C'est la France qui recueille discrètement les enfants migrants sauvés en mer

Que deviennent les migrants enfants et adolescents, orphelins, sauvés de la noyade par les marines italiennes et grecques ? Ils ne sont pas renvoyés dans leurs pays d’origine, ni parqués dans des camps d’attente administratifs. Beaucoup rejoignent la France et intègrent des foyers et structures d’accueil, traditionnellement réservés aux enfants Français battus, maltraités par leurs familles, en danger, ou orphelins, ces fameuses structures qualifiées de “foyers de l’enfance” ou de “maisons à caractère social”, ayant remplacé les orphelinats d’autrefois.
Là, ces jeunes Maliens, Libyens, ou autres Subsahariens, intègrent un groupe, baptisé “Mineurs isolés étrangers”. Depuis plusieurs semaines, nous menons une enquête discrète en immersion dans ces structures, malgré les difficultés d’accès générées par le ministre de l’intérieur R2 – D2 et par la ministre de la santé Marisol Touraine.
av repasPendant ce temps, et pendant que les jeunes mineurs isolés doivent manger un plateau repas n’excédant pas un coût de fabrication de deux euros, François Hollande “se goinfre” et festoie tous les jours dans son Palais de l’Elysée.
Début septembre, nous livrerons aux lecteurs de Riposte Laïque une enquête exclusive sur le quotidien de ces jeunes, leurs espoirs, leurs exigences, en fournissant des chiffres nationaux sur ce nouveau phénomène d’accueil, dissimulé par tous les grands quotidiens Français, mais aussi par les quotidiens régionaux, à l’image du Dauphiné Libéré, du Midi Libre ou de la Provence, qui accueillent de nombreux groupes de “Mineurs isolés étrangers” dans leur zone de diffusion, et dont les journalistes ont des liens privilégiés avec les initiateurs de cette nouvelle politique.
av repa cazePendant ce temps, R2 -D2, alias Bernard Cazeneuve et ses complices, ainsi que quelques journalistes, font “ripaille” lors de somptueux et coûteux déjeuners sous les lambris de la République (ici à Lyon, dans le Rhône). Rien dans le programme présidentiel socialiste ne prévoyait de telles orgies gastronomiques aux frais des contribuables Français.
Une fois encore, “l’omerta médiatique” est de rigueur pour tous ces supports journalistiques, qui « survivent » grâce aux annonces légales payantes distribuées par les villes, les sous-préfectures, les préfectures, et un certain nombre de municipalités…..
C’est sans doute l’un des plus grands scandales de la République, après les “avions renifleurs”, car ces “Mineurs isolés étrangers” ressemblent, toute proportions gardées, aux “Lebens Born” du Reich allemand durant la période 1933-1945. Alors que ces enfants, innocents par nature, souvent victimes de passeurs crapuleux, devraient être présentés et “associés” aux populations locales françaises et ne pas être mis à l’écart, comme s’ils étaient des extraterrestres !
av repas 2Enfin, trois repas chauds par jour (à 2 euros le repas) pour ces jeunes mineurs isolés étrangers (installés au fond de la salle) dans ce foyer de l’enfance du Sud Est, qui accueille désormais 16 petits Français ayant subi des maltraitances familiales et 20 mineurs isolés étrangers.
Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où nos paysans se suicident pour échapper aux huissiers, dans une France où des intégristes égyptiens utilisent le pays comme base arrière, dans une France où les projets de mosquées ou de centres cultuels musulmans intégristes se multiplient et dans une Ardèche où le maire d’Annonay doit interdire l’islamiste intégriste Omar Erkat,  dans une France où les entreprises licencient à tour de bras, où le groupe Aoste ferme son usine « Calixte » à Boffres en Ardèche, dans une France où peu d’entreprises innovent, créent des emplois et beaucoup disparaissent,  il n’y a plus aucune clarté, il n’y a plus la moindre cohérence ou la moindre parcelle de vérité dans la politique du gouvernement Valls.
Combien de dossiers aussi sensibles sont dissimulés aux Français ? Un jour où il était en colère, le Général de Gaulle avait lâché “Les Français sont des veaux”. Avec François Hollande, Manuel Valls et R2 – D2, alias Bernard Cazeneuve, les Français sont bel et bien devenus des “cons”.
Francis GRUZELLE
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Agriculteurs couillonnés sur les prix agricoles : Ah ! la vache Le Foll !

lefollpaysansColère et grogne sont toujours là. Depuis vendredi matin, une centaine d’agriculteurs bloquent les accès du siège social du groupe de grande distribution Casino à Saint-Etienne (Loire), empêchant les salariés d’accéder au site. Dans la Loire, comme dans d’autres régions de France, les paysans n’ont pas apprécié d’avoir été “couillonnés” par les industriels laitiers, par la grande distribution, qui avaient pris de sérieux engagements pour les prix du lait, engagements pour lesquels Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, s’était porté garant, en “pérorant” dans les médias nationaux.
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 Tracteurs, banderoles et slogans pour une opération “commando” réussie.
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Dès 7 h, le siège du groupe Casino a été bloqué par une centaine d’agriculteurs.

Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur   (http://ripostelaique.com/enquete-les-dessous-de-la-guerre-du-lait-qui-couve-en-france.html), dans une France en plein désarroi, où nos paysans se suicident pour échapper aux huissiers, dans une France où des intégristes Egyptiens utilisent le Pays comme base arrière, dans une France où les projets de mosquées ou de centres cultuels musulmans intégristes se multiplient et dans une Ardèche où le maire d’Annonay interdit l’islamiste intégriste Omar Erkat,  dans une France où les entreprises licencient à tour de bras, où le groupe Aoste ferme son usine « Calixte » à Boffres en Ardèche, dans une France où peu d’entreprises innovent, créent des emplois et beaucoup disparaissent , les paysans sont abandonnés par l’Etat et par les collectivités départementales ou régionales, qui préfèrent financer les familles musulmanes ou des constructions de mosquées. Ou encore des études coûteuses sur « l’intégration », ou distribuer des aides aux pays Arabes ou Africains, les agriculteurs de France se suicident en masse (http://suite101.fr/article/agriculture-et-gendarmerie-metiers-ou-il-y-a-le-plus-de-suicide-a35389). D’un côté les chiffres officiels de la MSA ou du ministère de l’Agriculture qui s’accordent sur un suicide par jour en agriculture. De l’autre, les estimations officieuses des syndicalistes qui évaluent le nombre de suicides de paysans à trois par jour en France.

Des banderoles “Pas de pays sans paysans”

La raison de cette colère ? Après la série de réunions d’urgence et d’accords survenus fin juillet, dont le ministre Le Foll s’est porté garant, pour relever le prix du bœuf, du porc et du lait, les agriculteurs reprochent à cette grande enseigne de ne pas respecter ses engagements. Ils l’accusent aussi de ne pas privilégier l’origine France des produits. C’est pourquoi ils ont bloqué les 11 accès au siège du groupe avec leurs tracteurs, à l’appel de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs (JA) de la Loire, dès 7 heures du matin.

