La priorité de Nicole Belloubet : sauver nos djihadistes condamnés à mort !


Belloubet, ministre de l’Injustice, plus préoccupée du sort des djihadistes français que des gardiens de prisons

Aucun doute, avec Macron-Jupiter président, on a gagné de beaux spécimens de crétins patentés, qu’il serait bon d’étudier de près, histoire de bien faire rigoler les copains lors de soirées au coin du feu…

Sauf que malheureusement il n’y a guère matière à rire quand on sait que ces mêmes crétins font la pluie et le beau temps (d’ailleurs uniquement la pluie en ce moment, signe que la météo pleure autant que nous) au gouvernement.

Et si encore ils se contentaient de nous réserver la primeur de leurs inventions, mais non, il faut aussi qu’ils en fassent bénéficier la terre entière.

Mais qu’a-t-on fait au ciel pour mériter cela ?

Le lauréat du jour est une lauréate :  Nicole Belloubet, qui devait forcément avoir un talent remarquable pour succéder au grand François Bayrou (s’étant fait choper le doigt dans le pot de confitures, sorti pour Fillon, et que personne n’avait pensé à ranger), et ce au prestigieux poste de « ministre de la justice » (sans majuscule exprès !) autrement désigné « Garde des Sots » (orthographe volontaire).

Alors celle-là, elle est gratinée, vraiment !

la seule chose qu’ait proposée la ministre, c’est l’installation de 1000 téléphones portables en prison. C’est la seule mesure proposée, soi-disant pour calmer le jeu en détention. On rêve ! »

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/16/01016-20180116ARTFIG00274-belloubet-face-a-la-colere-des-gardiens.php
http://fr.euronews.com/2018/01/16/prisons-la-greve-des-gardiens-continue

Incapable de prendre la mesure de la détresse du personnel pénitentiaire en grève, menacé de sanctions demandées par l’administration pénitentiaire, quand elle-même se déplace avec une armée de policiers, il est clair qu’elle est mal partie la Nicole pour remettre de l’ordre dans les prisons… de la manière énergique et drastique, attendue par les surveillants et les citoyens.


http://fr.euronews.com/2018/01/25/prisons-11-jours-de-blocage-reprise-des-negociations-apres-les-menaces

Mais voilà que l’inconsciente, incapable de clore ce  dossier brûlant, prétend vouloir sauver les djihadistes français que les Kurdes ou les Syriens condamneraient à mort !

https://www.youtube.com/watch?v=eAo6oiGUd20

https://www.youtube.com/watch?v=eAo6oiGUd20

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/28/01016-20180128ARTFIG00118-si-des-djihadistes-francais-sont-condamnes-a-mort-la-france-interviendra.php

Non mais de quoi je me mêle ?

Que de temps perdu pour des « ex-citoyens » qui ayant renié la France en passant à l’ennemi, devraient être le cadet des soucis du gouvernement, qui a par ailleurs bien d’autres chats à fouetter !

C’est du moins ce que pense une majorité de vrais Français, inquiets pour eux-mêmes et leurs proches, déjà bien assez en danger avec les arrivages incessants d’illégaux accueillis à bras ouverts partout où les préfets collabos les imposent aux citoyens et même aux édiles récalcitrants.

Et qu’est-ce que c’est que cette interférence dans les affaires des juges étrangers ?

Surtout venant d’un clan qui n’a de cesse de culpabiliser les citoyens sur les prétendues « exactions » du colonialisme (occultant totalement les bienfaits réalisés, en plus grand nombre), pensant les obliger ainsi à accepter l’inacceptable invasion de leur pays, en guise de repentance !

A-t-elle seulement conscience, cette gauchiste assumée, qu’en les faisant revenir, ce serait l’ensemble des citoyens qu’elle et les siens, condamneraient à mort à plus ou moins long terme, par attentats meurtriers, voitures folles, égorgements… perpétrés par des « déséquilibrés en manque de repères » ?

J’ai bien peur que oui, parce que bien sûr qu’elle a reçu des instructions dans ce sens, venues d’en haut… mais elle n’a peut-être pas bien saisi qu’il était encore de mise de faire dans la dentelle, et donc ne pas forcément chausser immédiatement les gros sabots, qui risqueraient d’indisposer les sans dents, déjà fortement irrités par des tas de trucs bizarres, annoncés en fanfare (pour remporter l’affaire) mais bien vite retirés de la circulation… pour être remplacés par leur contraire !

