Le traitre et le néant, un livre qui confirme l’intégrité du Gal de Villiers
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
Dans le quotidien Le Dauphiné Libéré, la journaliste Julie Palmero présente la rentrée scolaire d’une “famille moyenne ardéchoise”….
Jeudi 2 septembre, pour illustrer la rentrée scolaire dans le département de l’Ardèche, la Journaliste du quotidien régional Le Dauphiné Libéré (dont les éditions locales vont des portes de Genève au Vaucluse) Julie Palmero a suivi le quotidien d’une famille Ardéchoise, les Toilibou, dont quatre des enfants sont scolarisés.
Lors de son immersion au coeur de cette famille ardéchoise, la Journaliste du Dauphiné Libéré Julie Palmero relève : “Mercredi 1er septembre au matin, tout n’est pas encore prêt pour la rentrée mais pas d’inquiétude dans la famille Toilibou, parents et enfants sont rodés. Ils sont sept à la maison et deux grands garçons ont déjà quitté le nid.
“Tasnim, 15 ans, va rentrer en seconde au lycée Boissy-d’Anglas, ce jeudi, en même temps que Fanissi, 9 ans, en CM1, et Naïme, 8 ans, en CE1 à l’école Font-Chevalier. Tasslima, 12 ans, ira en quatrième au collège des Perrières dès ce vendredi. Enfin, Soultoine, 18 ans, retourne à Grenoble pour faire sa rentrée lundi en deuxième année de génie civil. « On est allés acheter les fournitures début août, ce sont les filles qui ont choisi ce dont il y avait besoin », explique Hadhurami, la maman….”.
Il y a 20 ans, le Dauphiné Libéré gratifiait ses lecteurs de reportages sur la Grotte Chauvet, sur la ligne ferroviaire du Mastrou reliant Tournon-sur-Rhône à Lamastre, sur les gorges de Vallon-Pont-d’Arc, d’une interview de l’inspecteur d’académie et du directeur diocésain de l’enseignement catholique à la veille de la rentrée scolaire.
Mais, les équipes du quotidien régional, le DL, ont changé (en bien ?), les familles ardéchoises se sont renouvelées dans “cette Ardèche sauvage”, pour reprendre le slogan de l’office départemental du tourisme.
Croisé devant le restaurant “l’Escabelle” à Annonay, un vieux lecteur, journal à la main, grommelle “Où sont les familles ardéchoises d’hier ?”. Plus dans le Dauphiné Libéré mon cher monsieur ! Dont le Président-directeur-général Christophe Tostain surnommé “le boxeur de ces dames” a été viré et remplacé à la tête du titre par une femme, Noëlle Besnard, ancienne cheffe du service paie (défense de rire….). L’Ardèche, elle aussi, est en train de changer, comme la France entière.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
Dans le même temps, Éric Zemmour a levé “le voile” sur ses intentions pour la présidentielle. Une lettre a été envoyée par Eric à de nombreux maires pour tenter de récolter des parrainages.
À sept mois de la prochaine élection présidentielle, l’éventail des potentiels candidats commence à se restreindre. Après la défection de Laurent Wauquiez à droite, dont les idées fondamentales sont proches de celles d’Eric Zemmour, et dans l’attente d’une primaire écologiste qui fait déjà parler d’elle, c’est au tour d’Éric Zemmour d’abattre ses cartes. Eric Zemmour a en effet adressé un courrier à certains maires afin de récolter les 400 signatures d’élus qui lui manquent encore et qui lui permettront de concourir à l’élection présidentielle 2022.
La droite institutionnelle française a donc trouvé son candidat naturel. C’est Eric Zemmour. Ils l’ont longtemps cherché, ils ne l’avaient jamais trouvé : voilà des années que, sans succès nationaux, Les Républicains espéraient un miracle, en recherchant leur « candidat naturel ». Beaucoup avaient misé sur Laurent Wauquiez, qui vient de jeter l’éponge, le bébé et l’eau du bain.
Alors, pour tous ces jeunes “LR” déçus, choqués par l’immigration de masse que subit la France, le candidat qui s’impose comme une évidence auprès des militants et des électeurs en incarnant un programme susceptible de séduire à nouveau une majorité de Français, est bien Eric Zemmour. Et ils le font savoir haut et fort.
“Alors que Laurent Wauquiez annonce qu’il n’est pas candidat à l’élection présidentielle, nous sommes plus de 100 jeunes militants et sympathisants Les Républicains à souhaiter que le parti soutienne Éric Zemmour. À nos yeux de jeunes adhérents et sympathisants du parti, les têtes d’affiche de l’appareil font pâle figure à côté de l’intellectuel et écrivain Éric Zemmour, dont le courage, la pensée, le positionnement et le talent sont les plus à même de faire triompher nos idées” écrivent ces jeunes des Républicains dans l’hebdomadaire Le Point.
Ils ajoutent : “Pour nous qui déplorons depuis longtemps le long déclin de notre famille politique, l’espoir renaît enfin. Il y a des années que la droite française navigue à vue, faute d’avoir su faire émerger de ses rangs un dirigeant capable d’enclencher une dynamique intellectuelle, susceptible de répondre aux angoisse et aux attentes des français. C’est un navire sans capitaine, à l’équipage déboussolé. Un paradoxe alors que les crises successives rencontrées ces dernières années par la France nous ont donné raison sur quasiment tous les points : crise identitaire, désindustrialisation, péril islamiste, affaiblissement du niveau scolaire, etc
“Sur tous ces sujets, les militants (N.D.L.R. du mouvement Les Républicains), de nombreux élus locaux des Républicains, et les intellectuels qui gravitent autour de notre mouvement ont su dénoncer les périls qui menacent le Pays et proposer des solutions pour sortir de ces périlleux récifs” ajoute ce collectif de jeunes LR.
“En bref, les Français n’ont probablement jamais été aussi à droite. Mais où est la droite ?
Nous ne pouvons plus attendre. En quelques années, Les Républicains ont perdu les trois quarts de leurs adhérents. Malgré quelques victoires d’élus locaux, le parti ne parvient pas à créer une synergie nationale. Et l’avenir est sombre : dans tous les sondages qui s’accumulent à l’approche de la prochaine élection présidentielle, le parti fait figure de repoussoir chez les jeunes et les actifs, se muant progressivement en « parti de boomers », circonscrit à une portion congrue de l’électorat, fidèle mais âgée.
