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Macron invente la propagande Fake News franco-tunisienne pour se faire mousser

Macron en Algérie a dénoncé la colonisation comme un “crime contre l’humanité” alors que la Guyane considérée comme une île selon sa pensée complexe est un “crime de l’ignorance contre la connaissance“.

Macron en Tunisie avant le Sénégal est encore sorti de son rôle en évoquant la politique intérieure de la France à l’étranger. Le parti de l’anti-France est donc ouvertement soutenu par le parti de l’étranger.

L’actualité de Macron au Sénégal, après la Tunisie, ne peut que provoquer “en même temps” des manifestations de méfiance et de rancœur dans le pays réel lorsque l’on est attaché au respect de la nation.

C’est pourquoi le respect des principes fondamentaux, qui régissent les propos d’un président tenus à l’étranger, impose la reconnaissance de la dimension nationale et patriotique de la mission présidentielle.

Lu sur le salon beige : “L’intox de la Franco-tunisienne rencontrée par hasard” par Macron.

“Alors qu’il se déplaçait à Clermont-Ferrand, Macron a “improvisé” “par hasard” une balade nocturne dans les rues de la ville, croisant “par hasard”, au passage, une badaude. Décrit comme “un hasard”, selon la propagande socialo-populiste du macronnisme vulgaire de type Fake News, l’échange a été filmé par l’Élysée “par hasard” et publié “par hasard” sur Twitter. La Franco-tunisienne, Maha, évoque “par hasard” avec le président son désir de retourner en Tunisie. Ce dernier l’informe justement qu’il compte réaliser “par hasard” un voyage officiel à Tunis la semaine suivante. Macron propose à Maha de l’intégrer à l’équipe, le temps de la visite d’État. Promesse tenue en réalisant le trajet jusqu’à la capitale tunisienne avec l’avion présidentiel !

“Maha remercie alors le président Macron, tout sourire (pour la caméra officielle Fake News), lequel semble pleinement satisfait d’avoir concrétisé “par hasard” le désir franco-tunisien de Maha : “C’est le hasard (Fake News) qui a bien fait les choses. On s’est croisés dans les rues de Clermont-Ferrand”. Sauf qu’en réalité, tout aurait été planifié (pour faire de la propagande Fake News). Le Huffington Post publie des notes qui évoquent un “coup de com’” bien monté. Maha ne serait pas une simple promeneuse franco-tunisienne.

Avant de rencontrer par “hasard” le président, Maha a participé au “Tour de France de l’Égalité” de Schiappa, en compagnie du préfet Billant (avec qui elle se fait photographier). C’est le même Billant, que l’on voit, dans la vidéo Twitter, escorter le président de la République le jour de la rencontre. Lors de son interview pour RCF, Maha revient sur son recrutement par la fondation L’Oreal/Unesco en tant qu’ambassadrice “Pour les filles et la science“… “en faveur de l’éducation des filles dans le monde“. Pour Le Huffpost, c’est le thème “que Macron évoque à chaque déplacement à l’étranger, comme il entend le faire au Sénégal“.

Maha avait préparé son voyage en Tunisie, son profil Facebook en témoigne. Maha affiche une photo sur laquelle elle affirme faire partie du “comité de pilotage de l’université franco-tunisienne pour l’Afrique et la méditerranée“. Quand Macron pop-star invente une nouvelle Fake News pour se faire mousser, la France du pays réel est de plus en plus soumise à des pressions médiatiques politiciennes médiocres et insupportables. Le seul espoir que la vraie France du pays réel peut conserver devant la mystification des médias, c’est-à-dire l’hystérie pro-Macron sur toutes les télés vulgaires en continu, c’est de conserver son sang-froid pour 2019.

Face à la lâcheté des commentateurs politiques sur toutes les télés vulgaires en continu, les citoyens vont devoir réussir à dégager tous ces abuseurs politiciens en 2019, après l’opération franco-tunisienne Fake News, un coup monté avec la nommée Maha, manigancée par LREM dans les rues de Clermont-Ferrand.

L’opération franco-tunisienne est bien une Fake News dont Le Huffpost a pu relever le mensonge et l’invraisemblance. La bêtise de la com’ Fake LREM le dispute à la médiocrité et à la paresse intellectuelle des commentateurs politiques pro-Macron sur tous les médias et sur toutes les télés vulgaires en continu.

Thierry Michaud-Nérard




Qui veut gagner des millions avec Macron en Tunisie et au Sénégal ?

Macron en Tunisie, où vas-tu ? Quand la France est victime du racket fiscal, la démocratie usurpée est à l’épreuve des feux de la discorde. Et Macron distribue des millions d’Euros en confisquant l’argent des autres. Quand la France du pays réel est à l’épreuve du racket fiscal, le pays qui travaille a la gueule de bois.

Les gouvernants LREM sont enivrés par le pouvoir et le peuple est humilié par des épreuves anti-démocratiques insupportables. Quand Macron en voyage joue au jeu généreux du Président du Monde sur le dos des contribuables, la France du pays réel vit au rythme infernal des impôts et des nouvelles taxes.

Quand la vie devient de plus en plus chère, Macron impose l’intolérable du racket fiscal. Les citoyens devront manifester leur contestation anti-Macron par des messages de colère et des affrontements en 2019.

De victime des migrants et du racket fiscal pro-migrants, la France du pays réel devient coupable en attendant une nouvelle poussée de fièvre sociale en France anti-Macron. Pourtant, la Droite Nationale avait expliqué, alors que Macron faisait ses premiers pas de Président du Monde sur le dos des contribuables et contre la démocratie réelle, que la dictature LREM sera tôt ou tard mise à mal. Alors que sa voix de Président du Monde devient de plus en plus inaudible, au même titre que son gouvernement opportuniste LR-PS, le centre de la démocratie usurpée par LREM se reportera inévitablement vers la Droite Nationale.

Tout a changé après Hollande, sauf que rien ne change depuis Macron. Certes, les noms du PS et les visages ont changé, sauf qu’un air de famille du centre mou de type UMPS-UDI Modem des Bayrou-Juppé persiste sur le terrain social-traître des politiciens opportunistes en recherche de postes de reclassement.

Obnubilés par le maintien de leurs rentes de situations, les politiciens opportunistes LREM UMPS-UDI Modem ne raisonnent qu’en termes de postes et d’enjeux électoraux, et leurs discours saturés de promesses ont cessé d’attirer depuis longtemps. Leurs paroles ne peuvent plus duper personne et leur incapacité à gérer les besoins de la population et le respect du bien public se montrent, désormais, d’une manière désolante au vu et au su de tous. C’est pourquoi, en France du pays réel, la contestation populaire ne diminue pas.

Malgré la propagande incessante sur toutes les télés opportunistes et vulgaires, notamment pour les Fake News et pour le bourrage de crâne par la désinformation des télés en continu, Macron est un roi nu.

Il suffit de regarder les hauts faits de Macron Président du Monde qui distribue des millions d’Euros pour observer ce décalage entre le Macron Président du racket fiscal pro-migrants et le peuple de France.

Marcron le Président-politicien de Bercy est un défi majeur vis-à-vis de la démocratie. C’est pourquoi, les citoyens soumis au rythme infernal des impôts et des nouvelles taxes récusent les abuseurs rentiers de la classe politique. Les retraités crient à qui veut les entendre que l’inflation des taxes et de la CSG les a mis KO et que la loi de finances dernièrement votée pour 2018 a fini par les abattre, eux, leur pouvoir d’achat et même leur dignité de retraités pauvres. Et en même temps, LREM est obnubilée par les affaires partisanes.

