Transgenres : des femmes à barbe de très mauvais poil

Lundi 6 février 2023, en Ontario, au Canada sous la coupe du tordu Trudeau, un jeune homme de 16 ans, Josh Alexander, est cueilli par la police, sur dénonciation du personnel de l’établissement scolaire (catholique !) où il est élève.

Ce voyou dealait-il de la drogue ? Rackettait-il ses camarades de classe ? Volait-il des voitures ? Jouait-il du couteau pour terroriser les profs ? Des incivilités bien excusables. Outre Atlantique comme chez nous. Son crime est beaucoup plus grave. Et mérite un châtiment exemplaire.

Dans le cadre d’un débat sur les « genres » en classe, il a osé dire : « Il n’y a que deux sexes, vous naissez soit mâle, soit femelle. Le genre ne peut pas contrôler la biologie. » Quelle folie criminelle !

L’éducation par l’exemple

Cet hérétique a été placé dans un centre de rééducation, pour lui reprogrammer le cerveau avec des bonnes pensées. Le gardera-t-on dans une cellule capitonnée, saturé d’œstrogènes, jusqu’à ce qu’il demande, de son plein gré, à être délesté de ses roubignoles et qu’on lui retourne la tuyauterie ? La déconstruction du mâle commence par l’ablation de ses attributs virils.

La réalité n’a aucune espèce d’importance, disait George Orwell in « 1984 ». La seule vérité qui compte est celle qu’a décidée la caste dirigeante. Et si la réalité n’est pas conforme à ce que Big Brother affirme, c’est forcément la réalité qui se trompe.

Transphobie, jusqu’où le droit peut-il contredire la nature ?

On est revenus au temps de Giordano Bruno (1548-1600), brûlé vif pour n’avoir pas eu la sagesse de se renier comme son contemporain Galilée (1564-1642). Quand tout le monde affirmait à l’époque, que le terre était le centre de l’univers, par la volonté du Tout-Puissant qui l’avait choisie pour y créer les humains.

Aujourd’hui en France, l’idéologie dominante nie des faits biologiques évidents comme on niait naguère l’architecture du cosmos observée dans les premiers télescopes. Le fait pour Dora Moutot d’affirmer que seules les vraies femmes, nées femmes, ovulent, ont leurs règles et sont susceptibles d’enfanter, relèverait de la transphobie !

La loi n° 2012-954 du 6 août 2012 punit l’expression d’une hostilité à l’ égard des personnes transgenres. Si cette hostilité se manifestait par des violences physiques, des injures et des comportements discriminatoires, on comprendrait. Chacun(e) a droit au respect de sa personne dans une société civilisée. L’ennui est qu’on plonge vite dans le flou artistique lorsqu’on évoque une « hostilité relationnelle, directe ou indirecte. »

Les juges peuvent interpréter à leur guise ces concepts très subjectifs. À partir de comportements, d’impressions et d’attitudes dissociés de faits matériels précis, et reposant sur des témoignages orientés. Surtout quand on sait la pression exercée sur leur carrière, par les épigones de « la présidente ».

Il serait illégal de s’inquiéter de la présence d’hybrides pourvus de pénis dans des prisons pour femmes… Interdit de protester lorsque des individus nés mâles mais féminisés remportent des compétitions sportives féminines… Criminel de se soucier des dommages irréversibles causés par des transitions hormonales et chirurgicales sur de jeunes enfants ainsi que sur des personnes fragiles.

Puisqu’en France, tout se finit par des procès, la justice va être appelée à trancher. Dans un combat inégal. Car les requérants, des associations de bien-pensance grassement subventionnées par l’État, peuvent s’offrir les services de bavards en vue, sans qu’il leur en coûte un kopek. Tandis que la présumée coupable risque de se retrouver sur la paille.

L’objectif cynique des gauchards, qu’ils soient LGBT, réchauffistes ou immigrationnistes, est de ruiner, sans risques pour eux, ceux qui défendent des idées qui leur déplaisent, à preuve les pressions exercées sur Leetchi pour empêcher Dora de se constituer une cagnotte afin de couvrir ses frais de justice.

Le « crime » impardonnable de Dora Moutot

Militante féministe, cette vraie femme de 35 ans défend une définition biologique de la féminité. Elle affirme une évidence reconnue depuis la nuit des temps : les femmes ont des besoins spécifiques basés sur leur biologie, qui n’ont rien à voir avec l’identité de genre.

Mieux encore, loin de vouloir déconstruire les mâles, elle leur enjoint d’affirmer leur virilité au lieu de jouer les chochottes, comme le prescrivent avec insistance certains médias… Et reconnaît, au passage que les femmes au potentiel pluri-orgasmique sont avantagées par rapport à leurs partenaires. Tout en militant pour éduquer certains hommes, ceux qui ne savent pas faire jouir ces dames. La véritable égalité des sexes est dans le plaisir partagé.