“En face, Éric Zemmour rassemble chaque semaine plus de militants. Il s’agit de 1 800 jeunes enthousiastes, plein d’espoir, ayant envie de se battre pour lui et de gagner pour la France. Nombreux sont ceux qui viennent de LR, de l’UNI ou d’ailleurs et qui ont été déçus par la pauvreté des perspectives de leur parti.”
Lancé au lendemain du renoncement de Laurent Wauquiez à l’élection présidentielle de 2022 et à la veille de la déclaration de candidature d’Eric Zemmour à la même élection présidentielle de 2022, cet appel des jeunes LR constitue le début d’un mouvement fédérateur, comme “l’appel de Cochin” (1) de Jacques Chirac le 6 décembre 1978.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
(1) Selon Wikipedia, l’appel de Cochin est un texte communiqué, le 6 décembre 1978, par Jacques Chirac, alors maire de Paris, président du Rassemblement pour la République, et ancien Premier ministre.
Cet appel est signé de Jacques Chirac, mais on en attribue habituellement la paternité réelle aux deux plus proches conseillers de celui-ci à l’époque, Pierre Juillet et Marie-France Garaud.
Sa publication entrait dans le cadre de la « précampagne » du RPR pour les élections européennes de juin 1979, premières élections au suffrage universel du Parlement européen, jusque-là désigné par les Parlements nationaux des pays membres de la Communauté économique européenne.
Ce texte dénonçait notamment la politique « antinationale » de l’Europe fédérale d’un « parti de l’étranger », soit, dans l’esprit du signataire, l’Union pour la démocratie française, parti de centre-droit créé le 1er février 1978 à l’initiative de Valéry Giscard d’Estaing, alors président de la République.
Ce nom d’« appel de Cochin » a été donné à ce communiqué aussitôt après sa publication, en raison des circonstances dans lesquelles il a été élaboré. Jacques Chirac avait en effet été victime, le 26 novembre précédent, d’un accident de la route en Corrèze, département dont il était député de la 3e circonscription et président du Conseil général, et avait aussitôt été transporté à Paris, à l’hôpital Cochin, pour y recevoir les soins nécessités par ses blessures.
Plusieurs auteurs y voient une référence claire à l’appel du 18 juin, lié à l’héritage gaulliste du parti, Giscard d’Estaing étant ainsi allusivement comparé au maréchal Pétain et sa politique au régime de Vichy.
Philippe Lamy estime que Georges Albertini « n’est pas étranger » à l’appel.
La route de l’Elysée semble bien ouverte pour notre ami Eric Zemmour, même si certains malfaisants essayent de le faire “trébucher”. Première victoire : Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel
Après les auteurs à Succès qui quittent l’éditeur félon Albin Michel, c’est au tour de l’éditrice et directrice éditoriale des collections Lise Boëll (1) de rompre avec cette grosse maison d’édition ayant perdu ses repères déontologiques. Président d’Albin Michel et proche ami d’Emmanuel Macron, Gilles Haéri doit aujourd’hui méditer cet adage populaire “un malheur n’arrive jamais seul”.
Comme l’a fait Sophie Roselli, cheffe du pôle enquête de la Tribune de Genève, par solidarité pour son rédacteur en chef Pierre Ruetschi, viré comme un “malpropre” à l’automne 2018, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction des éditions Albin Michel annonce son départ par solidarité avec Eric Zemmour, trahi par la maison d’édition où elle officie. Elle y travaillait depuis une vingtaine d’années. Une des rares photos de la discrète, mais redoutablement efficace, Lise Boëll, 54 ans, âme des éditions Albin Michel depuis une vingtaine d’années.
Rappelons les faits marquants ayant provoqué ces réactions en chaîne. Tout a commencé le mardi 29 juin par un communiqué d’Albin Michel. Gilles Haéri, le président de la maison d’édition, annonçait qu’il ne publierait pas le prochain livre d’Éric Zemmour « La France n’a pas dit son dernier mot » dont le manuscrit, presque terminé, était prévu pour une sortie en septembre. La raison évoquée? La probable candidature de l’auteur à la présidentielle. Suite à de probables pressions de l’Elysée, Gilles Haéri étant un proche d’Emmanuel Macron.
Ce jour là, Eric Zemmour est lâchement abandonné par son éditeur Albin Michel. Ce dernier n’imagine pas l’effet de souffle qui va suivre cette “rupture”.
Manuscrit refusé par Albin Michel, la machine Zemmour grippée ?
Certains auteurs à succès, à l’image de Philippe de Villiers (dont les ouvrages à succès étaient toujours publiés chez Albin Michel) ont décidé de cesser leur collaboration avec l’éditeur.
Mais, le plus gros coup dur pour Albin Michel est le départ d’un de ses piliers, Lise Boëll, directrice éditoriale non-fiction et éditrice de l’auteur Eric Zemmour (également chroniqueur au Figaro). Elle annonce qu’elle quitte la maison d’édition, par solidarité avec l’écrivain.
Après l’ancien ministre Philippe de Villiers qui a claqué la porte du président d’Albin Michel, la réaction en chaîne amène donc Lise Boëll, l’éditrice de ces auteurs à grand succès, à quitter elle aussi la maison d’édition.
Lise Boëll, c’est l’âme des éditions Albin Michel. Celle qui a la confiance des grands auteurs. Difficile de confondre Eric Zemmour avec Calimero ou Philippe de Villiers avec Dora l’exploratrice ! Il existe toutefois un point commun entre ces auteurs à succès et ces héros enfantins : Lise Boëll, leur éditrice chez Albin Michel.
Selon Lise Boëll, “Cette décision s’inscrit dans une longue suite de péripéties internes”. C’est Lise Boëll, qui travaillait dans les essais politiques, après avoir été une éditrice à succès du secteur jeunesse, qui fut missionnée par Francis Esmenard, PDG d’Albin Michel et Richard Ducousset, directeur des éditions Albin Michel, pour récupérer Éric Zemmour après le succès de Mélancolie française (Fayard). En 2014, Le Suicide français paraît donc chez Albin Michel avec l’effet de souffle que l’on sait.
Tout s’est accéléré en 2019, avec l’arrivée de Gilles Haéri, le nouveau directeur de la maison Albin Michel. Cet ancien directeur de Flammarion, pas forcément à l’aise avec la part populaire et tonitruante d’une maison qui publia en son temps Jean Montaldo, conduit à l’isolement de Lise Boëll, de plus en plus marginalisée.
