L’extrême gauche est si utile au pouvoir qu’elle n’est jamais condamnée

Mon pays, ma France

Ce ne sera une surprise pour personne que j’ai une profonde aversion pour cette gauche moderne, permissive et foncièrement immigrationniste au nom d’un humanisme totalement dévoyé et malsain. Sa propension à détester toutes les valeurs traditionnelles, nationales et familiales la rend à mes yeux plus que détestable.

Cette gauche issue des années soixante n’a plus grand-chose à voir avec la gauche d’avant-guerre qui déjà, n’était plus que le reflet de l’ombre de celle d’avant la Première Guerre mondiale.

Voir cette gauche se draper dans les jupes de la Liberté sur les barricades ne peut que faire sourire ceux qui savent ce qu’était la misère du peuple à cette époque, sous les rois, après la Restauration n’en déplaise aux royalistes d’aujourd’hui. Je n’arrive même pas à comprendre en quoi Louis XVIII, Charles X, pouvaient être un avantage pour la France, au sortir de la grandeur de l’Empire. Qu’ont-ils fait de cette France ?

La gauche, les socialistes de cette époque, étaient nationalistes et patriotes !

Elle n’a pas su, hélas, avec le temps, réaliser et comprendre qu’elle avait avec le Second Empire l’un de ses plus fidèle adepte. Les républicains, se targuant de la Révolution qui provoqua tant de morts, commirent le génocide vendéen qu’elle refuse de reconnaître aujourd’hui, et manœuvrèrent au nom du socialisme à la perte de l’Empire, d’une France forte, rayonnante, et puissante.

Nous eûmes la République, les socialistes et la colonisation voulue par eux. Même les lois sociales n’ont été que la poursuite d’un progrès social datant du Second Empire, y compris l’école gratuite et obligatoire dont un républicain comme Jules Ferry a osé voler la paternité à Victor Duruy. Ils vantent les travaux d’Haussmann, mais vouent aux gémonies un Napoléon III initiateur, à la base de 20 ans de progrès continu.

Revenons à cette gauche d’aujourd’hui, à ces jean-foutre comme l’aurait dit Charles de Gaulle, qui n’ont plus rien à voir avec les socialistes d’avant 1914, et pas même, c’est peu de le dire, avec ceux d’avant 1940 qui très souvent, ont trahi à cette époque. (Source)

Ces socialistes d’hier avaient l’amour de leurs pays et si je ne partage pas, loin de là, tous leurs combats, leurs errements, comme la colonisation, leur impréparation de l’armée, ils avaient une certaine idée de la France, et n’auraient jamais permis une invasion migratoire comme nous la connaissons en ce moment, un abandon de notre souveraineté nationale à des oligarques, à des étrangers siégeant à Bruxelles et aux mains de Berlin.

Que les choses soient claires, l’ennemi de la France a toujours été l’Angleterre, depuis des siècles, et pas l’Allemagne. Cependant, celle-ci est devenue une ennemie, en 1870, 1914, 1939. Nous avons perdu ces guerres, (en 1914, il s’en est fallu de peu) par la faute de ceux qui nous dirigeaient !

Impréparation militaire, arrogance, prétention, orgueil mal placé, erreur de jugement, etc. C’est facile de refaire l’histoire après coup. Je répète souvent qu’il n’y a pas d’arbres sans racines comme le disait Victor Hugo et que les erreurs d’hier doivent servir à éviter celles de demain. On ne le fit pas, comme à chaque fois. L’histoire se répète.

2020 sera une défaite sanitaire de la France, encore une, face à l’Allemagne mieux préparée. La facture sera lourde en pertes car il y aura du chômage, des faillites d’entreprises, des pertes sèches, et des économies détruites, sans compter la misère, et la détresse. Pas de bâtiments détruits, de bombes, d’invasions allemandes, mais la France et encore à genoux du fait de nos dirigeants incapables.

Face à cela, il y a cette gauche fasciste, cette gauche ayant des liens idéologiques avec le fascisme de Mussolini, celui du nazisme d’Hitler, et des attirances avec le communisme de Staline. Ils avancent en tenue de bergers, mais sous les habits, ce sont des loups féroces.

Peuple de France ?

Aujourd’hui cette gauche fasciste se retrouve chez les Antifas, les Black-Blocs, et ont le soutien, de fait, de ceux qui nous gouvernent au nom d’un socialisme perverti. Ces Sections d’Assauts n’ont plus de Röhm, ce nazi à leur tête, mais ils ont des manipulateurs gouvernementaux. Ils sont bien utiles pour affoler le troupeau bêlant.

Et puis il y a l’extrême gauche virulente, violente, agressive, qui se moque de l’histoire et n’a comme désir que de faire table rase du passé. Cette extrême gauche agit en toute tranquillité, et dans un étonnant silence médiatique.

  • Les tags ont été découverts sur le monumental mémorial en hommage aux Résistants et aux victimes des massacres de juillet 1944 sur le Vercors. (Source)
  • Une antenne-relais de téléphonie mobile qui a été détruite par le feu dans la nuit de mardi à mercredi à Oriol-en-Royans, dans la Drôme
  • Des câbles de fibre optique qui ont été découpés à Ivry et Vitry, dans le Val-de-Marne. « Le caractère structuré et méthodique de l’action ne doit rien au hasard », selon la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure. Un ou plusieurs individus ont soulevé une plaque d’égout pour atteindre et couper la fibre optique qui permet aux habitants, aux hôpitaux, aux commissariats et entreprises du sud-est de Paris d’être reliés au très haut débit
  • Trois sites Internet de la mouvance ultragauche se sont réjouis de ce qu’ils définissent comme un « sabotage ». Un de ces sites se félicite sans ambiguïté de l’incendie volontaire d’une entreprise italienne de nouvelles technologies en contrat avec l’État en matière d’« e-gouvernement », au prétexte qu’elle apporterait sa contribution à un « État policier ».

