La Pologne subit une invasion migratoire du fait de l’UE, l’OTAN et des USA
Pourquoi est-ce que j’ai cette sensation désagréable de ne pas être du bon côté de la frontière ? Celle des principes, celle de la liberté, celle de l’équilibre, du juste, du bon sens, de la vérité.
La Pologne subit en ce moment un assaut violent contre sa frontière par des clandestins venus d’Irak et d’ailleurs. D’où viennent-ils ? Comment sont-ils arrivés là ?
La Pologne se défend comme elle peut, et elle est lâchée par l’Union Européenne qui lui fait une guerre d’usure pour des affaires qui ne regardent pas Bruxelles. La gestion d’un pays, ses lois, sa constitution relèvent du peuple et du gouvernement élu par lui.
Les Anglais, qui ont quitté l’Union Européenne, s’incrustent à la frontière polonaise au nom d’une entraide entre pays alliés et en souvenir d’un passé. Belle image vendue à tous.
Qui sont les responsables de cet afflux de clandestins ?
Du côté de l’Union Européenne et de l’OTAN, cette organisation aux ordres des USA, il est affirmé que ce sont les Russes, parce qu’ils ne veulent pas admettre que la Bélarus est un pays souverain, sauf pour critiquer son régime politique qui n’est pas une démocratie libérale. Au fond, cela les arrange bien de mettre en cause directement Vladimir Poutine. (Source)
Du côté Russe, Monsieur Poutine et sa porte-parole des affaires étrangères rappellent que les clandestins ne viennent pas de nulle part, mais bien d’un pays que les Anglais et les Américains connaissent bien, puisqu’ils l’ont envahi pour y détruire parait-il, le monstre qu’était Saddam Hussein et ses « armes de destruction massive » qui se sont révélées inexistantes. Un mensonge d’état !
Il serait cruel de rappeler que les dirigeants qui ont fait cette guerre, ne sont plus au pouvoir et qu’ils dorment du sommeil le plus paisible qui soit, après avoir commis leurs monstruosités au nom du pétrole et sur le dos de milliers de morts irakiens, puis syriens par la suite, et y compris de leurs propres soldats morts aux combats, pour les chiffres d’affaires d’entreprises pétrolières.
Apporter la « démocratie » aux peuples musulmans comme ils l’affirmaient, relevait de l’absurdité culturelle la plus évidente.
Les peuples musulmans ont leur système de pensée basé sur le Coran, la Charia, où la démocratie à l’occidentale n’a pas cours, puisque tout dépend du Coran. La liberté individuelle n’existe pas en tant que telle. L’égalité des sexes non plus. Celle de vivre sa sexualité également. La liberté de choisir un régime qui ne soit pas issu de l’islam est impossible.
Ce fut l’explosion et la fuite des habitants qui, comme partout dans les conflits, cherchent à se protéger. Un musulman est comme un chrétien, un juif, un hindou, un bouddhiste, il aura toujours le réflexe de retarder le plus possible le moment de se retrouver face à son dieu. On dira ce que l’on voudra, mais il y aura toujours un doute… (Source)
Les Allemands en ont profité pour repeupler leurs villages et avoir de la main d’œuvre à bon marché. Les Turcs ont profité de cette aubaine pour exercer un chantage sur l’Union Européenne.
L’Italie fût submergée, et les pays de l’est, (Hongrie, Tchéquie, Slovénie, Pologne, etc.) ont décidé de préserver leurs territoires et leurs identités. Devenus libres depuis peu, ils ne souhaitaient pas se faire envahir, et surtout pas par des clandestins porteurs d’une idéologie qui les avait fait souffrir à travers l’Empire Ottoman pendant plusieurs siècles.
Eric Zemmour a raison de dire que ce flot de clandestins, le plus souvent masculins, ne pouvait pas être uniquement de pauvres innocents. Dans ce flot, il y avait forcément des ordures de terroristes. La France a connu l’exode et nous avons des photos de ce qu’est un exode sur les routes de France, de ces familles de France fuyant l’avancée des nazis. Elles n’avaient pas grand-chose à voir avec cette invasion migratoire.
Tout cela pour dire que la situation actuelle ne peut se résumer à la Pologne, à la Russie et que les racines du mal viennent de plus loin.
