Scandale AstraZeneca : les clowneries de l’Agence européenne du médicament

Une semaine après avoir déclaré, le jeudi 18 mars dernier, que le vaccin anglo-suédois AstraZeneca est un « vaccin sûr et efficace », l’Agence européenne du médicament (AEM) a annoncé ce jeudi 25 mars dans un communiqué que le comité de sécurité de l’Agence va « convoquer un groupe d’experts ad hoc le 29 mars pour apporter une contribution supplémentaire à l’évaluation [du vaccin AstraZeneca] ».

Une seule semaine aura donc suffi pour que l’AEM invalide les conclusions de son premier groupe d’ « experts », et affirme la nécessité de… continuer les études sur l’innocuité de l’AstraZeneca ! On croit rêver…

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Rappelons que lors d’une conférence de presse tenue jeudi 18 mars, la directrice exécutive de l’AEM, Emer Cooke, avait déclaré, à propos du vaccin AstraZeneca :

« Notre comité d’experts est parvenu (…) à une conclusion scientifique claire : il s’agit d’un vaccin sûr et efficace. Ses avantages en matière de protection des personnes contre le covid 19 (…) dépassent les risques. Nous sommes également parvenus à la conclusion que le vaccin n’est pas lié à l’augmentation de risque de thrombose (…) ».

Sur la foi des déclarations de la directrice de l’AEM, de nombreux pays européens qui avaient suspendu la vaccination par AstraZeneca l’ont reprise, dont la France.

À quoi sert donc notre Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), (voir ici et ici) qui a emboîté le pas sans broncher à l’AEM, alors que son rôle était d’évaluer les risques associés au vaccin anglo-suédois sur la base de sa propre expertise, et non sur celle de l’AEM ?

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Dans son communiqué du jeudi 25 mars, l’AEM précise que des experts externes, notamment en hématologie, en médecine cardiovasculaire et en neurologie, « se réuniront pour donner leur avis sur des aspects tels que tout mécanisme d’action plausible, les éventuels facteurs de risque sous-jacents et toute donnée supplémentaire nécessaire pour mieux comprendre les événements observés et le risque potentiel ».

« Les résultats de la réunion d’experts, ainsi que l’analyse plus approfondie des cas signalés, alimenteront l’évaluation en cours », a ajouté l’AEM.

L’agence a précisé que les conclusions de ce deuxième groupe d’experts seront rendues publiques lors d’une réunion plénière qui se déroulera entre le 6 et le 9 avril.

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Rappelons que dans un communiqué en date du 27 août 2020 portant sur la signature d’un accord avec la firme AstraZeneca, la Commission européenne précise que :

« Afin de compenser les risques élevés pris par les fabricants, les contrats d’achat anticipé prévoient que les États membres indemnisent le fabricant pour les responsabilités encourues dans certaines conditions. La responsabilité reste endossée par les sociétés. »

Une phrase pour le moins ambiguë qui annonce de belles joutes d’avocats lors des procès à venir concernant les responsabilités respectives d’AstraZeneca et des gouvernements de l’UE dans les cas délétères enregistrés depuis le début de la campagne de vaccination (dernier en date ici)

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« Données obsolètes »

À noter que lundi 22 mars, des résultats préliminaires des essais menés aux États-Unis ont été présentés par l’entreprise dans un bref communiqué : le vaccin serait efficace à 79 % pour prévenir les cas symptomatiques du Covid-19, et à 100 % pour empêcher les formes sévères de la maladie et les hospitalisations, affirme AstraZeneca dans ce communiqué.

Mais le lendemain, l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID) américain publie un communiqué s’inquiétant du fait que les résultats allégués par la firme anglo-suédoise aient pu inclure des « données obsolètes » qui pourraient « avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité [du vaccin] ».

À la suite de ce communiqué du NIAID, AstraZeneca a avoué avoir en effet « utilisé des données remontant à avant le 17 février », et s’est engagée à en fournir de plus récentes « sous 48 heures ». Le rêve continue…

« C’est regrettable que ce soit arrivé  », a déclaré sur la chaîne américaine ABC le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID. « Les données sont plutôt bonnes, mais quand [les dirigeants du laboratoire anglo-suédois] les ont mises dans le communiqué de presse, ce n’était pas complètement juste », a-t-il ironisé…

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Ce n’est pas le premier couac qui a rompu la confiance que le gouvernement américain accordait au départ à l’entreprise AstraZeneca

Ainsi, en septembre 2020, un participant à l’essai clinique britannique tombe malade. La firme suspend alors les tests dans le monde. Les autorités sanitaires américaines ne l’apprendront que quelques jours plus tard et… par la presse ! Les tests reprendront au bout de quelques jours au Royaume-Uni. Aux États-Unis en revanche, les tests sont interrompus pendant six semaines.

AstraZeneca annonce par la suite que son vaccin est efficace à 70 %. En réalité, l’efficacité n’est que de 62 % chez ceux ayant reçu les deux doses réglementaires, mais monte à 90 % chez un sous-groupe de volontaires ayant reçu une demi-dose en guise de première injection. Or, cette demi-dose était… une erreur du protocole expérimental ! L’entreprise annonce alors la nécessité de procéder à des études complémentaires

Les responsables américains découvrent quelques jours plus tard que le groupe ayant montré 90 % d’efficacité n’incluait aucune personne âgée de plus de de 55 ans

Ajoutons à ce tableau atterrant des retards récurrents de livraison de la part d’Astrazeneca

Il semble que la nouvelle administration américaine, refroidie par ces dysfonctionnements, ait décidé de se passer des services du laboratoire anglo-suédois et axera la campagne nationale de vaccination uniquement sur Pfizer/BioNTech, Moderna, et Johnson & Johnson.

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Quant aux Français, ils attendent la position de leur ministre de la Santé, Olivier Véran. Rappelons que le deuxième groupe d’experts de l’AEM ne rendra son rapport qu’entre le 6 et le 9 avril.

