Témoignage : 20 ans de lutte contre le crack à Stalingrad

Pour le deuxième mercredi consécutif, des riverains se sont mobilisés à l’entrée des jardins d’Éole pour exprimer leur colère face à la décision de Gérald Darmanin et d’Anne Hidalgo d’aménager un « espace » dans les jardins d’Éole, pour les toxicomanes de Stalingrad. À vrai dire, les consommateurs de crack avaient déjà élu domicile en journée dans ce parc, en attendant de retrouver la place Stalingrad, le soir, après la fermeture des jardins. Ils pourront désormais rester sur place jusqu’à une heure du matin. Exit le couvre-feu ! L’appropriation des jardins publics par des clandestins sans-papiers et des toxicomanes finit par exaspérer les riverains qui se sentent exclus d’un espace que leurs impôts ont contribué à financer.

https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/du-metro-jardins-consommateurs-crack-hantent-nord-est-paris-comme-zombies_31958470.html

Pour faire un bref historique, ces jardins sont nés d’un projet de transformer une friche industrielle ferroviaire de 4,2 hectares en un parc contemporain. Avec un budget de 13 millions d’euros, la maîtrise d’œuvre fut confiée à deux architectes, Michel Corajoud et Georges Descombes, basés à Genève. Ils avaient exprimé le souci « d’ouvrir les jardins sur le quartier ». Quinze ans après, on peut dire que le pari est gagné !

 

Déjà à l’époque, le tissu urbain environnant était défavorablement connu pour son habitat insalubre, son insécurité et une toxicomanie endémique.  Le parc fut inauguré en mai 2007 par Bertrand Delanoë. Et il faut dire que le projet ne manquait pas d’originalité : une grande prairie, une aire de jeux, un quai en bois, une buvette, des pelouses, une passerelle et une crèche …

https://www.letemps.ch/culture/naissance-dun-jardin-contemporain-printemps-parisien

Danielle Obono, députée de La France Insoumise du XVIIIe arrondissement, s’est fait huer à la manifestation, après avoir pris la parole pour oser réclamer davantage de salles de shoot !

La réquisition des jardins d’Éole est à l’image de ce qui se passe dans les autres espaces verts du Nord-Est de Paris. Le long de la ligne 2 du métro, tous les squares ont connu la même évolution, malgré les sommes englouties pour en faire des lieux agréables.

Aucun riverain n’aura idée d’y promener ses enfants : le square Louise de Marillac, base de repli des vendeurs à la sauvette du métro La Chapelle, le square Alain Bashung pris d’assaut par les « mineurs non accompagnés » marocains, les squares Jessaint, Léon, Saint Bernard-Saïd Bouziri  sont autant de lieux d’agression au cutter et de vols de portables…

En octobre prochain, les riverains fêteront le vingtième anniversaire de la première manifestation contre la toxicomanie dans le XVIIIe Est de Paris. Cela fait vingt ans que des associations de toutes obédiences se sont mobilisées sans jamais obtenir des pouvoirs publics des réponses à la hauteur de la gravité de la situation.

Ceux-ci ont d’abord tout misé sur une politique dite de réduction des risques, consistant à lutter contre la progression du Sida et des hépatites, par la distribution gratuite de préservatifs et de seringues stériles. Puis la première salle de shoot (officiellement “salle de consommation à moindre risque”), vit le jour en 2013 sous l’impulsion de Jean-Marc Ayrault, dans un local prêté par la SNCF, rue Amboise Paré, non loin de l’hôpital Lariboisière et de la Gare du Nord.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Salle_de_consommation_%C3%A0_moindre_risque

Mais, suite à une plainte de l’association « Parents contre la drogue », le Conseil d’État a jugé l’ouverture de ce centre non conforme à la loi de 1970 sur les stupéfiants.