En Macronie, que rien ne distingue de l’ex Hollandie, ex-Sarkozie etc., il est toujours urgent de jeter un nouvel os à ronger aux « populos » afin qu’ils ne soient pas trop tentés de fouiner, perturbant ainsi les juteuses magouilles de tout ce « beau monde » de bandits en col blanc, arrivés à leurs postes, pour leur unique avantage, non pour l’amour de la France…

Jusqu’à quand faudra-t-il vous le répéter, pour que vous réagissiez, vous mes compatriotes qui me décevez tant à chaque nouveau scrutin ?

En attendant, une question me tracasse … Nos présidents feraient-il exprès de toujours choisir des ministres de la Justice plus nuls que les précédents ?

Parce que même s’il y a certainement un vivier intéressant en attente, il arrivera bien un jour où il deviendra pratiquement impossible de trouver pire …

D’autant plus qu’avec la Belloubet, on a l’air bien parti pour franchir rapidement la ligne d’arrivée !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

(*) Mises en place pour « resocialiser » les prisonniers, les activités ne sont pas toutes identiques selon les prisons, et à l’inverse des rêveries des idéalistes gauchistes, il me semble que le ras-le-bol des gardiens prouve que le laxisme des autorités n’a rien résolu, bien au contraire.
http://tpe-prison.e-monsite.com/pages/ii-des-contacts-et-des-activites-ayant-pour-but-une-resocialisation-reussie/a-les-differentes-activites-a-l-interieur-de-la-prison.html

Pour ceux qui aiment rigoler, et qui s’amuseront à comparer hier et aujourd’hui…
http://www.justice.gouv.fr/histoire-et-patrimoine-10050/histoire-des-prisons-12128/visite-thematique-les-activites-en-prison-21179.html




Belloubet a tranché : “il ne semble pas absurde d’imaginer que l’on puisse réfléchir” !

C’est la déclaration fracassante de Nicole Belloubet, ministre de la justice qui a eu le sens de la formule sur Télé Matin il y a trois jours.
Et tant pis pour ma remarque sexiste, mais avec une telle réflexion je me demande si Belloubet, Garde des Sceaux, est une fausse blonde ou une vraie sotte.

Car au point où nous en sommes arrivés du blocage des prisons par un personnel pénitentiaire excédé, ne pas voir le fond du problème relève de l’incompétence notoire ou de l’enfumage récurrent de la clique au pouvoir qui refuse de voir l’islam conquérant qui gangrène la société. Et particulièrement les prisons qui sont sous la coupe de musulmans radicalisés.

https://www.youtube.com/watch?v=96dq48QwJ30

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde de dire que le dysfonctionnement des prisons c’est à cause du personnel pénitentiaire en grève.

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde de dire que la protection du personnel passe par des vêtements de sécurité et pas par des armes de défense.

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde d’évaluer la dangerosité des détenus et d’imaginer que l’on puisse réfléchir à la radicalisation en prison.

Rappelons que le blocage des prisons a commencé le 11 janvier dernier à la suite de l’agression à l’arme blanche de trois gardiens de la prison ultra-moderne de Vendin-le-Vieil par un Allemand converti à l’Islam, membre d’Al-Qaida et cerveau des attaques en 2002 contre la synagogue de Djerba en Tunisie.

Et depuis, les agressions ont continué à se multiplier contre les gardiens de prison dont celle du 19 janvier en Corse à Borgo où quatre islamistes ont gravement blessé deux gardiens.

Quand on sait d’après un rapport du sénat que “la proportion de musulmans, dans les grands établissements de l’Ile-de- France ou des villes comme Lyon, Strasbourg, Lille ou Marseille pourrait largement dépasser le taux de 50% des détenus”, https://www.senat.fr/rap/a14-114-8/a14-114-81.pdf

Quand Jack Lang le confirme en disant que deux tiers des incarcérés sont des pratiquants de la belle religion de paix, d’amour et de tolérance,

Quand le ministère de la justice nous révèle que 500 musulmans ou convertis sont emprisonnés pour des affaires liées au terrorisme et 1200 droits communs sont des islamistes radicalisés,

Quand on sait que 60% des djihadistes condamnés pour terrorisme seront libérés à partir de 2020,

On reste interloqué quand la Garde des Sceaux Belloubet, envoyée au charbon par le Président islamo-collabo Macron, s’autorise à penser qu’il “ne semble pas absurde d’imaginer que l’on puisse réfléchir” ?

