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La vérité des sondages se cache à l’Élysée !

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Qui croire ? Que croire ? On ne s’en sort plus avec tous ces sondages. Et il en pleut chaque jour…

Les gouvernements ont toujours été de très gros consommateurs de sondages. Un procès très actuel nous le rappelle… Ce fut de pire en pire pour les contribuables et il est à craindre que le dictateur sanitaire en surconsomme. Certainement, il va avoir de plus en plus de crises de boulimie pour savoir à qui distribuer nos largesses… et tenter d’acheter des voix avec l’argent des contribuables, alors que son parti est richissime.

Qui peut croire que Macron soit à 23 ou 25 % des intentions de votes ? 

Il est haï, détesté, exécré, y compris par beaucoup de CSP+. Pour une raison ou l’autre, chacun a quelque chose de grave à lui reprocher. A contrario, cela rappelle les études d’opinion sur les votes FN ou RN  qui racontaient que ce n’était qu’un vote populaire, les élites « intellectuelles » ne votant jamais Le Pen. Tout d’abord, elles n’étaient jamais sondées ou elles bobardaient. Des Bac + 10 soutenant le Menhir, il y en avait bien plus qu’il se disait. 

Pour tenter d’approcher une vérité que l’on peut vouloir nous dissimuler, il n’est plus qu’à observer.

Les rares piques envoyées par Macron et ses sbires ne sont dirigées que vers Zemmour… 

La plupart de ses ministres attaquent surtout Zemmour, miss Indignation en tête. Ayant achevé la piètre promo de son roman inepte, vendu à soixante-quatre exemplaires, le tromblon Marlouna va recommencer à tirer dès que le candidat potentiel énoncera une banalité lui déplaisant. C’est donc lui l’ennemi, celui qui est haut dans les sondages, celui avec lequel Macron ne veut absolument pas débattre !

Afin d’en savoir davantage, tendons nos oreilles  vers Macron et sa mafia et nous saurons tout.

Daphné Rigobert




Qu’Édouard Philippe caracole dans les sondages annoncerait-il son retour ?

Sondeurs et propagandistes essaient de nous vendre Édouard Philippe et Nicolas Hulot comme personnalités préférées des Français. Les deux furent les acolytes zélés de Macron, l’un fut son Premier ministre, trois ans, et “géra” la crise Covid-19 jusqu’à l’arrivée de Castex, avec masque pas de masque et sa cohorte de mensonges… Une perquisition ne suffisant pas, il va lui falloir en répondre… Sauf s’il devenait chef de l’État.

Selon un récent sondage IFOP, le maire du Havre récolterait 58 % de bonnes opinions, séduisant toujours davantage : 7 sympathisants de droite sur 10, 90 % des Marcheurs et la moitié des électeurs lepénistes… Cette dernière assertion est très peu crédible. Il est fort à parier que l’électorat du RN déteste autant Philippe que Macron.

Les sondeurs ne se plantent pas. Ils sont payés pour bobarder et manipuler l’opinion. Ce ne sont que des propagandistes comme les autres, avec le gouvernement du moment pour meilleur client. Une fois de plus, les Français les rémunèrent très cher pour se faire désinformer. Exactement comme ce qui advient avec les chaînes du service public.

Pur produit de la technocratie, ce Juppé barbu, façon dalmatien, est un autre Macron, à défaut, il ne fut pas son ministre. Jouant une certaine rivalité, ils nous servent encore une de leurs guignoleries : si l’un est empêché, l’autre ira. Servant les mêmes maîtres et les mêmes intérêts, ils sont identiques, seuls quelques centimètres de hauteur les séparent.

“Son bilan est catastrophique. Jamais les dépenses publiques n’ont été aussi peu contrôlées, et ce avant la crise du Covid. Pareil sur l’autorité que réclament les Français » (…) ». C’est celui qui cède tout aux voyous et aux casseurs à Notre-Dame-des-Landes. C’est lui qui met le feu partout avec les « Gilets jaunes » : il refusait d’entendre les messages que nous lui adressions à l’Assemblée sur l’augmentation du gasoil. Il s’est entêté sur les 80 km/h sans vouloir bouger. Par son mépris et son ignorance du terrain, il a mis le feu à la France entière, flairant peut-être un danger potentiel. Christian Jacob, président des LR, l’a fusillé dans sa dernière interview au Figaro, ce qui expliquerait que les instituts de sondages nous survendent Édouard Philippe et son parti Horizons, qui n’est ni novateur ni enthousiasmant. Et dont voici les propositions « bouleversifiantes » :

« 1. L’unité et la cohésion de la France autour de ses valeurs, de son histoire et de sa culture.
Nous avons pour ambition de construire une stratégie globale pour la France afin d’assurer sa compétitivité, sa prospérité et sa puissance sur le long terme ;

2. La poursuite de la transformation du pays pour faire face aux défis qu’il traverse et aux dangers qui le guettent.
Nous estimons que les renoncements à réformer aujourd’hui préparent nos faiblesses de demain : il est urgent de construire une France plus forte et plus juste, une économie plus compétitive et plus innovante, un État moins dispendieux et recentré sur ses missions essentielles ;

3. La liberté comme valeur cardinale de la République.
La liberté d’entreprendre et d’échanger, garante de l’innovation et du progrès. La liberté de croire ou de ne pas croire dans le cadre fixé par la laïcité. La liberté de s’exprimer, de débattre et de rire comme conditions fondamentales de la vie collective ;

4. L’ordre comme la meilleure garantie de la liberté et de la prospérité du pays.
L’ordre dans les comptes de la Nation, sans lequel il n’y a pas d’indépendance nationale, et l’ordre dans la rue, sans lequel il n’y a ni sécurité ni justice pour tous. Nous croyons que l’autorité publique doit être fermement restaurée partout où elle est contestée ;

5. Un humanisme républicain qui fait de l’éducation l’objectif prioritaire de l’effort national.
Nous sommes persuadés que l’éducation constitue la mère des batailles, qui commande la capacité du pays à innover, à former des citoyens éclairés et à relancer l’ascenseur social. Nous croyons que la science et l’esprit des Lumières doivent éclairer toutes les politiques publiques et servir de fondement au débat démocratique. Nous nous battons pour l’égalité réelle entre les hommes et les femmes dans la vie collective ;

6. Une ambition écologique.
Pour la France, fondée sur les notions de progrès, de sobriété et de durabilité. Nous croyons que cette ambition passe par l’instauration d’une politique efficace de décarbonation de notre économie, la préservation de la biodiversité et un investissement accru dans l’excellence des filières énergétiques et agricoles françaises ;

7. La justice sociale.
Comme fondement du pacte républicain, qui impose un équilibre absolu entre droits et devoirs. Nous croyons que la solidarité nationale est une chance et une nécessité, dont la contrepartie est la revalorisation du travail et du mérite comme piliers d’une société prospère et digne ;

8. L’organisation décentralisée de la République.
Avec une répartition plus efficace des compétences entre des collectivités au rôle clarifié et un État renforcé sur ses prérogatives régaliennes. Nous défendons la démocratie représentative dans le cadre des institutions de la Ve République qui permettent à chaque citoyen de faire valoir son opinion tout en garantissant la force de gouverner du pouvoir exécutif ;

9. L’indépendance nationale.
Dans un monde dangereux et instable, où la France doit conserver les moyens de rester maîtresse de son destin. Nous estimons que la France doit demeurer capable de défendre elle-même ses intérêts nationaux, ses valeurs et ses alliances en restaurant les outils de sa puissance ;

10. Le projet européen.
Comme la voie de la prospérité et de la souveraineté de la France. Mais nous portons l’exigence d’une Europe plus respectueuse du principe de subsidiarité, de l’intérêt collectif des Européens et des choix fondamentaux du peuple français. »

Que Philippe se profile à l’Horizon(s) n’aurait rien de surprenant. Cela signifierait que, ne croyant plus en Macron, les mondialistes préfèrent miser sur un canasson moins psychopathe mais tout aussi servile. Il ne nous reste plus qu’à surveiller les sondages mensongers pour vérifier l’hypothèse. Plus Édouard va monter, plus…

Daphné Rigobert

Extrait du dernier show d’Edouard Philippe.

 

 

 




Violences ethniques : les policiers répliqueront-ils un jour à l’arme lourde ?