Véran va-t-il une nouvelle fois suspendre la vaccination avec AstraZeneca, avec le risque d’une désorganisation supplémentaire de la campagne de vaccination, déjà laborieuse à souhait, dans l’attente du nouveau verdict de l’AEM ? Ou bien va-t-il autoriser la poursuite de la vaccination avec AstraZeneca, avec le risque de nouveaux accidents dans lesquels sa responsabilité serait directement engagée ?

Choix cornélien, en vérité…

Henri Dubost




Véran visé par une plainte d’Anticor

Après un signalement déposé le 10 juin 2020 auprès du procureur de la République,  l’association Anticor (fondée en avril 2003 par le juge Éric Halphen et par Séverine Tessier en réaction à la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2002…) a porté plainte en janvier dernier devant la Cour de justice de la République (CJR) contre le ministre de la Santé Olivier Véran pour « favoritisme » dans la gestion de l’application StopCovid.

Cette application, annoncée par le gouvernement le 8 avril 2020 et approuvée par l’Assemblée nationale et le Sénat le 27 mai suivant, devenait TousAntiCovid cinq mois plus tard, le 22 octobre.

Anticor considère que la gestion de cette application aurait dû faire l’objet d’un marché public via un appel d’offres, et qu’en s’en dispensant, l’État a contrevenu au Code de la commande publique qui rend une telle procédure obligatoire pour les marchés de fournitures et de services dont le coût dépasse 139 000 euros hors taxes.

Si le développement de l’application a été fait à titre gracieux par cinq entreprises privées (Dassault Systèmes, Capgemini, Orange, Lunabee Studio et Withings) associées aux trois organismes d’État Inria, ANSSI et Santé Publique France, en revanche son exploitation et sa maintenance ont fait l’objet d’une facturation particulièrement salée de la part de ces cinq entreprises « philanthropes ».

Un rapport parlementaire de novembre 2020 a ainsi estimé le coût global de cette application pour l’État à quelque 6,5 millions d’euros, simplement sur la période de juin à octobre 2020…

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C’est le 11 janvier dernier qu’Anticor a déposé sa plainte  auprès de la CJR, laquelle en a accusé réception le 17 mars. Le moins qu’on puisse dire est que ces messieurs-dames de la Cour ont pris leur temps. Cette plainte doit désormais être examinée par la commission des requêtes de l’institution. Beaucoup d’eau coulera sans doute sous les ponts avant que la CJR ne rende son verdict…

Signalons que la CJR est la seule juridiction habilitée à enquêter sur des ministres dans l’exercice de leurs fonctions.

Pour les avocats de l’association Anticor, Me Jean-Baptiste Soufron et Me Patrick Rizzo, l’argument de l’ « urgence sanitaire » – que pourrait leur opposer le gouvernement – ne tient pas : ils estiment qu’entre le lancement du projet, le 8 avril 2020, et son aboutissement début juin, le gouvernement avait deux mois pour s’enquérir des conditions exactes posées par les entreprises « philanthropes », et s’acquitter des procédures nécessaires pour les marchés d’un tel montant.

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Dans un courrier de juin 2020, Anticor avait déjà alerté le Parquet national financier (PNF) au sujet des soupçons de « favoritisme » concernant l’application – à l’époque – StopCovid.

Le PNF n’a pas cru devoir répondre aux avocats d’Anticor : créé par Hollande comme une arme contre la droite, il était sans doute hors de question que le PNF aille chercher des poux dans la tête d’un ministre de la macronie

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Rappelons qu’Olivier Véran a été nommé le 16 février 2020, ministre des Solidarités et de la Santé, succédant à Agnès Buzyn, partie chasser l’électeur parisien lors des dernières municipales, avec les résultats que l’on sait.

Le premier tour de ces élections s’est déroulé le 15 mars 2020, l’avant-veille du début du premier confinement, et le second tour a eu lieu le 28 juin suivant.

Là aussi en totale illégalité puisque le Code électoral stipule que ce second tour doit avoir impérativement lieu une semaine après le premier

En macronie, le respect de la loi est manifestement laissé à la discrétion du pouvoir…

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Signalons que Véran est un “young leader de la France China Foundation (FCF), puissant lobby des intérêts chinois en France, (promotion 2019, l’année même où un méchant virus nous arrivait de Chine, mais c’est évidemment une coïncidence…)

La FCF est une fondation calquée sur la French American Foundation, tout aussi puissant lobby, mais des intérêts américains en France.

De nombreuses personnalités du monde politique français sont de “young leaders” de la French American Foundation, dont le Président Macron soi-même, ce qui pourrait en partie expliquer le scandaleux favoritisme dont a joui l’américain General Electric dans l’affaire de la cession de la branche énergie d’Alstom

Henri Dubost

 

 




Scandale AstraZeneca : Véran, Salomon, Fischer, démission !

Ce lundi 15 mars, l’Allemagne et la France, après de nombreux autres pays européens les jours précédents, ont – à quelques heures d’intervalle – suspendu l’utilisation du vaccin anglo-suédois.

Le ministère allemand de la Santé s’est appuyé sur les recommandations de l’Institut médical Paul-Ehrlich qui est son conseiller. L’Institut « estime que d’autres examens [sont] nécessaires après de nouvelles informations concernant des thromboses de veines cérébrales en lien avec la vaccination [par AstraZeneca] en Allemagne et en Europe ».

Côté français, c’est le président de la République en personne qui, lors de la conférence de presse qui a clôturé le 26e sommet franco-espagnol, a fait savoir que la France suspendait l’utilisation du vaccin AstraZeneca. Emmanuel Macron a précisé que la suspension durera « jusqu’à un avis européen » qui sera donné… ce mardi 16 mars.