 

Devant l’entrée principale, ils ont placé une banderole, tendue entre une fourche de tracteur et un poteau, pour exiger le “respect des engagements” de la grande distribution. Une autre banderole blanche indiquait “pas de pays sans paysans”. Après une brève entrevue au siège du groupe, les manifestants ont quitté les lieux sans incident, en début d’après midi.

Deux autres sites sensibles bloqués

 

Auparavant, ils avaient bloqué deux importantes centrales d’expédition du groupe, à Andrézieux-Bouthéon et à Saint-Bonnet-les-Oules, dans la Loire, en y déversant pneus, gravats et fumier. Ils ont aussi bloqué dans la foulée un Casino Drive tout proche, à la Fouillouse.

 

En Charente-Maritime aussi, Casino a été pris pour cible. Une dizaine d’agriculteurs des JA se sont rendus dans un Leader Price (une enseigne du groupe Casino) pour vérifier l’origine de certains produits. Ils ont “confisqué” des denrées d’origine étrangère, comme des packs de lait venant de Belgique, qu’ils ont chargés dans des camionnettes pour, selon eux, “les remettre en dons à la Banque alimentaire”.

Lactalis, premier groupe laitier mondial (créé en 1933 à Laval) pourrait être la cible des paysans durant les prochaines semaines, car rien ne va plus entre l’industriel de Laval et la plupart des agriculteurs français, qui estiment travailler à perte. Pendant ce temps, le géant du lait continue d’ouvrir des usines de transformation à travers le monde, de la Russie à l’Egypte, de l’Italie au Kazakhstan.

 

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411



Surnommé R2D2, l'employé de banque Cazeneuve n'aurait jamais dû finir à l'Intérieur

CazeneuveR2D2Parachuté du côté de Cherbourg par le PS Parisien et par Fabius, en 1988,  Bernard Cazeneuve avait démultiplié à l’époque les promesses démagogiques pour être élu.
Ne “réveillez pas un flic qui dort”. Surnommé R2-D2, le petit robot de La Guerre des étoiles, par un certain nombre de députés socialistes, Bernard Cazeneuve cultive des roses et aime les chats, mais présente un faible niveau d’études et de formation, à la différence des autres ministres du gouvernement occupant un ministère régalien. Ce qui explique sans doute les difficultés croissantes que connaissent nombre de Français avec le ministère de l’Intérieur, les attentats meurtriers non déjoués, les dysfonctionnements répétés du ministre et du ministère, car, qu’on le veuille ou non, le petit R2-D2 même s’il refuse d’être considéré « comme un Playmobil casqué, malgré la taille et la fonction », pour reprendre l’expression d’un confrère national, ne cadre pas tout à fait avec le profil type du premier flic de France.

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La différence avec ses prédécesseurs demeure criante. Sarkozy et Valls se voyaient en Robocop agités. Et loin de nous l’idée de le comparer à une “vedette de Cherbourg”, et beaucoup de journalistes, solidarité socialiste oblige, ont passé sous silence ses débuts chaotiques place Beauvau. Il mit deux jours pour exprimer publiquement une « pensée » pour la famille de Rémi Fraisse après le drame de Sivens, et s’empailla méchamment avec le député écologiste François de Rugy.
av jugAu ministère de l’Intérieur, place Beauvau, Bernard Cazeneuve a su s’entourer de conseillers instruits, compétents, “fouillant” les textes de loi pour mieux museler la presse et les associations.
Dès lors, l’absence d’un politique ferme à la Christian Fouchet ou à la Charles Pasqua ont permis aux islamistes intégristes de “passer la surmultipliée” en mettant à profit les ratés du renseignement français et l’absence de vision à long terme dans la lutte anti-terroriste et dans la guerre que se livrent la France et DAECH.
A défaut de résultat, une sécurité de chef d’Etat
En avril 2014, les journalistes du Parisien l’ont suivi pendant 48 h à Cherbourg. « Je ne suis plus jamais seul, même pour acheter une baguette », leur confiait alors le ministre. “Lors du déplacement à Cherbourg du ministre de l’Intérieur, quatre voitures suivaient la sienne, blindée, lancée à 180 km/h. Par ailleurs, lorsqu’il est à pied, un agent de sécurité portant une valise en kevlar de 3 kg le suit. Equipés d’oreillettes et dotés d’une impressionnante musculature, une armada de Men in Black, agents de sécurité plus ou moins discrets, s’attachent à ses pas et le couvent du regard.
av prefet se suicideLe 21 janvier 2014, ce Préfet de la République, Bernard Fragneau, s’est suicidé suite aux pressions subies de la part du ministre de l’Intérieur. Ce haut fonctionnaire de 62 ans s’était opposé aux responsables de l’Etat, lors de l’expulsion d’une jeune Marocaine en situation irrégulière. Il avait depuis été placé hors-cadre.
Le choix de Bernard Cazeneuse à un poste aussi stratégique relève du mystère et des sept boules de cristal. Rien de personnel dans notre remarque ! À la différence de Laurent Fabius, Michel Sapin, Ségolène Royal, diplômés de l’ENA, de Marisol Touraine, Normalienne, ou de quelques autres pointures du gouvernement, Bernard Cazeneuve présente un niveau d’étude qui interroge pour exercer de telles responsabilités : l’actuel ministre de l’Intérieur a simplement un petit diplôme délivré par Science politique de Bordeaux et son expérience professionnelle se limité à un poste de chargé d’affaire au sein des Banques populaires, où il était parvenu, ensuite, en interne, à intégrer le service contentieux et juridique !!!!!
Sans un militantisme effréné dans l’ombre de quelques parrains du PS, Bernard Cazeneuve serait toujours populaire au guichet de la banque. Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où nos paysans se suicident pour échapper aux huissiers, dans une France où des intégristes Egyptiens utilisent le Pays comme base arrière, dans une France où les projets de mosquées ou de centres cultuels musulmans intégristes se multiplient et dans une ,  dans une France où les entreprises licencient à tour de bras, où le groupe Aoste ferme son usine « Calixte » à Boffres en Ardèche, dans une France où peu d’entreprises innovent, créent des emplois et beaucoup disparaissent , les ministères les plus “stratégiques” devraient être tenus par les politiques les plus chevronnés et les plus compétents. 
Le “pâtissier” de Bernard Cazeneuve veille à la stratégie du renseignement
Le 8 juillet 2004, lors d’un déjeuner au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), le Président de la République Jacques Chirac m’avait confié, sous l’œil amusé de Jérôme Monod et de Simone Veil : “Si un Ministre est mauvais et que les membres de son cabinet sont bons, personne ne verra que le Ministre est mauvais !”.
Cette phrase prend tout son sens lorsqu’on enquête sur les membres du cabinet du Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. On découvre par exemple que Yann Le Goff, assistant du conseiller police du ministre de l’Intérieur, et chargé des renseignements, a un CAP de pâtisserie. De quoi réaliser de belles tartes à la crème pour tous les immigrés qui arrivent en France. Mais, il semble impossible que “les travailleurs manuels” du cabinet puissent compenser les lacunes et retards du Ministre Cazeneuve !
D’autant plus que, selon nos confrères du Point,  M. Le Goff serait à l’origine des couacs dans l’affaire dite de Tarnac…..” Le Point maintient qu’il a eu à gérer des suites de l’enquête. Par ailleurs, si Bernard Cazeneuve a jugé bon de le faire entrer à son cabinet pour ses compétences, il n’avait pas convaincu ses prédécesseurs. 
av clementCertains ministres reconnaissent spontanément qu’ils sont nuls (ici dans le Quotidien Régional Le Progrès).
Certes, Yann Le Goff a la réputation de travailler dur et beaucoup place Beauvau, conseillant Bernard Cazeneuve lorsqu’il s’agit de parler à la presse, pour lui recommander d’en dire le moins possible. Yann Le Goff veille aussi à réaliser de nombreuses notes de service pour améliorer les qualités de la police et de l’anti-terrorisme place Beauvau. Nous nous sommes procurés une de ses notes de service, et Yann Le Goff écrit notamment: “Lorsqu’il arrive que les individus surveillés se joignent à une manifestation de voie publique, les fonctionnaires (de la surveillance, NDLR) n’ont pas vocation à continuer à les suivre afin de ne pas se faire détecter lors de cet événement ponctuel, dans la mesure où ils devront continuer à travailler sur eux après la manifestation. De plus, il n’est pas souhaitable que des fonctionnaires de la division se retrouvent au milieu de manifestants au cas où les forces de l’ordre procéderaient à des contrôles d’identité ou bien à des interpellations.”
D’après nos sources, ce n’est pas Yann Le Goff qui a élaboré, le mardi 30 juin, la création d’un état-major opérationnel de prévention du terrorisme rattaché au cabinet de Bernard Cazeneuve. Les représentants des différents services devraient être sélectionnés parmi les patrons et les commissaires mais aussi parmi les officiers afin de rester en prise directe avec le terrain. L’objectif est visiblement de s’affranchir enfin des problèmes de concurrence entre les services, ayant généré tant de ratages, afin de fluidifier la circulation de l’information.

