en septembre, continue son tour de France de l’appel à la haine des Français, en toute impunité.
Cette fois, il est dans le 93, où il tente de faire pleurer sur le sort des musulmans et de déclencher l’intifada contre la France.
Ecoutez-le parler de notre pays, “maudit”, “des mécréants” et des “chiens” que nous sommes…
Je me demande si SOS Racisme qui poursuit Guéant pour des paroles fort anodines va poursuivre le prédicateur fou…

Christine Tasin
Résistance républicaine




Le Conseil général de Val de Marne propose des repas halal aux élèves en classe de neige

Oui, vous avez bien lu. Une collectivité locale, qui est censée et appliquer la loi et respecter la laïcité et la neutralité nécessaires à tout service public subventionne les mosquées en achetant du halal et prend ouvertement en compte une revendication religieuse pour l’élaboration des menus scolaires…
Voir ci-dessous la fiche à compléter par les parents dont les enfants partent en classe de neige.

On notera, et on en est atterrés, que l’on propose deux choix qui ont un rapport étroit avec la religion musulmane : “régime sans porc” et “régime halal” accompagnés, pour, de façon évidente, “noyer le poisson”, d’un repas végétarien. Comme si les enfants végétariens étaient en nombre important, plus important par exemple que les enfants catholiques qui auraient pu, au point où on en est, se voir proposer un repas avec poisson le vendredi… qui, finalement, dans un pays de tradition chrétienne choquerait moins que ce “halal”, mot inconnu de la plupart des Français il y a encore deux ans, et pratique inexistante auparavant.
Oui, le halal était inexistant en France jusqu’à ces dernières années. Pourtant, des générations de musulmans se sont installées en France depuis cinquante ans. Se sont-ils laissés mourir de faim ?
Pas du tout, ils ont vécu, ils ont mangé, sans problème, de la viande non halal et sans même avoir l’idée de la revendiquer. Ils étaient en terre non musulmane, ils devaient se nourrir, et à ce titre ils avaient licence de manger haram. Comme leurs enfants ont la licence de manger haram à la cantine ou en voyage scolaire.
Or, voici que parce que ce pays comporterait de 10 à 15 % de musulmans, il faudrait qu’il prenne en compte des particularités alimentaires qui conduisent à tuer de façon cruelle des animaux ? Depuis quand la France est-elle devenue terre d’islam ?
Il est évident qu’il s’agit d’un flagrant délit de violation de nos lois, pour des raisons inacceptables.
Le Conseil général de Val de Marne, par cette mesure, multiplie les infractions et les trahisons de la France et de la République.
D’abord, il s’agit de satisfaire des demandes particulières, liées à un confort personnel qui n’a pas lieu d’apparaître dans un service public, qui ouvre la porte de tous les communautarismes, de tous les particularismes (à quand un régime végétalien, à quand un régime asiatique avec riz à tous les repas ?).
Ensuite, ces régimes particuliers sont des obstacles à l’intégration et au vivre ensemble, ils apprennent aux enfants, dès l’école primaire, que l’on ne se mélange pas, que l’on ne mélange pas plus les musulmans et les non-musulmans que les filles et les garçons, introduisant un régime d’apartheid dans la vie quotidienne.
De plus, les pouvoirs publics, en proposant ces choix, concourent aux difficultés de la filière porcine, pourtant très importante en France, et deviennent, d’une certaine façon, en partie responsables des difficultés des éleveurs de porc qui voient déjà leur production disparaître des plateaux servis dans les avions…
Enfin, le conseil général du Val de Marne, participe, en plus, à de la discrimination à l’embauche, puisque les abattoirs recrutent des sacrificateurs/égorgeurs MUSULMANS pour la viande halal, pour la viande en général puisqu’il est plus rentable de tuer tous les animaux d’un abattoir selon le rite halal que de faire deux systèmes différents. Ce qui explique que pour 10 à 14% de musulmans, 40 à 60% des animaux qui sont tués en France pour la consommation le soient de façon halal.
Justement, peut-on passer sous silence le fait que, lorsqu’il y a de la viande halal dans une cantine, il y a de fortes chances pour que TOUTE la viande de la cantine soit halal, et soit servie à tous les enfants, musulmans ou pas, puisqu’elle ne saurait voisiner avec du porc ou de la viande non halal qui la rendraient impure (ce qui explique les restaurants halal, paraît-il…) ce qui revient à dire que le Conseil général de Val de Marne impose un rite religieux aux élèves qui lui sont confiés…
Peut-on accepter de telles pratiques ?
Je vous invite à dire votre façon de penser au Président du Conseil général du Val de Marne et aux conseillers généraux
Conseil général du Val-de-Marne
Hôtel du département
Avenue du Général De Gaulle
94000 Créteil
Contact
P.S. N’oubliez pas, non plus, de féliciter le maire de Strasbourg, Roland Ries, qui a prononcé cette phrase historique : « Nous servons de la viande halal par respect pour la diversité, mais pas de poisson par respect pour la laïcité ». Comment mieux dire la haine de nos élites, tout particulièrement de gauche, pour le catholicisme et leur coupable penchant pour l’islam, symbole de la diversité…
Contact mairie de Strasbourg : courrier@strasbourg.eu
Christine Tasin
Résistance républicaine




Un juge requiert 3 mois de prison avec sursis contre Calimero, coupable d'avoir brûlé 2 pages du Coran !