On n’imagine pas l’Agence européenne des médicaments totalement irresponsable, au point de donner un avis favorable à l’AstraZeneca après l’avalanche d’effets secondaires parfois très graves enregistrés au débit de ce vaccin depuis le début de la campagne de vaccination.

Mais on peut s’attendre à tout d’une institution dont les membres sont tous peu ou prou travaillés par des liens d’intérêt avec les grands laboratoires pharmaceutiques. Il faut en effet savoir que le lobbying est le mode de fonctionnement normal de l’ensemble des rouages de l’administration européenne.

  • Le ministre français de la Santé Olivier Véran a reçu sa première dose d’AstraZeneca le 8 février dernier au centre hospitalier de Melun. Compte tenu du délai de trois ou quatre semaines entre deux doses, délai préconisé par le ministre lui-même, ce dernier aurait dû récemment recevoir sa deuxième dose d’AstraZeneca… Le moins que l’on puisse dire est que la 2e injection fut beaucoup moins médiatisée que la première : aucune information n’a filtré dans la presse.

On se rappelle que Véran a superbement joué les rôles d’agent commercial de la firme anglo-suédoise lors de ce one-piquouze-show :

« Je continue de recommander la vaccination par le vaccin AstraZeneca, qui protège contre 99 % des virus qui circulent sur notre territoire » avait-il déclaré à l’issue de sa « prestation »

Le lendemain, Macron contredisait son directeur de la santé et annonçait la suspension du vaccin AstraZeneca… : ce qu’on appelle un gros couac de communication.

  • Enfin le 10 mars dernier, il y a donc quelques jours seulement, le Pr Alain Fischer, président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, se fait encore le thuriféraire du vaccin anglo-suédois« objet d’une polémique injuste, non scientifiquement fondée ».

Le Pr Alain Fischer assure sans rire que les effets secondaires de l’AstraZeneca sont « transitoires et non graves (…) et surtout [que] ça peut se prévenir en grande partie avec le paracétamol ». Des troubles thromboemboliques ou anaphylactiques, traités au paracétamol, ce serait une grande première médicale. Alain Fischer est pédiatre et professeur d’immunologie. Une sommité, paraît-il…

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Dans cette lamentable affaire AstraZeneca, Véran, Salomon et Fischer apparaissent pour ce qu’ils sont : d’affligeants pantins aux mains de puissants lobbies.

Leur démission serait la bienvenue pour que les Français retrouvent un semblant de confiance dans la manière dont la macronie gère la crise sanitaire.

Henri Dubost

 




AstraZeneca : Véran et sa clique inculpés pour mise en danger de la vie d’autrui ?

La liste des pays qui prohibent, totalement ou partiellement, le vaccin AstraZeneca continue de s’allonger.

Quatre pays européens, le Danemark, la Norvège, l’Islande et la Bulgarie, ont décidé dans le courant de la semaine dernière d’interrompre toute utilisation du vaccin anglo-suédois sur leur territoire.

Sept autres pays du Vieux Continent : l’Autriche, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, l’Italie et la Roumanie, viennent de retirer des lots d’AstraZeneca, sans cependant interrompre totalement leur campagne de vaccination avec ce produit.

En cause : depuis le début de la campagne de vaccination par AstraZeneca en Europe, 30 personnes ont été victimes de thromboembolie dans les heures ou les jours qui ont suivi leur vaccination. Le dernier accident a eu lieu ce week end

Selon une étude menée en 2010 en France par l’Institut de veille sanitaire, 15 000 personnes sont décédées en milieu hospitalier du syndrome veineux thromboembolique, lequel regroupe la thrombose veineuse et l’embolie pulmonaire. Rapporté aux quelque 55 000 patients hospitalisés pour cette pathologie, cette maladie présente donc un taux de létalité de 27%. Il s’agit en conséquence d’une urgence médicale.

A ces risques thromboemboliques, l’Astrazeneca ajoute des risques de choc anaphylactique lequel, rappelons-le, est « une réaction allergique exacerbée, entraînant dans la plupart des cas de graves conséquences et pouvant engager le pronostic vital ».

Vendredi 12 mars dernier, les ministres de la Santé du Royaume-Uni, de la Suède, de la Finlande, des Pays-Bas et de la France ont décidé la poursuite de la campagne de vaccination par AstraZeneca, estimant que « les données disponibles ne remettaient pas en cause la balance bénéfice/risque du produit. ».

Une application élémentaire du principe de précaution eût commandé l’arrêt immédiat de la vaccination par AstraZeneca, et des études approfondies sur l’implication de ce produit dans l’apparition de troubles thromboemboliques et/ou de chocs anaphylactiques.

S’il s’avère que l’AstraZeneca produit ou aggrave de tels symptômes, au point de mettre en danger la vie des patients, les ministres de la santé des cinq pays susnommés (dont le Français Olivier Véran) ont assurément endossé de lourdes responsabilités.

Dans cette vidéo du 10 mars dernier :

le Pr Alain Fischer, président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, malgré les signaux inquiétants sur l’innocuité déclarée de l’Astrazeneca, se fait encore le thuriféraire du vaccin anglo-suédois, « objet d’une polémique injuste, non scientifiquement fondée ».

Alain Fischer assure que les effets secondaires de l’AstraZeneca sont « transitoires et non graves (…) et surtout [que] ça peut se prévenir en grande partie avec le Paracétamol ». Le Paracétamol est décidément devenu la potion magique de tout ce petit monde… Rappelons qu’il s’agit d’une molécule hautement toxique, souvent utilisée par les suicidaires pour passer à l’acte. De plus, on ne voit vraiment pas son utilité en cas d’apparition de troubles thromboemboliques ou anaphylactiques

La publicité faite par Alain Fischer à l’AstraZeneca est en parfait accord avec la promotion de ce vaccin par le ministre Véran qui, lors de sa vaccination-spectacle au centre hospitalier de Melun le 8 février dernier, a déclaré :

« Je continue de recommander la vaccination par le vaccin AstraZeneca, qui protège contre 99 % des virus qui circulent sur notre territoire ».