« Sur les 4.000 individus suivis pour radicalisation ou terrorisme, il ne doit plus y avoir de loupé. Nous devons savoir, sur chaque suspect, ce qui a été fait à son sujet dans le passé et quel service travaille désormais sur lui », indiquait un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur. Jusqu’ici, cette mission incombait à l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), rattachée au cabinet du directeur général de la police nationale. L’Uclat devrait donc continuer à exister, car Bernard Cazeneuve veut reprendre les choses en mains.

Dans une page Wikipédia écrite à sa gloire -par lui-même ?-, R2D2 est présenté comme le sauveur de la République après l’affaire Cahuzac. On peut lire sur Wikipédia :  “Le 19 mars 2013, à la suite de la démission de Jérôme Cahuzac, accusé de fraude fiscale, il est nommé ministre délégué au Budget et est remplacé par l’ex-ministre délégué à la Formation professionnelle et à l’Apprentissage, Thierry Repentin. Il affirme vouloir poursuivre la politique de réduction des déficits publics pour économiser cinq milliards d’euros sur le budget de l’État en 2014. En octobre 2013, il intervient personnellement pour enterrer un amendement étendant le champ de la taxe sur les transactions financières aux opérations de trading à haute fréquence, un des engagements de campagne du candidat François Hollande. Il propose aussi l’amendement relevant la TVA applicable aux activités équestres de 7 à 20 %. Surnommée l’« équitaxe », cette mesure entraîne de vives réactions des professionnels et des amateurs du monde du cheval en France….”. Sacré Nanard !
Au ministère de l’Intérieur, un certain nombre de collaborateurs modestes vouent une admiration sans borne à Bernard et défendent leur ministre. Une collaboratrice, jointe par téléphone, mais qui souhaite conserver l’anonymat, explique : “Si Bernard Cazeneuve n’est pas diplômé de l’ENA, c’est parce qu’une violente hépatite l’a empêché de passer l’épreuve… Sinon, il serait au même niveau que les autres Ministres !”.
Une enquête de Francis GRUZELLE
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Le gouvernement français représente la plus grande menace pour la liberté d’expression

En attaquant régulièrement l’hebdomadaire Valeurs Actuelles pour ses prises de position courageuses contre l’immigration, via des associations subventionnées par le pouvoir, en voulant “faire taire” Riposte Laïque qui dénonce les actes terroristes commis sur notre sol contre notre population, via des actions pénales initiées par le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en personne, ou en attaquant, en Province, les collaborateurs de Riposte Laïque, via, ici ou là, un sous-préfet ayant épousé une “femme musulmane” rencontrée lors d’une affectation dans les îles de la République, le gouvernement Valls “assassine” ouvertement les droits les plus fondamentaux de la liberté de la Presse.

av gavraLe sort réservé aux derniers journalistes Français indépendants ?

Du jamais vu en France, au niveau de la férocité, depuis 1898, année où le général Billot, ministre de la Guerre, porte plainte contre Émile Zola et Alexandre Perrenx, le gérant du journal L’Aurore, suite à l’article “J’accuse” prenant la défense d’un officier Israélite, le capitaine Dreyfus, injustement condamné. Les deux prévenus sont jugés devant les Assises de la Seine du 7 au 23 février 1898, soit quinze audiences (au lieu des trois initialement prévues). Le ministre ne retient que trois passages de l’article, soit dix-huit lignes sur plusieurs centaines.

Le procès s’ouvre alors dans une ambiance de grande violence et Emile Zola, comme Valeurs Actuelles ou Riposte Laïque aujourd’hui, fait l’objet « des attaques les plus ignominieuses ». Fernand Labori, l’avocat de Zola, fait citer environ deux cents témoins. La réalité de l’Affaire Dreyfus, inconnue du grand public, est diffusée dans la presse. Plusieurs journaux publient les notes sténographiques in extenso des débats au jour le jour, ce qui instruit leurs lecteurs. Cependant, les nationalistes, derrière Henri Rochefort, sont alors les plus visibles et organisent des émeutes, forçant le préfet de police à intervenir afin de protéger les sorties de Zola à chaque audience.

Ce procès est aussi le lieu d’une véritable bataille juridique, dans laquelle les droits de la défense sont sans cesse bafoués, comme le révèle le site Wikipedia. De nombreux observateurs prennent conscience de la collusion entre le monde politique et les militaires. À l’évidence, la Cour a reçu des instructions pour que la substance même de l’erreur judiciaire ne soit pas évoquée. La phrase du président Delegorgue « la question ne sera pas posée », répétée des dizaines de fois, devient célèbre. Toutefois, l’habileté de Fernand Labori permet l’exposition de nombreuses irrégularités et incohérences, et force les militaires à en dire plus qu’ils ne l’auraient souhaité.