Quelque chose est pourri en cette République de France.
 
 

3 mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende requis contre Calimero pour avoir brûlé deux pages de coran transformées en avion imitant ceux qui se sont jetés contre les twin towers le 11 septembre 2001 et les avoir éteintes en urinant dessus. Nous avons déjà dit ici à quel point la liberté d’expression nous paraissait menacée par la procédure judiciaire qu’encourt le Strasbourgeois.
Que la licra et la grande mosquée de Strasbourg aient jugé bon de porter plainte pour provocation à la haine raciale laisse pantois, que le procureur n’ait pas classé sans suite est inquiétant, qu’une amende et de la prison avec sursis aient été requis révolte littéralement tous les citoyens honnêtes de ce pays.
Décidément il ne fait pas bon rappeler en notre bon pays que les milliers de morts du 11 septembre 2001 l’ont été par le fait de terroristes qui se référaient explicitement à l’islam. Il paraît que rappeler les crimes de musulmans inciterait à la haine… A quand la condamnation de Plantu pour le dessin paru dans l’Express où il faisait un lien évident entre islam et massacre des coptes ?


Bref, dire la vérité est devenu de l’incitation à la haine raciale, comme cela a été le cas il y a peu lors du procès Zemmour.
Les choses ne vont pas dans le bon sens : rappelez-vous, lors de l’affaire des caricatures,  Charlie Hebdo avait été relaxé malgré l’hystérie des plaignants et les manifestations. Gageons que si le procès avait lieu aujourd’hui Boubakeur et compagnie auraient eu gain de cause.
On constate en effet que les Boubakeur, Moussaoui, Jakubowicz et autres Aounit sont en train, à pas de loups, de faire appliquer, en France, les résolutions pour interdire le blasphème que l’Organisation de la Conférence Islamique s’ingénie à faire voter à l’ONU et qui étaient restées lettre morte jusqu’à présent.
Bref les Raoult et autres Roubaud (autre député UMP qui a déposé une proposition de loi visant  à interdire propos et actes injurieux contre toutes les religions) ne sont pas parvenus à faire passer leurs propositions de loi ? Qu’importe, les juges inventent des lois afin de créer des jurisprudences qui les remplacent.
Nous croyions qu’en France la liberté d’expression était garantie. Nous croyions qu’en France la loi de 1905 reléguait les religions dans la sphère privée. Nous croyions qu’en France on avait le droit de brûler, publiquement ou pas,  tous les livres qui nous appartiennent et même d’uriner dessus, parce que nous nous croyions au pays des droits de l’homme.
Grave erreur : nous sommes au pays des droits de l’islam. Nos juges transforment  nos tribunaux en tribunaux coutumiers chargés de vérifier si l’on applique bien la charia…
A quand des coups de fouet aux femmes non voilées ou décolletées, messieurs les juges ?
A quand des peines de prison pour ceux qui mangeront en plein jour pendant le ramadan, messieurs les juges ?
A quand l’impunité pour ceux qui agressent juifs et chrétiens, messieurs les juges ?
Voilà où on en est, en 2011. La résurgence de la pire des barbaries est chez nous.
Ecrasons l’infâme, disait Voltaire. Ecrasons le coran, écrasons l’islam, oui car il nous fait courir le pire des dangers, celui de ne plus être que des hommes et des femmes soumis aux préceptes moyenâgeux d’un chamelier inculte, violent, polygame et pédophile.
Car ne nous y trompons pas, l’accusation d’incitation à la haine raciale ne cherche qu’à protéger le seul  islam, qu’à mettre l’islam au-dessus des lois, au-dessus des hommes.
La preuve ?
Il suffit d’imaginer…
Imaginons Mélenchon, dans une de ses colères dont il a le secret contre le catholicisme, qui déchirerait quelques pages de la Bible et les brûlerait au nom des victimes des croisades. Qui s’en soucierait ? Qui ne rirait pas au nez des quelques juifs ou chrétiens qui protesteraient ?
Imaginons un Sarkozy déchirant et brûlant son exemplaire du Capital au nom des millions de victimes du Goulag. Qui s’en soucierait ? Qui ne rirait pas au nez des quelques communistes qui protesteraient ?
Imaginons un Jakubowicz déchirant et brûlant l’œuvre de Céline au nom de la shoah. Qui s’en soucierait ? Qui ne rirait pas au nez des amateurs de littérature qui protesteraient ?
Mieux encore, imaginons le forcené de Forsane Alizza de Limoges brûlant le Nouveau testament, ce livre des Infidèles qui, comme le Code pénal qu’il a piétiné, ose “ne pas parler des musulmans”. Qui s’en soucierait ? Qui ne rirait pas au nez des quelques chrétiens qui protesteraient ?
Resterons-nous les bras croisés ? Accepterons-nous ce risque majeur que court la liberté d’expression, la liberté tout court ?
Non.
Résistance républicaine va vous proposer des actions pour soutenir Calimero et défendre la liberté d’expression dans les jours et semaines à venir. Pensez à aller de temps en temps voir les derniers articles sur l’espace public de notre site.
En attendant, vous pouvez aider Calimero en envoyant votre participation à Résistance républicaine, 101 Avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14
Christine Tasin
Résistance républicaine