Plus d’une vingtaine d’actes de sabotage ou de destructions symboliques ont ainsi été recensés en France, selon une note confidentielle du Service central du renseignement territorial (SCRT). (Source)

En avez-vous entendu parler ? Le Covid-19 éponge tout.

Mais si une tranche de jambon se retrouve sur le seuil d’une mosquée, vous en auriez entendu parler, et les médias n’auraient pas eu de cesse de vous faire profiter de leurs lumières, dénonçant l’extrême droite sans que l’on sache qui est visé, voire l’ultra droite.

Tout cela pour dire que ces guignols de l’extrême gauche, ces « insoumis », ces « racistes indigénistes », ces raclures politiques, n’ont plus rien à voir avec la gauche d’hier, avec les socialistes d’avant-hier, ce sont des renégats, des mercenaires payés par l’État, puisque le plus souvent, inscrits au RSA, à la CMU. Ce sont des parasites de la communauté française, des immigrationnistes qui détestent la France, son Histoire, sa culture, et tout ce qui se rapporte à la Nation. Il serait temps de faire le ménage du sol jusqu’au plafond.

Gérard Brazon




Prague : il y a 50 ans Jan Palach s’est sacrifié pour la liberté, contre le communisme

Le 21 août 2018, il y aura 50 ans que les chars soviétiques, devenus le symbole de l’occupation communiste russe, entraient de nouveau à Prague. Staline était mort mais la dictature soviétique était encore là, impitoyable.

Le PCF a d’ailleurs réécrit la sienne sur sa résistance et a passé sous silence sa collaboration avec les nazis jusqu’en juin 1941 ! Qu’en pense “Le Monde” ?

Jan Palach, né le 11 août 1948 à Prague et mort le 19 janvier 1969 dans cette même ville. Il s’est suicidé le 16 janvier 1969 en s’immolant par le feu pour protester contre les chars soviétiques entrés dans Prague.

Le suicide d’un jeune homme de 20 ans provoqua une vive émotion en Tchécoslovaquie, en Europe et dans le monde. Jan Palach ne sera pas le seul à mourir immolé pour protester contre l’occupation soviétique. Ni en Tchécoslovaquie, ni dans les autres pays du bloc communiste. (Source)

Georges Marchais, en visite en Roumanie chez son ami dictateur Ceausescu, a pu dire sans honte que le bilan des dictatures communistes à l’Est était globalement positif !

Le communisme ne fut qu’un long chemin d’os broyés, de sang versé, d’assassinats, de camps de concentration et de déportation des peuples soumis.

Combien de ces régimes ont-ils trouvé leurs origines dans la misère des peuples, la famine, les abus de pouvoir. Combien de morts dus au socialisme, puis au communisme ?

Ce 21 août 2018, il n’y a plus de Tchécoslovaquie. Chaque peuple a réparé les inepties des traités de l’après-guerre 1914-1918. Inepties qui conduisirent à la Seconde Guerre mondiale !

De même pour la Yougoslavie. Les peuples, à terme, n’acceptent pas d’être sous le joug d’étrangers. L’Union européenne, cette nouvelle entité dominante des nations qui la composent, en fera certainement les frais d’ici peu ! Aucun peuple ne peut accepter que l’on méprise sa culture, sa langue, sa monnaie, son histoire, ses racines, ses croyances !

L’Union européenne détruit les fondements des nations. La culture française y est niée, y compris par un président fantoche qui affirme qu’il n’y a pas de culture française et que nous aurions été des nazis en Algérie.

Il ne cesse de valoriser la langue anglaise et parler de l’Europe comme d’une vraie nation, ce qu’elle ne peut être, par définition ! L’Union européenne, ce nouvel empire soviétique, disparaîtra, de gré ou de force, et c’est l’Europe de l’Est qui nous montre l’exemple comme hier, en 1956, à Budapest et à Prague, en 1968. C’est de l’Est que vint l’arrêt de l’invasion des Turcs, devant Vienne, grâce à la persévérance et au courage de ses peuples mais aussi à la témérité du roi Jean III Sobieski et de ses Chevaliers ailés !

Nous avons, nous aussi, nos Jan Palach. Des femmes et des hommes de courage qui, bien que minoritaires le plus souvent, ont su se battre contre tous les oppresseurs ! Nous avons des combattants qui ont su ouvrir la voie à la résistance contre les envahisseurs anglais, puis prussiens et allemands ! Aujourd’hui, c’est contre l’islamisme et ses alliés bruxellois de l’Union européenne !

Rien n’est inéluctable ! L’avenir appartient à celui qui a la plus longue mémoire ! À celui qui n’oublie pas d’où il vient ni qui il est !  Qu’importe qu’il soit d’origine, pour peu qu’il soit pleinement de France, qu’il y adhère et accepte son histoire pleine et entière !

Le nazisme et le communisme n’ont pas vaincu les peuples, grâce à des résistants et à des Jan Palach. Nous vaincrons l’islamisme car nous avons des Jan Palach dans chaque région, parmi nos lecteurs, nos rédacteurs et contributeurs !