Soirées et nuits banales dans les banlieues ethniques…

Nombreux heurts dans plusieurs communes des Yvelines dans la nuit du 25 au 26 février :

* Chanteloup-les-Vignes, 16 heures, rue des Petits-Pas : jets de pierre contre des policiers qui contrôlaient un “jeune” de 15 ans qui arborait un couteau en pleine rue.

* La Celle-Saint-Cloud, 17 h 30, rue Beauffremont : une racaille a fait usage de mortiers d’artifices dont l’usage est devenu coutumier dans les quartiers ethniques contre les fonctionnaires de police. L’individu a réussi à prendre la fuite.

* Meulan, 19 h, rue de la Ferme-du-Paradis : des projectiles ont été lancés par un groupe de 25 racailles contre des passants et des policiers.

* Trappes, 19 h 30, square Albert-Camus, dans la ville par ailleurs si paisible du maire au rabais : des fonctionnaires de police se font caillasser par une bande de “jeunes”.

* Les Muraux, 20 h 30, rue Blériot, construction de barricades et feux de poubelles par une trentaine de “jeunes”. Les policiers dépêchés sur place sont accueillis par une quarantaine de tirs de mortiers d’artifice.

* La Verrière, 20 h 30, Résidence du Bois-de-l’Étang : des policiers ont été visés par des tirs de mortiers d’artifice.

* Sarcelles (95), entre 19 h 30 et 20 h, le commissariat a été pris pour cible par une trentaine de racailles qui ont fait usage de nombreux mortiers. Les fonctionnaires de police ont dû se retrancher dans le bâtiment durant l’assaut qui ne s’est soldé par aucune arrestation.

Les policiers constatent une montée en puissance des moyens d’agression à leur encontre. À l’image de l’explosion de la violence dans la société

Rappelons les dernières agressions les plus violentes où des policiers ont failli laisser leur peau : 

* Le 7 octobre, trois policiers ont été violemment agressés à Herblay.

* Le 10 octobre, le commissariat de Champigny a subi une violente attaque.

* Le 28 novembre, le commissariat de Cahors a été visé par de nombreux cocktails Molotov. L’intention meurtrière des assaillants ne faisait aucun doute. Trois véhicules ont été complètement détruits par les flammes. Alliance Police Nationale Occitanie a fermement condamné ce “déchaînement de violence envers les institutions et plus particulièrement à l’encontre des policiers”, constatant que “la haine anti-flic n’est plus l’apanage des grandes métropoles”

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“Tuer des policiers n’est plus un tabou pour les petits délinquants” : l’avertissement lancé en 2017 par l’avocat Thibault de Montbrial est désormais devenu une banale réalité.

À ceci près que l’on doit maintenant parler d’islamo-délinquance, ou d’islamo-mafia : dans les quartiers ethniques, caïds et imams imposent leur loi commune : la charia fait bon ménage avec les trafics en tout genre.

De son côté, la clique macronienne espère ardemment des morts du côté des forces de l’ordre : rien de tel en effet, pour remonter dans les sondages qu’une belle cérémonie dans la cour des Invalides, avec de beaux discours d’hommage aux victimes.

Henri Dubost 




Jusqu’à quand le peuple français va-t-il se résigner à la folie sanitaire ?

Deux ans après la naissance du mouvement des Gilets jaunes, la révolte de la rue semble au point mort. Pourtant la privation d’une liberté fondamentale, celle d’aller et venir, est certainement plus grave que l’augmentation sans fin des taxes sur les carburants, aussi injuste soit-elle.

Des luttes qui peinent à se coordonner

Florian Philippot, fondateur du mouvement des Patriotes, n’a réussi à mobiliser, le 13 novembre dernier, qu’une petite centaine de personnes devant le ministère de la Santé. Il est vrai que le rassemblement du 29 octobre à République, suite à l’annonce du reconfinement, avait été sauvagement réprimé par la police. De quoi décourager les résistants !

 

À Nice, 1 500 personnes ont tout de même défilé, samedi 14 novembre, en soutien aux restaurateurs et commerçants, et à Marseille, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées devant la préfecture, rejointes par des Gilets jaunes et par l’association des « mamans en colère », qui dénonce le port du masque obligatoire pour les enfants de six ans !

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-a-nice-et-marseille-des-manifestations-contre-les-mesures-sanitaires-incoherentes-7051797

   

Mais à l’échelle de la France, et en comparaison avec la méga-manifestation de Leipzig du 7 novembre, copieusement relayée par le docteur Delépine, cela reste bien timide !

https://ripostelaique.com/leipzig-le-peuple-allemand-se-leve-pour-defendre-les-libertes.html

Pour autant, une certaine opposition intellectuelle prend forme : trois cents intellectuels se disent atterrés par les mesures prises par le gouvernement : dans une tribune rédigée par le sociologue Laurent Mucchielli et publiée sur le site Regards.fr, les signataires dénoncent la communication du gouvernement sur la Covid-19. Parmi eux : Laurent Tubiana, chercheur à l’Inserm et Louis Fouché, médecin anesthésiste à Marseille.

L’Église n’est pas de reste ! De nombreux fidèles étaient venus nombreux pour écouter le prêche sans complaisance de l’abbé Michel Viot devant l’église Saint-Sulpice de Paris, vendredi dernier. Piqué au vif, le préfet de police Lallement, tristement célèbre pour son rôle dans la mutilation de militants des Gilets jaunes, a décidé d’interdire le rassemblement de ce dimanche 15 novembre pour la reprise des messes. Un bras de fer qui ne pourra que raffermir la détermination des cathos ! Et l’abbé Denis Puga, de la Fraternité Saint Pie X, n’a pas non plus mâché ses mots, dans un discours par lequel il dénonce la dictature prétendue sanitaire.

https://www.lesalonbeige.fr/intervention-de-labbe-michel-viot-devant-saint-sulpice-la-messe-cest-la-vie-meme-du-catholicisme/

https://youtu.be/GfQ9FXjs2ms

   

Une propagande parfaitement huilée et mensongère

La propagande tourne à plein : une enquête menée par le Centre de données sociopolitiques de Sciences Po et portant sur 1 400 personnes a d’abord tenté de nous faire croire à un vécu « positif » du confinement pour les trois quart des Français ! Une sorte « d’intermède philosophique qui aurait permis de consacrer du temps à soi et à sa famille » ! Ce n’est pourtant pas l’avis des milieux psychiatriques qui ont observé les effets très négatifs du premier confinement  : recrudescence des addictions, angoisse, dépression, frustration, colère, psychoses paranoïaques, explosions des disputes dans la sphère familiale et décrochage scolaire.

https://theconversation.com/cinq-lecons-a-tirer-du-premier-confinement-148935

Les sondages truqués qui prolifèrent sur internet veulent faire croire que 41 % des Français veulent un confinement plus dur (32 un confinement plus souple et 27 un confinement en l’état). C’est ce qu’affirme un sondage Ifop des 4 et 5 novembre 2020. La grande presse subventionnée en profite pour faire croire que 68 % des Français (41 + 27) approuvent les mesures du gouvernement. Mais l’entourloupe est de taille : il n’a pas été donné aux sondés la possibilité d’exprimer un avis hostile au confinement. De plus, ce sondage effectué en ligne ne porte que sur 2 030 personnes (ce qui est, en matière de statistiques, un échantillon très court) dont 1 094 salariés (sans doute en télétravail ). De quoi avoir quelques doutes sur la représentativité de l’échantillon !

https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-le-reconfinement-entre-depression-et-transgression/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=les-francais-et-le-reconfinement-entre-depression-et-transgression

Un quotidien insupportable

Certes, ce reconfinement se présente de façon plus « soft » que le premier. Les rues de Paris ne sont pas désertes mais le père fouettard menace de nous supprimer Noël si ça continue ! La réinformation commence à porter ses fruits et il n’est pas difficile de voir que le gouvernement tâtonne. De plus, comme sous l’Occupation, les gens s’adaptent à la situation, multiplient les combines pour mettre le nez dehors. L’on ne peut que s’en réjouir !