Ils voulaient demander la suppression de la démocratie et l'instauration de la charia en France…

C’était une manifestation qui devait avoir lieu aujourd’hui et qui a été interdite. Non pas parce que demander la suppression de la démocratie et la suppression de nos lois pour les remplacer par la charia, (oui, carrément, on n’a peur de rien, en France… et surtout pas des propositions minables faites par l’UMP) cet ensemble de douces régles prônant, entre autres, la lapidation, ait posé un problème au Préfet de Paris mais parce qu’il risquait d’y avoir des contre-manifestations et qu’il aurait pu y avoir trouble à l’ordre public… Le même prétexte avait été utilisé pour interdire l’apéro saucisson-pinard du 18 juin… Or, s’il  paraissait saugrenu d’interdire l’apéro saucisson-pinard parce que des ennemis de la démocratie et de la liberté d’expression menaçaient de contre-manifester (ce sont eux qui doivent être interdits et les forces de police doivent faire leur travail, tout simplement)  il n’y avait aucun appel à contre-manifestation aujourd’hui et le contenu de l’appel aurait dû suffire à non seulement une interdiction mais une mise en examen des responsables pour  appel à insurrection !
Cette manifestation avortée est intéressante, au plus haut point, à plus d’un titre.
D’abord, Résistance républicaine n’a pas appelé à contre-manifester : en effet, à nos yeux, c’est aux pouvoirs publics de délivrer autorisations ou interdictions de manifester au nom du bien commun, ce n’est pas aux citoyens ou groupes lambda de chercher à imposer par la violence et/ou  le rapport de force leur loi. Mais, surtout, nous voulions que les Français  voient, de leurs yeux, la preuve de ce que nous répétons depuis des années : l’islam est dangereux, a une vocation de conquête (le drapeau du jihad et l’invitation à imposer l’ilslam  et la charia en France  sont explicites) est incompatible avec la démocratie (ils le disent eux-mêmes sur leur site) et avec la République (d’ailleurs l’appel à manifester assurait que “les soeurs” seraient bien à part des hommes…). CQFD.
Ensuite, le silence de ceux qui, à gauche, se prétendent laïques et républicains ou de ceux qui se proclament “musulmans modérés et respectueux de la République est assourdissant.
Où sont passés tous ceux qui ont manifesté en décembre contre nos assises, tous ceux qui ont demandé leur interdiction ?
Fourest ? Silence radio.
Corbière, le maire adjoint du 12°, et secrétaire national de Parti de Gauche ? Aux abonnés absents. Injoignable, et aucun billet sur son blog à propos de cette affaire, il est tellement plus facile de taper sur quelques illuminés de Saint-Nicolas de Chardonnet incapables de nuire à qui que ce soit… Quel lâche, quel traître à la République !
Delanoé ? Inexistant…
Quant aux représentants du culte musulman, leur refus de condamner cette initiative pernicieuse et dangereuse en dit long sur leur souhait que les revendications des  fascistes  verts qui agissent à visage découvert deviennent  la loi de notre pays. L’UOIF a refusé de répondre. La mosquée de Paris était injoignable et le  CFCM a répété successivement à tous les journalistes qui les ont appelés hier qu’ils n’étaient pas au courant avant de leur raccrocher au nez…
Vous avez dit “intéressant” ? Inquiétant ?
Sans aucun doute. Mais l’histoire ne s’arrête pas là puisque malgré l’interdiction préfectorale des barbus et autres emburkinées se sont rassemblés et que la police a dû interpeller 61 personnes dont deux islamistes sulfureux, ayant eu des démêlés avec la justice, venus de Grande-Bretagne et de Belgique.
Normal, il n’y a de nation que musulmane, la oumma, la communauté des musulmans, pour ces derniers… et la visée expansionniste, colonialiste de l’islam est clairement démontrée par l’anecdote du jour.
La morale de l’histoire ?
Nous avons fait lundi dernier nos propositions pour que la République, nos valeurs et la démocratie soient préservés. Mardi l’UMP a accouché de monstrueuses propositions montrant que le parti au pouvoir se couche devant les revendications des musulmans, à tel point que ce sont les contribuables qui vont payer la construction des mosquées… Ils ont inventé la garantie des prêts des musulmans par les collectivités locales. Alors nous pouvons nous attendre à voir fleurir les mosquées partout en France, construites avec des emprunts qui ne seront pas remboursés par les musulmans mais par nous…
Le résultat des courses ?
Aujourd’hui, la communauté musulmane soutient de dangereux fascistes désireux d’imposer la charia dans notre pays.
Aujourd’hui les soi-disant laïques de gauche et les soi-disant associations droidel’hommistes, les Fourest, les Sifaoui, le Mrap et Sos racisme (si prompts à traîner Guéant en justice pour des motifs futiles) se taisent dramatiquement.
Aujourd’hui ni Aubry, ni Mélenchon, ni Hollande, ni Besancenot, ni Cohn -Bendit, ni Villepin, ni Borloo… ne se sont inquiétés de ce qui pouvait se passer à Paris à 13h30, de peur de froisser quelques électeurs musulmans, sans doute.
Et pourtant, ils savent nous traîner dans la boue quand nous votons non au TCE, ils savent nous traîner dans la boue quand nous disons que nous non plus nous ne voulons pas de minarets, ils savent nous traîner dans la boue quand nous disons que l’islam nous inquiète et qu’il faut mettre les choses à plat…
Et ils croient nous faire rêver. Et ils croient aux lendemains qui chantent…
Christine Tasin