Ce sont les USA et les Anglais qui sont les responsables de cette invasion du fait de leurs actions militaires en Irak. A l’ONU, la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis accusent Minsk d’orchestrer la crise migratoire (Source)
Ce sont les Français, le Président de l’époque Nicolas Sarkozy et ses âmes damnées, Alain Juppé et Bernard Henry Lévy, qui auront détruit la Lybie et ouvert la route des clandestins à travers la méditerranée, l’Italie, l’Union Européenne. Et la France en particulier qui, elle, bénéficie d’un statut plus favorable à travers ses généreuses allocations de solidarités.
C’est grâce au même Sarkozy, qui aura déplacé la frontière anglaise en France, et aura généré de fait, le prurit de Calais et la dévastation du Nord de la France par des hommes venus d’Iran et d’Afghanistan, comme si cela ne suffisait pas des Algériens, Tunisiens, Marocains, autres Ivoiriens et Sénégalais.
La Pologne actuelle vit une situation crée par l’Union Européenne qui veut imposer sa volonté « droits de l’hommiste », en niant la souveraineté des nations européennes et la volonté de peuples à gérer leurs vies comme ils l’entendent.
C’est l’UE qui cherche à imposer son système juridique et ses normes à la Pologne et à la Hongrie. Et c’est la France et l’Allemagne qui laissent faire, voire encouragent les pressions sur les Polonais et les Hongrois, entre autres.
Quand un Sarkozy nous dit que ce n’est que le début de l’invasion, cela nous rappelle son « métissage obligatoire » et nous rappelle aussi, ce fameux rapport de l’ONU paru à la fin des années 1990, qui affirmait que l’Europe devrait accueillir des dizaines de millions d’immigrés venus d’Afrique. Pour eux, l’identité n’existe pas. La culture non plus. Les hommes et les femmes sont interchangeables, modulables, bientôt monnayables et bientôt en pièces détachées.
Mais les peuples ne sont pas des matières premières. Ils se défendent. Je reviens à mon malaise de départ. Je suis Français, de culture française, aimant mon pays, et je suis dans le cas de beaucoup de Français qui se sentent plus proches de la Russie de Poutine que de la France de la Macronie et de ses sous-fifres socialistes, et Les Républicains.
Je me sens trahi en tant que Français par des hommes qui se disent représentants de la France. Cette France que je ne reconnais pas. Qui n’est pas cette France que j’aimais, celle de mon grand-père Théophile Réau, qui a fait 14/18 dans les tranchées, blessé par un éclat d’obus, prisonnier de guerre en 1916, décoré de la Croix de guerre pour acte de courage au front. Pays de tous ceux qui ont combattu pour que la France puisse être ce beau pays fier et courageux.
Que penserait Théophile de cette France bigarrée, de ce pays qui aura renoncé à se défendre et dont la langue française n’est plus parlée dans le métro, les transports en commun, sur les chantiers et les arrières boutiques et restaurants ?
Des millions de morts pour rien en 14/18. Des milliers de morts pour rien en 39/45 sur les plages du débarquement en Provence, dans la résistance ?
La Russie nous démontre chaque jour que ce n’est pas elle qui veut la guerre. Il suffit de voir les manœuvres de l’OTAN à l’est, de voir ses troupes en Pologne, et les bateaux de guerre en Mer Noire pour le comprendre.
L’histoire récente nous prouve que depuis la naissance des USA, ce pays ne cesse de vouloir imposer son mode de vie et de s’accaparer les richesses des pays dans lesquels il a réussi à s’imposer.
L’histoire récente nous démontre que depuis son entrée en guerre volontairement tardive contre l’Allemagne en 1943, et que depuis le Japon, la Corée, le Vietnam, et jusqu’à l’Irak, la Syrie, en passant par l’Afghanistan, ce pays a toujours été en guerre et n’a jamais subi ce qu’il a fait subir aux autres peuples.
Je reste étonné que les états baltes, les Polonais ne comprennent pas qu’il y a plus à gagner dans un statu quo avec la Russie, qu’à jouer le rôle de pion des USA.
Oui, je suis mal à l’aise dans mon statut de Français et je regarde avec un certain tropisme la Russie de Vladimir Poutine, en regrettant que nous n’ayons pas eu un homme de cette trempe depuis De Gaulle, au lieu de ces nains politiques qui mangent dans la main des USA depuis quarante ans.
Gérard Brazon