On sait depuis Macron LREM que de nombreux ministres LR-PS ont rallié le parti LREM au pouvoir par pur et simple opportunisme prévaricateur pour bénéficier des rentes de la république des médiocres.

Macron le Président-politicien de Bercy n’en a pas fini de lutter contre ses propres démons LREM.

L’État Macron-LREM est à l’épreuve du rythme infernal des impôts et des nouvelles taxes, alors que les contestations des retraités pauvres et des gens qui travaillent dur seront la cause de la révolte pour 2019.

Thierry Michaud-Nérard




Tunisie : Allah l’Omniprésent dans la nouvelle constitution

Comme dans une mosquée, l’assemblée constituante tunisienne implore Allah. Et comme dans tout rite religieux, la masse impose l’unanimisme.

 « Au Nom d’Allah… ». C’est bien ainsi que commence la nouvelle constitution tunisienne. Il ne s’agit pas uniquement d’une formule propitiatoire en signe d’allégeance au Maître du monde musulman car le fer est rivé autour du cou tunisien, dès les premières phrases du préambule : « Exprimant l’attachement de notre peuple aux enseignements de l’islam et de ses desseins emprunts d’ouverture de modération, de valeurs humaines et des principes universels des droits de l’Homme, … ». Opium et puis dormez braves gens ! Ce n’est qu’à la dernière phrase de ce préambule qu’on concède quelque pouvoir de délégation au peuple tunisien : « C’est au nom du peuple, avec la baraka [la bénédiction] d’Allah, que nous formulons la présente constitution ».

Idem pour les principes généraux : le 1er § définit la Tunisie comme un État dont la religion est l’islam. C’est comme s’il était une personne physique en état de se prosterner, comme un seul homme, derrière en l’air et front contre terre ! Et de fermer définitivement les menottes ou la prison à ciel ouvert : « Ce paragraphe ne peut être modifié » !

Le § 6 institue l’État comme protecteur de la religion tout en garantissant la liberté de conscience et la libre pratique religieuse. Il engage l’État à diffuser les valeurs de tolérance et de modération, à protéger le sacré et interdire toute atteinte à ce sacré. C’est avouer que Allah-Le-Mastodonte est, tout de même, de constitution fragile. Il a donc besoin de la protection dissuasive de la part des états et des musulmans pour continuer à agiter sa carcasse menaçante qui écrase, verse le sang et dévore aveuglément, à intervalles réguliers, ses victimes et surtout ses propres serviteurs djihadistes.

§ 39 – ...L’État travaille à l’enracinement des nouvelles générations dans leur identité arabo-islamique… et à la diffusion de la culture des droits de l’Homme. Il ne faut pas avoir peur de perpétuer les contradictions dont on veut toujours accabler les Tunisiens : la vipère dans une main et l’antidote dans l’autre.

§ 58 – Tout élu à l’Assemblée nationale prête le serment suivant : « Par Allah le Très-Grand, je jure de servir la patrie avec loyauté, je m’engage à respecter la Constitution et d’être entièrement fidèle à la Tunisie ». Autrement formulé, celles et ceux qui ne croient pas ou ne croiront plus en Allah l’Omnipotent sont contraints soit de faire semblant, soit de faire violence à leur liberté de conscience. De quoi fonder une nation où l’hypocrisie, le faire semblant, est un principe tout à fait constitutionnel.

§ 74 – La candidature à la présidence de la République est un droit de tout électeur et de toute électrice de nationalité tunisienne depuis la naissance dont la religion est l’islam. Autrement dit, chers athées, chers juifs ou chrétiens tunisiens, la Constitution vous garantit que vous êtes plutôt moins égaux que les autres !

Et comme de bien entendu, le § 76 stipule que le Président prête serment par « Le Très-Grand Allah … »

§ 78 – C’est le président qui désigne le Mufti de la République et le congédie. La République tunisienne a donc besoin de fatwas, de décrets religieux dictés par le représentant et le porte-parole d’Allah sur terre. Il est vrai que le Très-Grand Allah n’aligne plus une seule phrase depuis que Mahomet a décrété son musellement. Et pourquoi donc aurait-il encore besoin de se faire humain, de parler aux humains, depuis que Mahomet a définitivement semé sa toute-violence sur terre et séduit tant de candidats aux attentats-suicides et pour servir de charpie à canons ?!

Comme elle a commencé, la nouvelle constitution tunisienne se termine par une invocation : « Allah est Tuteur du succès ». La Constituante qui fait le choix du tutorat du Seigneur de la mort, n’a certainement jamais compris l’avant dernière strophe de l’hymne national que les Tunisiens doivent au poète Ach-Châbbi :

Si un jour le peuple fait le choix de la vie         le Destin se voit obligé de s’y plier

Mais ne soyons pas négatifs et signalons tout de même quelques paragraphes tout à fait remarquables et très prometteurs :

§ 26 – L’Etat protège la dignité de l’être humain et son intégrité physique. Il interdit toute torture physique ou morale. Le crime de torture est imprescriptible.

§46 – L’État s’engage à préserver les droits acquis de la femme et travaille à les consolider et à les développer. L’État garantit l’égalité des chances entre l’homme et la femme pour prendre en charge différentes responsabilités dans tous les domaines. L’État cherche à réaliser la parité entre homme et femme dans les instances élues. L’État prend les mesures nécessaires pour venir à bout de la violence contre les femmes.

Malgré ces critiques, souhaitons aux Tunisiens bonne chance et espérons qu’ils sauront écarter toutes les menaces qui pèsent sur eux, dont Allah-de-Toute-Violence est tout simplement le nom.

Pascal Hilout, né Mohamed

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N.B. La traduction de l’arabe en français des quelques paragraphes cités ici est de l’auteur




Tunisie-Libye-Égypte : c'est l’islam qui structure l’identité de ces pays et de leurs diasporas

Le dimanche 23 octobre 2011, plus de 90% des électeurs Tunisiens se sont rendus aux urnes. Le bon déroulement des élections confirme que la Tunisie a changé d’ère. De ce scrutin libre, le mouvement islamique An-nahda sort largement gagnant (90 sièges sur 217). Je pourrais céder à la facilité et le qualifier d’islamiste. Mais cela ne changerais rien à la quintessence des phénomènes politiques ET religieux fondés sur l’islam.

En effet, les musulmans et ceux que l’on qualifie d’islamistes partagent un socle commun : les mêmes fondamentaux. A tout moment critique, ils sont prêts à faire front commun, à les défendre becs et ongles pour éviter que leur bel et fragile édifice mental, social et politique ne s’effondre. Nous savons d’expérience qu’ils sont tout aussi capables de s’entredéchirer sur le décorum, sur la taille des voiles et sur le diamètre des tunnels de casuistique qui permettent d’échapper à la prison islamique en fournissant le fameux effort d’interprétation.

L'islam étale ses voiles
L'islam étale ses voiles

La plate-forme commune n’est autre que la vénération obséquieuse et indiscutable du Coran et de Mahomet. Ce qui prime donc et ce qui structure l’espace-temps islamique c’est l’inscription de la soumission dans les esprits, dans les corps et dans les regards ; surtout ceux portés sur les femmes que l’islam intimide et soumet afin d’assurer sa mainmise sur les deux moitiés de notre humanité. C’est au quotidien, dans la pratique sociale, que s’articule ce langage commun à TOUS les partis islamiques et à TOUS les musulmans, d’ici et d’ailleurs.