 

On joue au chat et à la souris avec les forces de l’ordre dont les missions de sécurité sont honteusement dévoyées, pour traquer les attestations bidon et remplir indument les caisses de l’État. Une bureaucratie portée à son paroxysme,  que l’on ne trouve qu’en ce doux pays de France. Il faut parfois plusieurs papiers pour une seule sortie, notamment s’il s’agit de participer à une manifestation déclarée en préfecture…

L’humoriste La Bajon n’a pas manqué de nous faire rire du ridicule de la situation dans son dernier clip à ne pas manquer : « L’ordure du reconfinement » !

https://youtu.be/eg-8jFkG4Nc

Dans le Nord et Nord-Est de Paris, les sans-papiers s’accommodent aussi de l’inquisition policière ! Sans ordinateur, sans imprimante, sans maîtrise du français, et souvent sans adresse, impossible d’aller télécharger l’ausweis pour justifier d’une présence dans la rue. Celle-ci est d’ailleurs leur lieu de vie dans la journée : tous les squares de ces quartiers sont peuplés de « migrants » qui tuent le temps, faute de statut, de travail et de vie familiale. L’insertion sociale ne se fait que par le deal et les petits trafics. Messieurs les politiques, il fallait y penser avant, lorsque vous avez décidé de leur ouvrir en grand les frontières, par pure idéologie ! Et l’épisode le plus risible nous vient du préfet Emmanuel Barbe des Bouches-du-Rhône, qui s’étonne que trop de dealers n’aient pas rempli d’attestations de sortie dérogatoire ! Cela en dit bien long sur la connivence passive des pouvoirs publics avec les auteurs d’activités illicites !

https://twitter.com/i/status/1326538576641753094

Les rayons de cadeaux de Noël sont interdits d’accès par un gouvernement qui prétendait pourtant vouloir soutenir la consommation. Chercher l’erreur !

   

Et les riverains dans tout ça ? Les réactions sont parfois étonnantes : certains se plaignent du fait que les boutiques de téléphone Lycamobile (par exemple) restent ouvertes alors que les petits commerces traditionnels (fleuristes, coiffeurs…) sont interdits d’exercer. Mais au lieu de demander la réouverture de ceux-ci, ils demandent la fermeture des boutiques de téléphone. Bref, ils font le jeu du durcissement sanitaire voulu par les ayatollahs du confinement. Cela nous rappelle la manifestation de certains élèves du lycée Colbert, qui réclamaient bêtement davantage de restrictions sanitaires, espérant sans doute échapper à certains cours !

Ce n’est pas en se la jouant  « perso » que le gouvernement pliera. Mais si la mobilisation tarde à émerger, c’est que le conditionnement est tel que peu de personnes osent critiquer le confinement, de peur de passer pour des complotistes. Le slogan de Florian Philippot, attaquant de front la politique gouvernementale, était pourtant fort bien trouvé : «  le remède est pire que le mal ».

Jusqu’à quand le peuple français va-t-il se résigner à la folie sanitaire ?

Hector Poupon




Les médias le disent : Macron progresse dans les sondages !

À la radio, le sondage tourne en boucle ! L’équipe macronienne ferait 23 % aux Européennes ! Tout le beau monde médiatique semble s’étonner, mais ne se pose pas de questions ! Pourquoi cette montée en flèche dans les sondages ?

Première hypothèse : on se souvient du livre de Philippe de Villiers « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu » ! Un essai paru en 2015 chez Albin Michel. Il parlait de ce fameux sondage qui avait vu sa liste aux Européennes passer de 2 % à 10 % du fait d’un petit coup de pouce financier, une brindille, l’achat d’une partie du Capital de TF1 par Jimmy Goldsmith qui était son deuxième de liste !

La deuxième hypothèse : 23 % du corps électoral est masochiste ! C’est-à-dire qu’environ 9 millions de Français représentant environ les 40 millions d’électeurs inscrits, adorent Emmanuel Macron et son martinet fiscal, son fouet européen, et se faire marcher dessus par les talons hauts de Marlène et de Brigitte, ou se faire botter le cul par Castaner !

La troisième hypothèse : les Gilets jaunes sont des branquignoles, des amuseurs de ronds-points, des gentils imbéciles, et qu’au fond, sucer des cailloux à la sauce gravier leur va bien puisque qu’il adore Emmanuel Macron et qu’ils en redemandent !

La quatrième hypothèse : voir des types se faire défoncer l’œil, briser la mâchoire, frapper aux visages, briser les côtes, se faire envoyer à l’hôpital et que le lendemain, les journalistes affirment que décidément, les manifestants emmerdent tout le monde, cassent les ventes dans les magasins, brisent la consommation, que Noël est foutu, Jour de l’an avec, et que la police est victime de la violence des manifestants plaît bien aux Français ! Macron aurait une réponse gaulliste, disent certains journalistes et autres sociologues et experts !

Bravo Castaner, tape dessus ces salauds, honte à ces ordures de manifestants, ces assoiffés de pinard, ces moins-que-rien, ces mal lavés, ces illettrés !  

Bravo Macron, dis-lui à cette plèbe qui est le patron ! À ces mal torchés qui ont déjà de la chance d’avoir le RSA, le Smic, et même d’être reçus dans des hôpitaux, voire des maternités pour celles qui ont encore l’audace de faire des gosses au lieu de faire de la place aux pauvres malheureux venant d’Afrique !

Où est la bonne hypothèse ? Dans la première et dans sa majorité ! Philippe de Villiers nous l’explique très clairement ! Un institut de sondage n’est pas innocent ! C’est celui qui paie qui a le meilleur sondage, sinon personne ne ferait un sondage censé être dévoilé au grand public. Il faudrait être idiot ! Macron l’a prouvé aux Présidentielles, il ne l’est pas et ses amis de la finance non plus !

Il y a de la vérité dans les autres hypothèses, hélas ! On ne pourra jamais faire comprendre à des Français majeurs, issus de tous niveaux sociaux, que leurs intérêts se situent au-delà de leurs possibilités culturelles et intellectuelles de réflexion. J’écrivais il y a peu que nous sommes tous tributaires de notre éducation issue de nos milieux familiaux ! Une éducation rarement bien reçue ou pas du tout et qui explique souvent les « petits révolutionnaires à l’eau de rose », les gauchistes attardés, les bobos des quartiers parisiens, les antifas issus de la bourgeoisie, tous nourris à la « Zorro » ou à la «Robin des Bois » sans avoir connu la vraie misère, mais persuadés de détenir la vérité !

Et puis à l’autre bout de l’échiquier, il y a les ouvriers, les employés, les caissières, les vendeurs, les commerçants, les employés de banque, d’assurance, et puis tous ces troupeaux aux visages de crevés qui sortent des bouches du métro, du RER, ou ceux qui prennent la bagnole en province tous les matins pour l’usine, l’atelier, etc.

Comment faire comprendre que l’intérêt premier de chacun n’est pas de soutenir une politique qui ne tient pas compte de leurs réalités ! Qu’ils sont et restent des vaches à lait en permanence sous traite et à qui on demande, à chaque élection, si elles aiment être branchées ? Ce à quoi elles répondent oui depuis quarante ans ! 

Alors oui, il y a encore des Français, 23 % disent les sondeurs, qui lèvent les yeux au ciel et disent : « il est beau Macron ! Si ce n’est pas lui, qui d’autre ? De toutes les façons, nous n’avons pas le choix, c’est lui ou la blonde démoniaque ! Si ce n’est pas lui, le retour des « heures sombres », des « années trente », et autres foutaises du ventre de la Bête encore féconde, c’est le KO, etc. »

Ce peuple de France laminé par plus de quarante années de travail au corps et mis sous perfusion de moraline politicienne et de soporifiques médiatiques diffusés par un pouvoir bien en place, et qui est prêt à tout pour y rester, quitte pour cela à asphyxier par les sondages un peuple qui n’en peut déjà plus mais qui hélas, n’en n’est plus conscient !

Va-t-il encore se laisser embourber ? Est-ce que les Gilets jaunes vont participer à ce piège à cons que sont les élections européennes ? Certains d’entre eux le voudront, ils le tenteront, car ils se pensent malins, plus mordants, et puis, ils y verront une porte de sortie définitive de l’usine comme nous avons pu le voir pour certains syndicalistes autrefois aux dernières Européennes !   

Gérard Brazon (Libre Expression)




Ras-le-bol de la dictature des juges rouges !

 

L’Union Européenne est mal en point dans les opinions selon l’étude réalisée fin juin.

Ces opinions diffusées par le journal Le Monde, journal européiste et socialisant nous apprend qu’il n’y aurait plus que 53% des Français pour considérer que l’appartenance à l’UE est une « bonne » ou « très bonne » chose, alors que ce chiffre était encore à 58% en juin 2017L’effet populiste assurément ! Cette maladie honteuse, cette lèpre qui gagne aussi les esprits.