Par parenthèse, on admirera les jongleries de la Haute autorité de santé (HAS) qui, après avoir au début de la campagne de vaccination en France déconseillé l’AstraZeneca pour les plus de 65 ans, vient de le recommander à ces mêmes plus de 65 ans… souffrant de co-morbidités.

De son côté, la Thaïlande a décidé d’ajourner sine die le lancement de la campagne de vaccination avec ce produit pharmaceutique, qui devait débuter vendredi dernier.

La République démocratique du Congo vient également de reporter « par mesure de précaution » le début de sa campagne de vaccination utilisant le vaccin AstraZeneca.

Rappelons que, AstraZeneca ayant été jugé largement inefficace contre le variant sud-africain par une étude réalisée par l’université du Witwatersrand à Johannesburg, l’Afrique du Sud – qui avait justement choisi d’administrer le vaccin suédo-britannique à sa population – a décidé début février de suspendre sine die sa campagne de vaccination dans l’attente d’une hypothétique version améliorée.

Samedi 13 mars, les autorités sanitaires norvégiennes faisaient part d’un autre effet délétère lié au vaccin AstraZeneca : l’apparition d’hémorragies cutanées chez des personnes « relativement jeunes » ayant reçu ce vaccin. Ces hémorragies cutanées, non graves en soi, peuvent être le signe avant-coureur de troubles circulatoires de type thromboembolique.

Henri Dubost




AstraZeneCata : ça sent le roussi pour le vaccin rosbif-viking…

Alors qu’en France les mauvaises nouvelles s’accumulent pour AstraZeneca, coup sur coup, plusieurs autres données mondiales viennent jeter le doute sur l’innocuité du vaccin produit par la firme anglo-suédoise AstraZeneca :

  1. Le ministre australien de la Santé, Greg Hunt, a été admis à l’hôpital mardi dernier et serait dans un état sérieux. Détail navrant : il avait reçu la veille sa première dose du vaccin Oxford/AstraZeneca Covid. Le cabinet du ministre se veut rassurant, parlant de « suspicion d’infection (…) sans lien avec la vaccination ». Il est sous surveillance étroite et reçoit « de fortes doses d’antibiotiques ». Le même Greg Hunt se félicitait en novembre dernier du fait que ses compatriotes soient « en bonne voie » d’être vaccinés dès ce mois de mars. On souhaite bonne chance à nos amis Australiens… Il est vrai, qu’à l’époque, le gouvernement australien avait choisi Pfizer et Moderna, avant d’opter pour AstraZeneca, moins cher et dont les conditions de conservation sont moins rigoureuses. Mais les vaccinés Pfizer et Moderna ne perdent sans doute rien pour attendre, puisqu’on n’a strictement aucune idée de leurs effets à moyen et long terme. AstraZeneca présente au moins l’avantage, si l’on ose dire, de révéler très rapidement sa toxicité.

  2. Les autorités sanitaires danoises viennent d’arrêter la vaccination par AstraZeneca contre le Covid-19 « après des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes qui ont reçu une dose de ce vaccin » selon le ministère danois de la Santé.
  3. Quelques heures après, la Norvège emboîtait le pas à son voisin Danois, décrétant une « suspension jusqu’à nouvel ordre » de la vaccination par AstraZeneca, pour le même constat : « formation de caillot sanguins chez plusieurs patients vaccinés ».
  4. L’Autriche a annoncé lundi dernier avoir cessé d’administrer un lot de vaccins produits par le laboratoire anglo-suédois, après le décès d’une infirmière de 49 ans qui a succombé à de « graves troubles de la coagulation » quelques jours après avoir été vaccinée.
  5. Quatre autres pays européens, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie et le Luxembourg, ont également suspendu dans la foulée les vaccinations avec des doses provenant de ce lot, livré dans 17 pays et qui comprenait un million de vaccins.
  6. Et l’Islande à son tour…

On se souvient que, début février, l’Afrique du Sud a suspendu sine die sa campagne de vaccination par AstraZeneca, après en avoir reçu plus d’un million de doses.

On serait intéressé par l’avis de M. Olivier Véran, ministre de la Santé, qui doit recevoir la semaine prochaine sa deuxième dose d’AstraZeneca, après que la première injection eut donné lieu à une superbe campagne de pub (photo) dirigée (gracieusement, naturellement…) par le ministre lui-même.

« Je continue de recommander la vaccination par le vaccin AstraZeneca, qui protège contre 99 % des virus qui circulent sur notre territoire » avait déclaré le ministre à cette occasion.

Sauf, a-t-il oublié de préciser, contre le variant sud-africain, mais c’est un détail…

Je ne résiste pas au plaisir de vous inviter à revoir le sketch hilarant que l’événement avait inspiré à l’humoriste Sandrine Sarroche sur Paris Première :

https://www.youtube.com/watch?v=s7i_IgrILg4

Sandrine Sarroche – Quand Véran dégrafa son corsage –

https://www.facebook.com/watch/?v=494799305246690

Pour l’instant, Suédois et Godons résistent encore et toujours aux effets délétères de l’AstraZeneca, sans doute par chauvinisme médical. Mais pour combien de temps ?

Henri Dubost




AstraZeneca : le crime de l’ANSM…

Dans un document publié en date du 22 février, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) reconnaît que l’injection du vaccin AstraZeneca peut provoquer chez le patient des effets indésirables « attendus », tout en reconnaissant benoîtement qu’elle n’en avait pas anticipé la « sévérité »

Parmi ces effets « sévères », l’Ansm répertorie le choc anaphylactique, lequel, rappelons-le, est « une réaction allergique exacerbée, entraînant dans la plupart des cas de graves conséquences et pouvant engager le pronostic vital ».

Or fin janvier, sans réaliser la moindre étude sur le produit, mais en se contentant simplement de contresigner la décision de l’Agence européenne du médicament (EMA), l’Ansm avait « sans restriction » donné son feu vert au vaccin AstraZeneca.