Son leitmotiv : les hommes actuels ne doivent pas céder à la tentation de la féminisation, dans le cadre d’une manipulation globale par les milliardaires du NWO en vue d’imposer leur vision transhumaniste de l’espèce humaine.

Des consommateurs décérébrés, des électeurs bien formatés, des hybrides asexués, incultes et sans racines. Des clones de Macron. Pour qui l’instinct grégaire manipulé par la publicité et la propagande tient lieu de mode de pensée. Comme des singes fonctionnant aux réflexes conditionnés.

Dora Moutot a franchi la ligne blanche imposée par les faiseurs d’opinion, le 15 octobre 2022 lors de l’émission « Quelle époque » sur France 2. Questionnée par la provocatrice multi-cartes Léa Salamé, elle a qualifié Marie Cau, première femme transgenre élue maire en France, d’« homme trans-féminin ».

La claque de plateau, sûrement pas là par hasard, se déchaîne. Dora Moutot est traitée de « transphobe violente » et jetée en pâture à la vindicte des figurants-justiciers incrustés dans ce genre d’émission. Pourtant, dans ses paroles, aucune haine, aucune injure. Elle parle de sa perception, de sa réalité en tant que femme, et se revendique « femelle ».

Face un public qui l’invective (scènes coupées au montage), elle argumente calmement. Elle s’inquiète de la domination de l’idéologie transgenre pour les femmes, les enfants, et la société toute entière. Ses propos ne stigmatisent pas les personnes trans, elle défend simplement la féminité authentique des vraies femmes.

Les femmes à barbe lui cherchent des poils sur les œufs

Le 15 février, des assoces subventionnées ont déposé une plainte contre Dora Moutot pour « propos transphobes ». L’accusation repose sur deux chefs d’inculpation : injures publiques en raison de l’identité de genre, et provocation publique à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes en raison de leur identité de genre.

Par contre, nul n’évoque la question réelle qui sous-tend une telle vindicte : Suffit-il de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considérée comme telle ? Les juges vont devoir phosphorer doctement sur ce sujet. Ils devront condamner Dora s’ils considèrent que c’est un crime de haine de dire que les femmes n’ont pas et n’ont jamais eu de pénis ni de testicules ! Hormis les godes ceintures qui peuvent faire illusion pour les michetons. Et les couilles symboliques attribuées aux femmes qui ont du cran.

On ne compte plus les atteintes à la liberté d’expression

Je pensais que la caste politico-médiatique se jetterait sur l’imprécatrice Dora comme une bande de requins affamés dévorant un des leurs blessé. Finalement, ils ne sont pas tous aussi pourris que je croyais. Ou ils sont effrayés par le monstre qu’ils ont si longtemps nourri ?

Dans une tribune collective, une trentaine de personnalités, journalistes, historiens, médecins, s’insurgent contre la plainte déposée contre Dora, considérant que cette procédure menace gravement la liberté d’expression. Parmi les signataires, des gens qui ne sont pas forcément de droite comme Eugénie Bastié, Élisabeth Lévy, Zineb El Rhazoui, Marguerite Stern ou encore Patrick Pelloux.

Grâce à Dora Moutot, le panel des idées politiques s’est enrichi d’une nouvelle rubrique à brac de parias dont elle est l’unique spécimen : « d’extrême droite sans s’en rendre compte ». Donc on lui pardonne. Elle ne sait pas ce qu’elle fait !

Les femmes à barbe rasent celles qui ne les approuvent pas

Il ne fait pas bon en France poser des questions sur les conséquences individuelles et sociales de la transidentité. Et il est risqué de faire observer que, si quelques un(e)s y trouvent un bonheur en accord avec leur personnalité invertie, d’autres personnes passées par les hormones et le scalpel dépriment et se suicident.

Les psychologues Caroline Eliacheff et Céline Masson (autrices du livre « La fabrique de l’enfant transgenre »), Marguerite Stern (militante féministe), Sophie Robert (réalisatrice du documentaire « Mauvais genre » ), et même des « femen » cohérentes sont perpétuellement harcelées, menacées, diffamées, injuriées, agressées. Parce qu’elles dénoncent les dérives du transgenrisme.

