Tentative de meurtre sur un policier : encore les « antifas » ! (Pétition)

Il y a quelques jours, Manuel Valls était l’invité de RTL et répondait aux questions des auditeurs. L’un d’entre eux, un certain Christophe (à partir de 6:07), plaça notre « Premier Sinistre » face à ses responsabilités – dénonçant le deux poids deux mesures du gouvernement qui s’en est pris aux groupes nationalistes mais laisse l’extrême-gauche commettre des violences en toute impunité. A ces déclarations, Valls avait répondu qu’il n’existait pas parmi les émeutiers de « groupes constitués ». Pas de groupes constitués, donc pas de possibilités de dissolution. Elle n’est pas belle la vie ?

https://www.youtube.com/watch?v=b_14ndX9UmI

Seulement, on pouvait apprendre hier via Novopress ,et Riposte Laïque a naturellement repris l’information, que les racailles qui ont tenté d’assassiner un policier d’origine martiniquaise en mettant le feu à sa voiture sont pour certaines des membres actifs du groupuscule « Action Antifasciste Paris-Banlieue ». http://fr.novopress.info/201186/voiture-de-police-incendiee-amis-de-clement-meric-garde-a-vue/

Le même groupuscule dont était membre Clément Méric. Un groupe suffisamment « constitué » pour organiser des manifestations sur la voie publique : la prochaine se tiendra le 4 juin au métro Stalingrad, en hommage à leur martyr. Peut-être entendra-t-on encore en cette occasion le traditionnel slogan « Un flic, une balle : justice sociale ! » ?

« L’Action Antifasciste Paris-Banlieue » organise aussi divers événements dans un local parisien baptisé « C.I.C.P ». A la différence du Local et du Crabe-Tambour aujourd’hui fermés, celui-ci ne semble guère inquiéter Anne Hidalgo.

Des mesures seront-elles prises ? Faudra-t-il attendre la mort d’un policier pour que le gouvernement daigne enfin réagir ? Nous pouvons le dire, justice et équité ne sont pas les maîtres mots de ce quinquennat socialiste.

Je lance la pétition suivante, merci de bien vouloir la signer.
https://www.change.org/p/m-manuel-valls-pour-la-dissolution-du-groupuscule-violent-action-antifasciste-paris-banlieue

Kevin Morvan