Pourtant les résultats sont là. Avec ses “mains d’or”, Lise Boëll publie le professeur David Khayat, le docteur Frédéric Saldmann, Philippe de Villiers… tous des best-sellers. Mais elle doit avaler de plus en plus de couleuvres. Cela se poursuit avec le livre du Cardinal Barbarin, dont le projet a été «stoppé» net, par la direction, du fait de «vives oppositions internes». Et probablement externes ! La décision de Gilles Haéri de ne pas publier Éric Zemmour ne pouvait que provoquer le départ de Lise Boëll. «C’est un drame de la liberté d’expression et d’édition», a expliqué Lise Boëll à un proche Reste à savoir où l’éditrice, qui reste associée à d’énormes succès d’édition, trouvera refuge: dans un grand groupe ou à son compte ?
Eric Zemmour a contourné et marginalisé Albin Michel
Selon une indiscrétion confirmée par notre ami Eric Zemmour, le nouveau livre du probable candidat à la présidentielle de 2022, intitulé “La France n’a pas dit son dernier mot”, sortira dans les librairies le 15 septembre, Eric Zemmour confirme qu’il a décidé d’auto-éditer son livre.
https://ripostelaique.com/eric-zemmour-publiera-son-nouveau-livre-le-15-septembre.html
Eric Zemmour, censuré par Albin Michel et la quasi totalité des éditeurs français, a réussi à rebondir et à contourner l’odieuse censure du monde de l’édition. Il publiera bien son nouveau livre le 15 septembre. Du coup, Eric Zemmour impose son timing et une parution en septembre, à la veille d’une période électorale sensible à laquelle il est susceptible de participer, à la plus grande satisfaction de nombreux français.
L’ouvrage « La France n’a pas dit son dernier mot » paraîtra le 15 septembre et reprend la suite du « Suicide français » paru en 2014.
Dans ce nouveau livre, Eric Zemmour aborde divers sujets politiques et sociétaux ciblés, en revenant par exemple sur l’islam ou la théorie du grand remplacement.
(1) Lise Boëll est une éditrice française née le 25 novembre 1966 à Paris.
Dans les années 2000, elle édite en France pour les éditions Albin Michel Dora l’exploratrice qui constitue un immense succès de librairie pour la maison d’édition.
Chez Albin Michel, elle est l’éditrice de l’écrivain à succès Éric Zemmour et de l’homme politique Philippe de Villiers.
Elle a été jusqu’en juillet 2021 directrice éditoriale non fiction aux éditions Albin Michel.
Après avoir été lâchement abandonné par son éditeur Albin Michel, Eric Zemmour ne s’est pas découragé pour autant. Selon une indiscrétion de l’entourage d’Eric Zemmour, l’écrivain a décidé d’auto-éditer son livre qui devrait s’intituler « La France n’a pas dit son dernier mot ».
L’ouvrage paraîtra le 15 septembre et reprend la suite du « Suicide français » paru en 2014. Dans ce nouveau livre, Eric Zemmour abordera divers sujets politiques et sociétaux ciblés, en revenant par exemple sur l’islam ou la théorie du grand remplacement.
François Grosdidier (LR), ancien député et sénateur, maire de Metz et président de Metz Métropole, lance les festivités de l’Aïd Al Adha le 20 juillet dernier sur le stade de football avec le grand imam de Metz.
François Grosdidier (LR), maire de Metz et président de Metz Métropole, est un proche du grand imam de Metz. D’où sa proposition d’aide pour l’édification d’une mosquée géante à Metz.
À force de rester au soleil durant la canicule, le maire LR de Metz François Grosdidier a eu une vision. Allah lui est apparu dans le ciel de Metz. De ces apparitions qui ne surviennent qu’une fois dans une vie. Aussitôt, en lançant les festivités de l’Aïd Al Adha sur le stade de football avec le grand imam de Metz, François Grosdidier (LR), ancien député et sénateur, maire de Metz et président de Metz Métropole, a décidé d’accélérer la construction d’une méga mosquée à Metz.
http://www.valeursactuelles.com/regions/grand-est/moselle/metz/faits-divers/le-maire-lr-de-metz-appelle-a-se-mobilier-pour-la-construction-de-la-grande-mosquee/
Ce projet d’édifice géant, avec construction d’un bâtiment de 5 649 m2 au sol, sur 11 843 m2 de terrain, doté d’un musée de l’immigration mais aussi d’un institut du monde arabe, avec minaret de 34 mètres de hauteur, capable d’accueillir 1 500 musulmans en une seule séance de prière, se veut le concurrent de la plus grande mosquée d’Europe qui sera édifiée à Strasbourg. Ces éléments techniques nous sont confirmés par une fonctionnaire territoriale des services techniques de la mairie de Metz, jointe par téléphone ce lundi. Elle ajoute : “François Grosdidier a bien signé le permis de construire de la mosquée voici plusieurs mois”.
Bien sûr, la Moselle nous a habitués à des dépenses pharaoniques en faveur des musulmans et des migrants, sans aucun retour sur investissement.
Moselle : combien coûtent les migrants dans ce département ?
Le maire François Grosdidier a franchi la ligne rouge à plusieurs reprises
Avant cette “transe religieuse”, François Grosdidier, proche du président Jacques Chirac, était plus connu pour ses démêlés avec la justice, comme bon client des juges d’instruction. Condamné pour détournement de biens publics à 6 000 € d’amende en 2015, François Grosdidier, très souvent impliqué dans des affaires judiciaires, a été mis en examen pour « détournement de fonds publics » le 19 avril 2021.
“Parmi les multiples procédures ayant visé François Grosdidier, on relève, lorsqu’il était sénateur, le financement de frais de défense dans une procédure judiciaire avec le Grand Orient de France (2), ainsi qu’un contrat de location avec option d’achat d’une voiture”, nous confie au téléphone, ce lundi 26 juillet, un commissaire de police messin, spécialisé dans les affaires financières et qui préfère conserver l’anonymat. “Car l’homme a des relations importantes” ajoute ce grand flic spécialisé dans la délinquance financière.
Selon le policier Messin, “François Grosdidier a également été condamné pour complicité de prise illégale d’intérêt, trois de ses adjoints n’ayant pas quitté la séance du conseil municipal lors du vote de subventions dans des associations à but non lucratif où l’un de leurs proches avait un intérêt… Il y a bien d’autres affaires. En février 2013, Philippe Mousnier, proche du député de droite Jean-Louis Masson, a déposé plainte contre François Grosdidier après l’avoir mis en cause dans le cadre d’un conflit d’intérêt dans l’utilisation de sa réserve parlementaire. En effet, alors qu’il était député, il a utilisé celle-ci pour financer l’association Valeur Écologie, qu’il dirige. Il a fait verser à cette association respectivement 100 000 € en 2009 et 60 000 € en 2011. En février 2019, François Grosdidier est mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » et « détournements de fonds publics »…”. Bref, un “honnête homme”.