Seront-elles bientôt arrêtées par la police comme au Canada ? Et enfermées dans des camps de rééducation ? La France va-t-elle se soumettre encore plus à la tyrannie des minorités comme dans le monde anglo-saxon ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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38 Commentaires

  1. transphobie, condamné! grossophobie, condamné, homophobie condamné, mais en revanche anti male blanc, anti femme normale, rien, on peut l’être ! anti français bien sur aussi

  2. Et oui, c’est un peu inquiétant d’entendre des gens poursuivis pour affirmer ce que tout le monde peut constater en allant à Beauval : la nature est férocement genrée, au point que dans le monde animal le dysmorphisme sexuel est une règle presque absolue. Et si les plumages et l’allure générale des mâles et femelles est distingué, ce n’est pas à l’école qu’ils le doivent !

  3. Les militant.e.s transgenre vont-ielles poursuivre ce.ux.lles qui ont changé de genre et le regrettent publiquement pour transphobie, ou l’ont-ielles déjà fait ?
    PS ridicule écriture inclusive volontaire, pour ceux qui ne comprennent pas le 2nd degré.

    • Si j’ai bien compris vous parlez des apostats si oui votre post est excellent .D’ailleurs ceux à qui l’on a injecté la soupe génique maintenant nous reprochent de ne pas les avoir suffisamment avertis.

    • Sont-ils des défroqués ou refroqués en tout cas ils auraient raison de l’être .

  4. heureusement que le ridicule ne tue pas :les “femmes à barbe” seraient alors déjà mortes

  5. En fait, ce n’est même pas un transgenre. Les transgenres veulent, autant que possible ressembler à l’homme ou à la femme qu’ils ne sont pas biologiquement. L’individu en illustration ne correspond plus à aucune réalité humaine.

    • C’est une allégorie. Mais pas que… Malgré les hormones et les épilations au laser, la nature peut être coriace et certains trans M=>F sont encore obligés de se raser.

      • Oui, bien sûr, Christian. En fait, ils sont toujours génétiquement des hommes, mais des hommes castrés. Leur pseudo féminité n’est qu’une apparence.
        L’allégorie en question est affreuse, insoutenable au regard, elle évoque surtout une femme à barbe.

  6. Le qualificatif “sous-homme” paraît cette fois tout à fait approprié pour désigner la créature incertaine en illustration. Sous-femme aussi, d’ailleurs. Au choix, ou les deux en même temps. En tout cas c’est très moche et ça met mal à l’aise rien qu’à le regarder..
    .

  7. Hi!Hi! Il existe une asso de féministes qu’elles ont appelé “La Barbe”:! Elles sont tellement rasoir qu’elles ont envie de se faire mousser !

  8. “Les juges peuvent interpréter à leur guise ces concepts très subjectifs” En fait toutes les lois laissent volontairement un flou ! L’élite bourgeoises c’est à dire du bon côté du manche se fout de l’autre côté. Au final, la loi protège pratiquement rien ni personne, au contraire elle détruit. Pourquoi? Laminer toute résistance afin que les uns exploitent au mieux les autres. Les lois dans le capitalisme (système d’exploitation et par conséquent d’aliénation) sont conçues afin d’entretenir l’illusion de justice. Riposte laïque fait l’expérience et démontre ce fait. Il n’y a pas d’instrumentalisation des lois, les lois (capitalistes) sont l’instrument en tout domaine.

    • Concernant l’élite bourgeoise, Golfier, je confirme à 100 %… hélas ! Un ramassis de friqués irresponsables, méprisants, décadents et n’ayant plus aucune notion de patriotisme… exceptées quelques personnes et quelques familles, trop discrètes !

  9. Pourquoi comparer la folie transgenre d’aujourd’hui à l’Eglise du XVIème siècle ?! Pourquoi toujours profiter de la moindre excuse pour calomnier et salir l’Eglise ?! Si vous n’aviez pas rejeté le Christ pour votre sacro-sainte laïcité et vos “droits de l’homme” maçonniques, vous ne seriez pas à gémir de l’explosion de la dégénérescence morale de notre société. Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

      • Il est une des nombreuses figures de l’antéchrist et pourrait faire un parfait mufti après une bonne apostasie.

      • @ Christian Navis (Joli prénom !) : Ma réponse se trouve dans votre question.

      • Il est écrit dans les textes canoniques qu’un Pape ne peut pas démissionner sous la contrainte.
        Ce pape François représente une imposture organisée sous la contrainte, avec l’aide du système SWIFT, par l’obscurantisme maçonnique mondialiste anti papal, liberticide, contre les Lumières de l’Identité chrétienne.
        Même le décès de Benoît XVI ne peut pas corriger cette usurpation.
        Cordialement.

        • Finalement, un seul homme a mérité le titre de Pape : Jean-Paul I.

          Les autres, tous les autres, ont traîné derrière eux, non pas une casserole, mais carrément l’usine AMC !