Le général de Pellieux, annonce à la neuvième audience, l’existence « d’une preuve décisive ». L’impossibilité qui est faite aux militaires de présenter leur preuve force le général de Boisdeffre, chef de l’état-major, à effectuer un chantage moral aux jurés en déclarant : « Vous êtes le jury, vous êtes la nation ; si la nation n’a pas confiance en les chefs de son armée, dans ceux qui ont la responsabilité de la défense nationale, ils sont prêts à laisser à d’autres cette lourde tâche. Vous n’avez qu’à parler ». Etranges similitudes avec l’offensive que subissent aujourd’hui Riposte Laïque et l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

Zola aux outrages, huile sur toile de Henry de Groux, 1898

Zola est alors condamné à un an de prison et à 3 000 francs d’amende, la peine maximale. Cette dureté de l’époque, comme les assignations d’aujourd’hui, est imputable à l’atmosphère de violence entourant le procès : « La surexcitation de l’auditoire, l’exaspération de la foule massée devant le palais de Justice étaient si violentes qu’on pouvait redouter les excès les plus graves si le jury avait acquitté M. Zola. »

Cependant, le procès Zola est plutôt une victoire pour les Dreyfusards. En effet, l’Affaire et ses contradictions ont pu être largement évoquées tout au long du procès, en particulier par des militaires. De plus, la violence des attaques contre Zola, et l’injustice de sa condamnation renforcent l’engagement des Dreyfusards : Stéphane Mallarmé se déclare « pénétré par la sublimité de [l’]Acte [de Zola] » et Jules Renard écrit dans son journal : « À partir de ce soir, je tiens à la République, qui m’inspire un respect, une tendresse que je ne me connaissais pas. Je déclare que le mot Justice est le plus beau de la langue des hommes, et qu’il faut pleurer si les hommes ne le comprennent plus. » C’est à ce moment que le sénateur Ludovic Trarieux et le juriste catholique Paul Viollet fondent la Ligue pour la défense des droits de l’homme.

Le 2 avril, une demande de pourvoi en cassation reçoit une réponse favorable. Le site Wikipedia consacré à l’affaire Dreyfus révèle : “Il s’agit de la première intervention de la Cour dans cette affaire judiciaire. La plainte aurait en effet dû être portée par le Conseil de guerre et non par le ministre. Le procureur général Manau est favorable à la révision du procès Dreyfus et s’oppose fermement aux antisémites. Les juges du Conseil de guerre, mis en cause par Zola, portent plainte pour diffamation. L’affaire est déférée devant les assises de Seine-et-Oise à Versailles où le public passe pour être plus favorable à l’armée, plus nationaliste. Le 23 mai 1898, dès la première audience, Maître Labori se pourvoit en cassation en raison du changement de juridiction. Le procès est ajourné et les débats sont repoussés au 18 juillet. Labori conseille à Zola de quitter la France pour l’Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l’écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés….”.

Le gouvernement a décidé de tuer la liberté d’expression

Jonathan Turley

Pour Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C., “la plus grande menace sur la liberté d’expression en France n’est pas le terrorisme. C’est le gouvernement”.

Les plus grands spécialistes de la Presse Américaine avouent, depuis plusieurs mois, leurs inquiétudes pour la survie de la Liberté de la Presse en France, à l’image de Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. . Pour cet universitaire chercheur de renommée mondiale, “Les meurtres à Charlie Hebdo, quoique tragiques, ne sont pas le problème.

“Dans l’heure qui a suivi le massacre dans les locaux de Charlie Hebdo, des milliers de Parisiens se sont rassemblés spontanément place de la République. Au cours de ce rassemblement sous les statues représentant la Liberté l‘Égalité et la Fraternité, ils ont scandé « je suis Charlie » et « Charlie liberté ». C’était un rare moment d’unité à la française, touchant et sincère.

“Pourtant on peut légitimement se demander pourquoi ils se rassemblent. La plus grande menace envers la liberté en France n’est pas venue des terroristes qui ont commis ces actes horribles la semaine dernière mais des Français eux-mêmes qui ont été parmi les meneurs du monde occidental à prôner des restrictions importantes à la liberté d’expression….”.

Du coup, Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. recadre le débat en affirmant : “En fait, si les Français veulent commémorer le souvenir de ceux qui ont été tués à Charlie Hebdo, il pourraient commencer par inverser la portée de leurs lois criminalisant l’insulte, la diffamation, ou l’incitation à la haine, à la discrimination ou à la violence sur des bases religieuses, raciales, ethniques, liées à la nationalité, au handicap, au sexe ou à l’orientation sexuelle.

“Ces lois ont été utilisées pour littéralement harasser le journal satirique et menacer son personnel des années durant. La liberté d’expression a été conditionnée à un usage responsable en France, suggérant que c’est plus un privilège qu’un droit pour ceux qui usent de controverse…. En 2006, après que Charlie Hebdo eût imprimé les caricatures de Mahomet qui avaient initialement été publiées dans un journal danois, le président français, Jacques Chirac, a condamné la publication et mis en garde contre de telles « évidentes provocations ».

Jacques Chirac avait même osé ces mots : « Tout ce qui peut heurter les convictions de quelqu’un d’autre, en particulier les convictions religieuses, devrait être évité. » Et d’ordonner « La liberté d’expression devrait toujours être utilisée dans un esprit de responsabilité. »

AV JUSEn se mêlant de la liberté d’expression entre citoyens, la justice penale est-elle dans son rôle (tel que défini par la Constitution de la Vème République) ou “pervertie” comme l’affirme l’hebdomadaire Valeurs Actuelles ?

Charlie Hebdo déjà victime de la Grande Mosquée de Paris et de l’Union des Organisations Islamiques Françaises

La Grande Mosquée de Paris et l’Union des Organisations Islamiques Françaises ont poursuivi, sans relâche en justice le journal Charlie Hebdo pour “avoir insulté les musulmans, un crime passible d’une amende allant jusqu’à 22.500 € ou six mois d’emprisonnement”. La justice française a finalement délivré un jugement en faveur de Charlie Hebdo. Mais depuis, la volonté de contrôle de cette liberté d’expression en France n’a cessé de grandir, certains politiques, à l’image de Bernard Cazeneuve, affichant une soiffe de censure, de répression immodérée.

Jonathan Turley analyse parfaitement la “mise à mort de la liberté de la Presse en France : “Les différentes affaires judiciaires ont tapé tous azimuts. En 2008, par exemple, Brigitte Bardot a été condamnée pour avoir écrit une lettre au ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, dans laquelle elle exprimait sa pensée selon laquelle les musulmans et les homosexuels mettaient en danger la France.