Calimero à nouveau au tribunal

Calimero, qui a vu son premier procès annulé pour vice de procédure, est à nouveau convoqué devant le tribunal de grande instance de Strasbourg, 6ieme chambre correctionnelle, le lundi 11 avril à 8h30 salle d’audience 2.
Motif : Provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Si certains sont à Strasbourg ou aux environs le 11 avril au matin, merci à eux d’être aux côtés de Calimero.




Conférence de presse du 4 avril 2011, à propos du débat sur "laïcité et islam"

Conférence de presse du 4 avril
Nous sommes là pour vous dire ce à quoi, selon nous,  devrait aboutir le débat sur “laïcité et islam” qui aurait dû s’intituler “République et islam” parce que la laïcité est une des composantes de la République française et que celle-ci est mise en danger dans tous ses fondements par l’islam.
Contrairement à ce que disent de nombreux politiques, sociologues et “experts” médiatiques, il n’est pas trop tard pour imposer à tous le respect de nos valeurs, de nos traditions, de notre héritage culturel et historique, notamment notre conception de la liberté et de l’égalité entre hommes et femmes, qui ne sont ni admis ni respectés par l’islam.
En effet, nous avons des solutions, la France a des solutions :
D’abord, les lois actuelles, si elles étaient appliquées (et pourquoi ne le seraient-elles pas ?) supprimeraient une partie des problèmes posés par l’islam qui ne se comporte pas en religion mais en système socio-politique totalitaire.
Ensuite, il est possible de résoudre tous nos problèmes avec quelques mesures simples et de bon sens pour les musulmans, comme celles qui ont déjà été utilisées sous Napoléon pour que les juifs puisent devenir des citoyens français à part entière.
Enfin, et en dernier recours, si nos lois, nos coutumes et nos traditions ne sont pas acceptables pour ceux qui mettent la religion avant la loi des hommes, avant notre loi, dans notre pays, ils ont la possibilité de quitter la France et d’aller vivre dans un des nombreux pays musulmans où l’on applique la charia et l’apartheid envers les femmes et les non-musulmans.
I Il faut d’abord faire appliquer les lois actuelles.
1. Il faut décréter un moratoire sur la construction des mosquées afin de vérifier si la loi de 1905 est respectée, puisqu’elle prévoit qu’il ne saurait y avoir de liberté de culte si, dans les établissements de culte, des propos contraires aux lois françaises sont tenus.
Pour cela il faut une commission parlementaire qui fasse un audit sur ce qui se dit dans les mosquées en vérifiant que les prêches et enseignements n’incitent pas à la haine de la France et des Français, à celle des juifs et des homosexuels et à traiter la femme comme une mineure. Il semble en effet qu’un certain nombre de mosquées, tenues notamment par des salafistes ou des Wahabites, ne respectent pas cette condition sine qua pour avoir le droit d’exister.
La question n’est pas celle de la formation des imams, mais celle de refuser ceux qui ne respectent pas la loi, tout simplement ; et si l’on sait que la loi sera appliquée dans toute sa rigueur,  les imams, quels qu’ils soient, devront se conformer à la loi française et à elle seule.
Il faut également, dans cette perspective, lancer une enquête nationale pour étudier l’impact de la construction des mosquées dans les villes ou les quartiers : la mosquée a-t-elle amené moins de voiles ou davantage ? La mosquée a-t-elle amené davantage de commerces halal ? La mosquée a-t-elle apporté plus de croyants non pratiquants ou bien les a-t-elle obligés à rentrer dans le rang, c’est-à dire dans un repli identitaire ? La mosquée ne s’accompagne-t-elle pas d’école coranique ? Ce qu’on y enseigne à des enfants est-il compatible avec les lois républicaines ?
Ensuite, il est nécessaire que rappelle aux collectivités locales que la loi de 1905 interdit tout financement public des mosquées afin d’imposer la fin des pratiques de contournement que sont les baux emphytéotiques ou les subventions aux associations culturelles. Si les musulmans veulent des mosquées, et à condition que les mairies leur accordent le permis de construire, ils doivent, comme les juifs, les chrétiens ou les évangélistes, les financer eux-mêmes, dans le respect de l’architecture locale, donc sans aucun minaret.
2. Il faut imposer le respect de la laïcité et de l’esprit de la loi de 1905 dans l’espace public, les services publics et les entreprises :
La religion doit relever exclusivement de la sphère privée.
Les prières ne peuvent et ne doivent donc avoir lieu que dans les mosquées, les appartements ou maisons privés des fidèles, elles ne peuvent avoir lieu dans l’entreprise, dans les gares ou aéroports, ni donner lieu à des revendications de salles et d’aménagements d’horaires, pas plus que le ramadan, dans les entreprises, ce qui crée une discrimination par rapport aux autres salariés, qu’ils soient croyants d’autres confessions ou athées. Comme le font les évangélistes, rien n’empêche les musulmans de faire plusieurs services dans la journée, dans la même mosquée. Il n’est pas acceptable que, dans certaines entreprises, quand le ramadan tombe au mois d’août, on demande à celui qui veut prendre ses vacances ce mois-là un certificat de conversion à l’islam, comme il n’est pas acceptable que les 5 prières obligatoires chaque jour désorganisent le travail en entreprise et obligent le non-musulman à remplacer systématiquement celui qui fait passer ses obligations cultuelles avant son travail.
De la même façon celui agresse un médecin homme parce qu’il s’occupe de sa femme doit être remis aux forces de police et lourdement condamné parce qu’il met la vie d’autrui, fût-elle son épouse, en danger tout en exigeant que soient désorganisés les services hospitaliers pour répondre à des demandes qui n’ont d’ailleurs que l’excuse de la religion. Quand la loi sera appliquée dans toute sa rigueur, par tous, elle s’imposera à tous et sera respectée. C’est la lâcheté devant celui qui veut imposer la force qui est responsable de toutes nos démissions.  Des musulmanes venant de pays du Maghreb nous ont fait remarquer que là-bas nul n’osait refuser un médecin homme dans les hôpitaux