Il faudra attendre deux ans pour qu’une nouvelle loi dite «  de modernisation de notre système de santé » consacre la légalité des salles de shoot sur l’ensemble du territoire français. Passée en force le 17 décembre 2015, avec seulement 50 voix POUR et 25 voix CONTRE pour 570 députés, elle permit la réouverture de la salle de shoot de la rue Amboise Paré. Du pain bénit pour les dealers qui bénéficient d’un marché garanti, d’autant plus que la circulaire Guigou-Vaillant du 15 juin 1999 prohibe toute présence policière à moins de 300 mètres d’un centre de soins ou d’accueil de toxicomanes.

La politique de réduction des risques fut, dès l’origine, contestée par le Collectif anti-crack de Stalingrad, comme l’attestent les documents suivants :

http://www.entretemps.asso.fr/Stalingrad/

http://www.entretemps.asso.fr/Stalingrad/Collectif.html

Des témoignages recueillis auprès de toxicomanes par la « Tournée des pères » entre 2002 et 2003, révèlent que la plupart des toxicomanes souhaitaient être soignés. Mais faute de mettre en place des dispositifs de traitements, de prises en charge psychiatriques, de centres de désintoxication, ce sont des structures d’accueil sur un mode socio-humanitaire qui ont vu le jour. À Fernand Vidal, il fut un temps où l’on a estimé que le crack était un problème social et non psychiatrique. Démission des psychiatres ? Quant aux produits de substitution comme le Subutex, le remède fut pire que le mal : apparition de nouveaux processus d’addiction, développement d’un marché parallèle de Subutex, trafics d’ordonnances, complicité de certains médecins, le tout aux frais de la Sécurité sociale.

La MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) se révèle impuissante à régler les problèmes : hausse de la délinquance, du harcèlement de rue, des crimes commis sur la voie publique, liée au crack.

Le rôle des associations dites de lutte contre la toxicomanie n’est guère plus concluant : l’accueil se limite à dispenser des premiers soins (c’est mieux que rien !) et à apporter un peu de réconfort aux toxicomanes qui ne tardent pas à s’enfermer dans la dépendance psychologique. Leurs militants, pour la plupart de culture gauchiste, sont plutôt favorables à la légalisation des drogues et se montrent peu coopératifs avec les forces de l’ordre. Pire, sur la question des salles de shoot, c’est le  « Not in my backyard » qui prédomine. En clair : on n’est pas contre les salles de shoot, du moment que c’est loin de chez nous ! La bourgeoisie bobo bien-pensante a tout dit !

 

Il n’en demeure pas moins qu’elles ont eu le mérite de tenter d’alerter les médias sur le triste quotidien des riverains.

   

En 2012, Manuel Valls crée les ZSP, zones de sécurité prioritaires. D’abord au nombre de 15, elles passent à 64 dès l’année suivante. L’idée n’était pas nouvelle car depuis 1996, des ZUS, zones urbaines sensibles, avaient été créées en liaison avec la politique de la ville, bientôt suivies par des ZRU, ou zones de redynamisation urbaine. L’inventivité sémantique bat son plein ! C’est le début d’une politique de zonage dont on voit peu à peu les enjeux : circonscrire les problèmes dans des quartiers spécifiques par l’octroi d’avantages sociaux, et éviter la contagion géographique.

https://sig.ville.gouv.fr/page/199/l-ancienne-geographie-zus-et-cucs

Mais sur le long terme, cette politique se révèle être un échec total. Les abcès de fixation de la toxicomanie ne se limitent plus à quelques foyers du Nord-Est de Paris. Et certains gauchistes comme Mounir Mahjoubi, député LRM ou Ian Brossat, adjoint au maire de Paris pour le logement, semblent même s’en réjouir et  caressent le vœu de faire partager le fléau au plus grand nombre, en proposant d’installer une nouvelle salle de shoot… aux Invalides !