“En 2011, le styliste de mode John Galliano a été déclaré coupable d’avoir prononcé des paroles antisémites à l’encontre de trois personnes dans un café parisien.

En 2012, le gouvernement criminalisa la négation du génocide arménien (une loi ultérieurement retoquée par le Conseil Constitutionnel), mais la négation de l’Holocauste reste un crime.

En 2013, une mère française fut condamnée « apologie de crime » après avoir autorisé son fils, baptisé Jihad, à aller en classe vêtu d’un tee-shirt qui disait « Je suis une bombe »…. L’année dernière, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, prit des mesures pour interdire le spectacle du comédien Dieudonné M’bala M’bala déclarant qu’il n’était « désormais plus un comédien » mais « plutôt un antisémite et un raciste ». Il est facile de réduire au silence les personnages publics qui éructent des mots haineux ou des idées insupportables, mais la censure ne fonctionne que très rarement avec ceux qui sont en marge de notre société…..”.

Jonathan Turley relève avec précision : “Parmi les manifestants de janvier 2015, à Paris, place de la République se trouvait Sacha Reingewirtz, président de l’Union des Étudiants Juifs, qui déclara à NBC News :

« Nous sommes présents pour rappeler [aux terroristes] que la religion peut être librement critiquée ».

“L’Union des Étudiants Juifs n’était apparemment pas aussi magnanime en 2013, quand elle poursuivit avec succès en justice Twitter, à propos de publications jugées antisémites sur son site. Son président à l’époque balaya de la main les objections d’entrave aux libertés publiques déclarant que le réseau social se faisait lui-même « complice en offrant un boulevard aux racistes et aux antisémites. » Le gouvernement déclara les tweets illégaux, et une Cour de Justice française ordonna à Twitter de fournir les identités des auteurs des publications antisémites.

“Récemment, les restrictions à la liberté d’expression en France ont étendu leur domaine au-delà de la haine proprement dite avec des tribunaux intervenant de manière coutumière dans de simples délits d’opinion. Par exemple, l’année dernière, un tribunal français a infligé une amende à Caroline Doudet, une bloggeuse, et lui a ordonné de changer le titre de son sujet pour réduire sa visibilité sur Google concernant un commentaire négatif sur un restaurant.

“Alors que la France a remisé depuis longtemps ses lois sur le blasphème, la marge est très ténue pour les orateurs et les écrivains poursuivis pour des motifs de diffamation ou d’incitation à la haine. De même pour les extrémistes, cette différence est également très ténue à l’image de ceux qui, à Paris, ont appliqué leur justice personnelle à une liberté d’expression que le gouvernement lui-même qualifiait de délit. De leur point de vue, il ne s’agit que d’un degré d’appréciation en réponse à ce que le gouvernement a appelé des provocations illégales. A l’image du religieux musulman radical Anjem Choudary qui a écrit en janvier 2015, « Pourquoi dans ce cas le gouvernement français a-t-il autorisé le magazine Charlie Hebdo à continuer à provoquer les musulmans ? »…”.

Une intolérance croissante à l’égard de la Liberté d’expression

Ce fut l’intolérance française croissante à l’égard de la liberté d’expression qui a motivé l’équipe de Charlie Hebdo — en particulier son rédacteur en chef Stéphane Charbonnier — à se moquer de toutes les religions en usant de dessins et d’éditoriaux irrévérencieux. Charbonnier devait faire face de manière continuelle à des menaces de mort par des extrémistes, mais aussi de poursuites judiciaires devant les tribunaux. Et Jonathan Turley insiste :”En 2012, dans les protestations internationales à propos d’un film anti-islamique, Charlie Hebdo publia de nouveau des caricatures de Mahomet. Le Premier Ministre français, Jean-Marc Ayrault, avertit que la liberté d’expression « ne peut s’exprimer que dans les limites de la loi et sous le contrôle des tribunaux. »

“Charbonnier ne se laissa pas impressionner, ni par la pression gouvernementale ni par les protestations publiques ou l’inclusion de son nom sur une liste de cibles d’Al-Qaeda. Dans une interview au journal Le Monde, il repris à son compte une phrase du révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata et déclara, « je préférerais plutôt mourir debout que vivre à genoux. » Stéphane Charbonnier fût le premier que les tueurs recherchèrent lors de l’attaque dans ses bureaux, et il fût parmi les premiers à être tué.

Les Français bien sûr n’ont pas été les seuls à revenir sur les lois et protections relatives à la liberté d’expression.

“La Grande-Bretagne, le Canada et d’autres nations les ont rejoints. Nous avons les mêmes bruits de fond ici aux États-Unis. En 2009, l’administration Obama de manière choquante apporta son soutien à ses alliés musulmans en essayant de définir un nouveau standard international du blasphème. Et Hillary Clinton, Secrétaire d’État, invita des délégations à Washington pour travailler sur la définition de ce nouveau standard et pour « renforcer nos muscles [afin] d’empêcher le retour des anciens schémas de division ». De la même manière, en 2012, le président Obama se rendit à l’ONU et déclara que « ceux qui diffament le prophète de l’Islam ne doivent plus pouvoir le faire dans le futur. »

“Il fut pourtant un temps où la liberté d’expression était précisément la promesse du futur. C’était même la ‘première pierre’ de la civilisation Occidentale et des libertés civiles.

“Une personne physique ne peut pas réellement diffamer une religion ou des personnages religieux en tant que tels (même s’il est vrai que la diffamation des morts est prohibée aux États-Unis). Les volontés de requalifier la critique d’une religion comme incitation à la haine ou diffamation sont précisément ce que Charbonnier, en tant que résistant, combattait. Il dit un jour qu’en titillant l’Islam il espérait le rendre « aussi banal que le Catholicisme » pour pouvoir en débattre en société.

“Stéphane Charbonnier est mort, comme il l’avait affirmé, debout plutôt qu’à genoux. La vraie question est : Combien parmi ceux qui se rassemblent sur la place de la République seraient réellement prêts à se tenir debout avec lui ? Ils devraient tous prêter une attention soutenue aux trois statues de la Place. Au nom de l’Égalité et de la Fraternité, la Liberté a été considérablement réduite en France. La terrible vérité est qu’il suffit d’un simple tueur pour abattre un journaliste mais qu’il faut une Nation entière pour assassiner un droit.” note encore Jonathan Turley, collaborateur régulier du Washington Post et du Le Journal du Siècle.

Les volontés de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve de requalifier la critique politique ou la critique d’une religion en crime ou délit témoignent d’une volonté d’asservissement de la Presse Libre, celle qui était défendue par Emile Zola, Jean Jaurès, ou encore André Malraux lorsque la France vivait des heures sombres et tragiques !