Si l’on ne comprend pas ces mécanismes élémentaires, l’on ne comprendra pas pourquoi l’islam est si prégnant et si présent, aussi bien dans les pays au Nord de l’Afrique que dans les diasporas ; parmi nous. Les ressortissants tunisiens ont massivement privilégié l’orientation rétrograde et religieuse des candidats politiques. Cette diaspora confirme qu’elle ne porte pas dans son cœur ceux qui se réclament ouvertement des valeurs progressistes comme la laïcité, l’émancipation des femmes et, par conséquent, celle de toute la société. Rappelons-nous donc que sur un total de dix-huit élus, les Tunisiens résidant à l’étranger ont choisi neuf qui appartiennent au parti religieux An-nahda. Le plus grand contingent de cette diaspora se trouve en France.

La mort de Kadhafi confirme aussi l’avènement d’un nouveau règne en Libye. Moustapha Abdeljalil, chef du Conseil national de transition, a d’ores et déjà déclaré que la loi islamique, la charia, sera appliquée et qu’elle inspirera les futures lois du pays. Et pour être précis, il a indiqué que la pratique de la polygamie sera effective et que c’est la finance islamique qui sera mise à l’honneur. Quant à l’Égypte, tous les observateurs donnent les Frères musulmans comme futurs leaders de la scène politique.

Voici donc venu le temps d’une expression libre de la volonté des peuples arabes, berbères et coptes dans ces trois pays voisins du Nord de l’Afrique. Cette liberté que personne ne conteste, révèle des choix qui expriment l’identité profonde de la majorité de ces populations. Cette identité est avant tout islamique.

Tout autant que les Coptes, tout autant que les esprits libres et tout autant que les femmes éprises de liberté dans ces contrées et dans nos banlieues, nous devons en prendre acte et en mesurer les conséquences. Bien des personnes ne voulaient pas croire ce que nous écrivions à Riposte Laïque. Mais aujourd’hui, aucun doute n’est possible : l’écrasante majorité de ces pays se nourrit et continuera de se nourrir de la bouillie coranique. C’est la même nourriture que reçoit aussi la diaspora à travers les satellites et à travers des pratiques familiales et sociales, sans parler ce celles qu’enseignent les imams attachés à un tout autre espace-temps que le nôtre. Tout musulman a toujours été dans l’obligation d’avaler cette pitance, d’en faire la louange si ce n’est de la vénérer. Dans tous les pays musulmans, y compris ceux qui prétendent être progressistes, il a toujours été interdit de critiquer ce pain quotidien et même d’en analyser la composition.

Au nom d'Allah - Bismillah
Au nom d'Allah - Bismillah

C’est cela qui explique que l’idéologie dominante n’est autre que l’islam et les prosternations qu’on lui doit ; aussi bien en Afrique du Nord qu’au sein de la diaspora. C’est cela qui explique pourquoi le nouvel homme fort de la Libye déclare nulle et non-avenue toute loi contraire à la charia, à la loi islamique. Belle preuve d’autoritarisme unilatéral qui confirme la velléité des bons musulmans à faire passer sous les fourches caudines du Ciel toute loi élaborée par des élus terrestres. Le Ciel, ici-bas, n’est rien d’autre que ses porte-paroles qui osent commencer leurs discours par le fameux Bismillah « Au nom d’Allah ». C’est cela qui explique pourquoi les Frères musulmans qui parlent toujours au nom d’Allah sont donnés vainqueurs des élections libres en Égypte. Leurs discours d’autorité en imposent du respect à leurs adversaires et à tous les musulmans.

L’islam est bel est bien la charpente qui structure les valeurs et les principes qui régissent les sociétés des pays arabes et nord-africains. Nous savons parfaitement que ces principes coraniques sont liberticides, inégalitaires et belliqueux à souhait. Il serait donc suicidaire pour l’Europe et pour l’Occident de ne pas prendre acte de ces faits et d’en tirer toutes les conséquences.

Tous les peuples ont le droit de disposer d’eux-mêmes ; comme ils l’entendent. Les peuples français et européens aussi ! Les Tunisiens ont massivement choisi des religieux pour rédiger leur constitution et pour les gouverner pendant au moins une année. Ils n’auront qu’à en assumer les conséquences et non pas quitter le navire vers Lampedusa dès les premières difficultés.

Ici en France, nous avons le devoir d’inviter nos concitoyens musulmans à combattre et à se débarrasser au plus vite de cette maladie dont ils sont les premières victimes, transformées en vecteurs-reproducteurs. C’est l’islam qui leur pourrit la vie ainsi qu’à leurs voisins de tous les continents. Il est illusoire de croire que l’islam, dans toutes ses nuances et dans toutes ses lectures possibles et imaginables, serait un jour bien disposé à l’égard de l’Occident judéo-chrétien, de l’Inde aux multiples divinités, de la Russie orthodoxe, de l’Afrique animiste ou chrétienne, de notre culture gréco-romaine et humaniste… Non l’islam s’est toujours défini comme LA religion par excellence, appelée a être adoptée par toute l’humanité. C’est avec un mépris hautain que les autres religions ou convictions sont dédaignées. Au présent comme au passé. Ce qui fait, par exemple, que les musulmans ne se sont jamais intéressés aux civilisations an
ciennes de l’ Égypte et de la Mésopotamie. Ce sont donc Napoléon et les Anglais qui ont donné une mémoire aux Égyptiens. C’est bien l’archéologie européenne qui a redonné vie au passé glorieux de ces contrées du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

L’islam par contre n’aura été qu’une religion narcissique qui s’ auto glorifie en pratiquant la dépréciation et l’amnésie maladive de l’histoire profonde des peuples qu’il a réussi à conquérir et puis à soumettre.

Nous ne pourrons croire à une révolution dans le monde musulman que lorsque les musulmans auront reconnu et regretté l’impérialisme et l’expansionnisme inhérents à leur enseignement religieux et à la pratique historique qu’il a inspirée. Cet expansionnisme au nom de la religion s’est confirmé chez tous les musulmans, aussi bien arabes, berbères, turcs, tatars, pakistanais, soudanais…, j’en passe et des pires. Nous ne croirons par ailleurs à cette révolution que le jour où, sans réserves, les musulmans finiront par reconnaître la charte des Droits humains et renonceront à leur charte des Droits divins qui priment sur ceux des terriens.

En France et en Europe, l’islam doit dégager le plancher pour que les musulmanes et les musulmans s’émancipent et naissent, enfin, à la Liberté. Voilà le langage de vérité qui ne s’encombre pas d’interminables et inutiles palabres au sujet des arabesques coraniques et de leurs mille et une lectures possibles, puisque, justement, elles ne comportaient ni ponctuation ni voyelles.

Il nous faut donc mettre les points sur les i de l’Islam, de l’Immigration et de l’Intégration qui sera toujours Impossible tant que l’islam sera là pour pousser à l’endogamie et nourrira le regroupement clanique et communautaire tout en consolidant l’entre soi de ses ghettos alimentaires, vestimentaires, sexuels, matrimoniaux, commerciaux et sépulcraux.

Islam, dégage !

Après la chute des Pharaons, voilà le slogan émancipateur que je propose

ISLAM, DÉGAGE !

Pascal Hilout, né Mohamed

 




L’Express, Guidère et Kepel au secours de la charia !