Il en est de même pour  les prières qui se font dans les chambres à deux lits des malades, il n’est pas concevable que le deuxième malade ait à supporter 5 fois par jour des prières, invocations et autres, fort bruyantes, dans sa chambre. Que celui qui veut prier le fasse seul, sans sa famille qui aura à sortir de la chambre à l’heure des prières, et en silence. Simple question de respect. Et que ceux qui y contreviennent soient expulsés par les forces de police.
3. La liberté, constitutionnelle, doit être défendue coûte que coûte
La liberté de conscience, d’expression, de changer de religion, et d’aimer la personne de son choix doit être préservée :
Pour que le Conseil Français du Culte Musulman et autres instances représentatives des musulmans, soient admis comme interlocuteurs de l’Etat français, il faut que les autorités et représentants musulmans signent un texte les engageant  à respecter ces quatre points forts de notre constitution. Ils doivent admettre le principe d’apostasie, engager la communauté musulmane à ne pas persécuter ni mettre à l’écart celui qui, né musulman, voudrait ne pas vivre en musulman, changer de religion ou être athée, accepter qu’un non-musulman épouse une musulmane ainsi que l’homosexualité. Ils doivent également s’engager à accepter tout débat sur l’islam et toute critique de ce système.
4. Le voile, expression de la mise à l’écart de la femme, doit être interdit.
Il faut impérativement interdire le voile dans les services publics et à l’Université, que ce soit pour les agents et les usagers  en attendant une commission parlementaire qui devrait, comme pour la burka, enquêter sur le port du voile afin de préparer une loi pour son interdiction dans tous les secteurs de la société, rue comprise, son port étant inconstitutionnel puisqu’il entérine une inégalité contraire à notre constitution.
5. Il faut s’attaquer au problème du halal, il s’agit d’une revendication religieuse, privée, qui ne doit pas être prise en considération par l’Etat :
Il faut abroger les dérogations permettant en France la production de  viande halal (et casher) qui sont inacceptables dans un pays qui prétend protéger les animaux. Le casher ne posant par ailleurs pas les problèmes du halal car il n’y a aucune revendication communautariste de repas casher dans les cantines et autres.
Il faut interdire le halal dans tous les services publics, dans les cantines scolaires, dans les hôpitaux, à l’armée ou dans la gendarmerie, pour qu’enfin la loi de 1905 qui prévoit que l’Etat ne reconnaisse et ne subventionne aucun culte  soit appliquée et que l’Etat ou les collectivités locales cessent de subventionner les trois mosquées qui donnent la certification halal et récupèrent, en échange, une dîme, répercutée sur le prix d’achat.
Il faut que l’Etat qui, via la Caisse des Dépôts et consignations, est propriétaire des Quick, fasse cesser cette monstruosité dans un pays laïque, sans apartheid, que sont les Quick halal, réservés aux musulmans par la force des choses.
Il faut, impérativement, en attendant l’interdiction de la production du halal, qu’une loi impose que la viande vendue en boucherie ou en supermarché porte la mention  “non halal” afin que les consommateurs cessent d’acheter et de  manger sans le savoir de la viande halal. Non seulement les consommateurs n’ont pas, à leur insu, à financer un culte quelconque, mais ils n’ont pas à participer, à leur corps défendant, à un rituel d’abattage contraire à leurs croyances, qu’ils soient chrétiens, athées ou autres.
Il ne faut pas créer de menus alternatifs végétariens dans les cantines. Celles-ci sont un service rendu à l’usager, qui a la possibilité de déjeuner chez lui ou de se trouver un autre lieu pour déjeuner si le contenu du menu ne lui plaît pas, d’autant plus que les musulmans ont tout à fait le droit, prévu dans le coran, de ne pas manger halal quand ce n’est pas possible. Accéder à leur demande de repas spécial, et ce dès les cantines scolaires, c’est contribuer à forger, chez les enfants eux-mêmes, un réflexe identitaire qui les isole et les amène, peu à peu, à vivre en ghetto, entre “purs”, et à refuser l’intégration et encore plus l’assimilation. Tout cela finissant par créer des situations de guerre civile ou d’émeutes.   Chacun a toujours la possibilité, comme le font les végétariens depuis toujours, sans avoir jamais fait de demandes de reconnaissance officielle,  de ne pas manger la viande proposée.
6.    Vie quotidienne :
Nous demandons l’interdiction des horaires et/ou lieux réservés aux femmes, de la finance islamique et des carrés musulmans dans les cimetières, contraires à nos principes d’égalité et  de non discrimination  puisqu’en l’occurrence la femme et le non musulman sont mis à l’écart pour des motifs de religion.
Il faut donc impérativement que soient interdits discriminations et mises à l’écart, dans la vie comme dans la mort, contraires au principe d’égalité de tous devant la loi. Tout cela concourt à l’impression, pour le musulman, d’être à part, et de devoir vivre à part, aux dépens de l’intégration, seul gage du vivre ensemble et de l’égalité républicaine. On ne peut accepter, en France, que des gens, des aliments et des endroits soient partagés entre purs et impurs, entre hommes et femmes et on ne peut accepter la mise en place d’une finance communautariste qui refuserait de financer des projets incompatibles avec les textes religieux, remettant en cause l’égalité et la laïcité.
Nous demandons que cesse le scandale des réfections d’hymens et des circoncisions qui, avec la complicité de médecins sans scrupules, sont remboursées par la sécurité sociale parce que déclarées “actes médicaux” pour problème gynécologique ou phimosis. Là encore, une commission parlementaire pourrait très vite mettre à jour le nombre de phimosis ahurissant dans la communauté musulmane eu égard à l’ensemble de la population (la communauté juive n’utilisant pas l’hôpital mais ses propres médecins, sur fonds privés) ; par ailleurs on sait que, d’après les calculs d’Isabelle Lévy qui, depuis 15 ans, parcourt tous les établissements français, il y a une moyenne de 3650 réfections d’hymen par an et par établissement ! A 50 euros l’acte, sans parler des frais d’anesthésie et des frais de séjour hospitalier on arrive à 182000 euros, à multiplier par environ 3000 établissements, cela fait quelques millions d’euros qui plombent le trou de la sécurité sociale alors que la santé publique n’est pas en danger. Il en est de même pour les circoncisions qui pourraient être effectuées en cabinet privé pour 150 euros payés par les familles mais qui ont lieu à l’hôpital pour 1000 euros chacune, prix de l’intervention chirurgicale….aux frais de tous.   Saluons les chirurgiens qui refusent, et il y en a, heureusement, de faire des circoncisions rituelles.