Pensez-y, ce 21 août 2018, mais pensez aussi à ce qu’il a dit avant de mourir : « Mon acte a atteint son but, mais que personne ne m’imite… Que les vivants se consacrent à la lutte ! »

Gérard Brazon (Libre Expression)




Le socialo-communisme révolutionnaire, c’est réellement le mal français

L’islamo-gauchisme, comme le socialo-communisme, c’est le mal français. C’est toute l’idéologie de la haine de classe contre les classes moyennes et les famille soi-disant réactionnaires. Déjà le 2 juin 2016, Le Point avait titré judicieusement “La vraie histoire du “mal français“. Blocages, violences, CGT, modèle social”.

Cela avait été l’occasion pour l’Internationale communiste révolutionnaire de condamner le propos de l’hebdomadaire qui demandait des “réformes courageuses” et la fin des “privilèges” des syndicats anarcho-gauchistes et communistes, et des assistés que sont les délégués des travailleurs syndiqués de ce pays.

Il est vrai qu’à l’époque, la haine de classe des chiens de garde socialo-communistes a voulu contrer l’ordre bourgeois capitaliste qualifié de réactionnaire. Cela a été l’occasion pour l’Internationale communiste révolutionnaire de faire sa propagande mise en vers par la candidature Mélenchon lors de la présidentielle, et poursuivie par les députés de la France insoumise en chemise et avec des nouilles à l‘Assemblée nationale.

Les pays démocratiques se représentent le mythe, presque comme une énigme, de l’Internationale communiste révolutionnaire, comme un monstre socialo-communiste né au milieu de nulle part au sein de l’Occident libéral, contre le bon sens et contre l’Europe des Lumières. Dans la propagande de l’Internationale communiste révolutionnaire, la rupture radicale anti-capitaliste est la nostalgie du régime stalinien autoritaire contre les peuples. Il est clair que l’idéologie soviétique a ses racines dans la pensée totalitaire stalinienne.

Avec la radicalité islamo-gauchiste et la rupture avec la culture dominante de l’Europe des Lumières, on reconnaît clairement la terreur stalinienne, alors que les chiens de garde socialo-communistes ont toujours agi avec une violence extrême contre les peuples, contre leurs opposants politiques, et contre des personnes.

La propagande de l’Internationale communiste révolutionnaire prône le retour de la terreur stalinienne socialo-communiste contre la gauche non communiste, sociale-démocrate et libérale réactionnaire.

Le socialo-communisme anarcho-libertaire incarne une rupture révolutionnaire dans l’idéologie, dans la haine de classe et dans l’action politique et syndicale. Mais au niveau des idées, si l’on fait une analyse de la vision du monde de l’Internationale communiste révolutionnaire, on découvre que ces éléments sont d’une grande banalité dans la nostalgie post-soviétique de la terreur stalinienne.

Les islamo-gauchistes puisent largement dans les prêches pro-migrants du pape François et dans la repentance des chrétiens contemporains. C’est ce qui les rend dangereux jusqu’au début de la guerre civile.

On se demande pourquoi les démocraties n’ont pas réagi face à l’islamo-gauchisme. Elles croyaient que ce que disait le pape François dans ses discours politiques était honorable et très chrétien, après que l’UE sous la tutelle de l’Allemagne de Merkel soit devenue un paradis pour tous les migrants et les islamistes dont les pays africains et arabes voulaient se débarrasser. Dans ce climat de lutte contre les peuples, l’UE sous la tutelle de l’Allemagne de Merkel apparaissait comme le terreau du communisme révolutionnaire.

Seules les nations encore vivantes d’Europe de l’Est, comme la Pologne, la Hongrie ou la Tchéquie, apparaissaient comme un rempart contre l’islamo-gauchisme révolutionnaire.

Lorsque le pape François partisan-militant post-marxiste évoque ses exigences immigrationnistes en politique, ses déclarations sont de moins en moins reçues comme paroles d’évangile tellement il est étranger aux réalités de l’Occident chrétien. Cet homme est si peu fiable, violant ainsi toutes les règles de la neutralité en matière de religion. Protestation des peuples contre le pape François partisan-militant pro-migrants.

Devant cet amalgame partisan-militant politico-religieux, le pape François fait des discours islamisants où il déclare qu’il est responsable du sort de millions de migrants que l’Allemagne de Merkel doit nourrir. Il est clair que l’Allemagne a besoin de conquérir à l’aide des migrants un nouvel espace dans l’UE, un espace vital.

Ce qui fait que les démocraties occidentales, elles, deviennent des colonies de l’UE germanique.

On a vu que les grandes démocraties de l’UE n’ont rien eu à redire à l’Allemagne de Merkel pour faire accueillir des millions de migrants qui mettent en péril la civilisation et les mœurs du monde occidental, parce que les islamistes pensent en terme de djihad alors que les démocraties pensent en terme de liberté.

Les discours du pape François partisan-militant post-marxiste sont structurés par une idéologie et une logique : les peuples blancs doivent se soumettre quand les islamistes doivent pouvoir s’étendre au détriment d’autres peuples plus civilisés. On note une logique encore plus clairement raciste : il doit y avoir adéquation entre l’espace conquis et l’espèce, entre le territoire conquis et les mœurs des peuples africains.

Quand les peuples européens sont placés face à ce genre de discours, que peuvent-ils répondre ? Surtout de la part de pays comme la France qui voient les banlieues, soit 10% de son territoire, confisquées par les communautarismes. Le discours du pape François partisan-militant post-marxiste joue sur la mauvaise conscience des Occidentaux et le fait qu’il existe un espace commun dans l’UE sans frontières, donc un espace vital propice pour les invasions de migrants qui posent bien des problèmes que personne ne conteste.