Ils se cachaient tous, depuis quelques jours, gênés d’avoir applaudi aux révolutions arabes qui aboutissent, les unes après les autres,  à des dictatures islamistes, l’exemple typique étant Baroin regardant ses chaussures en bredouillant : « je ne suis plus porte-parole du gouvernement » ! Mais toute la crédibilité des journalistes, sociologues et politiques nécessitait un sursaut.
Alors ils ont trouvé qui un porteur d’oreilles d’âne, comme l’a si bien dessiné Pascal Hilout, Mathieu Guidère, (qui intervient aussi sur les chaînes arabes comme Al Jazeera) osant affirmer que « la charia pourrait aider les Libyens », qui la caution de l’Express, qui, dans un époustouflant numéro de claquettes, prétend expliquer aux nuls qu’ils aimeraient que nous soyons que la charia serait une variante et une variable anodine  présente dans tous les pays musulmans, qui n’obligerait pas les musulmans à appliquer la loi islamique, qui  un Kepel jouant au béotien et saluant la démocratie, légitime,  menant à l’islamisme au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes quand c’est en Tunisie mais fustigeant sans pitié le « malaise » des Suisses quand ils refusent des minarets…
C’est une honte. Le relativisme d’un Guidère prétendant que, tout à coup, la Libye se trouverait dépourvue d’hommes, à cause des morts à la guerre et devrait prendre modèle sur un déséquilibré sexuel du Moyen Age ayant imposé la polygamie pour justifier ses pulsions  -et non pour consoler les veuves- est ahurissant. Nous sommes ravis que Mathieu Guidère soit trop jeune pour avoir soufflé à nos arrière-grands-mères restées veuves après la guerre de 14-18 que le modèle mahométain était souverain pour ne pas vieillir seules et pour subir  les délices d’une deuxième, troisième voire quatrième épouse à la maison…. D’ailleurs, en bon idiot utile de l’islamisme, il ose dire que les Libyens viennent de se libérer de la dictature… et donc qu’il ne lui paraît pas pensable qu’ils acceptent une théocratie. Ce monsieur a la mémoire courte, que ce spécialiste de l’islam se penche donc sur l’Iran de Khomeiny…
Bien évidemment, les explications ampoulées de Kepel ne convaincront personne. Il ose même prétendre que la victoire des islamistes serait due à la haine de l’Occident et de l’Europe véhiculée par les alliances de l’ancien régime avec nos sociétés corrompues… Sociétés ayant accueilli à bras ouverts, d’ailleurs, des centaines de milliers de Tunisiens qui auraient été pressés de quitter un régime lié à l’Occident et à l’Europe ? Étrange fonctionnement intellectuel… Étrange comportement…
Quant à l’Express, l’article  la charia expliquée aux nuls, sous la plume de Catherine Gouëset, est lui aussi un monument de mauvaise foi s’appuyant sur de prétendus spécialistes de l’islam qui osent affirmer que dans les pays musulmans les règles coraniques (i. e. la charia) seraient chapeautées par des législations bâties sur le modèle européen. On s’en étrangle d’indignation.
Gageons que les Algériens et Marocains qui se retrouvent en prison pour ne pas avoir fait le ramadan s’étranglent de rire. Gageons que les femmes qui héritent deux fois moins que leur frère outre-Méditerranée s’étranglent de rire. Gageons que les gamines de 10 ans qui demandent  le divorce au Yémen s’étranglent de rire. Gageons que tous les intellectuels algériens qui ont été assassinés pour s’être levés contre le FIS et les préceptes coraniques  s’étranglent de rire dans leurs tombeaux. Gageons que les femmes fouettées pour avoir porté le pantalon s’étranglent de rire. Gageons que ceux qui n’osent pas dire qu’ils se sont convertis au christianisme ou qu’ils sont athées pour rester en vie dans les pays du Maghreb s’étranglent de rire…
Mais tout cela n’est pas grave, pour l’ineffable Catherine Gouëset, ce ne sont que des dégâts collatéraux à l’islam, qui ne touchent que peu de gens (effectivement, on comprend que devant les peines encourues, on soit frileux devant le blasphème et l’adultère dans ces pays de lait et de miel…).
La conclusion de tous ces idiots utiles de l’islamisation de nos pays, c’est qu’il n’y aurait rien à craindre de l’islam et que nous pourrions, ou plutôt nous devrions l’encourager à venir imposer la charia chez nous.
A qui profite le crime ?
Christine Tasin
Résistance républicaine
 




Quand les islamistes tunisiens sont plébiscités à Montreuil…

Il y aurait environ 500000 Tunisiens vivant en France. Ils vont devoir  voter du 20 au 22 octobre pour désigner l’Assemblée constituante qui va présider aux destinées de la nouvelle Tunisie et ils étaient venus écouter les représentants des différents partis le 15 octobre.
Or, c’est Rached Ghannouchi, le chef du mouvement islamiste tunisien, qui a fait un tabac
Inquiétant.
Inquiétant, bien sûr pour la Tunisie de Bourguiba qui s’éloigne de plus en plus, de ses fondamentaux, inquiétant pour les femmes et la liberté d’expression, malgré les efforts de Ghannouchi pour les rassurer (facile de dire qu’il y a des femmes non voilées sur ses listes quand la constitution leur en donne le droit… quand les barbus ont le pouvoir et imposent le voile, c’est une autre histoire). Il n’a pu néanmoins cacher les risques que prendraient la liberté d’expression avec les islamistes au pouvoir en condamnant la chaîne de télévision ayant passé Persépolis, accusée d’avoir “provoqué le peuple”. Limpide. Mais il a été ovationné…
Inquiétant, également, pour la France des Lumières, obligée de constater qu’elle nourrit en son sein des immigrés qui ne partagent pas du tout ses valeurs.  Inquiétant de savoir que, si la gauche l’emportait en 2012, ces mêmes Tunisiens pourraient voter aux élections locales et imposer halal, mosquées, non-mixité et voile dans notre pays. Qu’on se souvienne, pour en tirer les conséquences qui s’imposent, de cette femme agressée lors d’une manifestation en faveur de la révolution tunisienne…
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On rappellera pour la petite histoire que Rached Ghannouchi avait été condamné à la perpétuité en 1987 pour ses activités subversives -préparation d’un coup d’Etat, entre autres- sous Bourguiba (sauvé par la destitution de celui-ci qui se préparait à lui faire un procès pour lequel il risquait la condamnation à mort), qu’il a été condamné par contumace en 1992 à la détention à perpétuité pour complot contre le Président tunisien, que l’entrée du Liban, des États-Unis et de l’Égypte lui sont interdits et qu’il a été expulsé d’Espagne en 1995 pour sa participation à une conférence sur islam et modernité.
Mais la France de Sarkozy, Fillon et Juppé ne voit aucun inconvénient à lui permettre d’entrer en France et d’y faire sa propagande islamiste.
UMP-PS : même combat en faveur de l’islamisation de la France et du remplacement d’une population par une autre.
Qu’on se le dise.
Christine Tasin
Résistance républicaine
 