La méga moquée de Metz sera-t-elle subventionnée par la mairie ?
Du côté de Metz, on redoute que le maire orchestre et fasse voter une subvention municipale pour la construction de la méga mosquée. Tant l’engouement du maire est visible pour cette mosquée géante, qui fera “la nique” à celle de Strasbourg.
Le maire Grosdidier se veut l’accélérateur du projet. «J’ai appelé à une mobilisation à la rentrée pour réussir l’entreprise de construction de la grande mosquée, absolument indispensable pour que le culte soit pratiqué dans des conditions dignes et sûres», a ainsi écrit le maire de Metz sur Facebook, narrant son déplacement pour l’Aïd.
Une fois sortie de terre, la grande mosquée de Metz deviendrait la concurrente de la méga mosquée de Strasbourg (plus grande mosquée d’Europe, plus grande que celle de Genève (3)…), dans une région régie par le concordat.
À la différence d’autres régions de France, la Moselle sombre dans l’islamisme public.
Ardèche : le maire d’Annonay interdit l’islamiste intégriste Omar Erkat
Metz et Strasbourg en concurrence pour la plus grande mosquée d’Europe
On croit rêver. Après la course à la construction des supermarchés et des hypermarchés, voici le marathon de constructions des hypermosquées. Le conseil municipal de Strasbourg a voté le 22 mars dernier, une délibération approuvant “le principe d’une subvention” de 2,5 millions euros pour la construction de la mosquée Eyyub Sultan dont le budget total est de 32 millions d’euros.
https://www.bvoltaire.fr/y-a-deja-22-mosquees-autour-de-strasbourg-2-grandes-mosquees-strasbourg/
Les imams des mosquées sont désormais formés à nos frais
Les deux mégas mosquées de Metz et de Strasbourg sont indissociables avec les formations d’imams payées par l’état à l’université de Strasbourg. L’idée a été lancée en 2015 par le président de l’Unistra Alain Beretz et amplifiée, dans sa réalisation par son successeur à la présidence, le théologien et prêtre catholique Michel Deneken (1). On voit que le principe de la laïcité est respecté dans cette énorme machine islamogauchiste qu’est l’Unistra.
Islam à l'université de Strasbourg : la drôle de potion du Dr Beretz
L’université de Strasbourg a ainsi créé deux masters d’Islamologie, droit et gestion. On n’allait pas s’arrêter là. Les mêmes islamogauchistes ont ouvert une licence Histoire et civilisation des mondes musulmans. Cette licence, qui vise à l’étude du fait musulman, accueillera une centaine d’étudiants à la rentrée 2021, qui auraient été “choisis entre 200 candidats dont de nombreux étrangers” précise une fonctionnaire administrative de l’université.
L’actuel président des universités de Strasbourg, le prêtre catholique Michel Deneken ajoute : “L’Université de Strasbourg se devait d’être au rendez-vous”, en regrettant certaines frilosités. Il salue “le doyen de la faculté d’histoire qui permet à cet enseignement de s’inscrire dans une démarche universitaire. Les enseignants ne sont pas forcément de confession musulmane.”
Aux cris de “Deneken, marchand de singes”, le président Michel Deneken (au centre de la photo) a été récemment interpellé par de nombreux étudiants de l’université de Strasbourg.
La première universitaire recrutée pour la formation des imams est Anne Sylvie Boisliveau, chercheuse, spécialiste du Coran. “Il n’y a pas d’enseignement sans recherche. Cela pose la question du rapport aux textes fondateurs et de leur interprétation par rapport à leur époque. Le Coran n’est ni au-dessous, ni au-dessus de la Bible” , ajoute, avec conviction Michel Deneken, prêtre catholique dans le diocèse de Toul et professeur de dogmatique à l’Unistra.
D’ailleurs, l’Université Al-Azhar du Caire a initié des collaborations scientifiques avec l’Institut catholique de Paris et avec l’université de Strasbourg. Selon le président de l’Unistra Michel Deneken : “si l’État décidait que la formation intellectuelle des imams, comme pour les prêtres et les pasteurs, devait se faire à l’université, ce serait un service rendu à l’islam”. Ben voyons.
Tous ces engagements publics en faveur de l’islam ont un coût et sont payés par les contribuables de la Moselle, des départements alsaciens et avec une partie des impôts de tous les français. Même ceux qui résident en dehors de la zone du concordat.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
(1) Selon le site Wikipedia, Michel Deneken, né le 17 août 1957 à Strasbourg, est un prêtre catholique et théologien français, président de l’université de Strasbourg depuis le 13 décembre 2016.
Michel Deneken fait ses études secondaires au lycée Kléber et ses études de théologie et de germanistique à l’université des sciences humaines de Strasbourg. Il soutient sa thèse de théologie catholique en 1986. Il devient maître de conférences en 1989. Habilité à diriger des recherches en 1997, il est nommé professeur des universités en 2003.
Michel Deneken est doyen de la Faculté de théologie catholique de Strasbourg de 2001 à 2009, mais aussi directeur du Service de l’action culturelle de l’Université Strasbourg II de 2002 à 2007. En 2008, l’Université Strasbourg II fusionne avec les universités I et III de la ville
Vice-président de l’université de Strasbourg, il en devient le président en succédant à Alain Beretz le 13 décembre 2016. Cette nomination est approuvée par l’AFGES Les étudiant-e-s d’Alsace, majoritaire, pour qui sa qualité de prêtre « n’a jamais été un problème ». Il est également soutenu par l’UNI locale. Mais le SNESUP-FSU qui considère qu’il y a entorse au principe de laïcité. Il est aussi critiqué par l’UNEF locale, allié aux EMF, ainsi que par l’UEC locale qui dénoncent sa supposée proximité avec le Vatican. En décembre 2017, le tribunal administratif de Strasbourg rejette cette requête. En juin 2018, le Conseil d’État confirme qu’un prêtre peut présider une université.
(2) Le Grand Orient de France (abrégé GODF ou simplement GO) est la plus ancienne obédience maçonnique française et la plus importante d’Europe continentale. Il est né en 1773 d’une profonde transformation de la première Grande Loge de France.