Francis GRUZELLE

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Deux maires lynchés : Jean Roujon s'est suicidé, Robert Chardon a disparu…

av chard disparRobert Chardon, lynché par les médias nationaux

Cela fait vingt jours que le maire UMP de Venelles, Robert Chardon, par ailleurs PDG de la société Iso Ingenierie, qui collabore à des activités capitales dans la défense nationale de notre pays, notamment pour l’équipement des nouveaux sous-marins nucléaires français du programme Barracuda, a disparu de la vie publique sans laisser de trace, ni d’adresse, et que les comptes facebook et twitter de Robert Chardon ont été supprimés. Et, depuis 24 heures, les mêmes médias nationaux, qui imposent une chape de plomb sur le « triangle des Bermudes » Venelles-Aix-en-Provence-Marseille, qui imposent un silence radio sur la disparition de Robert Chardon, relaient en boucle, avec une évidente indécence, le suicide de l’ancien maire de la commune de Marvejols en Lozère, Jean Roujon. Comme si ces médias voulaient prolonger, de manière sordide, la “fête des maires”.

Des consignes d’omerta ont-elles été données par le pouvoir politique dans l’affaire Robert Chardon et un feu vert de large diffusion dans ce qui devient l’affaire Jean Roujon ? Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où quatre de nos paysans se suicident chaque jour pour échapper aux huissiers,  dans une France où les entreprises licencient à tour de bras, où le groupe Aoste ferme son usine « Calixte » à Boffres en Ardèche, département voisin de la Lozère, dans une France où peu d’entreprises innovent, créent des emplois et beaucoup disparaissent , la surmédiatisation du suicide de l’ancien conseiller général et de l’ancien maire de la commune de Marvejols Jean Roujon, par des médias qui l’ont trainé dans la boue depuis plus d’un an, a quelque chose d’indécent, de sordide, confirmant une fois de plus la décadence et l’imposture de la presse nationale Française.
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 Marvejols est sous le choc après le suicide de Jean Roujon. La ville a été incendiée durant la guerre de Cent Ans puis reconstruite grâce à Henri IV.
D’autant plus que le Président de la République François Hollande ne pouvait ignorer, via les informations remontées par le Préfet de l’époque Bernard Gonzalez, lors de sa visite officielle en Lozère en 2012 (notre photo), la dramatique situation financière de la commune de Marvejols, “prise à la gorge” malgré les efforts de gestion de son conseiller général-maire Jean Roujon. A aucun moment, François Hollande, le préfet de l’époque Bernard Gonzalez, et les pouvoirs publics socialistes, n’ont  “mis la main à la poche” pour aider, via une subvention exceptionnelle, le maire divers droite de Marvejols, au coeur du Gévaudan en Lozère, qui a mis fin à ses jours lundi. Cet ancien conseiller général DVD, battu aux élections municipales de 2014 après 19 ans de mandat, a été retrouvé pendu dans l’ancienne usine de son père, qui lui-même avait été maire de la ville pendant des décennies, derrière son cabinet d’assurance.
av pre gonzalezLors de la visite de François Hollande en Lozère,  François Hollande, le préfet de l’époque Bernard Gonzalez, et les pouvoirs publics socialistes, n’ont pas “mis la main à la poche” pour aider, via une subvention exceptionnelle, le maire divers droite de Marvejols.

 

Lundi 1 er juin 2015, en fin d’après-midi, Jean Roujon avait laissé un message posthume au journal départemental la Lozère Nouvelle. Se disant “blessé et sali”, l’ancien maire de la commune de Marvejols Jean Roujon a tenu à rectifier auprès de l’hebdomadaire Lozère Nouvelle les “rumeurs les plus folles et les délires les plus médisants”, qui avaient souvent été colportés dans la presse quotidienne. L’ancien maire réaffirme “qu’il ne s’est pas enrichi, mais qu’il a toujours voulu simplement oeuvrer pour sa ville.” 

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 Depuis de nombreuses années, la commune de Marvejols, abandonnée par l’Etat Français, ne connaissait plus la vie de château….

Dans son message au journal départemental, Jean Roujon a souligné “la période trouble faite de baisses de dotations” (NDLR de l’état Français qui s’est totalement désengagé en Lozère, à hauteur de plusieurs dizaines de millions d’euros, comme à l’époque monarchique où les paysans se faisaient dévorer par la terrible bête du Gévaudan) à laquelle il avait dû faire face en tant qu’édile, et les “choix politiques budgétaires forts” qu’il avait choisi de faire pour sa ville de 5000 habitants, “malgré des marges de manoeuvre limitées”. Son choix “comme d’autres élus de la majorité, comme de la minorité” avait été “de consacrer 19 ans à ma ville de Marvejols avec honnêteté et intégrité au contact direct des Marvejolais”. 

 

Un audit avait révélé l’ampleur de la dette, liée aux transferts de charge et au désengagement de l’état, qui plombait la ville de Marvejols. L’annonce de 12,8 millions d’euros de dette exposée par l’audit avait déclenché une tempête médiatique autour de cette ville de 5000 habitants, et de nombreux médias ont “lynché” Jean Roujon, comme ils avaient “lynché” le Maire UMP Robert Chardon lorsque ce dernier a déclaré, via twitter, “qu’il fallait interdire l’islam en France”.

 

Un Président de la République dira-t-il, demain, que les médias nationaux ont jeté  Jean Roujon “aux chiens” (mais aussi Robert Chardon via le lynchage médiatique dont il a été victime), comme l’avait dit un autre François, au cœur de la Bourgogne, pour un certain Pierre Bérégovoy ?


Francis GRUZELLE

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Les officiels égyptiens préfèrent le Rafale à Marine Le Pen

Pas de réception prévue avec les dirigeants de l’Egypte, avec le Président Abdelfatah Khalil al-Sisi ou son entourage (qui comprend désormais l’ancien ambassadeur d’Egypte à Paris), qui préfère la livraison des premiers avions de combat Rafale (notre photo) à Marine Le Pen. Dans le premier cercle du “maréchal-Président” au Caire, où l’on réclame à la France l’extradition de 80 terroristes Egyptiens ayant le statut de réfugiés politiques dans “le Pays de Marianne”, alors que ces mêmes intégristes Egyptiens utilisent le Pays “France” comme base arrière, la venue de Marine Le Pen est assimilée à un aléa climatique au même titre qu’un nuage de sauterelles dans la vallée du Nil.
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Les dirigeants de l’Etat Egyptien, seul Pays Arabe à demander à la France l’expulsion des terroristes Egyptiens réfugiés sur notre sol, préfère l’avion de combat Rafale à Marine Le Pen.av le pen egyp
Beaucoup d’électeurs du Front National ne comprennent pas l’intérêt de cette visite de Marine Le Pen en Egypte, d’autant moins que la Présidente du Front National n’est reçue que par des responsables religieux, alors que le pouvoir réel est aux mains du Président Al Sissi et d’une équipe de ministres ayant prouvé leur laïcité. Même incompréhension en Egypte, où Marine Le Pen affiche le handicap d’être une femme.

Dans les cercles proches du pouvoir Egyptien, cette visite a même tendance à irriter, par la récupération médiatique faite par les hauts responsables religieux.