Revue de presse d'Agnès Bonfillon sur RTL jeudi matin aux alentours de 8h20

Voix émue d’outre tombe pour nous expliquer qu’un reportage a été effectué sur un des bateaux essayant de rallier la Tunisie à l’île de Lampedusa.
Voix dégoulinante de compassion, “ils sont là, une majorité d’hommes, ils sont malades (la houle), la promiscuité est terrible, ils ont froid, faim, ils souhaitent un avenir meilleur, et puis lorsqu’ils arrivent au large de Lampedusa la police maritime fait stopper le bateau qui reste pendant des heures à attendre (la voix tremble) Pourquoi ? Ils espéraient enfin arriver à bon port, non, la police maritime les fait attendre, une jeune femme enceinte pleure, même nos collègues journalistes sont émus aux larmes, que vont-ils devenir ? c’est terrible, ils fuient un pays en plein chaos pour chercher une vie meilleure et voila.”
Voila comme vous dites, Mme Agnès Bonfillon, vous manipulez les auditeurs, de la même façon que vos collègues de la télévision qui, eux, préfèrent ne pas montrer les habitants de Lampedusa qui empêchent justement, la police maritime de les laisser passer, parce qu’ils sont en train de se faire envahir par des gens qui ne fuient rien du tout, la Tunisie n’est pas le chaos que vous semblez décrire compte tenu de la suite de votre revue de presse qui était une fois de plus “sales blancs contre pauvres maghrébins”.
Voila la suite :
Voix ironique et cassante (toujours la même Agnès Bonfillon) : “Pendant ce temps là un couple de retraité Français passe ses vacances dans un hôtel 4 étoiles en Tunisie, pour eux la révolution n’existe pas, nous n’avons presque pas été gênés par les événements, juste une journée pendant laquelle nous sommes restés consignés dans notre chambre, mais il fait beau ! c’est paradisiaque ! Tout est rentré dans l’ordre et puis… les prix sont imbattables 13€ la nuit, ils sont obligés de baisser les prix pour que les touristes reviennent, non ! vraiment ça vaut le coup ! ah, au fait, nous avons été ennuyés par des japonais qui étaient rapatriés en Tunisie à cause du tremblement de terre, oh la la, ils sont bruyants, ils ne prennent pas la file d’attente au resto comme tout le monde, oh, ils sont pénibles”
C’est vous qui êtes pénible Mme Bonfillon, vos deux exemples sont aussi caricaturaux l’un que l’autre, et Vincent Parizo : “oh ! c’est incroyable, (sous entendu) : cette inconscience des bons français bien blanc (sales colons) et les pôvres immigrés qui cherchent un refuge et qui sont rejetés (sale Marine, (Le Pen bien sur) sale marine nationale italienne aussi au passage…. !
Mon cher Cyrano, je ne vous apprends rien en vous disant que si les médias continuent comme ça, ce n’est pas 19 % qu’elle fera Marine, c’est bientôt 30 ou 40 %, sans oublier la Sophie Aram qui sévit sur France Inter je crois, et qui a dans sa chronique traité les électeurs du FN de “gros cons” ! Et ça m’étonnerait qu’elle se retrouve ELLE devant la 17e chambre correctionnelle !
Comment est-ce possible que dans une République comme la France, une … une…. allez on va dire journaliste, mais c’est un trop joli mot pour elle (l’est-elle seulement ? Serai curieuse de voir son cv à cette péronelle) , se permette d’insulter les Français qui ne votent pas comme elle voudrait ? Mais jusqu’où iront-ils dans l’abjection à l’encontre des gens qui ne pensent pas comme eux ! Ils ont tellement la haine et la rage de voir que les idées, qu’ils nous imposent depuis 40 ans, sont en train de voler en éclat, et qu’ils peuvent tout dire, tout faire, rien ne changera, qu’ils ne se rendent même pas compte qu’ils font eux-mêmes leur propre malheur car leur propos précipitent dans les bras du FN ceux qui justement hésitaient encore un peu ! C’est terrible de voir ces gens qui se prennent pour des penseurs humanistes se transformer sous nos yeux en fascistes de première catégorie.
Vous savez Agnès Bonfillon et Sophie Aram l’insulte et la désinformation étaient les méthodes employés par Goebbels et Staline.
Mesdames, le Peuple est souverain, ce qui fait, entre autres, la démocratie, ce sont les urnes et devant les urnes ont s’incline et on se tait.
Au moins merci de vous taire Mesdames.
Catherine Dumont
Lire également :
http://www.mediaslibres.com/tribune/post/2011/03/23/Censure-totale-sur-la-deferlante-migratoire-que-subit-Lampedusa




Revue de presse d’Agnès Bonfillon sur RTL jeudi matin aux alentours de 8h20

Voix émue d’outre tombe pour nous expliquer qu’un reportage a été effectué sur un des bateaux essayant de rallier la Tunisie à l’île de Lampedusa.
Voix dégoulinante de compassion, “ils sont là, une majorité d’hommes, ils sont malades (la houle), la promiscuité est terrible, ils ont froid, faim, ils souhaitent un avenir meilleur, et puis lorsqu’ils arrivent au large de Lampedusa la police maritime fait stopper le bateau qui reste pendant des heures à attendre (la voix tremble) Pourquoi ? Ils espéraient enfin arriver à bon port, non, la police maritime les fait attendre, une jeune femme enceinte pleure, même nos collègues journalistes sont émus aux larmes, que vont-ils devenir ? c’est terrible, ils fuient un pays en plein chaos pour chercher une vie meilleure et voila.”

Voila comme vous dites, Mme Agnès Bonfillon, vous manipulez les auditeurs, de la même façon que vos collègues de la télévision qui, eux, préfèrent ne pas montrer les habitants de Lampedusa qui empêchent justement, la police maritime de les laisser passer, parce qu’ils sont en train de se faire envahir par des gens qui ne fuient rien du tout, la Tunisie n’est pas le chaos que vous semblez décrire compte tenu de la suite de votre revue de presse qui était une fois de plus “sales blancs contre pauvres maghrébins”.

Voila la suite :

Voix ironique et cassante (toujours la même Agnès Bonfillon) : “Pendant ce temps là un couple de retraité Français passe ses vacances dans un hôtel 4 étoiles en Tunisie, pour eux la révolution n’existe pas, nous n’avons presque pas été gênés par les événements, juste une journée pendant laquelle nous sommes restés consignés dans notre chambre, mais il fait beau ! c’est paradisiaque ! Tout est rentré dans l’ordre et puis… les prix sont imbattables 13€ la nuit, ils sont obligés de baisser les prix pour que les touristes reviennent, non ! vraiment ça vaut le coup ! ah, au fait, nous avons été ennuyés par des japonais qui étaient rapatriés en Tunisie à cause du tremblement de terre, oh la la, ils sont bruyants, ils ne prennent pas la file d’attente au resto comme tout le monde, oh, ils sont pénibles”

C’est vous qui êtes pénible Mme Bonfillon, vos deux exemples sont aussi caricaturaux l’un que l’autre, et Vincent Parizo : “oh ! c’est incroyable, (sous entendu) : cette inconscience des bons français bien blanc (sales colons) et les pôvres immigrés qui cherchent un refuge et qui sont rejetés (sale Marine, (Le Pen bien sur) sale marine nationale italienne aussi au passage…. !

Mon cher Cyrano, je ne vous apprends rien en vous disant que si les médias continuent comme ça, ce n’est pas 19 % qu’elle fera Marine, c’est bientôt 30 ou 40 %, sans oublier la Sophie Aram qui sévit sur France Inter je crois, et qui a dans sa chronique traité les électeurs du FN de “gros cons” ! Et ça m’étonnerait qu’elle se retrouve ELLE devant la 17e chambre correctionnelle !

Comment est-ce possible que dans une République comme la France, une … une…. allez on va dire journaliste, mais c’est un trop joli mot pour elle (l’est-elle seulement ? Serai curieuse de voir son cv à cette péronelle) , se permette d’insulter les Français qui ne votent pas comme elle voudrait ? Mais jusqu’où iront-ils dans l’abjection à l’encontre des gens qui ne pensent pas comme eux ! Ils ont tellement la haine et la rage de voir que les idées, qu’ils nous imposent depuis 40 ans, sont en train de voler en éclat, et qu’ils peuvent tout dire, tout faire, rien ne changera, qu’ils ne se rendent même pas compte qu’ils font eux-mêmes leur propre malheur car leur propos précipitent dans les bras du FN ceux qui justement hésitaient encore un peu ! C’est terrible de voir ces gens qui se prennent pour des penseurs humanistes se transformer sous nos yeux en fascistes de première catégorie.