On devrait à ce propos là aussi demander l’interdiction de la circoncision en France puisqu’il y a mutilation d’un enfant qui ne peut choisir et à qui on ne demande pas son avis ; il y a donc atteinte aux droits de l’enfant. Il paraît paradoxal que dans un pays où il est de plus en plus mal vu de donner une simple fessée à un enfant on puisse impunément le charcuter sans raison de santé.
II Si les politiques voulaient vraiment que naisse un islam de France, ce serait simple
a) il suffirait qu’ils fassent ce qu’a fait Napoléon en 1807
En convoquant (et non en s’excusant de leur demander de bien vouloir accepter de venir…) le Grand Sanhédrin (assemblée et tribunal du peuple juif), Napoléon demande aux juifs de renoncer aux textes de la Torah incompatibles avec les lois de la France, ce n’est qu’à ce prix qu’ils pourront devenir citoyens français. Les juifs ont accepté, ils ont dû répondre à ces 12 questions :
1) Est-il licite aux juifs d’épouser plusieurs femmes ?
2) Le divorce est-il permis par la religion juive ? Le divorce est-il valable, sans qu’il soit prononcé par les tribunaux et en vertu de lois contradictoires à celles du code français ?
3) Une juive peut-elle se marier avec un chrétien et une chrétienne avec un juif ? Où la loi veut-elle que les juifs ne se marient qu’entre eux ?
4) Aux yeux des juifs, les Français sont-ils leurs frères ? Ou sont-ils des étrangers ?
5) Dans l’un et l’autre cas, quels sont les rapports que la loi leur prescrit avec les Français qui ne sont pas de leur religion ?
6) Les juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ? Ont-ils l’obligation de la défendre ? Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre toutes les dispositions du code civil ?
7) Qui nomme les rabbins ?
8) Quelle juridiction de police exercent les rabbins parmi les juifs ? Quelle police judiciaire
exercent-ils parmi eux ?
9) Cette forme d’élection, cette juridiction de police sont-elles voulues par leurs lois, ou
seulement consacrées par l’usage ?
10) Est-il des professions que la loi des juifs leur défende ?
11) La loi des juifs leur défend-elle de faire l’usure à leur frère ?
12) Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l’usure aux étrangers ?
Pour devenir français il leur a fallu modifier leurs textes, leurs coutumes, leurs lois religieuses, afin de prouver que la loi française et la France étaient la priorité et n’étaient pas remises en cause par leur religion.
Nous attendons la même chose des musulmans, c’est la seule façon d’intégrer l’islam dans la République, si tant est que ce soit possible puisque les réformateurs musulmans sont partout critiqués et chassés parce qu’on ne touche pas au coran, qui est incréé, considéré comme la parole de Dieu…
b)   Il faut remettre en question immigration et droit du sol et favoriser l’obtention de la nationalité française pour ceux qui se sentent français
Il doit y avoir un moratoire sur le regroupement familial et sur l’immigration des peuples musulmans, au moins le temps de permettre aux musulmans, qui sont déjà en France non seulement de s’intégrer mais de s’assimiler.
Il faut également remettre en cause le droit du sol, car l’exemple de Mayotte, nouveau département français peuplé pour un tiers de clandestins que l’on ne pourra pas renvoyer chez eux dès qu’ils auront eu un enfant sur Mayotte, est emblématique des dangers qui menacent la France, son système social et sa culture.
A contrario, il va falloir faciliter l’obtention de la nationalité française pour les musulmans qui ne veulent pas, comme c’est trop souvent le cas actuellement, être des Français de papier, profitant des avantages de notre pays sans adhérer à ses valeurs et à ses lois. Tous ceux qui sont arrivés en France légalement ou qui y sont nés doivent pouvoir devenir français à part entière à condition de montrer qu’ils aiment la France pour ce qu’elle est, pour la liberté qu’on y trouve, pour l’héritage des Lumières et pour ses lois et qu’ils se sentent français avant tout.
III Islam ou République, il faut choisir ! Islam ou France, il faut choisir !
A l’heure où des associations musulmanes manifestent contre des caricatures de Mahomet, pour interdire tout débat sur l’islam, contre la loi sur le voile à l’école de 2004, contre celle sur l’interdiction de la burka comme va le faire  le 9 avril prochain Forsane Alizza qui  demande l’application de la charia en France, il faut que les pouvoirs publics prennent des décisions difficiles mais nécessaires.
S’il n’est pas possible d’obtenir des musulmans et de leurs représentants de mettre leurs textes et leurs manières de faire en conformité avec le droit français, les politiques devront  prendre acte que l’islam est incompatible avec la République et notamment la laïcité, comme Hassan II l’a publiquement reconnu.
Il faudra donc, de façon urgente, créer une commission parlementaire qui examinera la compatibilité des textes coraniques et des récits de la vie de Mahomet, donnés aux musulmans comme des modèles, avec la constitution et les lois françaises. S’il le faut, l’islam devra être interdit comme pourrait être interdit tout système fasciste qui pourrait constituer un trouble à l’ordre public, et une menace pour notre modèle démocratique et nos libertés.
Celui qui veut vivre en France doit s’adapter à nos traditions, à notre culture, à nos lois et non l’inverse. Si la France ne convient pas à certains musulmans qui rêvent de charia, il leur incombe d’aller vivre dans un pays musulman au lieu d’œuvrer à essayer de faire de notre pays un pays musulman, ce qui est contraire à notre héritage et aux valeurs universalistes dont nous sommes porteurs.
Pierre Cassen, pour Riposte laïque, et Christine Tasin, pour Résistance républicaine