Près d’un tiers des sondés (31%) qualifient au contraire cette appartenance de « mauvaise » ou de « très mauvaise ».

Le pire est que cela touche même les ouvriers ! C’est même le cas d’un ouvrier sur deux, ce qui est cohérent avec une polarisation sociale régulièrement vérifiée dans les urnes. Façon de dire qu’ils voteraient de plus en plus pour les « populistes » !  Comme Macron n’a aucune idée de ce qu’est un ouvrier, il n’y sera sans doute pas sensible j’imagine !

Il faudrait lui dire, que les ouvriers ne sentent pas forcément la sueur, ne puent pas de la gueule, se lavent aussi, et certes s’ils s’agglutinent le matin devant les usines, ce n’est pas pour deviser entre eux des derniers achats chez Hermès, mais pointer pour aller bosser pour un SMIC qui ne leur permettra pas d’aller s’acheter un costard en cachemire, ou des chemises en soie !

L’UE est la plus rejetée dans les catégories les plus populaires, nous disent les sondages alors que les personnes les cadres, les commerçants et autres plus favorisés socialement la plébiscitent encore ! Il faut dire que ces braves gens n’ont pas encore goûté au plaisir du vivre ensemble dans les beaux quartiers de Paris, ou de villes plus aisées ! Qu’ils se rassurent, cela viendra !

Qu’apprenons-nous d’autres ?  C’est chez les électeurs d’Emmanuel Macron que Bruxelles recueille la popularité maximale. Quant aux partisans de Marine Le Pen, ils souhaitent, à 68%, la sortie de la monnaie unique. Diantre, au moment où le Rassemblement Nationale tergiverse sur le sujet ! Cela doit être pénible pour Marine Le Pen d’être sans arrêt à contresens !

On y apprend également que près de deux personnes interrogées sur trois (64%) estiment qu’il faudrait renforcer les prérogatives nationales au détriment de Bruxelles.

Les effets Italiens, Autrichiens, Hongrois, Polonais, de tous ces pays de Visegrad et d’ailleurs qui, selon Macron, seraient sous l’emprise infernale de lépreux au pouvoir ! Que devons-nous penser de ces opinions ? Qu’elles sont de simples photos à un instant T, et qu’elles ne reflètent aucunement une réalité, et encore moins des certitudes.

Nous n’avons pas de Mattéo Salvini en France ! De partis populistes conséquents. Certes le Rassemblement Nationale existe, mais Marine Le Pen est dans une mauvaise passe ! Outre le fait qu’elle ne s’en sort pas de son débat raté qui la remet en cause, elle doit faire face à une attaque judiciaire la plus infâme menée par des juges rouges du syndicat de la magistrature. Nicolas Dupont Aignan s’active, Frédéric Poisson est passé dans les oubliettes, et combien d’autres de ces souverainistes qui n’arrivent pas vraiment à percer. Je songe à mon ami Karim Ouchick qui se donne pourtant à fond, et multiplie ses interventions ! Mais nous ne sommes pas dans une démocratie ! Les médias n’ouvrent leurs studios qu’à ceux qui répondent à des critères européistes et mondialistes !

Là où l’ensemble des partis politiques de droite comme de gauche devrait s’élever contre cette tentative judiciaire de renversement d’un parti politique conséquent, au risque évident de le détruire, nous assistons aux bras cassés habituels qui pensent aux avantages qu’il y aurait de voir s’effondrer l’ex Front National ! Tirer les marrons du feu semble être la norme chez Laurent Wauquiez et les Républicains !

L’Histoire nous a appris que c’est rarement le cas ! Mais l’Histoire tout le monde s’en moque ! Chaque génération politique pense qu’elle écrit une page blanche et ne songe pas à tourner les pages précédentes ! Je songe alors au pasteur Martin Niemöller  « Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.  »

Nous avons au pouvoir judiciaire des femmes et des hommes malfaisants qui ne songent qu’à nuire à ceux qui les dérangent. Des juges rouges auteurs d’un mur de la honte, le fameux mur des cons où les victimes et parents de victimes étaient représentés. Aucun procès n’a été fait, aucune véritable remise en cause de ces femmes et de ces hommes au pouvoir exorbitant n’a été faite.

Depuis, il y eut l’affaire Fillon qui permit à Macron de gagner. Mais aussi de constater le pitoyable François Fillon s’aplatir, poser un genou à terre, et sortir du jeu ! On notera que depuis, aucun procès n’est en cours ! Les juges n’ont qu’à dénoncer, alerter les journaux et l’affaire est pliée !

Alors que vaut une opinion face à des juges tout puissants ! Que vaut un parti politique devant un scandale judiciaire qui pourrait s’annoncer si ces jugent le décident ?

Que vaut la démocratie devant une organisation syndicale qui ne répond plus qu’à elle-même !

Alors nous pouvons nous rassurer en nous disant que l’opinion est contre l’Union Européenne, contre l’immigration, favorable à l’interdiction d’entrée des clandestins qui envahissent notre espace. Que valent ces opinions si une fois devant les urnes, les électeurs choisissent d’écouter la dernière propagande, la dernière convocation judiciaire, le dernier soupçon, les dernières lâchetés du personnel politique incapable de dénoncer les abus des juges rouges ?

Gérard Brazon (Libre Expression)




Macron en chute libre, et il ne comprend pas pourquoi !

Aux dernières nouvelles, notre très cher et estimé (*) président du monde, gris de peur et longeant les murs, aurait quitté l’Elysée incognito pour regagner sa masure, où seule est acceptée son armée de gardes du corps, récemment renforcée (on n’est jamais trop prudent, surtout quand c’est le populo qui paye).

(*)  non je blague… pour le deuxième qualificatif.

Même Brigitte n’a pas pu le suivre, interdite de séjour, au cas où l’une des féroces petites vieilles qui souhaitent lui dire deux mots, aurait dans l’idée de l’approcher sous un masque à l’effigie de sa tendre et douce… d’autant plus que du côté de l’âge elle présente déjà d’inquiétantes similitudes.

Mais que se passe-t-il exactement ?

Oh, peu de choses, mais super inquiétantes tout de même lorsque l’on est un grand sensible comme « not’président » et que l’on croit qu’il suffit de jeter l’argent des contribuables par les fenêtres, en arrosant la prétendue misère de la planète entière (provoquée en amont par ses semblables), pour être aimé sans restriction.

Le pauvre petiot, manifestement sorti de la cuisse de Jupiter, ne semble pas avoir été habitué à se serrer la ceinture, pour quoi que ce soit, vu les personnalités « à l’abri du besoin » qui le parrainent, et ne comprend donc pas la colère des citoyens « riches » (pour les citoyens, 1200 € c’est largement suffisant) qui depuis des lustres passent leur temps à ajouter de nouveaux trous à la leur (de ceinture).

Alors apprenant qu’une citoyenne, armée d’une hache le cherchait, et qu’une autre, prise sur le fait, dessinait des graffitis sur les murs de l’Elysée, Emmanuel, le pourfendeur de candidats au poste qu’il briguait, a été pris de peur.


C’est dangereux Mémé de monter ainsi sur un escabeau !

Mais si ça se trouve, elle voulait juste dessiner « Macron en culotte courte » et les gorilles l’ont empêchée de terminer sa phrase… C’est ballot !

Déjà que le moral d’Emmanuel, à l’instar de sa popularité était en chute libre, ce genre de menace ne va pas l’aider à reprendre la main…

« Emmanuel Macron n’est plus majoritaire dans l’opinion, selon le baromètre IFOP publié par le JDD dimanche. Pour la première fois, les critiques sont homogènes autour d’un facteur précis : le pouvoir d’achat ».

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pouvoir-dachat-hausses-des-taxes…-pourquoi-la-popularité-demmanuel-macron-baisse/ar-

C’est vrai qu’il ne comprend pas le gamin : il avait bien tout prévu en amont, faisant en sorte que le fils de Brigitte soit nommé à un poste décisif dans l’une des grandes officines de sondages (Kantar-Sofres), afin d’être bien sûr d’assurer ses arrières en cas de mauvaise humeur populaire, toujours prête à s’enflammer pour des riens… y compris une petite augmentation de 1,7 % se transformant en une petite diminution sans importance de leurs revenus.