Vous savez Agnès Bonfillon et Sophie Aram l’insulte et la désinformation étaient les méthodes employés par Goebbels et Staline.

Mesdames, le Peuple est souverain, ce qui fait, entre autres, la démocratie, ce sont les urnes et devant les urnes ont s’incline et on se tait.

Au moins merci de vous taire Mesdames.

Catherine Dumont

Lire également :
http://www.mediaslibres.com/tribune/post/2011/03/23/Censure-totale-sur-la-deferlante-migratoire-que-subit-Lampedusa




Et si les fameuses révolutions arabes étaient un coup monté des islamistes…

Et si…
J’en vois déjà certains venir. Ils me demanderont après lecture si je n’ai pas un peu trop d’imagination, et sans doute pour les adeptes de la pensée unique un peu trop de haine. En vérité, je suis généralement d’un naturel circonspect dès lors que j’entends parler de conspiration, quelle qu’elle soit. J’imagine que ce qui suit est l’exception qui confirme la règle. En outre, loin de moi l’idée de louer avec admiration ou regretter les despotes ou autre régimes autoritaires dont je vais parler maintenant. Ce petit préambule me semblait nécessaire avant de développer mon propos.
Nous assistons depuis maintenant 3 mois à des révolutions qualifiées de démocratiques dans le monde arabo-musulman. Tout a commencé en Tunisie, puis le vent de liberté s’est propagé jusqu’en Egypte, avant de rebrousser chemin vers la Libye, pour ne citer que les trois principaux pays touchés le plus par ces vents démocratiques. Et si tout ceci n’était en fait que les prémices nécessaires d’un mouvement de très grande ampleur visant à pousser à l’erreur l’Occident et lui faire commettre l’irréparable ? En effet, nous avons assisté à la chute des principaux pays qui maintenaient à peu près l’islamisme la tête sous l’eau. La Tunisie de Ben Ali, l’Egypte de Moubarak. On peut à juste titre être critique à l’égard de ces régimes. En effet, ils n’étaient en rien démocratiques, telle que nous concevons la démocratie. Mais ils avaient au moins ce mérite de contenir les aspirations islamiques de ses détracteurs. Les islamistes pourraient-ils être en réalité les inspirateurs directs de ces révolutions ? J’ai envie de répondre par la positive, et c’est l’objet de mon propos. Nul n’ignore, mis à part les autruches et les bien-pensants, que l’islam radical n’a qu’un seul but : Etendre l’islam partout dans le monde. C’est une réalité ; il suffit, même si l’on a la flemme de lire, de visionner sur YouTube quelques vidéos pro-islamistes, quelques prêches diffusés dasn nos propres pays, pour s’en rendre compte. Partant de cette réalité, et compte tenu de l’habileté qu’ont les islamistes, eu égard à notre systématique sens de la repentance, de se poser en victimes perpétuelles de l’Occident, ces révolutions seraient une occasion formidable de déstabiliser l’Occident et lui faire faire le mauvais pas qui servirait à légitimer un soulèvement majeur des musulmans dans le monde contre ce même Occident. Et si, au lieu de n’être qu’une occasion, c’était une nécessité programmée ?
Imaginons… Les différentes factions islamistes du Maghreb et du Moyen-Orient se concertent à grande échelle et décident de faire bouger, au nom d’un soi-disant grand élan démocratique, les pays du Maghreb non islamisés. Ces bastions, indispensables à l’offensive des islamistes, sont géographiquement proches de l’Europe et constituent de facto des bases opérationnelles dont ils ont besoin. Mais il s’agit au départ de ne pas revendiquer une révolution verte. Les islamistes savent bien, en effet, que l’Occident se méfie terriblement de l’islamisme et ne se contenterait pas de regarder sans bouger si danger réel se profilait. La Tunisie, petit pays aux enjeux moindres, et n’étant pas aux yeux de l’Occident en proie à une islamisation radicale, servira donc de terrain d’essai. Un étudiant s’immole et donne le départ de la révolution. Il est intéressant au passage de constater qu’on a admis sans se questionner qu’un suicide, marque de fabrique de l’islam combattant, soit reconnu comme le point de départ d’une révolution qu’on nous a présentée comme sociale, démocratique et apolitique. A méditer… La situation économique de la Tunisie, bien qu’on y meurt pas de faim, se prête tout à fait à l’expression d’un ras-le-bol généralisé dans le pays, et la population, agitée par quelques trublions dont la mission est précisément d’exciter les consciences sans forcément donner le “la”, sort dans la rue et réclame le départ de Ben Ali. On connait la suite. Obama, dans un grand élan du coeur, soutient les manifestants et presse Ben Ali de donner du mou. C’est évidemment lui demander l’impossible. Ben Ali n’est pas choisi par hasard pour ce galop d’essai : c’est un homme puissant tant qu’il maintient le pouvoir, mais on sait qu’il peut être couard s’il sent le vent tourner trop fort. Il n’est cependant pas fou, et ne peut se résoudre à envoyer la troupe exécuter en masse tout un peuple en colère devant les caméras du monde entier. Il est autoritaire, mais ce n’est pas un psychopathe. Il ne reste, au bout de quelques semaines, qu’une option à Ben Ali : La fuite. La Tunisie est tombée. On ne peut pas toutefois, si l’on est un peu censé, s’imaginer que seule une foule populaire désorganisée et désarmée a réussi à mettre en fuite, sans concertation préalable ni logistique politique, l’homme fort du pays depuis plus de 23 ans. Ca semble inconcevable sans un appui extérieur. Quoi qu’il en soit, sitôt Ben Ali en fuite, le chef du mouvement islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, rentre en Tunisie après un exil de près de 20 ans. Coincidence ? Dans le même temps, des vagues de jeunes hommes, fuyant sans raison apparente le pays fraichement libéré de son tyran, débarquent par millers en Europe sans qu’on sache vraiment pourquoi. On les laisse plus ou moins rentrer sur nos territoires, malgré tout. Qui sont-ils ? Nul ne le sait.
Le premier bastion-test est tombé entre les mains des islamistes, ne reste plus qu’à se baisser pour s’en emparer. Maintenant que l’on connait la marche à suivre, il faut s’emparer du gros morceau : L’Egypte. C’est, avec une population de 80 millions d’habitants et une frontière avec Israël, un élément clé décisif. De la même manière, et suivant l’impulsion médiatique internationale donnée par la Tunisie, l’Egypte s’embrase. Moubarak est un peu le pendant de Ben Ali. Il n’est ni démocrate, ni sanguinaire. Et evidemment, il n’est pas islamiste. Il est en revanche un peu plus coriace, mais ne fait pas le poids devant l’appui des nations occidentales à exiger de lui qu’il fasse des réformes démocratiques et réponde à l’aspiration de son peuple en colère. Il cherche malgré tout à contenir la révolution, mais tout comme Ben Ali, finit par se résoudre à lacher prise. Seules quelques garanties lui permettent de s’en sortir mieux que l’ex Rais tunisien, mais les conséquences sont les mêmes : Il démissionne et perd de fait tout son pouvoir et son influence. Sitôt le régime de Moubarak renversé, les Européens, la France en tête, commencent à nouer des contacts avec le gouvernement de transition. Alain Juppé se rend au Caire, et commence à dialoguer avec les Frères Musulmans, leur donnant une légitimité qu’ils attendent depuis des décennies. Le pouvoir, confié provisoirement aux militaires, ouvre comme par enchantement le canal de Suez à plusieurs navires iraniens, qui prennent position au large des côtes libanaises. Les islamistes avancent leurs pions.