Enfin, la dimension ethnique de la toxicomanie est souvent occultée par les acteurs de la lutte contre la toxicomanie. Elle est pourtant bien réelle. Il suffit de remonter au début des années 80, lorsque les drogues dures ont fait leur apparition au tristement célèbre îlot Chalon, à proximité de la gare de Lyon, à l’instar de ce qui se passait déjà dans les grandes villes américaines.

Voir le lien ci-dessous : « l’îlot Chalon, ghetto parisien de la drogue au début des années 80 » :

https://www.pistes.fr/swaps/68_05.htm

Des Sénégalais mourides ont commencé par de petits trafics avec du haschich marocain. Puis rapidement des drogues dures (héroïne, cocaïne) ont nourri un commerce nettement plus lucratif, profitant d’une « main-d’œuvre » immigrée entassée dans ce quartier insalubre, où la pègre faisait la loi. C’est alors que la rénovation du quartier, qui a commencé le 14 février 1984 par un nettoyage policier musclé, provoque un déplacement des trafics vers les quartiers Nord-Est de la capitale, où des lieux de consommation privés existaient déjà, dans des squats des XVIIIe et XIXe arrondissements.

Dès 1985, il était facile de se procurer de l’héroïne auprès de dealers ghanéens, aux alentours des rue Ordener ou Stephenson. L’arrivée des clandestins de Calais puis des « migrants » ne pouvait qu’accroître l’ampleur du phénomène, transformant le triangle d’or de la drogue (gare de Saint-Denis, Porte de Clignancourt, Barbès, Stalingrad et Porte d’Aubervilliers) en une vaste de zone de non-droit. Et après l’épisode de la “colline du crack”, la place de Stalingrad est à nouveau au cœur de la polytoxicomanie et des narcotrafics.

On ne s’étonnera pas non plus de la récupération des trafics par les islamistes, comme l’atteste déjà en 1994 l’Observatoire géopolitique des drogues.

http://base.d-p-h.info/fr/fiches/premierdph/fiche-premierdph-1994.html

Prochain rendez-vous mercredi 2 juin 2021 à 18 h devant le 62 rue d’Aubervilliers pour protester contre la réquisition par l’État et la ville de Paris des jardins d’Éole, devenus un sanctuaire pour les toxicomanes et les dealers.

Hector Poupon

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34 Commentaires

  1. Putain….j’ai failli verser une larmichette…rappelez moi combien ont RN pour les municipales…
    Je vais pas les plaindre..ils en chient pas assez…

  2. Il nous manque les vrais cracks d’antan pour éloigner le crackistan un peu plus loin…(ne rêvons pas trop, les prisons sont pleines)

  3. Je ne veux absolument pas faire l’apologie de l’alcoolisme, mais la consommation abusive d’alcool, drogue légale, m’a l’air d’être réprimée plus durement que la consommation des drogues illégales. Je propose donc au Gouvernement de faire un “Stalingrad” pour accueillir tous les poivrots de la région, avec parc à ciel ouvert (sauf en temps de pluie) pour favoriser les beuveries continuelles avec interdiction aux Forces de l’Ordre de venir importuner les boit-sans-soifs.

  4. C’est du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, que se sont opposés les forces de l’URSS à celles du Troisième Reich. En 7 mois les soviétiques venaient a bout de ce qui était considérée alors comme la plus forte armée du monde (et pour moi, la libération de l’Europe a commencée a Stalingrad et non a Omaha Beach).
    Nous au bout de 20 ans, nous n’avons toujours pas été capables de libérer notre tout petit Stalingrad, envahit par quoi? allez à la louche je dirais 200/300 zombies ….avec pour arme une pipe a crack.
    Donnez moi un peloton de 30 hommes chacun muni d’un lance flammes et je vous libère STALINGRAD en 12H00.

    • J’ai vécu dans un quartier mal famé rongé par le crack.
      Vous avez entièrement raison, qu’on me munisse d’une arme et je truciderais du zombie à la pelle, car ce ne sont que des zombies, sauf qu’au lieu d’avoir faim de cerveaux, ils ont faim de crack.