Le discours du pape François pro-migrants et ses vœux d’accueillir les islamistes, pour des raisons marxistes, ont pour principal objectif de “déblanchir” les populations de l’Occident chrétien. Il y a un travers politique dans la mesure où le pape François reprend les idées, très banales, très communes, qui constituent la grille de la propagande des islamo-gauchistes et de l’Internationale communiste révolutionnaire contre les peuples Occidentaux. Les islamo-gauchistes et l’Internationale communiste révolutionnaire veulent mettre en application la terreur communiste dans une vision stalinienne du monde soviétique très organisé, et surtout de l’Occident chrétien soumis à la terreur de l’islamisme radical. La réaction attendue des peuples insoumis se présenterait au risque de fascisation réactionnelle. C’est alors que l’Internationale communiste révolutionnaire pourrait déployer son programme de la terreur des intellectuels communistes contre les peuples.

Conclusion : Avec le discours du pape François pro-migrants et la propagande socialo-communiste révolutionnaire anarcho-libertaire, c’est réellement là que le peuple prend conscience du “mal français”.

Thierry Michaud-Nérard




La médiocratie de l’égalitarisme et le déclin de l’école socialiste

Voilà pourquoi on se demande comment et pourquoi l’idéologie égalitariste de l’école socialiste post-marxiste a nié la transmission de la connaissance contre une civilisation du savoir, du mérite et de la réussite.

L’idéologie égalitariste de l’école de Hollande-Belkacine a voulu s’acharner à combattre le savoir et sa transmission. Les profs de gauche devaient surtout s’abstenir de servir à transmettre la culture bourgeoise.

L’école socialiste est en toute logique amenée à infléchir le rôle des enseignants post-marxistes dans le sens de cette idéologie de l’égalitarisme utopique. Les parents d’élèves, qui les voient réaliser le déclin de l’école, nourrissent une conception entièrement opposée du rôle politique des enseignants. Ils critiquent leurs erreurs, leur mauvaise foi, leur servilité à l’égard de la mode égalitariste de l’école socialiste post-marxiste, leur irresponsabilité quand ils se prononcent en faveur de l’idéologie des “ABCD de l’égalité” et la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l’école socialiste, contre les désirs et les valeurs des parents.

Les parents d’élèves reprochent aux enseignants socialistes leur manque de sens des responsabilités dans l’exercice de leur influence pédagogique sur des enfants sans défense et la désinvolture avec laquelle ils négligent et falsifient la transmission des connaissances. Leur indifférence aux dégâts causés à l’éducation des élèves, par leur endoctrinement post-marxiste, confirme leur manque de sens des responsabilités.

En France, ce procès de l’école socialiste remonte au mythe absurde de l’égalité réelle de Hollande-Belkacine, quand les idéologues socialistes devinrent les principaux activistes de la politique de l’Éducation Nationale socialiste et des effets délétères qui en résultèrent inévitablement. Il est clair que la condition de ces idéologues socialistes les préparait à imposer les théories générales et abstraites en matière d’éducation et à s’y confier aveuglément. Dès lors, en prenant en main la direction de l’éducation, malgré l’éloignement infini où ils étaient de la pratique, ils ont créé le prototype de l’enseignant socialiste qui se comporte en partisan, mais sans jamais assumer les risques de l’illettrisme et de l’échec scolaire égalitariste des élèves.

La justification du rôle partisan de l’enseignant socialiste consiste à exalter un avantage politique lié à sa distance par rapport aux contraintes de la pratique de la transmission des connaissances.

II est la conscience politique de l’égalitarisme de l’école socialiste, le serviteur de la propagande post-marxiste, et l’ennemi de la transmission de la connaissance par la tyrannie des dogmes égalitaristes.

La condamnation de la transmission du savoir est la cause des iniquités égalitaristes de l’école socialiste. Cette glorieuse tradition égalitariste de l’école socialiste a sa justification pour avoir propagé des utopies socialistes, des dogmes égalitaristes porteurs des catastrophes de l’illettrisme pour tous et de l’échec scolaire. Le talent des activistes de la politique de l’Éducation Nationale socialiste vise à justifier le mensonge, la tyrannie de l’égalitarisme, l’assassinat du mérite, et le partage de la bêtise socialiste parmi tous les élèves.

Certains idéologues socialistes ont beau être parfois des enseignants éminents dans leur spécialité, ils n’en sont pas moins des idéologues partisans sur le plan de l’égalitarisme et du déclin de l’école socialiste.

La vision égalitariste et religieuse de l’enseignant socialiste lui confère, par la politique de l’Éducation Nationale socialiste de Hollande-Belkacine, l’infaillibilité marxiste, la probité socialiste et la détermination.

Au contraire, la vision critique des parents d’élèves traduit une “inquiétude excessive” en supposant l’enseignant socialiste atteint d’une légèreté congénitale et d’une inadaptation foncière à l’enseignement de la connaissance du monde réel. Or l’intervention de l’enseignant socialiste dans les affaires de l’école publique se déroule sous l’empire de considérations idéologiques, de pressions politiques, de passions, de lâchetés, de préjugés, d’arrivisme, d’hypocrisie socialiste en conformité avec les motivations des hommes politiques.

Pour y résister, les enseignants socialistes manquent des qualités nécessaires, que sont le bon sens, la clairvoyance, le courage psycho-pédagogique et l’honnêteté intellectuelle. Les troupes que les enseignants socialistes fournissent aux aberrations égalitaristes de l’école socialiste sont aussi considérables que les contingents des journaleux socialistes médiocres qui soutiennent les mensonges des médias de gauche.