Là, on imagine bien les gardiens de prison morts de rire, et les citoyens aussi. Avant qu’ils ne se fassent égorger, écraser, rafaler ou exploser. Au nom d’Allah !

Alors il est temps que l’état régalien réserve, sans état d’âme, ses préoccupations humanistes pour la sécurité de ses citoyens qui respectent les lois républicaines.
Et qu’il expulse ceux qui refusent de se soumettre à notre loi républicaine, ceux qui sont en guerre contre nos valeurs, ceux qui sont en guerre contre ce que nous sommes.

Contre les délinquants bi-nationaux de droit commun c’est la suppression des droits sociaux, la déchéance de nationalité et la valise.
Contre les assassins djihadistes qui servent leur idéologie totalitaire coranique d’anéantissement des mécréants, c’est la valise ou le cercueil.

D’autant qu’un détenu ordinaire coûte environ 40.000 euros par an à la collectivité.
Voilà un gisement d’économie compris entre 1,2 et 1,5 milliards d’euros par an.
Sans compter les trente mille places de prisons libérées. Celles qui nous manquent.

Alain Lussay




Surveillants, policiers, profs, toubibs : tous agressés, tous abandonnés…

Pour les matons, le salaire de la peur, c’est 1500 euros par mois.

Pas étonnant que les vocations se fassent rares. Il y a 28 000 agents  dans le système pénitentiaire, il en faudrait 5000 de plus.

Mais sur les 800 candidats inscrits au dernier concours de gardien de prison, seulement 30% se sont présentés, nous dit le Figaro !

Ce pays est totalement à l’abandon.

En 40 ans, l’idéologie soixante-huitarde a littéralement liquidé toute autorité de l’Etat.

La peur est dans le camp des policiers, des profs, des matons, des professions de santé, tous agressés régulièrement sans le moindre soutien de leur hiérarchie.

Et que dire de la justice qui libère chaque jour des multirécidivistes “bien connus des services de police” ?

Un jour viendra où plus personne ne voudra devenir policier, médecin, infirmier, pompier, gardien de prison ou enseignant, tant l’Etat a abandonné ces professions vitales, qui sont les piliers d’une société démocratique avancée.

L’immigration détruit tout. Car avec 66% de musulmans dans nos prisons (dixit Jack Lang), l’insécurité a explosé en parallèle avec la radicalisation des détenus.

La France retourne à la barbarie. Tous nos politiques, sans exception, sont coupables de la désintégration de la nation. Le bateau coule et ils s’en foutent, TOUS !

La droite donneuse de leçons est la pire, puisqu’elle s’est pitoyablement reniée en adoptant le discours bien-pensant de la gauche irresponsable. Elle est indigne de gouverner après tant de trahisons.

De nos jours, un maton risque sa peau en pénétrant dans une cellule, car voilà des décennies que l’Etat a abandonné l’univers carcéral.

Et ce ne sont que mensonges et désinformation diffusés par les élus et les médias.

Il y a en France 114 détenus pour 100 places de prison. Record européen avec la Grèce en matière de densité carcérale.

70 000 détenus pour 60 000 places.

On pourrait donc penser que nos juges sont plus sévères que chez nos voisins et emprisonnent  à tours de bras.  C’est d’ailleurs la défense de nos magistrats qui disent condamner plus sévèrement.

Quelle erreur ! C’est tout le contraire.

Car entre la peine prononcée et la peine exécutée, il y a un abîme d’hypocrisie.

La France est le pays d’Europe qui emprisonne le moins !

98 détenus pour 100 000 habitants, soit deux fois moins que la moyenne européenne. En Grande Bretagne, ce taux est de 148 détenus pour 100 000 habitants.

Et on s’étonne que l’insécurité explose ! Faute de place, on n’incarcère plus.

Car aucun gouvernement n’a voulu construire de prisons. Les 20 000 places promises par Sarkozy, c’était du pipeau électoraliste.

Il s’est souvenu de sa promesse la dernière année de son quinquennat….

Quant à Taubira, elle ne rêvait que de peines alternatives. La prison à domicile avec un bracelet électronique.

Il est tellement plus facile de vider les prisons que d’en construire !