Selon Wikipedia, le Grand Orient de France occupe une position originale dans la franc-maçonnerie mondiale sur trois points particuliers, que sont : son refus d’exiger une croyance quelconque, en particulier en un dieu, son attachement à la laïcité et ses valeurs républicaines et sociales. Les membres du Grand Orient de France déclarent que “la recherche du progrès est un moteur dans leurs réflexions et leurs actions”, au point que ce principe figure dans leur constitution. Ils se déclarent attachés à la liberté absolue de conscience, qu’ils considèrent comme garante, avec la laïcité, des institutions. Ainsi, quiconque professe des opinions racistes, xénophobes ou bien se déclare partisan de régimes totalitaires ne peut être reçu au Grand Orient de France.
Le GODF est généralement classé à gauche et la plupart de ses grands maîtres dans l’époque contemporaine ont été membres du Parti socialiste. Par ailleurs, il interdit à ses membres d’appartenir au Front national, mais également à des groupements appelant à la discrimination, la haine raciale, à des mouvements sectaires ou plus largement à des groupes visant à détruire ou aliéner l’être humain.
(3) https://www.24heures.ch/suisse/suisse-romande/fiche-s-agent-securite-mosquee-reagit/story/11731967
La mosquée de Genève est située au chemin Colladon, dans le quartier du Petit-Saconnex, près des organisations internationales à Genève. C’est la plus grande mosquée de Suisse romande.
Selon Wikipedia, Deux imams de la mosquée de Genève font l’objet d’une surveillance par la direction générale de la Sécurité intérieure française où ils sont fichés « S ». Ces deux français convertis, résidant à Ferney-Voltaire dans le département de l’Ain, voient leurs domiciles perquisitionnés en novembre 2015 à la suite de la découverte du numéro de téléphone de l’un d’eux figurant sept fois dans la liste des appels entrants et sortants du téléphone de Mohammed Merah.
Avant de travailler pour la mosquée de Genève, l’un d’eux a fait ses études en Arabie saoudite ; il a également passé du temps en Jordanie. Lors d’une interview télévisée, à la question de savoir si ce dernier est pour ou contre la lapidation, il répond « joker ». Au printemps 2015, deux jeunes fidèles de la mosquée partent faire le djihad en Syrie.
Contrairement à la France où les chefs des Frères musulmans prolifèrent (à croire que notre pays en fait l’élevage)
http://www.lareference-paris.com/485
la confrérie des Frères musulmans (1) était déjà dans le collimateur du Gouvernement autrichien depuis l’attentat de Vienne qui a fait quatre morts et 23 blessés, le 2 novembre 2020. Cette “secte islamiste” est désormais inscrite, depuis la fin de la semaine dernière (8 juillet 2021), sur la liste noire des organisations liées à la « criminalité à motivation religieuse ». Tous ses slogans et sa littérature sont frappés d’interdiction. Selon les dispositions de cette nouvelle loi antiterroriste autrichienne, toute détention ou propagation de slogans ou de documents faisant l’apologie des groupes inscrits sur la liste noire sera punie d’une amende de 4 000 euros et/ou d’une peine d’emprisonnement d’un mois. En cas de récidive, les condamnations pourront aller jusqu’à 10 000 euros d’amende et six mois de prison.
http://www.marianne.net/lautriche-premier-pays-europeen-a-interdire-les-freres-musulmans
Selon nos confrères de Marianne, Vienne a aussitôt été accusée sur les sites dédiés aux Frères musulmans et à l’organisation turque des Millî Görüs d’« alimenter l’islamophobie » et de « multiplier les attaques contre les musulmans ». Pourtant, l’Autriche reste le seul pays d’Europe à accorder un statut officiel à l’islam. En outre, le pays a longtemps été l’un des principaux fiefs des Frères musulmans et l’une des plaques tournantes financières de l’islamisme politique sur le Vieux continent.
http://www.marianne.net/culture/les-freres-musulmans-vivent-dans-le-complot
“Plus judicieuse que la simple interdiction de groupes ou d’associations, lesquels se reconstituent aussitôt sous de nouveaux intitulés, cette stratégie autrichienne dite de « l’interdiction des symboles » s’avère très efficace”, selon nos confrères de la rédaction de Marianne. D’après le ministre de l’Intérieur, Karl Nehammer (2), plus de 27 000 infractions ont été constatées depuis sa mise en place au lendemain des attentats de novembre 2020. Le fait de l’étendre aux Frères musulmans est le coup le plus dur jamais porté à la confrérie en Europe.
Force est de constater que les Frères musulmans, tenants de l’instauration d’un califat mondial, violemment antisémites, est une organisation aux buts et aux structures opaques.
Voici plusieurs années, Michaël Prazan avait effectué une enquête inédite, une plongée dans l’histoire et dans les réseaux d’une confrérie qui avait dirigée l’Égypte.
Michaël Prazan, documentariste et journaliste, auteur notamment d‘Einsatzgruppen, les commandos de la mort nazis (Seuil, 2010) et d’Une histoire du terrorisme (1945-2011) (Flammarion, 2012). Il a sillonné le monde arabe, l’Europe et les États-Unis durant deux ans, afin de comprendre qui étaient vraiment les Frères musulmans. “Islamistes modérés”, comme ils aiment à se présenter, “bienfaiteurs du peuple, des pauvres et des nécessiteux”, ils sont en réalité des théocrates intransigeants, tenants d’une vision radicale de la religion et partisans de l’instauration d’un califat mondial.
En reconstituant minutieusement l’histoire du mouvement, en rencontrant ses membres et ses responsables les plus éminents, en interviewant des spécialistes, Michaël Prazanil a mis en évidence leurs liens avec une multitude de mouvements, d’Al-Qaïda au Hamas palestinien en passant par le Front islamique du salut algérien et Ennahda, en Tunisie.
Créée en 1928 par Hassan al-Banna, la confrérie a repris le chemin de la clandestinité. Emprisonnés, traqués, les Frères musulmans s’avouent-ils pour autant vaincus depuis leur destitution à la suite du coup d’État militaire en Égypte du 3 juillet 2013 ? L’auteur Michaël Prazan a démontré les liens historiques entre la confrérie des Frères musulmans et le nazisme,
les alliances entre sunnites égyptiens et chiites iraniens et son rôle dans la propagation d’une idéologie antisémite dans le monde musulman.
À la lumière de ces quelques éléments, on comprend mal pourquoi les gouvernements français successifs ont donné asile aux chefs des Frères musulmans, traqués par la police et les services de sécurité égyptiens et protègent toujours ces terroristes sur le sol français. Cherchez l’erreur !