Les enseignants se sont fixés comme objectif la rééducation socialiste de la personnalité des élèves. C’est pourquoi le fait d’empêcher les connaissances est conforme au but d’amener les élèves à croire à l’idéal égalitariste socialiste. La croyance idéologique post-marxiste s’ajoute à la censure à l’école, à savoir que la transmission des connaissances serait un processus bourgeois et fondamentalement réactionnaire. Par voie de conséquence, la pédagogie non directive a réussi à créer des élèves pratiquement analphabètes. De là, le “bac pour tous” et la surélévation des “notes pour tous” a réussi à créer des étudiants à l’Université sachant à peine lire. Cette décadence de l’école résulte d’une doctrine socialiste officielle, selon laquelle l’école ne doit surtout pas avoir pour mission de transmettre des savoirs bourgeois et réactionnaires.

De là, on comprend que l’ignorance et “l’égalité pour tous” fait l’objet d’un culte, à l’école socialiste. Ce culte de l’ignorance et de “l’égalité pour tous” est explicite dans de nombreuses directives. L’école doit cesser de transmettre des savoirs pour devenir une sorte de “lieu de vie” où se déploie “l’ouverture à autrui et au monde socialiste”. II faut abolir le critère du mérite et de la compétence jugé bourgeois et réactionnaire. L’élève ne doit rien apprendre qui le distingue des autres afin de confirmer l’égalité de “l’échec scolaire pour tous”. Il importe d’empêcher les écarts des savoirs des élèves, car ils pourraient donner à croire que certains élèves réussissent mieux que d’autres parce qu’ils seraient plus intelligents ou plus travailleurs ou qu’ils auraient de meilleurs professeurs. L’école socialiste a pour mission de neutraliser les différences de résultats entre les élèves en rétablissant la rigoureuse égalité de résultats en faussant ou en supprimant les notes.

L’école socialiste doit effacer les mauvaises notes et supprimer les écarts entre les bons élèves et les autres. Il faut empêcher les bons élèves d’acquérir plus de connaissances et mieux que d’autres, ce qui ferait encourager la croyance dans les inégalités naturelles et les différences entre les élèves. L’école socialiste doit lutter contre l’injustice scolaire. C’est pourquoi le bon élève doit être empêché de progresser et maintenu au niveau du mauvais élève, pour entretenir l’illusion de la moyenne sociale médiocre juste et équitable.

En France, le mythe absurde de l’égalité réelle de Hollande-Belkacine a développé l’arbitraire de son abstraction idéologique et l’indigence scientifique de cette thèse égalitariste de l’école socialiste. Le support idéologique dérisoire de l’égalité réelle a montré l’impuissance de ce dogmatisme à rendre compte des faits de la réalité et de l’inégalité des chances. Toute tentative de l’école pour détecter les talents des élèves et leur fournir de quoi pouvoir se développer est qualifiée d’élitiste et condamnée comme idéologie bourgeoise et réactionnaire. L’école socialiste doit entraver les filières sélectives d’élite afin de priver les meilleurs élèves de perspectives d’avenir. Tiré de Jean François Revel qui a écrit : “On redistribue la réussite (de l’échec) scolaire comme l’État socialiste redistribue les revenus” dans son livre La connaissance inutile © Grasset, 1988.

La mythologie de l’Éducation nationale socialiste plaide pour une démocratisation de l’enseignement et pour l’accession du plus grand nombre au “bac pour tous” par la surélévation des “notes pour tous”. Elle enjoint à l’ensemble des enseignants de s’opposer à tout projet sélectif. L’enseignement de l’école socialiste s’arc-boute sur le principe de l’égalité réelle de “l’ignorance pour tous”. Démocratiser l’enseignement, cela signifie faire en sorte que sa situation sociale n’empêche jamais un enfant de faire les études correspondant à ses capacités. Décréter que tous les enfants des écoles seront égaux dans “l’ignorance” ne peut être que le fruit d’un délire idéologique fondé sur l’incompétence égalitariste partisane de l’école socialiste.

Jean François Revel cite dans son livre La connaissance inutile © Grasset, 1988 : Un élève arrive en seconde à dix-sept ans sans savoir lire ni écrire. Une partie du conseil de classe, en fin d’année, propose de le faire redoubler avant de l’orienter. La majorité du conseil de classe décide de le faire passer “pour ne pas ajouter un traumatisme psychologique à son handicap scolaire” ! Pour mesurer l’imbécillité de la décision du conseil de classe, il faut savoir que le jeune a été orienté vers des classes qui sont de véritables dépotoirs.

Ajouté à la falsification des notes, ce principe irréaliste parachève la destruction de l’école socialiste par les enseignants eux mêmes. L’égalité dans l’enseignement consiste à créer les conditions d’accès aux études dans lesquelles chaque élève réussirait en fonction de ses facultés intellectuelle réelles, et non de son milieu social. L’enfant issu d’un milieu favorisé ne doit pas être poussé s’il est médiocre et l’enfant né dans une famille sans moyens et sans culture ne doit pas être privé d’études de haut niveau s’il est intelligent et travailleur. Et pour cela l’enfant méritant a besoin d’un enseignement sélectif, apte à détecter les dons, au lieu de les réprimer en les empêchant d’émerger et en les maintenant au niveau des plus mauvais élèves.

Ce système égalitariste de l’école socialiste anéantit sa vocation démocratique, qui est de corriger les inégalités sociales en respectant la réalité des inégalités intellectuelles des élèves. L’idéologie socialiste de l’égalité réelle, en organisant l’échec des élèves, fait office de négation totale de l’inégalité intellectuelle. Ce postulat engendre l’école la plus réactionnaire qui soit, car seuls les enfants de milieux aisés ont les moyens de trouver, hors d’un enseignement de l’école socialiste devenu stérile, la réussite que cet enseignement ne leur fournit plus. La prétendue justice socialiste égalitariste pour tous accouche de la suprême injustice.