En attendant, nous avons 1600 détenus radicalisés dont 505 incarcérés pour terrorisme, qui règnent sur le système pénitentiaire, comme des caïds de banlieue règnent sur leur quartier.

La révolte des gardiens ne se résume donc pas à des revendications salariales, mais réclame une totale refonte du système.

Il ne peut y avoir de sécurité sans peines dissuasives.

Si la ministre Nicole Belloubet s’imagine qu’elle va calmer le jeu avec un coup de ripolin  superficiel,  elle fait fausse route.

Le ras-le-bol est tel que sur 188 établissements  pénitentiaires, la gronde en touche les deux tiers.

Il faut dire que les agressions s’enchaînent :

Vendin-le Vieil, Mont-de-Marsan, Tarascon, Borgo, Châteauroux…

On décompte 4000 incidents par an, plus de 10 par jour.

Et chaque mois, une dizaine de djihadistes revenant de Syrie ou d’Irak sont incarcérés. Des agneaux…

Voilà où nous ont menés le laxisme judiciaire, la culture de l’excuse, le renoncement permanent et le lavage de cerveaux  quotidien de la propagande tiers-mondiste.

Elus, presse, intellectuels, associations et islamo-gauchistes de tous bords, n’ont qu’une obsession, nous vendre ce poison mortel qu’est la société multiculturelle paradisiaque.

La grande illusion du vivre ensemble nous mène au chaos  généralisé.

L’addiction à la drogue du politiquement correct de nos gouvernants est telle qu’ils en sont venus à nier la responsabilité pénale des djihadistes, considérés comme des malades mentaux.

Une hérésie.

Car comme le dit si bien Naima Rudloff, avocate générale près la cour d’appel de Paris, “psychiatriser, c’est déresponsabiliser”.

“Dans la quasi-totalité des dossiers de terrorisme, les mis en examen sont déclarés responsables de leurs actes, sans atténuation de responsabilité, en raison de l’absence de maladie mentale”.

Par conséquent, c’est de la pure désinformation que d’évoquer une fragilité psychiatrique dès qu’un fou d’Allah fait couler le sang.

Victimiser et déresponsabiliser ceux qui haïssent la France qui les a accueillis, c’est semer les germes de la désintégration de la nation, déjà bien malade.

C’est un terrible avenir que nous préparent les apôtres de la bien-pensance.

Jacques Guillemain




Téléphones fixes dans les cellules, mais rien pour les surveillants

Taubira 2.0 où comment réduire à néant le travail des surveillants dans les prisons françaises !

Olivier Bault sur Réinformation.TV : “La garde des Sceaux la plus catastrophique de la Ve République n’est certes plus là pour faire le bonheur des délinquants et des criminels de la France entière depuis la place Vendôme à Paris, mais puisque “Macron, c’est Hollande en mieux, c’est-à-dire en pire”, il n’y a pas de raison que Nicole Belloubet ne soit pas la digne héritière de Taubira dans le gouvernement constitué par le dauphin de Hollande. Et donc pour “favoriser le maintien des liens familiaux des détenus” dans des prisons françaises où l’anarchie règne à cause de la (politique gauchiste anarcho-libertaire de Taubira 2.0), Mme Belloubet a eu la géniale idée de mettre des téléphones fixes dans toutes les cellules de France (pour faire face à la pénurie et au manque de moyens des prisons).  Aujourd’hui, les détenus continuent de gérer leurs trafics en prison. Vont-ils utiliser le téléphone fixe, sachant que leurs conversations seront écoutées et enregistrées ?

“On peut en douter… Quant à la lutte contre les téléphones portables (illégaux), il faudrait des fouilles systématiques des détenus et des cellules, une surveillance étroite des parloirs et des dispositifs de brouillage. Mais pour cela, il faut (une volonté politique et) des moyens pour les prisons… En 2016, plus de 33.000 téléphones portables avaient été saisis dans les prisons françaises. Au premier trimestre 2017, on en était déjà à 19.000 saisies. Si le déploiement de téléphones fixes ne permet pas de réduire le nombre de téléphones portables dans les prisons, il n’y aura qu’à autoriser dans un deuxième temps la possession de téléphones portables par les détenus, comme le propose la contrôleuse générale des prisons en place depuis 2014, c’est-à-dire la socialiste et ancienne présidente du Syndicat de la magistrature Adeline Hazan. Après le quinquennat Hollande 1.0 “Flamby”, nous voilà avec le quinquennat Hollande 2.0 sur les bras”.