    • Notre planète a certes connu des époques terribles qui ont vu régner la plus atroce barbarie mais sauf erreur jamais une telle folie, un tel déni de la réalité humaine, déni imposé comme une loi. Il y a certes des minorités défendables mais ce n’est pas le cas lorsqu’il s’agit de minorités constituées de malades mentaux qui veulent transformer leurs délires en réalités et qui plus est les imposer comme des vérités. L’occident a vraiment sombré dans la démence.

  10. Ces gens-là relèvent de la maladie mentale et devraient faire l’objet de soins psychiatriques.
    Dans les faits divers, on retrouve des “déséquilibrés” pour moins que ça.

    • Ils auront beau faire, beau dire, menacer, punir, les hommes resteront des hommes, les femmes des femmes et les trans : plus l’un et pas non plus l’autre.

      • Dans les toilettes, il y a 3 portes : Homme, Femme, Lavabo.
        Les hommes vont dans les toilettes Homme
        Les femmes vont dans les toilettes Femme
        Derrière la porte Lavabo, il y a un lavabo et deux robinets : un robinet d’eau chaude et un robinet d’eau froide. Quand on ouvre les deux robinets, on n’a ni eau chaude, ni eau froide.
        Elle est tiède.
        Les LGBT etc…, c’est un mélange comme ce qui sort du robinet, quand on tourne les robinets d’eau chaude et d’eau froide.

  11. Giordano Bruno n’est pas du tout ce que disent les rationalistes. C’est un kabbaliste, héritier de Pic de la Mirandole, et un magicien.
    Il se ferait défoncer par les fact checkers.

    Galileo Galilei (une roue dans une roue) est une allégorie de la sphère armillaire. Pas une vraie personne.

  12. Chez les mammifères, c’est pourtant simple : il y a les mâles et les femelles .

  13. La foire aux monstre est ouverte. Je crains que nos enfants soient traumatisés à la vue de ces détraqués. Je ne le répéterai jamais assez, il n’y a que deux genres, féminin et masculin. Tout le reste n’est qu’erreur de la nature ou accident génétique. Vous pouvez appeler cela comme vous voudrez.

  14. Qu’ il est doux et harmonieux à l’ oreille le claquement du couperet de la veuve s’ abattant sur des cous de dégénérés au petit matin.
    Je propose mes services de bourreau à titre gratuit pour la découpe de (extrême) gauchistes, racailles afromuzz, racaille macrondellienne et journaputique, racaille peopolique, …
    Services gratuits aussi pour pendaison et mitraillage 😀😀

    • Vous devriez au contraire réclamer des gages à l’administration pour entretenir et entreposer vos instruments de justice…

      N’ayez pas peur de réclamer une forte somme, il vous faudra aussi indemniser vos aides ! Je vous propose ma candidature comme 1er adjoint “photographe”… car il y a pas mal de monde à qui j’ai vraiment envie de tirer les oreilles pour bien placer leur cou dans la lunette !

      • Bien sûr !
        Il faudra étudier la fabrication d’ une guillotine multitêtes et l’ engagement de “garçons de bourreau”

  15. “La France va-t-elle se soumettre encore plus à la tyrannie des minorités comme dans le monde anglo-saxon ?”
    Oui !
    Le wokisme, LGBTisme, inclusivisme, minoritisme, toute cette boue intellectuelle dégueulasse a été fabriquée aux USA depuis une bonne quarantaine d’années, et se déverse sur la France par torrents.
    Les français, nous le savons, sont de piètres résistants, et sont plutôt enclins à se gaver de netflix et de macdo (en dehors du kebab-harissa évidemment).
    Il n’y a donc quasiment aucune opposition à ce progressisme chez les jeunes, et les moins jeunes sont vite submergés. Je l’ai constaté autour de moi, c’est effarant.
    Cette révolution anti-humaine va faire de gros dégâts.

    • Où l’on voit nettement que les différents visages masculins présentés (jean-mi enfant, le gay 1, le gay 2) ne correspondent pas du tout au visage de brigitte pour la partie osseuse.
      On nous suggère que le gay 2 présente les mêmes dents ébréchées et les mêmes paupières tombantes que brigitte. Mais le reste des caractéristiques ne correspond pas.
      Pour le gay 1 c’est encore plus grotesque, il n’y a rien qui puisse le rapprocher.
      Et ensuite entre le gay 1 et le gay 2 (qui seraient censés etre le même homme, c’est à dire jean-mi !) il y a encore moins de ressemblance possible.
      L’hypothèse que brigitte soit l’un de ces personnages tombe à l’eau.
      Or, comme le dossier de natacha rey ne repose QUE sur cette hypothèse, tout tombe à l’eau.

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