Thierry Michaud-Nérard




Cour de cassation : le dernier coup de Valls…

Manolo, ex premier ministre sait faire ses coups en douce. Juste avant de partir, il a laissé une boule puante au petit Cazeneuve à charge pour lui de régler cette affaire “nauséabonde”.

Qu’en est-t-il de cette affaire de décret plaçant nos élites judiciaires sous la houlette d’une inspection générale de la justice. (d’un décret en date du 5 décembre 2016)

Dans la lettre ouverte adressée au premier ministre, le premier président Jean Claude Marin et le procureur général de la haute cour, Bertrand Louvel, très courroucés voire effarouchés dénoncent donc «une rupture avec la tradition républicaine”. Mais une rupture avec une tradition n’est pas illégale. Ce n’est qu’une rupture avec une tradition, qu’elle soit républicaine ou monarchiste. Nos braves gens de la cour de cassation n’aiment pas que l’on vienne les casser, même un peu, pour de vrai, voire façon puzzle. Ils protestent donc ! Mais de quoi ? D’une petite vengeance d’Hollande ?

Les chefs de la Cour de cassation, Messieurs Louvel et Marin avaient déjà interpellé l’exécutif en la personne de François Hollande en octobre pour reprocher au Président de la République ses propos sur la « lâcheté » des magistrats, cités dans ses confidences aux journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, « Un président ne devrait pas dire ça… » Vont-ils aller jusqu’à manifester leur courroux dans la rue ?

Pas de souci morbleu, ce n’est pas le genre de la maison ! L’hermine est blanche, la pollution forte ! Les porteurs âgés et chargés de médailles ! Tout cela pourrait les fatiguer, voire les épuiser. N’oubliez jamais que la justice, ce n’est pas l’usine, encore moins le bagne.

L’inspection générale de la justice n’aura évidemment pas son mot à dire sur l’activité juridictionnelle de la haute cour. Elle se contentera d’en apprécier la gestion, le fonctionnement et la performance. En clair, elle aura la main sur les dépenses et les recettes puisqu’elle jugera du bien-fondé des bilans comme une sorte de cour des comptes.

Alors, tels les bourgeois de Calais, à ne pas confondre avec les déserteurs et autres immigrés du même lieu, ils seront reçus humblement par le ministre et en personne raisonnable, ayant du savoir vivre, ils écouteront lors de cet entretien, le ministre répondre à leur aimable protestation ! Entre gens du même monde. Aucun risque que l’un deux arrache la chemise du Ministre, s’accroche aux grilles du Palais de justice ! Laissons cela très cher, au petit peuple, à la volaille !

Nul ne peut douter un instant, qu’entre gens de bon niveau, entre le fromage et la petite poire, la vaseline et les assurances, cette affaire sera résolue. Personne ne saura en fait qui aura fait le fromage et qui a fait la poire.

Pour conclure et pour l’ambiance, cela aurait eu de la gueule tout de même de voir dans les rues nos juges accompagner nos policiers, nos pompiers, nos avocats, toutes ces institutions dont le pouvoir socialiste à su se moquer des devoirs et des droits.

Gérard Brazon (Liberté d’expression)

 




Un virus ravageur se propage chez les socialistes (vidéo)

Un virus s’est propagé chez les adeptes du socialisme. Il a fait des ravages parmi toute une population s’exprimant en novlangue. Ils peuvent se reconnaître par un discours compassionnel type comme une acceptation intrusive de l’étranger. Une soumission au multiculturalisme. Un désir incontrôlé de rencontrer l’autre, le différent.

Certains, moins nombreux, moins atteints par le virus que la moyenne, arrivent à se contrôler et font payer la note finale aux voisins et mêmes, aux contribuables. Ce qui dénote tout de même, pour ces sujets, une résistance au virus.

Dans l’ensemble, ils ont une attitude gauche. Une incompréhension systématique, des explications alambiquées, des rhétoriques vieillottes, des hallucinations Godwin. Bref, ils subissent une altération des capacités cognitives supérieures.

Ils se retrouvent en général dans les mêmes environnements : éducation nationale, ministères, syndicats politisés, associations humanistes, médias subventionnés, etc. Le foyer est parti dans les années 1980 en pays de Mitterrandie. Il s’est propagé rapidement au parti socialiste, écologiste et communiste.

En 2007, nous avons pu constater que même ceux qui se déclaraient immunisés à droite, ont commencé à tenir des discours douteux. On a pu voir par exemple à cette époque, des cas particuliers qui se sont déclarés à travers les nominations de ministres atteints de ce virus dans un gouvernement d’ouverture.

C’est fort regrettable, mais à ce jour, et dans la situation actuelle, il est possible qu’il y ait une forte rechute en 2017.  Pas de vaccins en vue…

Des signes cliniques nous alarment quant à la propagation de ce virus parmi l’ensemble de la population. Il semblerait en effet que cette altération aurait touchée quelques responsables politiques dans un parti qui en principe, devrait être totalement immunisé. De plus, un parti qui n’aurait aucun lien avec la souche d’origine. Pourtant, des signes d’altération cognitive majeure, seraient présents parmi l’entourage très proche de la Présidence.

Après analyse, ce serait dû à une incorporation d’agents viraux venus de l’extérieur, recrutés parmi d’anciens socialistes, voire d’anciens gauchistes, qui après un moment d’acclimatation (incubation ?) auraient commencé à atteindre quelques organes du cerveau directeur.
En clair, l’avenir en 2017 n’est pas si lumineux que ça. À moins que la Présidence ne réalise à temps qu’elle se fait noyauter…

Gérard Brazon (Liberté d’expression)




Manuel Valls humilie en public Jean-Marie Le Guen en Côte d’Ivoire

On peut s’attendre à tout avec ce gouvernement. Mais est-ce un gouvernement ou une classe venue tout droit d’une école Belkacem n’ayant aucune idée de ce qu’est le respect, la politesse, les égards et que sais-je encore ?