« De nombreux sondages ont été réalisés pour RTL, LCI, Le Figaro, TF1 par la société KANTAR-SOFRES leader mondial des études d’opinion. Rien d’anormal. Sauf que le fils de Brigitte Macron (ex-Trogneux, ex-Auzière), Sébastien Auzière est Senior Vice-Président d’une des sociétés Kantar, qui a racheté la SOFRES. Sébastien Auzière était engagé dans l’équipe COM de Macron. Petit conflit d’intérêt » ?

http://lepeuple.be/macron-famille-copains/81870

A moins qu’il ne s’agisse tout bonnement d’un quiproquo, et que la gente dame qui le cherche, une hache à la main, ayant eu vent que la parité n’existe pas vraiment au sein de la garde rapprochée du président, elle veuille juste lui présenter sa candidature

https://www.lci.fr/politique/coulisses-du-pouvoir-videos-ismael-emelien-sibeth-ndiaye-julien-denormandie-sylvain-fort-jean-marie-girier-benjamin-griveaux-jean-pisani-ferrygarde-rapprochee-d-e-macron-mais-ou-sont-les-femmes-2051455.html

Ou encore réclamer un poste de ministre, puisque grâce à la charmante Elise Blaise, nous en apprenons de belles sur le festival des incompétents figurant au gouvernement.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=C-9m_jYNCRI

https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=C-9m_jYNCRI

Le petit se sera apeuré pour rien.

En même temps, c’est quand même lui qui a commencé les hostilités, non ?


Mais j’en étais là de mes élucubrations pour savoir si réellement notre cher (très cher même) Macron avait raison ou non d’avoir peur pour son matricule… quand brusquement le réveil a sonné… mettant fin à ce joli rêve.

Tant pis… il reste juste à espérer qu’un jour la réalité dépassera la fiction.

Mais loin de moi l’idée d’espérer le voir trucidé à la hache ; je me contenterais juste d’un commando de patriotes qui viendrait se saisir de sa personne pour l’emmener rejoindre tous ses complices, présents et passés, dans une geôle froide et humide où ils croupiraient en attendant le jugement du tribunal d’exception dont ils sont tous passibles pour trahison d’Etat par accointance avec l’ennemi !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

Avec ce que Macron ne m’a pas encore piqué sur ma retraite, je vais peut-être acheter un pot de peinture moi… ou alors une hache… Non je rigole, jaune, mais je rigole !




Quel crédit apporter aux sondages ?

« Il est où le bonheur, il est où ? ». Comme le chante Christophe Maé, les Français sont à sa recherche. Un sondage réalisé par BVA et publié par le Point (1/2/2018) nous révèle que 50% de nos compatriotes sont heureux.

« C’est une première,  souligne l’hebdomadaire : depuis 2012 et la réalisation du premier baromètre du bonheur par BVA les Français se disent heureux (ou très heureux) ». Certes 42% se considèrent comme ni heureux ni malheureux, 7% s’avouent même malheureux et 1% des sondés ne se prononçant pas.

Le sondage ne nous dit malheureusement pas ce qui les rend heureux. On apprend seulement que le pourcentage des « gens heureux » a progressé de 1% par rapport à 2016. Faut-il voir dans ce frémissement un certain optimisme dû à la reprise économique du pays ?

« Il faut se méfier des sondages. On peut leur faire dire n’importe quoi ! » Cette formule très prisée par les politiques peut se vérifier à la lumière des enquêtes d’opinion menées par les différents instituts de sondage. Selon une étude de l’IFOP réalisée du 20 au 22 décembre derniers et publiée dans « Ouest-France » du 31 décembre 2017, les Français sont à 70% heureux de vivre en France « mais 59% sont pessimistes pour leur avenir et celui de leurs enfants ».

Que penser de ce sondage ? Si l’on creuse un peu la question et que l’on demande aux sondés ce qui leur semble positif en France, les réponses sont déconcertantes, voire affligeantes. En premier vient l’absence de guerre (27%), puis la Sécurité sociale et les aides sociales (17%), le tourisme (16%), la liberté d’expression (15%), la culture, le domaine artistique et le patrimoine (13%). Bref rien de folichon dans ces réponses. Les Français seraient-ils blasés de leur pays qui attire cependant chaque année de plus en plus de visiteurs du monde entier ?

Un bonheur très relatif

L’étude de BVA situe la France à la 41e place sur 66 pays. Selon ce sondage, les pays où l’on se considère le plus heureux sont dans l’ordre : les Iles Fidji (94%), la Colombie (89%), les Philippines (86%), le Mexique (84%), le Vietnam (78%). Aucun pays européen ne figure dans le Top 10.  

A l’inverse, un rapport du World Happiness Report rendu public le 20 mars 2017, a consacré la Norvège comme le « pays le plus heureux du monde ». Elle est suivie du Danemark, de l’Islande, de la Suisse, de la Finlande, des Pays-Bas, du Canada, de la Nouvelle-Zélande. Des pays occidentaux, européens essentiellement. Pas un seul pays « exotique » dans ce classement où la France se situe au 31e rang sur un total de 158 pays.

Que conclure de ces sondages apparemment contradictoires ? D’abord que l’on peut être heureux, voire très heureux en Norvège, prés du cercle polaire arctique, comme aux Iles Fidji, sous les Tropiques. Que, par conséquent le bonheur n’est pas nécessairement lié au climat. Encore que l’on puisse se poser la question compte tenu des températures diamétralement opposées entre le nord de l’Europe et les pays tropicaux ! L’explication par le climat fournissant la raison pour laquelle la France, pays au climat tempéré reste à la traîne dans les deux sondages.

Il apparaît ensuite clairement qu’une étude d’opinion est avant tout orientée par les critères retenus par les sondeurs. Peut-on comparer, par exemple, le PIB des Fidjiens avec celui des Norvégiens ? Il serait, par contre, sans doute pertinent de leur poser la question de la qualité de vie, d’interroger les uns et les autres sur leurs plaisirs, leurs désirs, leurs espoirs. Des questions qui conduisent à la grande interrogation : qu’est-ce que le bonheur ? Est-ce une construction personnelle, une volonté individuelle, comme le prétendent certains ? Certes, pour les Occidentaux il parait incontestablement lié aux progrès techniques, scientifiques, sociaux et médicaux, mais cela suffit-il comme explication ?

Pas à un paradoxe près

En juillet 2015, une étude de l’observatoire du bonheur (oui, ça existe !) indiquait que 82% des Français se disaient heureux malgré la crise et un chômage toujours plus fort. A 65% ils estimaient que « le bonheur ne tombe pas du ciel, il est avant tout une question de volonté ». Serions-nous donc plus heureux quand les conditions de vie sont plus difficiles ? Les Français ne sont pas à un paradoxe près.

Faute de pouvoir trancher, contentons-nous de réfléchir à la définition du bonheur que suggère Wikipédia : « Etat durable de plénitude, de satisfaction ou de sérénité, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude et le trouble sont absents ». Une description clinique qui ne donne pas pour autant la clef permettant d’accéder à la félicité.

Les anciens l’avaient peut-être trouvée avec le « Carpe Diem ». A une époque où les sondages n’existaient pas et que l’on n’avait pas encore inventé le baromètre du bonheur, ils incitaient leurs contemporains à profiter du jour présent sans se préoccuper du lendemain.  

Alain MARSAUGUY




Il y a trop de mosquées en France

 
Le 15 décembre 2010, l’auteur mettait en ligne sur YouTube une vidéo montrant 105 mosquées déjà construites, en construction, ou en projet, sur l’ensemble du territoire national. (1)
Le succès de cette vidéo, déjà visionnée par plus de 60.000 personnes, malgré sa censure par l’ensemble des grands médias, révèle à quel point les Français sont friands d’informations précises sur l’islamisation de la France, et particulièrement sur l’invasion de notre pays par les mosquées :
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=fA2YsjKlmAA[/youtube]
 
Alors que l’UMP organise à Paris, le 5 avril 2011, le débat sur la laïcité et l’islam voulu par Nicolas Sarkozy, on entend de plus en plus de dirigeants politiques de tous bords, de gauche, de  droite, du centre, ou écologistes, s’exclamer qu’il faudrait construire plus de mosquées en France.
L’article qui suit démontre que non seulement il n’y a pas besoin de construire de nouvelles mosquées, mais qu’il y a trop de mosquées en France.
 