Y a-t-il un pilote dans l’avion Ansm ? C’est la question que l’on peut raisonnablement se poser au vu de ce méga-flop. À quoi sert une Agence française de la sécurité du médicament si elle se contente de valider sans autre forme de procès des décisions sanitaires prises au niveau européen ?

Les responsables de l’Ansm devront-ils un jour rendre des comptes à la Nation ? Des comptes que l’on attend également du ministre de la Santé Olivier Véran, puisque l’Ansm est juridiquement sous la tutelle de son ministère

Dans une première étude portant sur la période s’étageant du 1er février (début de la campagne de vaccination par AstraZeneca) jusqu’au 11 février, sur les 179 cas de syndromes grippaux validés et transmis aux centres régionaux de pharmacovigilance d’Amiens et de Rouen, une fièvre de plus de 39 degrés est présente dans plus de 60 % des cas, entraînant un arrêt de travail dans plus de 45 % des cas. Les personnes concernées, en majorité des femmes, ont en moyenne 31 ans.

Dans une seconde étude portant simplement sur les journées des 15 et 16 février, l’Agence relève 188 nouveaux cas de syndromes grippaux validés, 53 sont considérés comme « graves », avec arrêt de travail, 99 des personnes vaccinées présentes une température supérieure ou égale à 38 °C, et 80 une température supérieure ou égale à 39 °.

Ce tableau clinique, portant sur seulement deux jours, est proprement hallucinant et confirme les effets délétères du vaccin anglo-suédois, pourtant préconisé avec conviction par le ministre de la Santé en personne, lors de son one-piquouze-show du 8 février dernier au centre hospitalier de Melun.

Depuis le 16 février, silence radio de l’Agence, ce qui laisse présager des chiffres alarmants. « Compte tenu du retentissement potentiel de ces syndromes, il pourrait (sic !) être utile de proposer une vigilance accrue dans les populations susceptibles de voir leurs comorbidités décompensées », se contente de suggérer l’Agence, avec une naïveté touchante. 

No comment…

Henri Dubost




AstraZeneca : ça tourne au bide intégral…

Il y a sérieusement de l’eau dans le gaz pour le vaccin anti-Covid fabriqué par la firme anglo-suédoise AstraZeneca, vaccin pourtant dûment homologué fin janvier par l’Agence européenne du médicament, immédiatement suivie par l’ANSM (agence nationale de la sécurité du médicament) française pour ce qui est du territoire national.

La semaine dernière, plusieurs hôpitaux de l’ouest de la France ont temporairement suspendu la vaccination par AstraZeneca à la suite de nombreux syndromes grippaux recensés chez le personnel hospitalier.

C’est ainsi qu’après la vaccination d’une cinquantaine de soignants le 10 février dernier à l’hôpital de Saint-Lô (Manche), « une petite dizaine n’était pas bien, avec des symptômes du type fièvre et nausée » dès le lendemain, a relaté à l’AFP la chargée de communication de l’établissement. 20 % d’effets secondaires fâcheux sur des personnes parfaitement en âge de supporter ce type d’injection (certaines sont restées plusieurs jours en arrêt maladie), on ne peut guère parler de « normalité »…

Même son de tocsin en Île-de-France. « À l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, il y a effectivement eu des syndromes grippaux post-vaccination AstraZeneca », a ainsi alerté la semaine dernière le chef des urgences de l’hôpital Avicenne (Bobigny).

De son côté, le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) du CHU de Périgueux (Dordogne), vient de diffuser une lettre ouverte au ministre Olivier Veran, dans laquelle il s’inquiète des effets du vaccin AstraZeneca : « Depuis la semaine dernière, et suite aux premières vaccinations, un nombre considérable [de personnels soignants a] développé de très lourds effets indésirables, engendrant un absentéisme supplémentaire ».

Dans sa lettre ouverte, le CHSCT de Périgueux rappelle que le vaccin anglo-suédois est inefficace contre le variant sud-africain. L’Afrique du Sud a d’ailleurs suspendu sine die sa campagne de vaccination par AstraZeneca, après en avoir reçu plus d’un million de doses.

« Au vu des informations que nous avons pu rassembler, le pourcentage d’agents ayant contracté des effets indésirables est très élevé (entre 50 et 70 %) par rapport au seuil de tolérance en général (10 %) » constate le CHSCT de Périgueux, qui poursuit : « (…) le Nord-Ouest est lui aussi, tout comme Dunkerque, confronté aux mêmes effets indésirables », demandant en conséquence la suspension immédiate de la vaccination par AstraZeneca : « C’est pourquoi, en attendant d’avoir un retour d’expérience plus large et une idée plus précise de l’ampleur des effets indésirables, nous vous demandons de bien vouloir autoriser la vaccination des soignants et des agents avec le vaccin Pfizer ou Moderna, à l’instar de certaines maisons de santé de notre département qui en bénéficient ».

Une situation qui met à mal la propagande du ministre de la Santé Olivier Véran, lequel s’est livré le 8 février dernier au centre hospitalier de Melun à un one-piquouze-show particulièrement médiatisé en faveur du vaccin AstraZeneca :

Une prestation dont le caractère grand-guignolesque a d’ailleurs fait rire la France entière…

On se souvient des propos tenus par le ministre Véran à cette occasion : « Je continue de recommander la vaccination par le vaccin AstraZeneca, qui protège contre 99 % des virus qui circulent sur notre territoire ».

Des propos définitifs qui posent problème, puisque le ministre était déjà informé par ses services des effets secondaires particulièrement problématiques du vaccin, ainsi que de son inefficacité sur le variant sud-africain

À l’objection des journalistes présents, le ministre avait cru judicieux de répondre que : « Ce variant [sud-africain] est très peu présent sur le territoire français ». Le médecin peut-il ignorer qu’il est particulièrement hasardeux de pronostiquer la circulation future d’un virus ?…

Une explication possible concernant ce comportement quelque peu irresponsable : la puissance internationale de lobbying du laboratoire anglo-suédois, lobbying auquel le ministre français de la Santé n’est peut-être pas resté insensible.