Monsieur Valls prétend être le directeur de la classe. En sortie scolaire, il se la joue chef de bande. En récréation, il se prend pour un prof de gauche (pléonasme) donnant des leçons de morale. A chaque fois que l’un de ses camarades lui marche sur les pieds, il devient furieux. Il explose de ci de là et fait un caca nerveux à la moindre secousse. Il faut lui éviter d’urgence l’Italie en ce moment.

En voyage en Côte d’Ivoire, il pète un plomb de plus. Nous sommes à l’étranger, un pays ami certes, mais pas chez nous. Il est devant un public qui n’en peut plus de rire d’entendre cette réflexion.

Un Ministre de France se prend une gifle sous les rires et les  amusements  par le 1er des Ministres Manuel Valls. Quelle preuve de mépris pour Jean-Marie Le Guen, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement ! Pour la France en général aussi.

Gérard Brazon (Liberté d’expression)




Vœux : une longue lignée de Présidents menteurs…

Hollande-du-balaiHollande est en place et a repris le médiocre héritage de Nicolas Sarkozy qui lui-même le tenait de ce triste Radical-Socialiste qu’était Jacques Chirac complice de François Mitterrand. Nous sommes dans une lignée affligeante de Présidents menteurs.

34 ans de gestion et de déconstruction de notre France, de sa culture, de son histoire. On pourrait même remonter à 1973 du temps de Pompidou avec le vote d’une loi interdisant à l’état d’emprunter directement à la banque de France, sans compter 1976 avec Giscard et Chirac qui ont mis en place le regroupement familial. Aucun de ces Présidents n’a modifié quoi que ce soit à ces décisions. Ils ont tous été dans la continuation de l’enfumage et de la désinformation. La France se dépouille de ses prérogatives de pays souverain et indépendant avec un système électoral qui transforme le bon peuple en simple spectateur de sa déchéance.
La misère est bien présente. Je me souviens de cette femme en haut d’un escalier du métro parisien en 2006 Place du Colonel Fabien. Rien de neuf depuis :
Elle est assise et ne dit rien. Ses yeux bleus regardent au loin. Elle est assise comme déposée. Assise  en haut de l’escalier. Elle attend.
Hier, et sans doute demain. Elle sera là dans le paysage. Elle sera comme une image. Elle ne dit rien. Un petit gobelet à la main. Elle attend.
Vous, moi, les gens, chacun. Nous passons notre chemin. Pas le temps.
Chaque jour passe, Elle ne dit jamais rien. Son petit gobelet à la main. Des chiffons sur le dos posés. Des chaussures aux pieds troués. Elle est assise comme déposée. En vrac en haut de l’escalier.
Des pauvres cheveux blancs entourent son visage émacié. Quelques mèches collées sur un visage ridé. Elle est si fatiguée, assise en haut de l’escalier. Hier et sans doute demain. Un petit gobelet à la main.
Elle attend. Vous, moi, les gens, chacun. Nous passerons notre chemin. Un jour, elle ne sera plus là. Les gens, vous, moi, on l’oubliera.

Clochards aux cheveux blancs

Les politiques peuvent toujours nous dire ce qu’ils veulent, nous faire croire qu’ils œuvrent pour la collectivité, dans l’intérêt générale. Le bon peuple commence à comprendre que ces politiques sont “hors sol” comme le dit Éric Zemmour, déconnectés des réalités. Ce sont des “Marie Antoinette et sa brioche”. Le filet social arrive au bout de son élasticité. D’autant plus qu’il est de plus en plus tourné vers une immigration qui reçoit bien plus que les nationaux sans avoir jamais cotisé. Un système d’assistanat qui n’a comme sujet unique que d’éviter l’explosion sociale.
Alors cette dame, en haut de l’escalier du métro Colonel Fabien, n’est pas un cas unique. Cette situation  se multiplie à l’infini.
Ce triste Président élu par défaut,  nous a fait un discours que nous aurons entendu pendant plus de 34 ans. Ce qui m’étonne encore, c’est de réaliser que des millions de Français ont écouté son discours.
Nous avons la chance d’avoir une possibilité de modifier la donne. Une chance d’avoir des politiques sincères œuvrant  dans l’opposition nationale, à tous les niveaux, qui veulent que ce train de la mort de notre pays change de voie, de direction. Qui veulent sortir de cet engrenage infernal. Ce doit-être aujourd’hui, la priorité de tous les patriotes. Vouloir que des femmes, des hommes ne soient plus condamnés à l’exil intérieur. Est-ce une ineptie ?  2015 nous le dira !

Bonne année patriotes 2015 à tous. 

Gérard Brazon (Le Blog)
 




Marc Knobel et les siens veulent obliger la RATP à embaucher encore davantage de diversité !

Il est à noter que c’est sous Jacques Chirac que c’est mis en place les outils de coercition contre les mauvais penseurs à savoir, ceux qui refuse la mixité obligatoire, le multiculturalisme forcené, le nécessaire “vivre ensemble” et tout cet attirail de la pensée correcte qui nous vient de la gauche américaine.

Vous vous croyez libre? Vous ne l’êtes pas! Vous croyez penser ce que vous voulez? Vous ne le pouvez plus! Encore moins de le dire.

Tout est fait désormais pour vous interdire la pensée critique!

