Trois Français poignardés, deux églises vandalisées, gouvernement silencieux…

Si nous nous contentons de répondre par le dialogue à la violence déchaînée dont nous sommes journellement victimes – je parle des peuples chrétiens d’Europe au sens à la fois cultuel et culturel du terme – alors nous perdrons la guerre, pour l’instant sourde, que l’islam mène contre nous.

Nous n’avons l’appui de personne au gouvernement et dans la plupart des médias, c’est entendu ; mais nous sommes encore nombreux. Et le nombre finit toujours par l’emporter sur les castes dirigeantes, particulièrement lorsque celles-ci usent d’un pouvoir discrétionnaire et ne prennent jamais la peine de consulter le peuple qu’elles ne servent plus.

De plus, il y a nouvelle donne en ce qui nous concerne, citoyens ! Contrairement à l’Ancien-Régime, à l’Empire ou au régime de Vichy, le gouvernement socialiste bafoue la démocratie pour, dit-il, la protéger. Sous couvert de condamner l’injustice et la discrimination, il nous offre en pâture aux indigènes – c’est ainsi qu’ils se nomment eux-mêmes. On enferme des manifestants pacifiques dans des conditions abjectes, on condamne celui qui défend sa peau,  et l’on classe sans suite une quantité effrayante de plaintes pour agression, vol, etc., lorsqu’elles mettent en cause les « minorités visibles » ou les gangs gauchistes ! La justice est à présent ethnico-politique en France. Et l’affaire Dieudonné n’est qu’une carotte pour nous faire avancer en silence. L’antisémitisme comme la christianophobie ne seront JAMAIS combattus par la Gauche ; car cela les forcerait à s’aliéner leurs propres électeurs !

En quelques jours, l’église de La Madeleine, à Paris, a été profanée par les pseudo-féministes Femen, et samedi dernier c’était au tour de celle de Sainte-Odile – dans le XVIIe arrondissement de la capitale –  d’être saccagée. Quelles réactions du gouvernement ? Cependant, pour un graffiti sur une mosquée, c’est le branlebas, et l’on ressort le croquemitaine d’extrême-droite. Alors que faire ? Crier notre colère, l’écrire ? Oui, évidemment. Dans le même temps, considérons les Femen et autre profanateurs comme des ennemis et traitons-les comme tels. Femmes ou pas, je l’écris sans aucune honte, si je m’étais trouvé dans l’un de ces deux sanctuaires j’aurais usé de violence. Car je veux bien être civilisé, je n’en ai pas moins l’instinct de survie. Dévaster des églises c’est mettre en danger ma vie, celle-ci étant indissociable de mon identité culturelle.

Trois personnes sont mortes assassinées – délibérément, quoi que vomiront les rapports de justice – dans la nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre. Trois, c’est beaucoup. Pas assez toutefois pour que le Président prenne la parole devant le peuple et promette réparation. Leonarda semblait avoir plus de poids !

Mieux – ou pire ? –  encore : la couverture honteusement discrète des attentats qui ont frappé Volgograd en Russie. Voici comment les médias sélectionnent l’information : c’est regrettable qu’un certain champion automobile ait été victime d’un accident de ski, mais c’est insignifiant au regard des victimes russes de l’islamisme caucasien.

Certes, c’est la Russie, « l’abhorrée Russie » dont on ne parle qu’avec dégoût, parce qu’elle a compris que la médiation avec l’islam ne se concevait qu’avec des armes lourdes ! Qu’il est d’ailleurs bon de cracher sur la Russie ou Israël dans la presse française ! En attendant, ces deux pays font le sale boulot à notre place et essuient des pertes qui nous permettent de dormir tranquilles tout en leur crachant dessus. En effet, tous les islamistes abattus par les soldats russes ou Tsahal sont autant de candidats au suicide génocidaire qui ne viendront pas se faire exploser en Europe.

Défendons-nous et cessons de nous terrer dans la crainte d’une sanction pénale impitoyable pour avoir refusé de mourir comme des moutons du Croissant ! Le nombre fera loi et notre liberté créatrice ne s’en portera que mieux.

« Le Dieu des musulmans, qui, après avoir créé le monde, se repose dans son immobilité, n’excite pas les hommes au progrès, et sa religion est imposante, mais inféconde comme le désert d’Arabie où elle a pris naissance. » (Henri Martin, Histoire de France populaire)

 Charles Demassieux