(1) La Société des Frères musulmans (en arabe : جمعيّة الإخوان المسلمين ; jamiat al-Ikhwan al-muslimin), raccourcie en Frères musulmans (الإخوان المسلمون ; al-Ikhwān al-Muslimūn), est une organisation transnationale islamique sunnite fondée en 1928 par Hassan el-Banna à Ismaïlia, dans le nord-est de l’Égypte, selon le site Wikipedia. Composée d’un appareil militaire et d’une organisation ouverte, son objectif officiel est la renaissance islamique et la lutte non violente contre « l’emprise laïque occidentale » et « l’imitation aveugle du modèle européen » en terre d’Islam. Cette organisation panislamiste est officiellement considérée comme organisation terroriste par le gouvernement égyptien, la Russie7, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Mais pas par la France et les pays européens. L’organisatione a rapidement essaimé ses idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, comme au Soudan ou en Afrique du Nord, et a également établi des instances nationales et des bases d’action dans des pays non musulmans, comme l’Europe. Certains groupes de partisans se sont constitués en mouvements autonomes, comme le Jama’a al-islamiya ou le Hamas.
Son opposition fondamentale et parfois violente aux États laïcs arabes a amené son interdiction ou la limitation de ses activités dans certains pays, comme la Syrie et l’Égypte. La lutte contre l’État d’Israël est au cœur du mouvement, et le théoricien du jihad armé, Sayyid Qutb, qui entrera par la suite en rupture avec le mouvement, fut pendant un temps l’un de ses membres égyptiens les plus en vue. Ses différentes branches ont encouragé le recours à la violence en dehors de la Palestine. Le mouvement entretient avec les institutions promouvant le wahhabisme saoudien des relations alternant entre coopération et rivalité.
La nébuleuse des Frères musulmans serait coordonnée par la Muslim Association of Britain de Londres, s’appuyant sur la banque Al-Taqwa. Néanmoins, selon Xavier Ternisien, elle ne constitue pas une structure pyramidale centralisée mais une mouvance hétérogène, labile et multiforme.
(2) Karl Nehammer, né le 18 octobre 1972 à Vienne, est un homme politique autrichien, membre du Parti populaire autrichien (ÖVP) et ministre de l’Intérieur depuis le 7 janvier 2020. De janvier 2018 à janvier 2020, il est secrétaire général de l’ÖVP et du 9 novembre 2017 au 7 janvier 2020 membre du Conseil national.
Selon le site Wikipedia,
Karl Nehammer poursuit ses études au Kollegium Kalksburg et au Mariahilfer Gymnasium, où il obtient en 1992 son baccalauréat (Matura en Autriche). Ensuite il s’engage pendant un an dans le Bundesheer avec périodes de réserve jusqu’en 1996. En 1997, il est nommé lieutenant. Ensuite, il est formateur pour les officiers d’information pour le ministère de la Défense nationale et formateur pour la communication stratégique dans différentes institutions comme l’Institut de formation professionnelle (Berufsförderungsinstitut, BFI) et l’Académie politique du parti ÖVP (Politische Akademie der ÖVP). En 2012, il est diplômé de l’université du Danube de Krems en communication politique auprès de Peter Filzmaier ; il obtient en 2014 un master en science en communication politique en formation continue, certification qui ne correspond pas au grade universitaire du même nom.
Il est membre de la KÖStV Sonnberg Perchtoldsdorf, corporation étudiante catholique au sein de la Mittelschüler-Kartell-Verband (MKV)2. Son beau-père est l’ancien modérateur de l’ORF Peter Nidetzky. Karl Nehammer est marié avec Katharina Nehammer qui a été nommée chef de cabinet adjoint au ministère de la Défense sous Klaudia Tanner au début de 2020 et avait auparavant travaillé pour le ministre de l’Intérieur Wolfgang Sobotka en tant que porte-parole et membre du cabinet, puis a rejoint le parlement avec lui. En juillet 2020, elle passe dans le secteur privé.
Gilles Haéri, le président de la maison d’édition Albin Michel, a annoncé mardi qu’il ne publierait pas le prochain livre d’Éric Zemmour. Suite à de probables pressions politiques, Albin Michel se prive d’un auteur de best-sellers. Le Suicide français avait dépassé les 500.000 exemplaires vendus.
Mardi 29 juin : La maison d’édition Albin Michel (2) annonce qu’elle refuse de publier le prochain livre de l’essayiste Eric Zemmour (1) en prétextant que ce dernier va s’engager dans la présidentielle, et fait référence à une discussion entre l’éditeur et l’écrivain. Mais le journaliste Eric Zemmour dément la réalité de cette discussion et promet des suites judiciaires (la femme d’Eric Zemmour est avocate).
Ecrivain à succès comme Michel Onfray, Eric Zemmour est un des journalistes les mieux payés de France, sa fortune et sa renommée proviennent des livres édités chez Albin Michel, et souvent vendus à plus de 500 000 ou 600 000 exemplaires. Des tirages à rendre jaloux bien des écrivains.
Pourquoi un tel succès ?
Outre le contenu des livres écrits par Zemmour, l’immense succès est d’abord du à la “mécanique” Albin Michel. Comme les éditions Grasset et les éditions Michel Lafon (où j’ai eu l’honneur d’être édité voici 15 ans), Albin Michel a un bataillon d’attachées de presse, qui harcèlent les rédactions de journaux, magazines, radios, télévisions, etc pour vendre le dernier livre de l’auteur.
Il en découle un “marathon rédactionnel” et des journées éprouvantes, dès l’annonce de la sortie d’un livre, alors que l’ouvrage n’est pas encore en librairie. L’auteur, totalement pris en charge par l’éditeur au niveau hôtels, repas, transports (souvent une voiture de maître pour le déposer et le reprendre), passe heure après heure d’une rédaction parisienne à une autre, d’un plateau télé à une interview radio. Avec en prime une attachée de presse qui corrige et “briefe” les petites erreurs remarquées sur les échanges plateaux.
A ce rythme de management et de prise en charge, l’auteur décolle donc est mis en orbite.
La rupture annoncée par l’éditeur Albin Michel constitue une catastrophe pour l’écrivain Eric Zemmour. D’un seul coup, la belle mécanique Zemmour se grippe, et la décision affecte le porte-monnaie d’Eric Zemmour. Sa notoriété future aussi. Alors qu’Eric Zemmour dément avoir parlé d’une quelconque ambition présidentielle avec son éditeur.