Lu sur dreuz.info : “Prisons : un téléphone va être installé dans chaque cellule ! Il y aura bientôt un téléphone dans chaque cellule des prisons françaises. Cet été, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avait évoqué l’installation de lignes fixes dans les établissements pénitentiaires. Le ministère de la Justice a lancé un appel d’offres pour équiper plus de 50 000 cellules, hors quartier disciplinaire, a révélé le Monde. Pour le ministère de la Justice, il s’agit à la fois de favoriser le maintien des liens familiaux, considéré comme un facteur essentiel de réinsertion, et de désamorcer l’une des principales sources d’incidents en prison, à savoir les trafics de téléphones portables. Depuis l’été 2016, la prison de Montmédy (Meuse) sert de test. Les détenus bénéficient d’un téléphone fixe personnel dans leur cellule. “Il y a des effets très positifs, une baisse des tensions notamment. Une baisse de saisie des portables bien sûr, et c’est plus facile à contrôler“, a expliqué un an après le début de l’expérience le cabinet de la garde des Sceaux”. Takaycroire !

“Il y a quelques mois, Nicole Belloubet avait créé la polémique après une interview dans laquelle elle répondait à l’autorisation des portables en prison en assurant que ce “n’était pas absurde“. Ben voyons !

“Elle avait dû rectifier le tir en précisant qu’elle pensait à l’installation de fixe. Source : Leparisien.fr”

Après les agressions contre les policiers, les agressions contre les surveillants !

Gilles-William Goldnadel, sur le Figaro : “L’agression odieuse dont ont été victimes deux policiers à Champigny-sur-Marne n’est pas une catastrophe naturelle qu’on devrait commenter avec fatalisme, souligne l’avocat à la Cour… après avoir regardé les images écœurantes de cette nuit de la Saint-Sylvestre 2017 à Champigny-sur-Marne… Un lynchage en règle. Une foule hystérique et haineuse en train de se repaître de la douleur des deux jeunes policiers (victimes), dont une femme sur laquelle on s’acharne joyeusement à grands coups de pied au visage. Un lynchage en règle, parce qu’ils sont policiers, inoffensifs et sans défense…

“Si les crapules à capuche n’avaient pas posté avec fierté leurs forfaits sur les réseaux asociaux, la France de ce début de 2018 et ses médias insouciants et satisfaits se seraient congratulés pour l’an neuf, auraient disserté sur des voeux présidentiels qui n’avaient rien de nouveau et auraient souhaité un vivre-ensemble encore plus inclusif et réussi. Mais les images de Champigny-sur-Marne obligent à regarder une réalité autrement plus crue et bien moins convenue… Cette haine sauvage des policiers (et des surveillants  de la pénitentiaire) n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée. Elle est quotidiennement cultivée dans les éprouvettes de la détestation stupide des rebelles (intellos-bobos de gauche) sur canapé.

Ainsi, deux rebelles de salon ont proféré impunément des incriminations antipolicières pour épater la galerie médiatique. Mathieu Kassovitz, tout d’abord, qui gazouillait ainsi sur Twitter : “Bande de bâtards. Vous êtes une belle bande de bon (sic) à [email protected].” Un chroniqueur de Mediapart, Usul, se présente doctement comme “commentateur politique marxiste” et pérore tranquillement ainsi dans une vidéo :

“La démocratie est bloquée, donc essayons de la débloquer (…) et on peut la débloquer en gueulant un bon coup, en sortant dans la rue et en tabassant des flics, enfin en tabassant, c’est un grand mot, vu comment ils sont protégés, c’est pas évident.” Et quand ce ne sont pas des frappes en capuche qui le font à Viry-Châtillon, ce sont ses camarades antifas qui essayent de les brûler vifs à Paris, dans leur voiture. Sacrés antifascistes. Les brûlots des uns qui attisent le feu de la haine des autres… Les jeunes (en capuche et) en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. La justice pénale française, pratiquement paralysée, est guettée par la thrombose. Les peines qu’elle prononce sont très souvent inexécutées.