C’est ainsi que pour l’année 2019, AstraZeneca a déclaré à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique avoir exercé en France des activités de lobbying pour un montant compris entre 200 000 et 300 000 euros

Combien dans la poche de Véran ?

Henri Dubost

Chèques à envoyer à Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

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Pourquoi une telle indifférence aux enfants, aux étudiants et aux vieillards ?

Médias et réseaux sociaux : abordons les vrais sujets, cessons d’être le bon opposant qui se fait imposer son timing par le pouvoir !

« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez ».
Professeur Denis Rancourt

Saint-Lô. Suspension de la vaccination Astra Zeneca : vingt soignants avec des effets secondaires (lamanchelibre.fr)

Voilà, le nouveau vaccin dont le ministre a fait la pub fait parler de lui et prive les services hospitaliers d’un quart de leur personnel pour syndrome grippal intense. Il semble que la durée d’immobilisation ne soit pas longue, mais néanmoins embarrassante pour les hôpitaux qui ont fait la pub à outrance de ce vaccin anticovid.

Vidéo Sandrine Sarroche “quand Véran dégrafa son corsage”

(20+) Facebook

Mise à l’écart des généralistes de terrain

Il est aberrant que les généralistes soient exclus du système de prise en charge et que les gens se fassent vacciner sans avoir été examinés par leur médecin généraliste qui connaît leurs antécédents et leurs éventuelles contre-indications, en particulier allergiques. Comme en 2008 avec les vaccinodromes de la grippe H1N1 qui restèrent vides, la volonté d’exclure les généralistes de la prise en charge des malades. Et pourtant, comme de nombreux médecins de terrain tentent de le dire en vidéos multiples, c’est bien le médecin de famille (notion que les médias décrédibilisent en permanence, mais ô combien fondamentale) qui est le pilier de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle que la quatrième révolution industrielle veut  faire disparaître et remplacer par des robots.. Les vrais médecins rencontrent physiquement leurs patients, les examinent, les interrogent avant toute prescription médicale ; et en particulier celle d’un vaccin génique expérimental jamais utilisé auparavant et quasiment pas testé. C’est pourquoi l’injection par une infirmière ou un pharmacien n’est pas acceptable. Un vaccin est un médicament à risques de complications, comme les deux mois écoulés et les vaccinations à la chaîne le démontrent de façon spectaculaire.

Les soldes et les ruées vers les stocks de Nutella chez Lidl ou vaccin, même combat

Cet engouement pour le vaccin en général semble invraisemblable et ne cesse de surprendre. Il évoque les ruées de foules lors des ouvertures des soldes ou bien de promotion sur des baskets Nike ou des lots de Nutella. Pauvre France qui n’écoute pas les messages d’alerte donnés par les pro-vaccins covid eux-mêmes et sur lesquels les habitants se précipitent à l’aveugle. Même les médias racontent comment tel ou tel hôpital arrête ou suspend la campagne de vaccination, le temps que le personnel vacciné soit en état de se remette au travail. Quant aux morts multiples survenues dans des zones jusque-là quasiment indemnes de covid-19, comme Gibraltar ou Monaco, ils n’intéressent pas les médias ni les auditeurs bientôt cobayes eux-mêmes. Lorsque les mathématiques dites modernes ont détruit l’enseignement de la mathématique et de la logique, l’esprit critique a progressivement disparu, transformant des citoyens normaux en moutons avides de téléréalité et de biens de consommation comme le vaccin.

Nous ferions mieux d’évoquer la réforme indispensable et urgente de l’enseignement plutôt que de lire un xième article sur l’activité de l’hydroxychloroquine dont on sait depuis le début de l’histoire qu’elle marche. Et, si on veut en reparler, republier les courbes de survie des pays qui l’ont utilisée (ou des drogues du même type comme l’artémisine à Madagascar. Oui, on sait indubitablement que les traitements précoces fonctionnent et qu’ils sont de plus variés. L’objectif n’est plus de démontrer que la terre est ronde mais bien d’imposer aux gouvernants d’autoriser les docteurs à retrouver leur fidélité au serment d’Hippocrate bafoué.

Les traitements précoces marchent, cela est démontré depuis mars 2020. Les médecins sont interdits de pratiquer la médecine mais autorisés à euthanasier les patients suspects de covid-19 par deux décrets, celui de mars signé Véran et E. Philippe alors Premier ministre, et celui d’octobre par Véran. Le Conseil de l’Ordre poursuit les médecins qui soignent, et ce dans l’indifférence générale. Les écoliers sont gravement maltraités par le port du masque imposé à longueur de journée. Et le discours de panique raconté par leurs enseignants pour se justifier à eux-mêmes leur lâcheté de priver les petits et même très petits des visages de leurs nurses ou de leur institutrice.

Soulignons la maltraitance qui tue les vieux, mais, pire encore, condamne l’avenir des jeunes générations

C’est de ces conséquences dramatiques qu’il faut parler maintenant, afin que cesse la maltraitance imposée par les dirigeants, mais acceptée, voire soutenue, par les syndicats d’enseignants et supportée par les familles dans le confort de l’obéissance aveugle, plutôt que de la résistance à des mesures illogiques, indignes et sans justification médicale.