1) Les mosquées ne sont pas pleines :

Il y a actuellement 2369 mosquées en France. (2)
Depuis un an et demi, les enquêteurs de Riposte Laïque ont révélé que des prières musulmanes illégales ont lieu, chaque vendredi, dans au moins 16 rues de notre pays. (3)
Selon nos informateurs bien placés dans les services de sécurité de l’État, c’est en tout dans 40 rues de notre pays que de telles prières musulmanes illégales ont lieu chaque vendredi.
Ainsi, alors qu’il y a 2369 mosquées en France, il n’y a de problèmes qu’en 40 endroits de notre territoire. Ce qui signifie qu’au moins 2329 mosquées sur les 2369 ne sont pas pleines, c’est-à-dire que 98% des mosquées qui existent en France à l’heure actuelle ne sont pas pleines !
Même “Le Parisien”, journal islamophile qui se réjouit chaque fois qu’une nouvelle mosquée est construite sur le territoire français, est obligé de reconnaître que « paradoxalement, tous les lieux de culte musulmans ne font pas salle comble ». (4)
Dans ce même article, le sociologue Franck Fregosi, chercheur au CNRS, estime, lui, que le problème des prières dans la rue ne concerne « qu’une vingtaine de mosquées ou salles de prière en France ».
A retenir : 98% au moins des mosquées en France ne sont pas pleines.

2) Des prières musulmanes dans une rue ne prouvent pas qu’une mosquée est pleine :

Lors de ses enquêtes, l’auteur a découvert et révélé que la majorité des milliers de musulmans qui prient chaque vendredi dans les rues de Barbès (18e arrondissement de Paris) n’habitent pas ce quartier, mais viennent au contraire des banlieues parisiennes, en voitures, en scooters, et pour la plupart en métro. (5)
Quand des prières musulmanes ont lieu dans une rue, elles ne constituent donc pas une preuve que la mosquée qui se trouve dans cette rue est pleine. Ces prières illégales sont en réalité une mise en scène organisée par les musulmans, dans le but de faire pression sur les pouvoirs publics, et particulièrement sur les élus locaux, afin d’obtenir des avantages illégaux, tels la construction d’une mosquée avec une aide publique illégale. (6)
Si la situation empire année après année, c‘est parce que les autorités ne font rien pour empêcher les musulmans de voler l’espace public chaque vendredi. Ainsi, à Barbès, Daniel Vaillant, maire du 18e arrondissement, Bertrand Delanoë, maire de Paris, Michel Gaudin, préfet de police de Paris, Claude Guéant, ministre de l’Intérieur, et Nicolas Sarkozy, président de la République, se refusent à donner l’ordre à la police d’expulser les milliers de musulmans délinquants qui prient chaque vendredi depuis quinze ans sur la chaussée et les trottoirs des rues de ce quartier parisien.
Si les autorités se refusent à faire appliquer la loi, pourquoi les musulmans la respecteraient-ils ?
Et c’est ainsi que les musulmans s’enhardissent, multiplient leurs mises en scène et leurs chantages dans nos rues, accroissent sans cesse leurs exigences, parce qu’ils constatent qu’ils ont en face d’eux des pleutres, à tous les niveaux, local, régional et national.
A retenir : les prières musulmanes dans la rue sont une mise en scène qui vise à obtenir davantage de mosquées financées avec l’argent des Français.

3) Les prières musulmanes dans la rue ne sont pas liées à un manque de mosquées :

En 1985, il y avait 913 lieux de cultes musulmans en France.
Nombre-de-mosquees-en-France-par-departement-1985-2006
Et aujourd’hui, comme nous l’avons dit, il y a 2369 mosquées en France.
Ainsi, il y a 26 ans, il y avait 2,5 fois moins de mosquées en France qu’aujourd’hui, et pourtant il n’y avait pas de prières dans la rue.
Le fait que le nombre de prières musulmanes dans la rue a augmenté en même temps que le nombre de mosquées construites en France prouve que ces prières publiques ne sont pas une preuve du manque de mosquées, mais au contraire l’un des symptômes de l’islamisation de notre pays.
Plus des mosquées sont construites dans notre pays, plus les musulmans se sentent en position de force, et plus ils occupent un nombre élevé de rues de nos villes.
A retenir : plus le nombre de mosquées construites en France augmente, plus le nombre de prières musulmanes dans la rue augmente.

4) Il y a trop de place dans les mosquées :

Actuellement, plus de 200 nouvelles mosquées sont en construction dans toute la France. Tous les territoires sont soumis à cette invasion des mosquées : grandes villes, banlieues, villes moyennes, petites villes, et même nombre de nos villages. Et plus les années passent, plus les mosquées construites en France sont grandes, hautes, larges, massives, surmontées de coupoles et de minarets de plus en plus agressifs.
Comme si cela ne suffisait pas, plus de 400 projets de nouvelles mosquées sont à l’étude, en ce moment même, à travers tout le pays. Des associations musulmanes font pression sur des élus locaux pour obtenir des financements illégaux, tels des baux emphytéotiques à un prix dérisoire ; des cabinets d’architectes produisent des plans et des maquettes de mosquées de plus en plus pharaoniques, prouvant que la volonté de conquête des organisations musulmanes est insatiable ; des dictatures musulmanes injectent des millions d’euros pour couvrir la France de mosquées.
Dans notre article suivant, vous pouvez voir des exemples concrets et frappants de cette multiplication croissante des mosquées en France :
L’inquiétante multiplication des mosquées en France
Pour accroître cette multiplication des mosquées dans notre pays, les responsables musulmans, encouragés par la couardise des élus actuels, ont élaboré une stratégie très simple : chaque micro-association musulmane exige la construction de sa mosquée à elle.
Le prétexte utilisé pour exiger cette construction est toujours le même : l’origine ethnique des membres de cette association. Ainsi les Turcs demandent à avoir leur mosquée, les Algériens insistent pour avoir une mosquée à eux, les Marocains font savoir qu’ils doivent absolument avoir une mosquée différente de celle des Turcs et des Algériens, et les Africains réclament une mosquée pour eux seuls. (7)
Et nos élus actuels, apeurés à l’idée de s’opposer aux organisations musulmanes, cèdent à leurs revendications, et autorisent des constructions multiples de mosquées, au lieu d’exiger que les musulmans prient tous au même endroit, quelle que soit leur origine ethnique, comme le font les catholiques, les protestants, les juifs et les bouddhistes. (8)
Et voilà comment nous nous retrouvons avec beaucoup plus de mosquées que nécessaire, des mosquées qui sont donc surdimensionnées et trop nombreuses.
A retenir : chaque communauté musulmane ayant obtenu le droit de construire sa mosquée à elle, il y a maintenant trop de mosquées en France.

5) Les Français sont opposés à la construction de mosquées :

Malgré la chape de plomb que les médias et politiques français tentent de maintenir sur les constructions massives de mosquées, les Français commencent à se rendre compte de l’islamisation galopante qui frappe notre pays, avec la complicité active d’élus qui trahissent la France.
Et, comme tout peuple qui aime son pays, et veut donc le préserver de toute dénaturation, les Français s’opposent de plus en plus fermement aux constructions de mosquées, ainsi que le révèle le sondage réalisé par l’IFOP en décembre 2010, intitulé « Regard croisé France/Allemagne sur l’islam ». (9)
Selon ce sondage, 39% des Français sont opposés à la construction de mosquées, contre 20% qui y sont favorables, ce qui signifie donc que 66% des Français qui se prononcent sont opposés à la construction de mosquées.
L’IFOP avait déjà réalisé, en décembre 2009, un sondage intitulé « Les Français et la construction des mosquées et des minarets en France », dont les résultats avaient été similaires : 41% des Français s’étaient déclarés opposés à la construction de mosquées, contre 19% qui s’y étaient déclarés favorables (donc 68% des Français qui s’étaient prononcés étaient opposés à la construction de mosquées). (10)
Sondage-IFOP-decembre-2009-mosquees
Notons que la situation est la même dans les autres pays européens où de tels sondages ont été réalisés : les Allemands et les Belges se déclarent eux aussi majoritairement opposés à toute construction de mosquées dans leurs pays. (11)
A retenir : près de 7 Français sur 10 sont opposés à toute construction de mosquée.