Un numéro spécial "islamisation" et une conférence de presse le lundi 4 avril, à Paris

Le fameux débat sur la laïcité-islam de l’UMP aura donc lieu le 5 avril. Ce à quoi nous assistons depuis quelques jours résume mieux que de longs discours la réalité de la société française, et dévoile tout particulièrement l’inconsistance et les trahisons de ceux qui prétendent parler en son nom, ou qui entendent façonner l’opinion !
– Au sein de l’UMP, on voit ce spectacle ahurissant d’un Premier ministre et du ministre de la Défense qui font tout pour torpiller l’initiative du président de la République. On voit même, au lendemain de la défaite cuisante des cantonales, le porte-parole du gouvernement annoncer qu’il faut en finir avec le débat sur l’islam, et se contenter de faire un texte parlementaire que le PS pourrait signer, rappelant les grands principes laïques.
– Les principaux leaders de gauche signent un texte de Respect Mag, en compagnie de Tariq Ramadan, expliquant qu’il faut refuser tout débat sur l’islam, parce qu’il stigmatiserait les musulmans.
– Six responsables cultuels publient une tribune pour dire carrément que ce n’est pas le rôle d’un parti politique de parler de la laïcité !
– Des émissions de télévision, notamment animées par Yves Calvi, où, dans un style propagandiste totalement soviétique, on ne voit sur le plateau que des religieux ou des dhimmis qui pleurnichent sur ce débat, et personne pour leur porter la contradiction.
– Dans un texte hallucinant, la Grande mosquée de Lyon menace à mots couverts notre pays d’une insurrection, si le débat est maintenu.
– Les Fourest-Sopo osent invoquer la République pour tenir une réunion publique, en compagnie de Bencheick (celui qui veut que nos impôts financent la croyance en Mahomet). On y mêle le débat sur l’identité nationale, sur les camps de roms, sur les expulsions d’étrangers, et on en conclut que tout cela c’est du racisme et la lepénisation des esprits !
Nous pourrions citer des dizaines d’autres anecdotes, montrant un matraquage politico-médiatique incroyable, autour de ce débat. Pourtant, l’UMP y va en reculant, effaré de son audace, et conscient qu’il n’a rien à proposer que des mesurettes en décalage avec la réalité quotidienne que vivent les Français, à cause de l’islamisation de leur pays. Pourtant, le Parti socialiste a organisé un débat sur la laïcité, lui aussi, il y a quelques semaines… mais on n’y parlait guère d’islam, c’était donc politiquement correct !
Après un sondage du “Monde” montrant que de façon majoritaire, les citoyens de ce pays s’inquiètent, à juste titre, de la progression de l’islam en France, rarement mépris du peuple par les élites de la caste politico-médiatique n’aura été aussi aveuglante !
C’est pourquoi Riposte Laïque propose ce numéro spécial, beaucoup plus copieux que les suppléments week-end habituels, pour montrer, par différents articles, une réalité que chaque livraison de notre journal démontre, hélas ! Oui, le France est en danger d’islam !
C’est pourquoi encore, en compagnie du Bloc Identitaire et de Résistance Républicaine, Riposte Laïque animera une conférence de presse, ce lundi 4 avril, à Paris (nous n’avons donné l’adresse qu’aux journalistes, une conférence de presse n’est pas un meeting) pour montrer, face à l’ampleur de l’islamisation de notre pays, les mesures de salut public qu’il convient de prendre.
Dans cette optique, et afin que vous ayez les images de cette conférence de presse, notre prochain numéro, le 192, ne sortira que mardi matin.
Paul Le Poulpe