Il leur faut cependant inciter l’Occident à entrer dans le jeu de manière plus directe et le pousser à la faute. Il était difficile, voire impossible, de faire réagir l’Europe et les Etats-Unis face à des révolutions à peu près pacifiques, et d’ailleurs ce n’était pas souhaité. Ces derniers ne pouvaient qu’observer, au mieux commenter et faire des injonctions distantes, et mise à part la sortie farfelue de Michelle Alliot-Marie, il n’était pas concevable qu’ils entrent en scène. Les islamistes savent bien que pour émouvoir l’Occident, il faut un vrai méchant, du sang et des larmes. Et ça tombe bien, parce qu’ils ont quelqu’un à présenter au casting. Il s’agit bien évidemment du Colonel Kadhafi. Honni des occidentaux, qui pourtant composent et commercent avec lui depuis quatre décennies, il constitue l’épouvantail parfait pour faire bouger l’Occident. Il est pourtant, quoi qu’on en dise, un rempart à l’islamisme. Son pouvoir n’appartient pas à Dieu, mais à lui-même. Un dictateur mégalomane à sa propre solde, un ruffian, un assassin qui n’agit que dans son propre intérêt. Il est bien musulman, tout comme Ben Ali et Moubarak, mais un musulman pas du tout près à mourir pour Allah, comme les deux autres d’ailleurs. Les islamistes savent très bien que Kadhafi ne restera pas les bras croisés si son peuple se révolte. Ils savent même parfaitement qu’il est capable du pire pour se maintenir et que lui, psychopathe avéré, n’hésitera pas à utiliser la manière forte pour réduire au silence ses opposants, aussi nombreux seront-ils. Ils le savent, et ils comptent dessus. Il s’agit donc de le mettre à l’ouvrage. Les islamistes, aidés par le vent dit de démocratie qui souffle fort sur l’Afrique du Nord depuis plusieurs semaines, entraînent le peuple Libyen à se soulever à son tour. Et, exactement comme c’était prévu, Kadhafi ne se laisse pas faire. Le dictateur envoie l’armée mater la révolte, et c’est le bain de sang. Les insurgés, qu’on présente comme de malheureux civils pacifiques, réussissent pourtant, sans aucun moyen apparent, à s’emparer de plusieurs grandes villes : Benghazi, Tobrouk. L’armée régulière de Kadhafi n’est pas une grande armée, certes. Ce n’est pas non plus une armée en carton, et on a du mal à comprendre comment de pauvres hères désarmés et pacifiques puissent faire reculer une armée équipée d’armes pour partie soviétiques, pour partie européennes. C’est pourtant ainsi que les événements se déroulent. On est en droit de se demander si toutefois les insurgés ne bénéficient pas en discretion d’une aide qui n’est pas rendue publique. Toujours est-il que Kadhafi reprend finalement la main, et déploie toutes ses forces. Les insurgés se sont emparés d’armement de l’armée de Kadhafi, armes lourdes, artillerie, même aviation, mais curieusement, ils savent s’en servir, ils disposent de combattants opérationnels et de pilotes. Ils crient “Allah Akbar”, brûlent le livre vert de Kadhafi, brandissent le Coran et crient “Une seule loi, la Charia”. Toujours est-il que malgré leur arsenal, les rebelles reculent devant l’assaut impitoyable des forces restées loyales au Colonel et sont mis en pièces. Cette fois, l’Occident s’agite. Que faire ? Evidemment, l’affect pousse les pays européens à vouloir agir. Les appels à l’aide des malheureux insurgés ne peuvent laisser insensible. Pourtant, l’Europe se perd en discussions, hésite, commissionne. Les islamistes ont besoin d’une étincelle pour faire basculer l’Occident dans le jeu. Un homme décisif, impulsif, bagarreur, si possible en quête de reconnaissance, serait parfait pour l’allumer. Cet homme, ils le trouvent en la personne de Nicolas Sarkozy. Ne reste plus qu’à lui donner le rôle qu’il affectionne, celui de sauveur, et il poussera ses alliés à y aller. Il n’y a pas besoin de le forcer beaucoup pour y parvenir. L’homme nourrit une rancoeur personnelle contre Kadhafi qui a refusé de lui acheter son armement 3 ans plus tôt. Il est au plus mal dans l’opinion publique française, et cette opinion publique est très sensible aux misères des peuples arabo-musulmans. Il est le pion idéal dont ont besoin les islamistes. Ils n’ont même pas besoin de le pousser. Il avance tout seul.
Sarkozy veut toutefois intervenir sous la bannière de l’ONU. Il sait bien qu’une intervention de la France seule sera perçue comme une déclaration de guerre d’un pays à un autre. L’ONU, elle, peut définir les cadres d’une intervention armée légale. Il envoie donc son ministre des Affaires Etrangères à New York pour plaider en faveur du peuple Libyen et arracher l’autorisation d’empêcher Kadhafi de bombarder son peuple. De ces tractations, nait la résolution 1973 autorisant une coalition à définir une zone d’exclusion aérienne et sommer Kadhafi d’arrêter ses agressions contre les civils. Mais Sarkozy sait qu’il doit composer avec l’Union Africaine et la Ligue Arabe, afin de légitimer l’action de l’ONU et ne pas être perçu comme le chef d’une puissance occidentale agressant une nation musulmane. La Ligue Arabe donne son accord de principe, et promet l’intervention de pays arabes dans le cadre de la résolution. L’Union Africaine, elle, décide de tourner le dos à Sarkozy. Peu importe, il reste persuadé que la Ligue Arabe suffit à lui donner les moyens d’agir sans avoir à subir les foudres des pays musulmans. A priori, il n’a pas tort.
Le 19 mars 2011, les premiers avions français survolent la Libye et décident d’engager leurs forces contre des troupes loyalistes au sol. Dans le même temps, plus d’une centaine de missiles Tomahawk américains sont lancés sur la Libye. Kadhafi créé un bouclier humain autour de lui, conscient que pour le tuer, les forces coalisées devront tuer des innocents et ainsi émouvoir l’opinion arabe et créer le ressentiment anti-occidental dont ont besoin les islamistes, et qui lui seul pourra justifier un soulèvement de masse des populations musulmanes de part le monde contre les croisés. A la vérité, Sarkozy et Kadhafi agissent, sans s’en rendre compte, conformément au plan islamiste. Ils sont en effet l’un comme l’autre particulièrement prévisibles. Le lendemain du déclanchement des opérations, coup de théâtre : La Ligue Arabe fait marche arrière. Son secrétaire général, Amr Moussa, déclare que la coalition dépasse le cadre pour lequel il est mandaté par l’ONU et condamne les frappes. Hasard ? Prise de conscience ? On est en droit d’en douter : L’homme, égyptien, est candidat à la présidence de l’Egypte après la chute de Moubarak. Il est aussi un farouche ennemi d’Israël et des Etats-Unis. Suite à sa volte face apparemment programmée, la coalition se retrouve désormais sans aucun appui symbolique arabe. Comme si ça ne suffisait pas, certains pays européens se dissocient officiellement de l’opération et commencent à condamner de concert. Le 20 mars au soir, la coalition ne semble plus faire que de la surenchère militaire en s’engageant frontalement contre l’armée de Kadhafi, bien au delà du cadre de la résolution fixée par l’ONU. On est loin de la simple mise en place de la zone d’exclusion aérienne et de la défense de civils. Tripoli semble être bombardée, mais en vérité le sort de Kadhafi n’est plus d’aucune importance. Nul doute que dans les jours qui suivent, les premiers cadavres civils tués par les bombes occidentales seront donnés en patûre à l’opinion arabe. L’occasion rêvée et planifiée pour les islamistes d’hurler leur colère, de se soulever et commencer une guerre “légitime” contre l’Occident, sur leurs terres comme en les murs de l’Europe. Cette dernière ne pourra pas se défendre. En faisant adopter la résolution 1973 par l’ONU qui l’a autorisée à attaquer un pays souverain aux prises avec des rebelles, elle s’est privée de tout recours à utiliser la force face à une hypothétique insurrection armée en son sein sans s’exposer à des sanctions internationales militaires.
Voilà… Je laisse à chacun le soin d’imaginer la suite. Je n’ai énoncé ici que des faits, et seule ma façon de les relier et d’essayer de les enchainer est sujet à débat. Peut-être que j’affabule. Je l’espère. Je suis toutefois assez convaincu par mon scénario. Il m’apparaît en tout cas plausible. Connaissant ce qu’on connait des islamistes, il ne me paraît ni absurde ni fantaisiste. J’ai du mal à croire que tous ces événements se produisent et s’enchaînent par pure coïncidence d’un pays à un autre sans une centralisation programmée des événements. C’est en tout cas fortement improbable à l’échelle de plusieurs pays. Croire en outre que les réseaux islamistes sont trop désorganisés pour tenter de mettre en oeuvre un tel plan est dangereux et naïf. Ces gens étudient et analysent nos faits et gestes depuis longtemps, de l’extérieur comme de l’intérieur. Ils nous connaissent, savent comment nos dirigeants et nos opinions publiques réagissent, aussi bien qu’ils savent comment faire réagir et manipuler les peuples arabes. Le Jihad commence par là. L’avenir seul nous dira de quoi il retourne vraiment. Je reste d’ici là dubitatif quant à l’instauration de démocraties dans les pays qui se sont révoltés. Je peux même dire que je n’y crois pas. Selon moi, il y a autre chose derrière ces vents dits de démocratie… Ca irait en tout cas bien dans le sens de la Taqîya…
Henri Vaumoret