6) Il faut instaurer un moratoire sur la construction de mosquées :

Alors même que les Français déclarent, dans tous les sondages réalisés sur l’islam, leur opposition à la construction de mosquées, les maires et élus français, enfermés dans un aveuglement fou, se lancent dans une surenchère de construction de mosquées à travers tout le territoire national.
Comment s’étonner, dans ces conditions, qu’un fossé grandissant se creuse entre les Français et leurs dirigeants qui les trahissent ?
Il est grand temps pour nos dirigeants de se mettre à écouter le peuple français, et d’arrêter de favoriser l’islam et la construction de mosquées.
Car le propre d’une démocratie, c’est que les élus du peuple font ce que la majorité du peuple veut.
Les Français étant majoritairement opposés à la construction de mosquées, il faut instaurer d’urgence un moratoire sur la construction de mosquées, et demander enfin leur avis aux Français sur ce qu’il se passe sur leur terre, dans leur pays !
 
Maxime Lépante


1) http://www.youtube.com/watch?v=fA2YsjKlmAA
Voir aussi notre article présentant cette vidéo :
Les mosquées envahissent la France ! Les images qu’on vous cache
2) Depuis notre vidéo, 10 mosquées supplémentaires ont été inaugurées, et c’est en effet à présent 2369 et non 2359 mosquées qui quadrillent la France :
http://www.geocities.jp/fursacmontautre/annuaire.html#carte
3) Riposte Laïque a publié des articles documentés révélant que des prières publiques musulmanes ont lieu chaque vendredi dans quatre rues de Barbès (18e arrondissement de Paris), mais aussi dans les 11e et 20e arrondissements de Paris, à Puteaux (92), à Clichy (92), à Montreuil (93), aux Ulis (91), à Drancy (93), dans deux rues du centre de Marseille, dans deux quartiers de Toulouse, et dans le centre de Nice.
Voir notre dossier consacré à ce scandale :
http://ripostelaique.com/dossier-sur-les-prieres-musulmanes-illegales-dans-les-rues-rl185.html
Voir aussi toutes nos vidéos sur les prières musulmanes illégales dans les rues :
http://ripostelaique.com/toutes-nos-videos-sur-les-prieres-musulmanes-illegales-dans-les-rues-185.html
4) Article d’Anne-Cécile Juillet, paru dans le “Parisien” du samedi 19 février 2011, en page 3.
La consultation en ligne de cet article est payante :
http://www.leparisien.fr/abo-faitdujour/les-quatre-questions-cles-19-02-2011-1322417.php
5) La preuve que de nombreux musulmans qui prient dans les rues de Barbès n’habitent pas ce quartier
http://ripostelaique.com/la-preuve-que-de-nombreux.html
6) La loi de 1905 interdit, dans son article 2, « toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes », de la part de l’État, des départements et des communes :
http://fr.wikisource.org/wiki/Loi_du_9_d%C3%A9cembre_1905
7) Ainsi, à Sochaux, petite commune de 4200 habitants qui compte déjà deux mosquées, l’une turque et l’autre bosniaque, le maire, Albert Matocq-Grabot (divers gauche), vient de vendre à une association de musulmans arabes un terrain pour qu’une troisième mosquée y soit construite.
http://acidetonique.wordpress.com/2010/12/23/sochaux-indigestion-de-mosquees/
Autre exemple, à Avignon, dans le quartier de Monclar, « il y a deux mosquées, l’une pour la communauté turque et l’autre pour l’ensemble des musulmans non-Turcs », selon la déclaration de Mohammed Moussaoui, président du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), faite au quotidien “La Provence” en décembre 2008.
Moussaoui : “À Avignon, une grande mosquée serait utile”
8) Il n’existe en effet pas d’églises italiennes ou espagnoles en France, ni de synagogues polonaises ou tunisiennes.
9) Ce sondage peut être consulté et téléchargé ici :
http://www.ifop.com/media/poll/1365-1-study_file.pdf
La question de la construction de mosquées est abordée dans les pages 26 à 28.
10) Ce sondage peut être consulté et téléchargé ici :
http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/Sondage-minaret.pdf
11) Dans le sondage de l’IFOP de décembre 2010, 50% des Allemands se déclarent opposés à la construction de mosquées, contre 18% qui s’y déclarent favorables, ce qui signifie donc que 74% des Allemands qui se prononcent sont opposés à la construction de mosquées.
En Belgique, un sondage réalisé en décembre 2009 par iVOX avait révélé que 56,7% des Belges sont opposées à l’édification de mosquées en Belgique, et que 61% ne veulent pas qu’une mosquée soit édifiée dans leur quartier.
Six Belges sur dix souhaitent l’interdiction des minarets
 




Les piliers du système perdent les pédales devant la progression de Marine Le Pen