Un numéro spécial “islamisation” et une conférence de presse le lundi 4 avril, à Paris

Le fameux débat sur la laïcité-islam de l’UMP aura donc lieu le 5 avril. Ce à quoi nous assistons depuis quelques jours résume mieux que de longs discours la réalité de la société française, et dévoile tout particulièrement l’inconsistance et les trahisons de ceux qui prétendent parler en son nom, ou qui entendent façonner l’opinion !

– Au sein de l’UMP, on voit ce spectacle ahurissant d’un Premier ministre et du ministre de la Défense qui font tout pour torpiller l’initiative du président de la République. On voit même, au lendemain de la défaite cuisante des cantonales, le porte-parole du gouvernement annoncer qu’il faut en finir avec le débat sur l’islam, et se contenter de faire un texte parlementaire que le PS pourrait signer, rappelant les grands principes laïques.

– Les principaux leaders de gauche signent un texte de Respect Mag, en compagnie de Tariq Ramadan, expliquant qu’il faut refuser tout débat sur l’islam, parce qu’il stigmatiserait les musulmans.

– Six responsables cultuels publient une tribune pour dire carrément que ce n’est pas le rôle d’un parti politique de parler de la laïcité !

– Des émissions de télévision, notamment animées par Yves Calvi, où, dans un style propagandiste totalement soviétique, on ne voit sur le plateau que des religieux ou des dhimmis qui pleurnichent sur ce débat, et personne pour leur porter la contradiction.

– Dans un texte hallucinant, la Grande mosquée de Lyon menace à mots couverts notre pays d’une insurrection, si le débat est maintenu.

– Les Fourest-Sopo osent invoquer la République pour tenir une réunion publique, en compagnie de Bencheick (celui qui veut que nos impôts financent la croyance en Mahomet). On y mêle le débat sur l’identité nationale, sur les camps de roms, sur les expulsions d’étrangers, et on en conclut que tout cela c’est du racisme et la lepénisation des esprits !

Nous pourrions citer des dizaines d’autres anecdotes, montrant un matraquage politico-médiatique incroyable, autour de ce débat. Pourtant, l’UMP y va en reculant, effaré de son audace, et conscient qu’il n’a rien à proposer que des mesurettes en décalage avec la réalité quotidienne que vivent les Français, à cause de l’islamisation de leur pays. Pourtant, le Parti socialiste a organisé un débat sur la laïcité, lui aussi, il y a quelques semaines… mais on n’y parlait guère d’islam, c’était donc politiquement correct !

Après un sondage du “Monde” montrant que de façon majoritaire, les citoyens de ce pays s’inquiètent, à juste titre, de la progression de l’islam en France, rarement mépris du peuple par les élites de la caste politico-médiatique n’aura été aussi aveuglante !

C’est pourquoi Riposte Laïque propose ce numéro spécial, beaucoup plus copieux que les suppléments week-end habituels, pour montrer, par différents articles, une réalité que chaque livraison de notre journal démontre, hélas ! Oui, le France est en danger d’islam !

C’est pourquoi encore, en compagnie du Bloc Identitaire et de Résistance Républicaine, Riposte Laïque animera une conférence de presse, ce lundi 4 avril, à Paris (nous n’avons donné l’adresse qu’aux journalistes, une conférence de presse n’est pas un meeting) pour montrer, face à l’ampleur de l’islamisation de notre pays, les mesures de salut public qu’il convient de prendre.

Dans cette optique, et afin que vous ayez les images de cette conférence de presse, notre prochain numéro, le 192, ne sortira que mardi matin.

Paul Le Poulpe