Les jeunes, de la crèche à l’université, abandonnés

Il faut dénoncer le port du masque et toutes les formes de confinement, supprimer toutes mesures liberticides et donc rouvrir TOUT dès demain.
Et qu’on ne me dise pas qu’ils ne peuvent pas savoir, et croient protéger leur prochain. Des dizaines d’articles internationaux ont exposé en clair l’inutilité du masque (et la seule étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 réalisée par des partisans de cette obligation n’a pas pu en prouver l’efficacité). Et la toxicité constatée du port prolongé tant sur le plan physique que psychologique. Qu’on ne nous dise pas que les enseignants ou leurs parents ne sont pas capables de lire un article du réanimateur belge Pascal Sacré ou du professeur canadien Denis Rancourt qui, dès juillet, expliquaient clairement la mascarade.

À jouer sur les joutes pseudo-scientifiques, sur les essais ou leur absence sur chloroquine ou ivermectine, nous jouons dans leur camp, sur le terrain choisi par les autorités qui veulent cacher l’absence de conséquences de cette pseudo-pandémie dans les pays qui ont choisi de ne pas confiner et de ne pas écouter les ordres de l’OMS et du gouvernement mondial, plus ou moins en place de fait.

Les vieux des Ehpad abandonnés, condamnés par isolement et euthanasie si besoin, et cobayes des vaccins

Et qu’on ne me dise pas que les jeunes sont martyrisés pour protéger les vieux.  Ils sont sacrifiés sans raison sanitaire mais uniquement pour leur faire accepter la dictature et les vaccins. La moyenne d’âge des décès étant de 84 ans, il fallait tenter de masquer la réalité sordide : se débarrasser de quelques vieux (dont Attali répète depuis 20 ans qu’ils devraient se suicider quand ils ne sont plus utiles dès qu’ils sont à la retraite). L’eugéniste Laurent Alexandre répète à loisir et ouvertement qu’il faut utiliser les vieux comme cobayes puisque leur espérance de vie est faible.

La fermeture des bars est arrivée fin février alors que les manifestations contre la réforme des retraites se multipliaient avec moults drames – perte d’œil, etc. Le 29 février aurait dû rester dans les mémoires comme un jour noir. Le Parlement se réunissait pour parler des retraites et cela finit par l’état d’urgence et l’interdiction des manifestations. Oui, les Français ne voulaient pas être vendus à BlackRock et bien pas de problème, le virus servirait de leurre pour détruire la grande majorité des lois qui protégeaient les travailleurs et les aînés seraient maltraités.  Et ce fut fait dans le silence général des politiques de tous bords et des syndicats.

MALTRAITANCE DES AÎNÉS

Maltraitance par isolement, séparation des familles, interdiction des visites des bénévoles, bises à travers un plexiglas lors de la demi-heure parfois autorisée de visites sur ordre vague de confinement, dans l’application plus ou moins violente de directeurs d’ARS et/ou d’Ehpad qui auraient une certaine liberté d’adaptation des mesures carcérales de nos aînés venus finir leur vie dans un établissement convivial (pensaient-ils) de soins. Ils se sont retrouvés dans un univers carcéral, pas encore Guantanamo, mais on y vient avec punitions, rétorsions, si on n’accepte pas le fameux vaccin qui à 95 ans vous assurera un avenir riant des trente prochaines années.

 Raoult l’a dit très tôt ; ils sont devenus fous ! Mais l’étrange est la contagion de la folie plutôt que la révolte. Les nouveaux dictateurs mondiaux sont très forts et leur argument « les autres pays font pareil » est très efficace. On apprend d’ailleurs que des chercheurs anglo-saxons ont été rémunérés pour écrire des articles sur la Suède pour tenter de masquer que la vie normale sans confinement, sans fermeture des écoles ne constituait pas un danger puisque ce pays ne pleure pas plus de morts attribués au Covid-19 que nous.

De même, le gouvernement allemand a fait rédiger un rapport alarmiste par des complices du Robert Koch Institute de Berlin. Oui, l’OMS a proposé à Madagascar 20 millions de dollars pour mettre de petites doses de poison dans leur médicament efficace. Oui, l’OMS a voulu corrompre le Président de Biélorussie par des dizaines de millions de dollars pour instaurer le confinement de son peuple qu’il a heureusement refusé, etc. Toutes ces manipulations sont maintenant démontrées dans un silence encore général des médias mainstream où on tente de faire semblant d’être scientifiques pour démontrer l’efficacité des traitements précoces déjà bien établie, la nocivité des vaccins géniques déjà avérée, au lieu de faire éclater au grand jour les énormes manipulations organisées par les politiques afin de mettre en place leur quatrième révolution industrielle et effacer la civilisation occidentale et aussi de détruire les classes moyennes sur lesquelles repose la démocratie.

Il est temps d’oublier le virus, leurre du véritable objectif, et de bloquer le système destructeur avant qu’il ne soit trop tard.

NE NOUS LAISSONS PAS IMPOSER LES SUJETS PAR LES MÉDIAS

Il faudrait que les psychiatres expliquent quel dérèglement de l’esprit peut amener à vacciner des vieillards de 110 ou 115 ans qui ont résisté à tant de périodes difficiles comme les deux guerres mondiales. Quel est le but ? Les protéger d’un virus en voie de disparition, les faire servir de cobayes, mais il semble bien y avoir plus de volontaires que de vaccins ? Donc, discuter pendant des heures des vaccins, des morts, des effets secondaires et, comme pour la chloroquine ou l’ivermectine, oublier le bilan d’un an de manipulations et de destruction de la médecine, de l’enseignement universitaire, de destruction de 70 ans de protection sociale par les soins et les retraites, et donc de notre système de santé.

Oui les traitements précoces marchent, mais grâce à l’état d’urgence, à l’hystérie et au Plan Blanc, les cancers ne sont plus soignés et les lits d’hôpitaux continuent à fermer sans que la population ne se rebelle. Les ARS – dont la nocivité a été mise en évidence aux yeux de tous lors de cette crise – sont toujours en place avec les pleins pouvoirs pour imposer des tests PCR ou salivaires aux écoliers et fermer les écoles pour un test positif, dont l’OMS et les tribunaux ont déjà jugé l’incapacité à affirmer seuls que les « cas » sont malades ou contagieux. Mais cela, on n’en parle pas, on continue d’être un « bon opposant » discutant des sujets choisis par le pouvoir.