Pendant que le peuple japonais subit une terrible catastrophe – permettant aux anti-nucléaires, sans vergogne, d’accuser le gouvernement français pour sa politique énergétique – les piliers du système se comportent comme s’ils vivaient eux aussi un traumatisme aussi terrible : la progression de la méchante Marine Le Pen. Elle menace ni plus ni moins leur fonds de commerce, c’est donc panique à bord, et tous les coups semblent permis.
Les dirigeants politiques qui accaparent le pouvoir depuis 30 ans, les journalistes bien-pensants qui monopolisent les antennes et nous assènent le même discours, les associations dites anti-racistes, et même les organisations syndicales perdent complètement les pédales. Ils nous font penser à ces nantis d’un système qui, à la veille de toute révolution, prennent peur, comprenant que cela va bientôt être la fin de leurs privilèges, que le peuple va leur demander des comptes, et qu’il va peut-être leur falloir courir vite s’ils veulent échapper à sa colère.
Comment comprendre autrement cet extraordinaire spectacle que nous offre “l’establishment” depuis que les sondages montrent une progression constante de Marine Le Pen et l’extraordinaire panique suscitée par deux sondages mettant la présidente du FN en tête des intentions de vote ?
Cela donne l’impression d’un navire qui prend l’eau, voire du naufrage du Titanic.
– L’UMP ne sait plus du tout à quel saint se vouer ! Sarkozy veut un débat sur l’islam, mais ses troupes le refusent, certaines voulant se replier sur un débat sur la seule laïcité, refusant de stigmatiser la religion d’amour, de tolérance et de paix. Résultat des courses, le conseiller de Sarkozy, Dahmane – qui avait reçu la Légion d’honneur en même temps que notre amie Annie Sugier – et l’ineffable recteur de la mosquée de Paris Boubakeur appellent les musulmans à quitter l’UMP ! On apprend par la même occasion que le communautarisme musulman était organisé et encadré depuis l’Elysée ! Copé, ne reculant devant aucune saloperie, ose même, dans une assemblée, dire que Marine Le Pen serait pour la peine de mort des mineurs ayant fumé du shit !
– Le Parti socialiste, n’ayant aucune alternative crédible à opposer à la politique de Sarkozy, puisque plus européiste, immigrationniste, angélique et islamisant que jamais, supplie le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, d’annoncer sa candidature au plus vite. Un sondage opportunément demandé confirme qu’il serait le seul socialiste capable de devancer Marine Le Pen au premier tour, ou de battre Sarkozy au second. Bref, selon eux, en dehors du chef du FMI, point de salut pour le peuple ! Pendant ce temps-là, les dagues sont sorties, le rapport de Montebourg sur le système mafieux de la Fédération socialiste de Marseille, présidée par Guérini, et les nombreuses malversations relevées dans les régions Nord-Pas-de-Calais et Paca, montrent la réalité d’un parti clientéliste et affairiste, qui n’a plus rien de socialiste et de républicain, quelle que soit la qualité de quelques-uns de ses militants.
– La grotesque affaire de Toulouse, où, sous la pression du Président du Conseil général socialiste, un nommé Pierre Izard, la fédération PS a été sommée de désavouer sa commission femmes, et d’annuler le débat où notre amie Anne Zelensky devait commenter le film “La journée de la jupe” montre la dégénérescence d’un parti où les notables se couchent à la première menace de gauchistes dont les pratiques nous rappellent de plus en plus celles des fascistes des années 1930.
– Ne supportant pas davantage l’invitation de Christine Tasin à l’émission “Ce soir ou jamais”, ce jeudi, sur le thème de la montée de Marine Le Pen, Laurent Joffrin, de retour au Nouvel Observateur pour la troisième fois, se croit obligé, dans un style qui rappelle celui des commissaires politiques des grandes années staliniennes, d’agresser le présentateur, Frédéric Taddéi, et par la même occasion Philippe Cohen, rédacteur en chef de Marianne 2, tous deux accusés ni plus ni moins de véhiculer les thèses du Front national pour le second, et, pour le premier, d’avoir organisé un plateau où, horreur, outre Christine, l’avocat Gille-William Goldnadel et Paul-Marie Couteaux (tous deux d’extrême droite, selon la phraséologie Joffrin) ont pu s’exprimer. On comprend que pour Joffrin, un vrai débat démocratique doit opposer Bernard-Henri Levy, Daniel Cohn-Bendit, Jean Daniel, Philippe Sollers, Edwy Plenel et Nicolas Domenach, bref, rien que des gens qui disent la même chose, et évitent de parler Nation, immigration, islamisation, insécurité ou services publics !
– Besancenot, quant à lui, a trouvé les explications, et surtout les remèdes pour contrer la montée de Marine Le Pen : donner la liberté de circulation, mais aussi d’installation, à tous les réfugiés tunisiens, libyens ou autres qui le souhaitent ! Et, histoire de ne pas se laisser déborder par le premier crétin gauchiste venu, le facteur de Neuilly en rajoute : avec égalité des droits, autrement dit le droit de vote, et l’accès à tous les systèmes solidaires, sans avoir jamais cotisé ! Il n’est pas beau l’anti-fascisme de NPA ? Le peuple vote de plus en plus pour Marine, eh bien nous allons changer le peuple, et rendre minoritaires ces salauds de Français, sur leur propre territoire ! Rarement la finalité des gauchistes de NPA aura été exprimée avec autant de franchise, merci Olivier !
– Mélenchon, lui, continue de qualifier la présidente du Front national de “fasciste” – ce qui risque de lui valoir un procès – et d’appeler les électeurs à “virer les fachos de nos quartiers” Pourtant, lors du débat contre Marine Le Pen, il disait que ceux qu’il appelle les fascistes n’étaient que dans les beaux quartiers, et que les ouvriers vomissaient le FN, faut savoir ! Bref, à écouter le président de Parti de Gauche, la montée de Marine Le Pen signifierait que la France serait au bord d’un Quatrième Reich ! Toujours aussi lucide, le camarade Jean-Luc, lui qui pense qu’en France, il n’y a aucun problème avec l’islam, et que l’immigration, en 2011, est toujours un enrichissement pour notre pays, même quand elle se fait en période de chômage de masse, et sans intégration !
– Bernard Thibaut, secrétaire de la CGT, aimait bien Fabien Engelmann quand celui-ci militait à NPA, ou à Lutte ouvrière ! C’était un bon secrétaire syndical aux Territoriaux de Nilvange, il amenait des adhérents, et il gagnait les élections. Mais voilà que Fabien, sans doute guère convaincu par la candidate voilée de NPA, et par les campagnes de régularisation de clandestins, passe chez Marine Le Pen ! Panique à bord, les bureaucrates cégétistes expliquent aux masses que leur leader ne peut plus les représenter. Comble de l’horreur, les travailleurs n’écoutent pas les bureaucrates, et maintiennent leur confiance en celui qui les a toujours bien défendus. Réponse de Thibaut, bafouant l’indépendance syndicale : exclusion de Fabien et de la section, et campagne interne expliquant qu’on ne peut pas être au Front national et responsable syndical CGT. Cela nous rappelle, là encore, les grandes années du stalinisme, et cet anti-fascisme de façade est d’autant plus amusant que le même Thibaut, à la tête de la CGT, détourne les cotisations de ses adhérents, voire de certains comités d’entreprise tenus par sa centrale syndicale, pour organiser, avec soixante associations, l’opération “Un bateau français pour Gaza”, n’ayant pas l’air gêné le moins du monde par le Hamas, son idéologie fasciste et raciste.
– Seul à gauche le député communiste André Gerin parait avoir conservé un brin de lucidité. Dans une longue lettre – parfois contestable – adressée au nouveau secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, il affirme : Que répondons-nous à la question de l’immigration, alors que nous continuons de façon irresponsable de revendiquer la régularisation des sans-papiers, au lieu de faire des propositions courageuses ? Oui, il faut limiter l’immigration y-compris régulière avec une attention vigilante sur l’immigration irrégulière, tous les trafics nauséabonds et les trafiquants sans scrupules”.  Pour moins que cela, Riposte Laïque et bien d’autres ont eu droit à l’étiquette d’extrême droite, voire à des procès…  
– Laurence Parisot, la patronne du Medef, se sent, elle aussi, obligée de monter au feu contre la présidente du FN. Voilà ce qu’elle disait, dans France-Soir : « Je pense que Marine Le Pen est dans une vision complètement obsolète des enjeux du monde d’aujourd’hui, surtout sur le plan économique, a jugé la présidente du Medef. Elle est dans une sorte de délire frontalier, à vouloir remettre des douaniers partout. C’est une vision qui me semble être le contraire de l’ouverture, de la générosité dont nous avons besoin. » « Ce que je veux dire aux Français c’est attention. Le Front national a l’art de poser des thèmes et des débats d’une manière telle que plus personne n’ose en parler, a poursuivi Laurence Parisot (…) Quand j’entends que le FN pense qu’une sortie de l’euro permettrait à notre pays de retrouver sa croissance et même son espérance, c’est extraordinairement dangereux, il faut l’expliquer, il faut le dire.” Bref, en dehors de l’euro, pas de salut, même si l’euro entraîne tout le monde dans le fond ! On peut penser d’autre part que le Medef, qui se bat parfois aux côtés des organisations syndicales pour la régularisation des clandestins (appelés sans-papiers) appréciera modérément la viste de la présidente du Front national à Lampeduso, lieu de débarquement des réfugiés tunisiens et lybiens…
– Richard Prasquier, le président du Crif, apprend qu’une radio juive, Radio J, aurait décidé d’inviter Marine Le Pen sur ses antennes. Après une campagne comme le Crif sait les orchestrer, le verdict tombe, et l’émission est annulée. Pourtant, à notre connaissance, jamais le FN n’a manifesté en compagnie du Hamas et du Hezbollath, à l’instar de toute la gauche. Nous n’avons pas davantage eu vent de sa participation à des campagnes pour le boycott des produits israéliens. Et à notre connaissance, ces propos ne sont pas d’elle, mais de Stéphane Hessel… «La politique d’occupation allemande était, si on la compare par exemple avec la politique d’occupation actuelle de la Palestine par les Israéliens, une politique relativement inoffensive, si l’on fait abstraction d’éléments d’exception (!) comme les incarcérations, les internements et les exécutions, ainsi que le vol d’œuvres d’art». Sorel Zissu lui a fait savoir son mécontentement, dont voici quelques extraits : “Grâce à vos pressions, à mon avis inacceptables, cette interview fut annulée.
Vous avez réussi un coup triple :
1 Renforcer le stéréotype des juifs sectaires, renfermés sur eux mêmes et rejetant l’altérité même dans l’expression des opinions. En somme, vous avez « réussi » à faire monter des sentiments antisémites dans la population.
2 Vous avez donné un coup de publicité supplémentaire et inespéré à Mme Le Pen.
2 Vous vous êtes encore plus coupé de la base, tenant compte des opinions des gens exprimés dans les médias et principalement dans les médias interactifs.
Et vous voudriez que je vous félicite ?”
Nous pourrions citer bien d’autres anecdotes, montrant que partout, les piliers du système, désavoués, rejetés, utilisent les mêmes armes : mensonges, calomnies, diabolisation, intimidations, injures, mépris du peuple. Ils se comportent comme tous les tyrans au pouvoir, prêts à tout pour ne pas perdre leur part du gâteau. Ils montrent leur vrai visage, celui de nantis crispés sur leur petit pouvoir et sur les privilèges qui vont avec. Ils n’hésitent pas à montrer leur mépris des Français, et, pour certains, leur haine de notre pays.
Qu’ils ne s’étonnent pas, en retour, que les Français leur répondent avec les seules armes qui leur restent à disposition : leur bulletin de vote, et la montée d’une colère contre les représentants du système, qui, le jour où elle explosera, s’appellera une révolution, que nous voulons patriote, laïque, républicaine, féministe et sociale, pour que la France reste la France, notre France.