  5. C’est peut-être ici que va ce jouer la” vraie” bataille de Stalingrad……à condition d’y mettre les moyens comme à une certaine époque.

  6. Taule pour les dealers et désintoxication obligatoire pour les drogués sinon direct la taule et pour les drogués migrants et leurs dealers expulsion de notre pays ,les salles de shoot ne devrait même pas exister et le jardin Éole que les gens ont payés avec leurs impôts devrait être réservé aux gens pour se balader et promener leurs enfants, beaucoup trop de laxisme envers ces mecs là qui pourrissent la vie des riverains .

    • un toxico,malgre des cures ne s’arrete jamais Du vecu dans la famille

      • C’est exact vous avez raison, j’ai connu des cas… mais dans ces cas là une bonne over dose pour les libérer de cet esclavage. Je suis sûr qu’ils seraient soulagés de cet enfer sur terre.

      • Et bien tant pis pour eux ils n’ont qu’à pas commencer ,la drogue ce n’est indispensable comme boire ou manger ,et même si on a des problèmes ce n’est pas la drogue qui va les régler.

  7. Et cela continue depuis plus de 40 ans dans la ville de Paris. Quelle stupide prétention que de vouloir réglementer les zones de consommations de drogues de toute nature afin d’encadrer leur trafic et de, soit-disant, “protéger” les consommateurs et assurer le calme des résidents proches de ces lieux.
    Pour la santé des utilisateurs, mieux serait de les admettre,,dès constatation de leurs pratiques, dans un centre médical approprié pour les soigner et les sevrer. Pour cela, il faut d’abord adapter la règlementation en vigueur. A noter que, dans cet article, plusieurs toxicomanes le souhaiteraient mais, pour diverses raisons, n’y arrivent pas. C’est à ce stade qu’il faudrait trouver des solutions.

  8. Les bobos-collabos-parigots comme Sarko et Hidalgo se dopent à la cocaïne (filière Chirac) !
    Macron a choisi et abuse de la banane africaine !
    Le cégétiste sent un mélange de merde et de shit !
    Le crack c’est pour le gaucho dégénéré déguisé en antifa !

  9. on prend le probleme à l’envers, tant avec les toxicomanes qu’avec les alcooliques et les fumeurs, les heroinomanes…..
    pour eradiquer le probleme il faut FOURNIR la came.
    les fumeurs de crack, on leur en donne autant comme autant, ils crevent plus vite.
    les alcoolos on les branchent sur des barriques de 500 litres, ils meurent bourrés et content.
    les fumeurs, on leur donnent des paquets de cigarettes gratuit,…..bien evidemment, apres qu’ils aient tous signé une decharge de non prise en charge par les services de santé, come quoi ils assument pleinement les conséquences de leur addiction.
    et puis voila, l’etat ramasse du fric, on se debarasse des dechets, ça coute rien à la secu….
    Ah oui c’est vrai, en France on fait dans les droits de l’homme….donc ça on peut pas !!!

    • l’idée est un peu…abrupte, mais pour cacher ces candidats au suicide lent, il faudrait les isoler pour qu’ils n’importunent pas leurs collègues de travail Mais une bonne idée pour un film d’anticipation
      addictistan, la société qui participe activement à la décroissance…
      les branches mortes de l’échec traitées au sécateur (rire)

  10. Ayant habité sous les antilles et fait mes études durant sept ans dans un quartier mal famé rongé par le crack, je pense qu’il n’y a qu’une solution contre le crack, une solution à la Duterte. Pour l’instant les gens croient que c’est excessif, mais hélas, non, le trafic de drogues et de drogues dures en particulier est tellement grave qu’il s’agit d’une guerre moderne, contre laquelle il faut des moyens armés et sanglants rien de plus, rien de moins.