Reprenons la main et abordons les vrais problèmes que sont la fermeture des écoles et universités, les interdictions des visites en Ehpad ou à l’hôpital, le retard aux soins des malades urgents sous prétexte de test PCR positif. Claironnons le malheur des gens dont un proche meurt sans visite, d’accompagnement des dernières heures et même au cimetière.
L’indifférence aux appels de la comédienne Stéphanie Bataille pour l’autorisation des visites hospitalières (de quel droit divin les interdire), l’indifférence à tous les articles sur les souffrances des enfants masqués ou des vieux interdits de bisous doit cesser, si tant est que notre société veuille retrouver un peu d’humanité.

Cessons d’avoir peur d’une maladie qui n’est qu’une grippe sévère (comme l’a été la grippe asiatique de 1958-1959). Retrouvons notre humanité, notre joie de vivre, notre respect réel des vieux et notre plaisir de voir nos jeunes heureux de faire la fête et, à nouveau, de croire en leur avenir. Refusons le confinement et les couvre-feux totalement inutiles et parfaitement suicidaires. Exigeons le respect de nos droits fondamentaux et du premier d’entre eux, la Liberté.

À moins que la société projetée par Klaus Schwab, faite d’obéissance aveugle, ne plaise à la majorité d’entre nous…[1]

Tyrannie mortifère ou liberté, c’est l’heure du choix !

https://youtu.be/NslkXJGVClQ

Nicole Delépine

[1] Covid-19 : Un meurtre social qui en prépare un plus violent




Véran, agent commercial chez AstraZeneca ?

Le ministre de la Santé, Olivier Véran, l’avait toujours dit : élus et ministres ne font pas partie des “cibles prioritaires” et devront donc attendre bien sagement leur tour avant de se faire vacciner

Le 12 janvier dernier, il y a à peine un mois donc, lors d’une audition à l’Assemblée nationale sur la “stratégie vaccinale” (sic) du gouvernement, il avait même eu cette formule – assez léchée, il faut le reconnaître – : “L’exemplarité, c’est d’attendre son tour”, ajoutant : “Je suis médecin, soignant, ministre de la Santé, âgé de moins de 50 ans, je ne me fais pas vacciner”. C’était clair, précis, catégorique et définitif.

Petites précisions : Véran, médecin, c’est incontestable. Dès que l’université vous donne votre peau d’âne, vous êtes médecin à vie. Véran, soignant, c’est moins sûr. Plongé dans la politique politicienne depuis 2012, après avoir occupé diverses fonctions syndicales et associatives, notre ministre n’a pas vu l’ombre d’un patient depuis pas mal d’années.

Qu’importe. Trois semaines après, Véran retourne sa veste (ça fait des lustres qu’il ne porte plus la moindre blouse blanche) et décide de se faire vacciner.

Souvent Véran varie, bien fol est qui s’y fie

Donc hier, grand branle-bas au centre hospitalier de Melun : monsieur le ministre se fait piquouzer devant la presse. 

Ça va ?“, lui demande l’infirmière. “Ah, ben oui ! Super ! J’ai rien senti !” répond le viril Olivier. “Même pô mal” aurait dit Titeuf dans le même registre. Et le ministre de refuser avec panache le pansement que lui propose l’infirmière…

Sur ce coup-là, Véran pourrait bien détrôner Macron au titre de gendre idéal auprès des ménagères de plus de 50 ans.

Ça, c’était pour le spectacle. C’est après que les choses tournent vraiment au foutage de gueule

Les journalistes lui font gentiment remarquer que le vaccin AstraZeneca qu’il vient de se faire administrer semble d’une efficacité toute relative contre le variant sud-africain, selon une étude réalisée par l’université du Witwatersrand à Johannesburg. L’Afrique du Sud, qui avait justement choisi d’administrer le vaccin suédo-britannique à sa population, vient d’ailleurs de suspendre sine die sa campagne de vaccination dans l’attente d’une hypothétique version améliorée.

Dans un document qui sera publié lundi prochain, le fabricant lui-même émet des doutes sur l’efficacité tous azimuts de son produit…

Selon ces deux études, AstraZeneca offre entre autres une “protection limitée contre les formes modérées de la maladie dues au variant sud-africain, chez les jeunes adultes“. 

Réponse ahurissante du ministre : “Ce variant est très peu présent sur le territoire français“.

Ajoutant, catégorique : “Je continue de recommander la vaccination par le vaccin AstraZeneca, qui protège contre 99 % des virus qui circulent sur notre territoire“.

Le ministre de la Santé semble donc ignorer que le variant sud-africain inquiète les autorités sanitaires françaises, tout autant que les variants britannique et brésilien. Et, qu’en tout état de cause, il est assez présomptueux de présager de la circulation future d’un virus… 

Toujours est-il que le ministre a commandé 270 000 doses de ce vaccin, qui sont déjà arrivées en France, et que quelque 300 000 doses supplémentaires sont attendues “dans les deux jours“.

À partir de maintenant, il va falloir que ça dépote“, a-t-il conclu, en réajustant sa cravate… 

AstraZeneca peut se féliciter de disposer sur le sol de France d’un agent commercial particulièrement efficace.

Henri Dubost

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ou à l’inconscience, ou les deux : les paris sont ouverts.

 

Foutage de gueule ou inconscience ? Ou les deux ? Les paris sont ouverts.

Le ministre de la santé, Olivier Véran, vient de se faire piquouzer en public contre la Covid. Un assez joli coup de com, faut reconnaître. Quand elle a vu la vidéo, ma femme m’a dit “Beau mec, Olivier…”, en rajoutant pour la forme : “Moins bien que toi, mon chéri, évidemment”. Il paraît que même dans les EHPAD, la vidéo tourne en boucle.