La chasse à la Brunel est ouverte !

« Après tout, remettons-les dans des bateaux » a dit Mme Chantal Brunel. Scandale général… Horreur…Abomination…Désolation
Oui, et alors ? Elle n’a pas dit : « envoyons-les par le fond ».
Remettre les clandestins dans des bateaux est exactement ce qui devrait être fait à Lampetusa, et ailleurs, ou avant par abordage en mer.
Faire monter tout ces immigrés clandestins dans des cargos, ou des bateaux militaires
(personne n’a dit dans des barcasses, donc pas la peine de couiner ainsi) , et les ramener directement d’où ils viennent, sans autre forme de procès. Après quelques interventions de ce genre, le flot se ralentirait.
Au nom de quel délire l’Europe, et à peu près elle seule au monde, devrait-elle accepter sur son sol toute personne y ayant posé le pied ?
Car c’est en fait ce qui se passe. Un petit contrôle, et hop, dans la nature…ou un passage devant un juge……et hop dans la nature ! Ou alors, à la rigueur, raccompagnement derrière la frontière européenne qu’ils viennent de passer….et retour le lendemain.
S’ils sont trop nombreux, on les relâche car il n’y a pas assez de places dans les centres de rétention. S’ils sont peu nombreux, on les relâche car les billets d’avion coûtent cher. S’il y en a assez pour organiser un charter, on les relâche car les associations hurlent au scandale et à la stigmatisation, allez comprendre pourquoi, alors qu’un grand nombre de Français prennent un charter une fois par an pour partir en vacances
Essayez, vous, d’aller vous installer de façon clandestine n’importe où dans le monde, et de vous y inserrer sur le marché du travail. Vous verrez ce qui vous arrivera.
Essayez de vous installer ainsi en Chine, en Inde, au Japon, en Corée du sud, en Russie, en Turquie, en Iran, en Egypte (où la chasse aux Coptes a recommencé depuis la révolution « démocratique »), en Afrique ou en Amérique latine…ou, tenez, voyons, en Algérie…….
Le Canada et les Etats-Unis (même si les USA sont quelques peu débordés par les clandestins d’Amérique latine) ont des quotas migratoires très précis, par nationalité d’origine et par type de professions.
Ce sont des pays démocratiques pourtant. Mais ils prennent en principe soin de ne pas avoir une immigration d’origine unique, ce qui est quasiment notre cas avec l’immigration d’origine musulmane.
Mais non, l’Europe, et elle seule, doit accepter tout ce qui vient ! Au nom de quoi ? Du délire de nos dirigeants et associations totalement irresponsables ?
C’est économiquement impossible à assumer, et c’est, au plan sociétal, inadmissible.
De quel droit ne peut-on directement ramener chez eux tous ces immigrants clandestins, et sans se poser de questions ?
Si des lois européennes délirantes interdisent de ramener les clandestins directement chez eux, déclarons une clause d’exception pour tout ce qui relève de l’immigration, de la religion, du multiculturalisme, de l’intégration des immigrés, et tous autres domaines nécessaires,
Après tout, la quasi-totalité des pays adhérents à l’union européenne ont des clauses d’exception dans mille et un domaines…. Sauf la France qui accepte toujours toutes les lois décrétées par l’union européenne, sans le consentement de ses citoyens, les yeux grand fermés.
Nous avons accueilli jusqu’à plus soif des immigrés des pays musulmans, et maintenant ils nous crachent à la figure, ils veulent absolument changer les règles de notre civilisation, qui ne leur convient pas.
Mais bon dieu, si cette société ne leur convient pas, ils n’ont qu’à rester chez eux, et y lutter pour construire leurs propres pays. C’est le moment ou jamais.
Quant à nous, nous ne voulons plus accueillir une immigration qui, au final, nous hait, et veut imposer dans notre pays ses règles religieuses inadmissibles.
Et ce n’est que le début du processus ! Après la guerre du voile, des mosquées, des piscines réservées aux femmes, des médecins et chirurgiens exclusivement femmes pour les femmes, de la viande hallal partout, des assistantes ménagères refusant de ramener de la charcuterie ou du porc aux personnes âgées dépendantes, des prières sur le lieu de travail, des prières dans la rue…etc… nous attend l’incessante guérilla des « accomodements raisonnables » ! Demandez aux Québécois ou aux Anglais. Ils adorent !
Et pourtant proportionnellement, il y a moins de musulmans chez eux
Tenez, un exemple entre 10 000 : il est maintenant impossible de prendre le bus à Londres avec un petit chien dans les bras – et même avec un chien d’aveugle – car cela « offense » les musulmans (et tant pis pour les aveugles et les personnes âgées sans voiture pour emmener leur chien chez le vétérinaire). La même bataille a commencé en Espagne.
Il y aura aussi les tribunaux de la charia, pour tout ce qui concerne les affaires familiales des musulmans – au mépris total de notre droit – qui existent déjà en Angleterre……
Aucune illusion à se faire….cette guérilla permanente et sur les sujets les plus ahurissants, nous attend, nous aussi, car il y a finalement coordination internationale informelle de toutes ces revendications ; ou coordination internationale formelle après tout, par les frères musulmans par exemple, qu’adore M. Juppé, notre nouveau ministre des affaires étrangères.
Mais nous, nous n’avons pas le droit d’être « offensés », alors que nous subissons en permanence de véritables viols de conscience.
Nos politiques ne pensent qu’à courtiser le vote musulman…..qui va leur échapper car bientôt se créeront des partis islamo-conservateurs type AKP, ou des partis des frères musulmans, pour continuer la guérilla au niveau directement politique.
Assez !!!!!!!!!!!
Sylvie Montout