    • Tous t’a fais d’accord, il faut avoir le courage de les exterminer par tous les moyens !

  11. Il y en a pourtant une solution… foutre tous les dealers en taule pour 25 ans ferme…

    Mais au pays des DROITS DE L’HOMME, ce n’est pas envisageable…

    Eric Zemmour affirmait que la France était gangrenée par le trafic de drogue.

    Eric Zemmour a tort.

    Ce sont les DROITS DE L’HOMME qui gangrènent la France…

  12. Hélas cher CON patriotes, paye tes impôts, ferme ta grande gue…et fout ton masque.

  13. Comment croyez vous que les partis politiques financent leurs campagnes ?
    Uniquement avec de l’argent public et les dons des supporters ?

  14. Ont-ils pensé au lance-flammes ? Désintoxication assurée et peut-être une part de dissuasion.

  15. C’est un stand de tir “long shoot” qu’il faut. En plus le nom des lieux s’y prête à merveille.

  16. Merci pour votre article !
    Il y a beaucoup de choses que j’ignorais depuis le temps que je ne mets plus les pieds à Paris…
    Déjà il y a 20 ans les quartiers que vous citez étaient déjà pourris à l’os, alors j’imagine aisément qu’aujourd’hui, c’est devenu irréparable !
    Mais pourquoi tous ces Gôchiasses veulent multiplier les salles de shoot ?
    Ce n’est pas la peine de faire 10 ans de Fac de Médecine pour savoir que çà bouffe le cerveau, que les gosses seront aussi idiots que leurs parents, que tout ce petit monde sera à charge par la société !!
    Et ils votent tous ces shootés ???

    Dans quelle société de cauchemar vivons-nous ?
    Comme si on n’avait pas déjà assez de parasites avec les alcooliques, les immigrés et les idiots congénitaux !

    • Tout est dit, mais les élus dans cette région sont aussi shootés que ceux qu’ils veulent defendre !

  17. les citoyens FRANCAIS en ont marre de toute cette merde ! nos soldats de retour du mali vont avoir du boulot …

  18. Pour retrouver la paix, faut commencer par couper la tête des dealers et des toxicos. Le résultat serait immédiat.

  19. Merci Hector Poupon pour votre article exhaustif avec des rappels historiques qui installent cette problèmatique dans le temps !
    Alors maintenant nous parisiens nous devons nous bouger mais malheureusement avec peu d’espérance.

  20. Merci beaucoup d’alerter.
    J’habite près de Stalingrad. Avant la pandémie, je me souviens qu’en sortant du métro, il y avait déjà des crackeux degueulasses à moitié à poil hurlant dans la station. Il y avait même une pute à la sortie. Tous des noirs. Réponse de la ville. Ils ont muré les passages entre l’avenue de Flandre et la place. Mais on trouve aussi des groupes de noirs qui se droguent à l’évidence, à d’autres sorties de métros près de la Seine. Je me souviens d’un les yeux révulsés qui se contorsionnait littéralement. Personne ne fait rien. On paye tout. Pas un politique qui a les couilles de virer ces déchets de France qui sont rejoints par leurs cousins subsahariens. J’espère qu’ils vont envahir les beaux quartiers. Les élites ne font que laisser pourrir la situation à distance.

  21. Parisimmense décharge a ciel ouvert………vive les JO d’été en 2024 !! ca va chauffer niveaux agressions.

    • ça chauffera ailleurs….le nécessaire sera fait pour cacher la vermine sous le tapis….ce qui compte c’est effacer très provisoirement le “visible défavorable”

    • Pas encore sûr que les JO de 2024 soient organisés à Paris, ceux de Tokyo 2020 attendent encore…

      • Il faut infliger la peine de mort aux vendeurs de mort en poudre ainsi qu’a leurs complices les consommateurs. Peser fortement sur les pays producteurs, militairement s’il le faut. C’est une question de salubrité nationale.

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