Selon le communiqué d’Al-Azhar, la présidente frontiste aurait “reconnu qu’il ne fallait pas faire l’amalgame entre l’islam et les actes de violences commis par ceux qui s’en réclament”. Toujours d’après le même texte, Marine Le Pen aurait affirmé “le droit des musulmans français à pratiquer leur foi et à l’exprimer en toute liberté”.

Une visite où l’improvisation semble totale

Selon un journaliste du Monde, le voyage a été organisé par l’eurodéputé frontiste Aymeric Chauperade. Il s’agit, d’après le communiqué du FN, du “premier pays arabe visité’ par Marine Le Pen, sous-entendant que la présidente frontiste se rendrait dans d’autres pays du monde arabe dans les semaines à venir. Les prochains voyages nécessiteront une meilleure préparation et des interlocuteurs plus crédibles, ainsi que des objectifs plus visibles !

Même la chronologie de la visite privée de Marine Le Pen prête le flanc à critique, dans un pays où les symboles sont très forts.

Il aurait été préférable que la Présidente du FN s’entretienne d’abord avec le patriarche des Coptes orthodoxes d’Égypte Tawadros II jeudi dès son arrivée, puis rencontre, dans un deuxième temps, le cheikh d’Al-Azhar, chef de l’islam sunnite. Car l’entretien décrit par le le communiqué du FN semble différent de la version officielle donnée par Ahmed al-Tayeb qui a, de son côté, fait part de ses “sérieuses réserves” concernant les “positions hostiles à l’islam” de Marine Le Pen et du parti d’extrême-droite.

Qu’un officiel Egyptien de premier plan, ayant toute la confiance du Président Al Sissi, m’adresse aujourd’hui par mail une photo des premiers Rafale survolant les pyramides n’est pas une coïncidence. Mais un message très fort disant en substance : “Les officiels Egyptiens préfèrent le Rafale à Marine Le Pen”.

Francis GRUZELLE

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Exclusif : Chardon voulait se présenter contre Estrosi aux régionales Paca

av chardon jeunesUn élu adulé et aimé par de nombreux habitants des quartiers
La mystérieuse  m’ont aussi incité à explorer toutes les pistes. La piste politique m’a conduit sur la longue route des élections régionales de décembre 2015 en Paca, où Jean-Marie Le Pen a constitué la première victime… politique. Car la probable victoire à droite aux régionales a aiguisé les appétits.
Or, il y a quelques temps, Robert Chardon, le maire UMP de Venelles, avait annoncé à FRANCE 3  et à l’AFP sa candidature aux élections régionales de décembre 2015, face au député-maire de Nice, Christian Estrosi. Une annonce qui lui a valu pas mal d’inimitiés dans son propre camp.
“Je compte aller plus loin et me présenter aux régionales”, avait déclaré, voici quelque temps, Robert Chardon à l’AFP, et son intention aussi de se présenter à la primaire de l’UMP “si je reste dans le parti”. De quoi faire tousser Christian Estrosi et Nicolas Sarkozy.
av chard commu
De la même manière que la stigmatisation journalistique française avait pris soin de passer sous silence la brillante carrière professionnelle de Robert Chardon, et nous avons été les seuls, dans l’article intitulé “” , à révéler l’aspect « défense nationale » de la carrière du chef d’entreprise Robert Chardon, capable de réflexions et de stratégies géopolitiques, les quotidiens régionaux et nationaux ont passé sous silence les ambitions régionales et nationales du même Robert Chardon.
Même si on ne partage pas les propos de Robert Chardon, où l’élu UMP préconisait “d’interdire l’islam en France”, il est probable que ces propos s’inscrivaient dans le cadre de la préparation des élections régionales de décembre 2015, Robert Chardon espérant sans doute mordre sur la clientèle du FN en Paca, mais aussi sur une aile de l’UMP.
Car, pour rallier des candidats à ses côtés, et des électeurs, le maire de Venelles tient des propos proches de ceux tenus par l’ancienne Ministre UMP Nadine Morano, compagne de route de Nicolas Sarkozy, le 27 avril 2015, sur RMC et BFMTV (invitée d’Apolline de Malherbe sur RMC et BFMTV, Nadine Morano est revenue sur l’embrigadement de jeunes dans des groupes islamistes. L’eurodéputée a ainsi déclaré : « L’infiltration se fait par les réseaux sociaux mais aussi par certains imams qui ne parlent pas français ». A la question “Faut-il les interdire ?”, l’élue UMP répond “bien sûr”. “Tant que nous n’avons pas mis en place un dispositif qui nous permet de contrôler les imams qui font leurs prêches en France, ce n’est pas le moment de se lancer dans la construction de nouvelles mosquées”, a ajouté Nadine Morano.). Et il est probable que Robert Chardon pensait s’inscrire dans la ligne la plus à droite de l’UMP, pardon Les Républicains, le changement d’enseigne ne changeant rien au fonds de commerce.
La stigmatisation de Robert Chardon par certains dirigeants de l’UMP, pressés de lui faire “un enterrement républicain”, était-elle motivée par la seule volonté d’éliminer un concurrent pour les élections régionales de décembre ? Et de provoquer la disparition d’un élu de la République, par ailleurs chef d’entreprise, un peu “grande gueule”, à “la Bigeard”, pas forcément dans le moule de “l’Union des Moutons de Panurge”, dont on change l’étiquette.
Francis GRUZELLE

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Disparition Chardon : le procureur avoue un secret d'enquête