Albin Michel a publié cinq ouvrages de celui qui était alors un journaliste et essayiste. Leur histoire commune commence en 2012 avec « Le Bûcher des vaniteux » (2012) puis le deuxième volume du même nom en 2013. Vient ensuite le best-seller d’Eric Zemmour, « Le Suicide français », paru lui aussi chez Albin Michel, en 2014. L’éditeur assurera aussi la parution en 2016 de son livre « Un Quinquennat pour rien » puis, en 2018, de « Destin français ».
Si les bénéfices apportés par ces ouvrages restent à la discrétion des services d’Albin Michel, les statistiques sont parlantes : « Le Suicide français » s’était imposé comme un grand succès de librairie. Deuxième des ventes pendant un mois, et premier du top 50 « Essais & Références » pendant 15 semaines, il s’est vendu à plus de 500 000 exemplaires, selon les données d’Edistat.
Son dernier essai, « Le Destin français », avait en 2018 détrôné l’auteure à succès Amélie Nothomb pour se hisser au premier rang des ventes de livres tous genres confondus pendant trois semaines. L’ouvrage, qui fait état d’une décadence de la France régulièrement dépeinte comme telle par Eric Zemmour, s’était écoulé à près de 70 000 exemplaires pendant ces trois seules semaines.
Des spécialistes de la presse redoutent d’autres “placardisations” de Zemmour
“Il est possible qu’Eric Zemmour ait été victime d’interventions politiques, au plus haut niveau, pour empêcher la sortie de son prochain livre” confie un spécialiste de la presse ayant travaillé avec un précédent président de la République.
Il y a un précédent à l’affaire Zemmour. Sous la présidence de François Mitterrand, lorsque l’écrivain Jean-Edern Hallier découvre l’existence de Mazarine, la fille cachée du Président, qui a grandi sous le sceau du secret d’Etat, 19 éditeurs français (les principales maisons d’édition, dont Albin Michel) refusent de publier son manuscrit consacré à l’affaire. Il est immédiatement surveillé et placé sous écoutes téléphoniques.
Pour l’Elysée, l’écrivain est allé trop loin
Depuis 1992, Albin Michel publie environ 450 nouveautés par an (contre une centaine en 1967). Quatrième groupe d’édition français, ses auteurs se classent régulièrement parmi les meilleures ventes, selon le site Wikipedia.
Depuis les années 1920, Albin Michel s’est constitué en groupe éditorial, rachetant au fil des décennies des fonds de maison, s’associant avec d’autres, développant ses métiers, ajoutant à la littérature, le livre pratique, éducatif et universitaire, ainsi que la bande dessinée, etc. Le groupe contrôle également depuis 1982 sa distribution-diffusion et possède un réseau de librairies, ce qui lui permet de maintenir son indépendance et de préserver l’un des principaux relais de diffusion des livres.
Ainsi, début 2014, Albin Michel lance une nouvelle stratégie d’acquisition en se portant acquéreur de sept librairies (Paris, Châlons en Champagne, Limoges, Orléans, Besançon, Sarreguemines et Lorient) du réseau Chapitre.
Le journal Le Monde qualifie en 2016, la maison d’édition de « vitrine de la droitisation de la société française », à cause de la publication de nombreux auteurs défendant la société française comme Éric Zemmour ou Philippe de Villiers.
Christophe Tostain, surnommé “le massacreur” (au centre sur la photo) avec ses amis Olivier Dussopt, ministre du Budget et des Comptes publics, Pierre Fayolle, directeur régional du Dauphiné Libéré et homme de confiance, à ses côtés.
Christophe Tostain, le “boxeur de ces dames” et PDG du Dauphiné Libéré, a été placé en garde à vue pour des « violences sur sa concubine en récidive » au commissariat de Grenoble dans l’Isère.
Christophe Tostain comparaîtra le 4 novembre prochain devant le tribunal correctionnel de Grenoble dans le cadre d’un dossier de récidive de violences conjugales. Il vient d’être suspendu, à titre conservatoire (il conserve son salaire) de ses fonctions de PDG du quotidien “Le Dauphiné Libéré” par la holding EBRA.
En mars 2019, Christophe Tostain avait tabassé sa compagne durant la journée des droits de la femme, et outragé, menacé les gendarmes qui venaient porter assistance à la belle madame G.
https://ripostelaique.com/le-patron-du-dauphine-libere-sera-juge-pour-violences-le-28-mai.html
À l’époque, le patron du Dauphiné Libéré a joué la montre. Il a obtenu le report de l’audience correctionnelle à plusieurs reprises.
https://ripostelaique.com/le-patron-du-dauphine-libere-juge-pour-violences-et-outrage-le-24-septembre.html
https://ripostelaique.com/le-proces-du-patron-du-dauphine-libere-renvoye-a-une-3e-audience.html
Ami du ministre du Budget et des Comptes publics Olivier Dussopt (grand amateur de tableaux de valeur offerts par la Saur, société concessionnaire de l’eau et de l’assainissement dans l’agglomération d’Annonay) et de nombreux politiques et puissants, le gros patron de presse Christophe Tostain n’avait été condamné qu’à 150 euros de dommages et intérêts pour les gendarmes outragés et menacés
et à seulement 6 mois de prison avec sursis pour le tabassage de sa compagne de l’époque.
C’était lui accorder une impunité et le “permis” de recommencer. Pour la récidive avec sa nouvelle compagne, le PDG du Dauphiné Libéré a choisi la date du 14 février 2021, jour de la Saint-Valentin. Alors que l’immense majorité des hommes offrent des fleurs aux femmes, le “Rambo de la presse” distribue des baffes comme Obélix aux Romains.
https://www.sudouest.fr/justice/le-pdg-du-dauphine-libere-poursuivi-pour-violences-contre-une-femme-1577095.php
Contacté par téléphone, le procureur de la République de Grenoble Éric Vaillant a confirmé les faits, en précisant “À l’issue de la garde à vue, il a été laissé libre sans contrôle judiciaire”.
PDG du quotidien régional depuis 2013, Christophe Tostain avait été convoqué en mars par la police de Grenoble, qui l’avait placé en garde à vue pour des « violences sur sa concubine en récidive », selon les explications fournies par le procureur de la République de Grenoble.
Déjà condamné en 2019
Christophe Tostain avait été condamné en mai 2019 à 6 mois de prison avec sursis pour « violences sur conjointe » et « outrages » à l’encontre de gendarmes. Des faits qu’il avait reconnu lors de son procès, se disant « extrêmement honteux ».