“À Champigny-sur-Marne, les voyous ne tremblaient pas à la Saint-Sylvestre. Qui a osé décrire l’indicible vérité qui se dissimule derrière le vocable craintif de “jeunes” et qui, pourtant, saute même aux yeux des plus myopes ? Ces jeunes de Champigny-sur-haine sont manifestement issus de l’immigration. De cette immigration ratée, faute d’intégration. De cette immigration sabotée consciencieusement par tous les faux rebelles marxistes ou gauchistes qui auront inoculé non seulement le bacille de la haine des policiers français, mais celui de la France prétendument raciste. Il n’est que temps de questionner le racisme anti-Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers (et dans les prisons)… Taubira a refusé par idéologie de construire des prisons. Il semblerait aujourd’hui que la Chancellerie, de manière moins frontale, ait décidé de poursuivre factuellement “la même politique anticarcérale“.” Et c’est cette mystification idéologique de la “politique anticarcérale” Taubira qui a abouti à la révolte des surveillants de la pénitentiaire.

Thierry Michaud-Nérard




Collomb recrute 1.100 surveillants de prison : tout faux !

Quand comprendront-ils, ces pantins qui nous gouvernent ?

Il est des jours où je désespère de prêcher dans le néant, où je me sens confronté à l’inutilité de poursuivre une tâche qui n’a aucun aboutissement, à constater que des solutions sont présentes, qu’elles peuvent résoudre certains problèmes et qu’elles ne sont même pas envisagées ni, apparemment, envisageables. (Voir mes articles depuis 2014)

Les attaques désormais presque quotidiennes commises contre des surveillants de centres pénitentiaires sont des actes de terrorisme. Elles sont programmées, organisées et ordonnées dans l’objectif de démontrer que les « djihadistes », les « prédicateurs », les « radicalisés » emprisonnés sont les maîtres des lieux et qu’ils y exercent leurs lois et imposent leurs ordres.

Ces criminels sont aidés de l’extérieur par des associations pro-islamistes, tels l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), les Frères Musulmans, le Parti des Indigènes de la République et d’autres encore.

Les surveillants sont désarmés contre eux. D’abord parce qu’ils ne sont pas armés, et c’est heureux, car s’ils l’étaient, leurs armes tomberaient très vite entre les mains des assassins emprisonnés et ce seraient des tueries.

Les surveillants sont donc livrés pieds et poings liés à la sauvagerie, à la bestialité de ces criminels. Ils ont peur et ils ont peur pour leurs familles, à l’extérieur, qui sont souvent menacées de représailles si le « chef » de famille n’exécute pas les ordres des terroristes.

Les agresseurs savent qu’ils ne risquent pas grand-chose, tout au plus quelques semaines d’isoloir ou quelques années à tirer de plus, mais c’est le cadet de leurs soucis : ne sont-ils pas mieux traités dans les prisons françaises que s’ils étaient en liberté sur des territoires en guerre ou entre les mains de leurs ennemis.

Ils ne veulent pas sortir et être puni leur est totalement indifférent. Ils poursuivront les radicalisations qui, pour eux, sont un devoir, bien plus facile à accomplir dans les prisons, auprès des jeunes délinquants qu’on leur livre à domicile.

Il fut une époque pas très lointaine où, relégué au bagne, à Cayenne, un tel agresseur aurait été abattu sur place ou exécuté après un jugement interne et rapide. Il y a eu très peu d’agressions contre les surveillants des bagnes de Saint-Laurent du Maroni et des environs et pourtant il s’agissait de criminels de droit commun, de récidivistes, autrement plus dangereux puisqu’ils savaient qu’ils ne reverraient plus la France, ni leurs proches.

Je prends le risque de me répéter encore une fois : il n’y a pas d’autres solutions que d’éloigner tous ces prédicateurs, ces radicalisés, ces terroristes, ces djihadistes, de les regrouper dans des prisons ou des bagnes hors du territoire français où ils seront sous la surveillance de gardes armés et jugés sur place par des tribunaux d’exception sur comparution immédiate, que cela plaise ou non aux gauchistes ou autres ligues des droits de l’homme, qui se font entendre en France mais totalement muets dans des pays (la Turquie par exemple) où ils auraient quelques bonnes raisons de hurler !

Tant que les pantins qui nous dirigent ne l’auront pas compris, il y aura de plus en plus d’agressions en France et de moins en moins de candidats pour risquer leur vie dans une profession devenue ingrate et dangereuse.

1.100 surveillants recrutés, cela ne changera rien à la situation existante et plus que préoccupante, mais encore faudra-t-il les trouver ces « courageux » volontaires !

Manuel Gomez