av chard commu
Après la mystérieuse  , le Procureur de la République Dominique MOYAL près le Tribunal de Grande Instance d’Aix en Provence m’a adressé le courrier mailé suivant : “Je tiens à vous rassurer : Mr le maire de Venelles n’a été ni kidnappé  par des extra-terrestres ni désintégré… Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l’enquête .”
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Dominique MOYAL, Procureur de la République : “Je ne fournirai aucune autre information sur cette affaire couverte par le secret de l’enquête .”
Il y a donc bien une enquête judiciaire ouverte dans le dossier Robert Chardon, enquête couverte par le secret, avec, de l’aveu même de Mme le Procureur Dominique Moyal, un non lieu pour ET. Ce qui devrait réjouir Steven Spielberg, car il arrive que la réalité rattrape la fiction.
Néanmoins, 14 jours après la disparition publique de Robert Chardon, PDG de l’entreprise ISO Ingénierie, société présente par de multiples activités dans les domaines de la défense nationale française, le grand public français et étranger se demande toujours comment le maire d’une ville de plus de 8000 habitants peut disparaître sans laisser de trace, dans l’indifférence générale ?
av chard rééluMars 2014, Robert Chardon est brillamment réélu à la mairie de Venelles
Comme révélé dans nos articles  , et avec Caroline Alamachère ,    , nous avons été les premiers en France à dénoncer la stigmatisation d’un maire pour des idées, puis sa mystérieuse disparition de la vie publique dans le département des Bouches du Rhône.
“Crucifié” pour des idées ?
Comme le souligne avec talent  Martine Chapouton dans l’édition d’hier de Riposte Laïque, sous le titre  , “Cet homme a d’abord été lynché par les médias et la classe politique, qui alors s’intéressaient à lui. Une procédure d’exclusion a été entamée contre lui par son parti, l’UMP. Patricia Saez, son adjointe, s’est immédiatement démarquée de ses propos, prétendant parler au nom de l’ensemble de l’équipe municipale. Et, quelques heures plus tard, l’AFP a parlé d’un internement, à la demande d’un de ses proches. Le sous-préfet a nié l’internement. Et, depuis treize jours, plus rien !”
av chard déboi
 Et si Robert Chardon était “l’arbre qui cache la forêt” dans une France à la dérive ? L’homme qu’on veut abattre à tout prix ?
av robert chardon
La stigmatisation journalistique française a pris soin de passer sous silence la brillante carrière professionnelle de Robert Chardon, et nous avons été les seuls, dans l’article intitulé ““, à révéler l’aspect « défense nationale » de la carrière du chef d’entreprise Robert Chardon, capable de réflexions et de stratégies géopolitiques. De nombreux médias français, relais du pouvoir socialiste et du bureau de l’Ump, ne font pas honneur à leur profession, en tentant de  présenter Robert Chardon, comme « un ahuri », une « sorte d’élu à la professeur Tournesol », alors que la Défense Nationale lui a fait confiance pour des fonctions de sécurité très élaborées de nos sous-marins nucléaires nouvelle génération, ceux du programme Barracuda, qui seront testés en 2016 puis livrés à la Marine Nationale en 2017.
Plus personne n’a vu, n’a entendu, n’a eu de communication internet, FB, tweet, n’a de nouvelles de Robert Chardon, maire UMP de Venelles, qui a disparu, quelques heures après avoir affirmé qu’il fallait se débarrasser de l’islam en France. Même si on ne partage pas ses propos, proches de ceux tenus par l’ancienne Ministre UMP Nadine Morano, compagne de route de Nicolas Sarkozy, le 27 avril 2015, sur RMC et BFMTV (invitée d’Apolline de Malherbe sur RMC et BFMTV, Nadine Morano est revenue sur l’embrigadement de jeunes dans des groupes islamistes. L’eurodéputée a ainsi déclaré : “L’infiltration se fait par les réseaux sociaux mais aussi par certains imams qui ne parlent pas français”. A la question “Faut-il les interdire ?”, l’élue UMP répond “bien sûr”. “Tant que nous n’avons pas mis en place un dispositif qui nous permet de contrôler les imams qui font leurs prêches en France, ce n’est pas le moment de se lancer dans la construction de nouvelles mosquées”, a ajouté Nadine Morano.), on ne peut pas cautionner, sans bouger, la stigmatisation et la disparition d’un élu de la République, par ailleurs chef d’entreprise.
Francis GRUZELLE
37, Bernaudin le Haut
07100 ANNONAY
               à
Madame le Procureur de la République Dominique MOYAL
Près le Tribunal de Grande Instance d’Aix en Provence
40, Boulevard Carnot
13100 AIX-EN-PROVENCE
Par mail, par courrier et par télécopie au 04 42 33 84 68
                                                              et au 04 42 96 45 30
Objet : SIGNALEMENT de disparition d’une personne
Madame le Procureur de la République Dominique Moyal,
Par la présente, j’ai l’honneur de vous signaler la disparition d’une personne à Venelles, ville où je ne parviens plus à joindre Monsieur Robert Chardon, maire, depuis le 15 mai 2015.
Depuis cette date, Monsieur Robert Chardon est injoignable à la mairie de Venelles, où personne ne l’a vu, à son domicile, sur son portable. Par téléphone, j’ai fait le tour des hôpitaux de la Région, et personne n’a été en mesure de « me passer » le maire de Venelles ou de me confirmer l’hospitalisation de Robert Chardon.
Je suis donc très inquiet.
D’autant plus que les comptes facebook et twitter de monsieur Chardon ont été supprimés.
C’est comme si Monsieur Robert Chardon avait été kidnappé par des extra terrestres ou se soit désintégré !
D’où ce SIGNALEMENT de disparition d’une personne concernant Monsieur Robert Chardon, maire UMP de Venelles.
 
Je vous remercie de faire le nécessaire, et je vous assure, Madame le Procureur de la République Dominique Moyal, de mes sentiments respectueux et dévoués.
Francis GRUZELLE
Le 24 mai 2015
Dans l‘histoire de la Ve République Française, c’est la première fois qu’un élu disparait ainsi de la vie publique et  devient injoignable…. Et ce n’est pas le Premier Ministre Manuel Valls, en visite officielle à Marseille et à Aix en Provence ce  vendredi 29 mai 2015, qui donnera des nouvelles de Robert Chardon. D’ailleurs, les journalistes institutionnels présents n’oseront pas lui poser la question, au “nom de la rose”, de peur de déplaire au “prince socialiste”.
Des cours du soir pour le gouvernement et les dirigeants politiques ?
Face à cet aspect républicain du dossier Robert Chardon, j’invite Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, tous les ministres, Préfets, hauts magistrats et décideurs à acheter (6,95 euros) et à lire le très beau livre, édité voici quelques semaines, par Fleurus enfants, “LA RÉPUBLIQUE”. Ecrit par Jean-Paul Albert, le Président de la Cour d’assises de Paris, et Saubahe Ayadi Takerkart, pédagogique et ludique, cet ouvrage permet d’appréhender avec simplicité l’organisation politique de la France, son histoire institutionnelle, le rôle des acteurs des pouvoirs exécutif et législatif mais aussi les collectivités territoriales.
av la repuCet ouvrage devrait permettre aux “décideurs” de réactualiser leurs connaissances.
Conçu pour des enfants et des collégiens, “LA RÉPUBLIQUE”, ouvrage pédagogique et attractif, devrait permettre à tous les décideurs Français d’appréhender avec simplicité l’histoire constitutionnelle de la France, son organisation politique, le rôle des institutions : le pouvoir exécutif avec le président de la République, le premier ministre et le gouvernement ; le pouvoir législatif : l’Assemblée nationale, le Sénat et le vote de la loi ; les collectivités locales : régions, départements, communes, sans oublier la France d’outre-mer, l’indépendance du pouvoir judiciaire, la liberté de la presse, la liberté d’expression.

Il apparaît indispensable que nos responsables politiques, étatiques, mais aussi nos journalistes, découvrent et approfondissent les valeurs fondamentales de notre République : défendre la liberté, protéger l’égalité, la laïcité, la liberté d’expression, renforcer la fraternité. (cid:B7773B81-49F1-4011-BA4B-B81170958DC9][cid:DFE91263-EF1E-4070-B26A-4CB1B3397AE8] http://www.fleuruseditions.com).

Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411