Cette fois, le groupe EBRA (un conglomérat financier dominé par l’Est Républicain et le Crédit Mutuel, actionnaire principal du quotidien régional), vient de préciser dans un communiqué paru dans le journal le Dauphiné Libéré, qui n’avait pas traité l’information en février dernier, que, « dans ces circonstances et dans l’intérêt du journal, Philippe Carli, président du groupe EBRA et administrateur, assurera la continuité de la direction du Dauphiné Libéré ».
L’autre grand quotidien régional de Rhône-Alpes, Le Progrès, n’a pas, lui aussi, informé ses lecteurs de ces faits très graves. Le SNJ, syndicat majoritaire au quotidien Le Progrès, “exige des explications, de la part de son PDG Pierre Fanneau, et de la part du groupe EBRA, et réclame réparation pour nos lecteurs, et appelle les journalistes à exprimer leur désapprobation et leur défiance vis-à-vis de cette décision autoritaire et déplacée, qui laissera nécessairement des traces”.
Or, le Progrès et le Dauphiné Libéré “jettent en pâture” à leur lecteur, chaque jour, le moindre citoyen qui dérape, celle qui vole quelques légumes, car sans ressource pour nourrir ses enfants, ou encore l’automobiliste arrêté en excès de vitesse, sans parler des querelles de voisinage pour un coq qui chante, ou la dispute entre deux agriculteurs qui se termine à coups de poings.
Par ailleurs, en avril 2016 à Viviers, puis en février 2017 à Villeneuve-de-Berg, en Sud Ardèche
le même Christophe Tostain et son adjoint Pierre Fayolle avaient interdit à leurs équipes de couvrir les conférences de Pierre Cassen, de Christine Tasin, et de Karim Ouchikh sur la montée de l’islamisme et de l’immigration en France. Illustration concrète de l’absence de déontologie de celui qui s’est toujours présenté comme “un grand patron de presse”, alors qu’il avait une vocation de boxeur !
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
De Bordeaux à Strasbourg, en passant par Montpellier, depuis la nomination d’Éric Dupond-Moretti comme garde des Sceaux, suivant que tu sois musulman ou chrétien, la justice te sera favorable ou défavorable. De nombreux magistrats du siège affichent une clémence surprenante en faveur des prévenus musulmans.
“Un coup de fil de la Chancellerie, c’est vite passé, et ça ne laisse pas de trace” nous explique une magistrate chevronnée, ayant été juge aux affaires familiales, puis présidente d’un tribunal correctionnel, et ayant récemment écrit un livre sur les dysfonctionnements de la justice.
Trois exemples précis, concis, de cette parodie de justice.
Montpellier : le tueur Mohamed Zeraoula libéré le 5 janvier 2021, après un an de prison
Montpellier – 5 janvier 2021 – La famille de Laura Llopis, la jeune Avignonnaise de 20 ans, tuée d’une balle dans la tête par Mohamed Zeraoula, le 1er janvier 2020, est effondrée, révoltée, durement éprouvée. Car on leur a tout pris, tout volé.
Selon une proche de la famille, jointe par téléphone, “Laura, 23 ans, était serveuse dans une discothèque au Pontet. La jeune femme comptait de nombreux amis. Laura était pleine de joie de vivre et à l’écoute de son entourage. Le soir du 31 décembre, elle embarque quelques amis en boîte de nuit pour fêter la nouvelle année près d’Avignon. Elle propose d’être Sam (celui qui ne boit pas, Ndlr) ce soir-là. Après une bonne soirée, elle prend le volant, sobre, un des passagers à l’arrière détient une arme à feu et tire. Malheureusement pour Laura, le coup de feu lui est fatal”.
Comment un magistrat, juge des libertés, peut-il piétiner la chagrin et la douleur d’une famille, en remettant en liberté, un an plus tard, Mohamed Zeraoula, comme si de rien n’était ?
Selon plusieurs sources proches du palais de justice de Montpellier, “Un an après les faits, le magistrat instructeur aurait estimé que le geste de Mohamed Zeraoula, qui a été incarcéré, inintentionnel. Les avocats du meurtrier Mohamed Zeraoula ont plaidé toujours l’accident. Cet énorme rebondissement dans le dossier de la mort de Laura a fait l’effet d’une bombe dans le Sud-Est de la France.
…
Fait plus troublant : Me Abratkiewisz, l’avocat du meurtrier Mohamed Zeraoula, et Éric Dupond-Moretti se connaissent très bien. Et le juge des libertés aurait dû tenir compte de l’avis du parquet de Montpellier, qui a fait une autre lecture de ce dossier en requalifiant l’affaire de “meurtre”.
Étrange, non ? Inquiétante, cette justice à deux vitesses ?
Strasbourg : des enfants français remis à un fiché “S” soupçonné de viol
27 novembre 2020 – Autre exemple des dérives inquiétantes de cette justice privilégiant les individus de confession musulmane aux citoyens chrétiens. Au tribunal de grande instance de Strasbourg, une juge des enfants, Maud Chenneviere, ordonne la levée du placement de deux enfants chrétiens, baptisés, pour les confier à El Katab, domicilié dans la commune alsacienne de La Wantzenau, un musulman fiché “S”, soupçonné du viol d’une étudiante alsacienne.
Cerise sur le gâteau : l’aide sociale à l’enfance du Bas-Rhin et les travailleuses sociales ne sont jamais parvenue, en six ans, à rencontrer le nommé El Katab, ni à échanger avec lui au téléphone, pour évaluer ses capacités éducatives. Aucune assistance éducative en milieu ouvert n’est mise en place, comme dans tous les autres dossiers. On croit rêver. Des avocats ayant assisté à cette audience, bouclée en 30 minutes, expliquent “qu’ils n’ont jamais été témoins d’une telle parodie de justice et que la décision de la juge Maud Chenneviere semble sortie de nulle part…”
Bordeaux : Le trafiquant de drogues Sofiane Hambli remis en liberté
Il y a quelques mois, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Bordeaux a décidé de la remise en liberté du célèbre trafiquant international de drogues Sofiane Hambli.
L’homme était mis en examen dans deux dossiers : celui de la saisie de sept tonnes de cannabis dans des camionnettes garées boulevard Exelmans, en plein cœur de Paris.
Étrange, non ?
Alors un conseil, braves Français : si vous souhaitez que la justice soit clémente avec vous, convertissez-vous vite à l’islam, le “joker” qui assure l’impunité dans le système Dupond-Moretti.
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411