Oh ce n’est pas fait avec le fouet et les menottes, on ne va pas vous torturer! Il suffira que l’on glisse dans votre esprit des interdits dans l’entreprise, sur les radios-télévisions, à travers l’éducation scolaire de vos enfants, etc. On vous impose des chartes à l’embauche et également, par le truchement de la télévision, cet instrument d’éveil à l’origine, devenu un instrument de surveillance, sous l’image bonhomme d’animateurs sympathiques, sous le feux de jeux débiles et d’un vocabulaire appauvrit au maximum, le plus faible possible au service d’une culture a minima, la plus simpliste possible: “ce n’est pas de ma génération” étant l’excuse finale!

Le verbe étant le pouvoir, il convient de réduire celui-ci, au point que souvent, nous écoutons sur nos télévisions et radios des propos entiers d’invités, d’animateurs et de spécialistes qui ne signifient rien ou si peu. Remplissage et enfumage, un match de foot et au lit !

L’essentiel étant que le discours paraisse libre. L’animateur souriant, les invités contents si ce n’est heureux. La claque dans les travées faisant applaudir ou non le public présent.

L’essentiel étant que vous ne remettiez pas en cause les fondamentaux du “bien vivre ensemble”!

Pas de race, pas de couleurs, pas d’origines, pas de cultures, pas de religions… rien qui puisse troubler le lac tranquille de la France anesthésiée dans cette Europe de la dictature.

Tout le monde il est beau et bien sûr, tout le monde il est gentil! Sinon gare! Gentil le monsieur, gentil la madame! Un frétillement sur la joue, un doute dans le regard et tous vous regarderont comme un extrémiste dangereux. Tout doux le monsieur, tout doux la madame! Mais non, tout va bien… cesser de bouger, vous êtes sous perfusion!

La police veille dans les entreprises, les bureaux, les salles publiques. En douceur mais en profondeur…

Nous sommes en lutte contre Big Brother mais déjà, big brother est dans notre esprit et souhaite nous interdire la réflexion simple: pourquoi ne puis-je pas penser librement que je ne suis pas en phase avec l’immigration, que l’islam est dangereux pour nos sociétés judéo-chrétiennes, que l’Europe nous tue, et massacre nos cultures, que cette Europe refuse le libre arbitre, la démocratie, la voix des peuples et qu’elle a trouvé des supplétifs dans le personnel politique de droite comme de gauche. C’est “extrémiste” nous dit la doxa de la bien-pensance en fronçant les sourcils !

Je crains fort que si nous voulons retrouver notre liberté de penser et de dire, il nous faille passer par ce qu’ils appellent l’extrémisme qui ne serait au fond qu’un réflexe de survie. Nous le devons à tous ceux qui se sont battus pour nos libertés essentielles à commencer par celle de la libre expression.

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais j’en ai assez de ces discours raisonnables ou justement il y a plus aucune raison autre que d’abêtir les peuples pour mieux les manipuler. Au nom des libertés, de l’humanisme, des droits de l’homme, de la lutte contre le racisme. C’est une dictature qui s’installe de fait ! Voici un extrait de cette machinerie qui est en place depuis 2003!

Synthèse des propositions du Comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (CILRA) par Marc Knobel, chercheur au Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

Une réflexion d’ensemble a été lancée par le Ministre de l’Éducation Nationale afin d’établir une progression et une cohérence depuis l’école primaire jusqu’au lycée de toutes les actions qui contribuent à la construction du respect, du vivre ensemble et de la liberté.

Comme c’est joliment dit n’est-ce pas! Mais poursuivons cet extrait:

Le Comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (C.I.L.R.A.) a été créé par décret du Président de la République en date du 8 décembre 2003.(Jacques Chirac fût élu à l’Africaine avec 82% des voix.Il a vocation à être l’instance principale de réflexion et de décision concernant cette politique. Présidé par le Premier ministre, il réunit les ministres de l’Intérieur, de la Justice, des Affaires étrangères, des Affaires sociales, de l’Éducation nationale, de la jeunesse et de la ville. Les autres ministres intéressés par les questions inscrites à l’ordre du jour sont invités à siéger au Comité. […]

Le gouvernement (socialiste) veut créer un module de formation initiale, ou de prise de poste, commun à tous les nouveaux agents de l’État et obligatoire, portant d’une part sur les valeurs de la République, les Droits de l’Homme, la lutte contre les préjugés, d’autre part sur les comportements qui seront attendus d’eux à cet égard dans l’exercice de leurs fonctions. […]

Les initiatives prises par le réseau des 1200 musées de France en matière de lutte contre les préjugés seront répertoriées et utilisées pour favoriser le développement d’actions pédagogiques locales à l’intention des populations d’âge scolaire, en particulier dans les régions manquant de lieux de mémoire. […] 

Des pauvres gosses vont être systématiquement abrutis par un même discours. Quel sera la place des parents dans ce discours “humaniste” et “droit-de-l’hommiste?

(…)

Inciter les établissements d’enseignement supérieur à adhérer à la Charte de la diversité et à s’engager ensuite pour obtenir leur labellisation afin que les étudiants d’aujourd’hui, qui sont les dirigeants de demain, soient formés par l’exemple à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. […]   Source Fdesouche

Pour mémoire, la RATP a signé cette charte de la diversité et elle se retrouve en plein marasme et ne sait plus comment gérer l’affaire de l’intégrisme musulman de certains de ses salariés embauchés pour justement favoriser la diversité dans ses Centre-Bus. Aujourd’hui, c’est la femme qui est déconsidérée, insultée et accusée.

Gérard Brazon   (Puteaux-Libre)

Qui est Marc Knobel  : source: CRIF http://www.crif.org/fr/auteur/marc-knobel/29883