Trump est un vrai chef, Macron n’est qu’un minable petit fonctionnaire pervers

Emmanuel Macron n’est qu’un petit fonctionnaire minable, incapable d’être un chef et de se conduire comme tel.

Il a passé sa vie à être fort en thème, sans jamais rien créer, sans jamais rien produire de concret et d’utile, en grenouillant de concours en concours, de stylo en stylo.

Comment peut-il parler de start up nation alors qu’il n’a jamais rien créé ?

Il a une pensée théorique, suffisante et arrogante sur tout, mais n’a aucune expérience ni intelligence pratique. Il n’a aucune intelligence des situations.

Il confond : la carte, c’est le territoire.

Il faut fusionner deux entreprises ? Il suffit de signer un contrat (comme chez Rothschild ou au ministère des Finances). Il n’a aucune idée de ce que cela implique dans la réalité, des bouleversements que cela engendre dans les entreprises.

Il n’a pas connu l’échec, vit dans son monde avec sa vieille, et ne doute jamais, ce qui par certains égards et à sa relative décharge, est normal pour lui, puisque jusqu’à présent, cela lui a toujours réussi.

Lui va bien, et il pense donc que toute la France « tourne » – C’est cette déconnexion du réel qui lui permet de parler des ouvriers en les appelant « ceux qui ne sont rien ».

Comme un sale gosse à baffer, il sait parfaitement ce qu’il fait en nommant Sibeth Ndiaye, de culture sénégalaise, en qualité de porte-parole de l’Élysée. Il sait parfaitement qu’il va énerver en invitant des « Noirs homos travelos » à l’Élysée pour la fête de la Musique. Ces perversions le font jouir.

Sur l’islam, il n’ose se prononcer clairement car c’est un trouillard, et « les Houyas » le sentent bien et en profitent…

Toutefois, alors que la crise sanitaire du Coronavirus permettrait à un chef de se distinguer et de se révéler, il montre qu’il n’est qu’un trouillard qui se réfugie derrière les « comités scientifiques », pour ouvrir les parapluies pour les problèmes futurs. Il n’est qu’un général de pacotille, qui se prend pour Napoléon, alors qu’il n’a qu’une mentalité de troufion.

Si Emmanuel Macron était un chef, au lieu de dire “nous allons acheter des masques et des tests à la Chine” (sic ! – celle-la même qui nous a mis dans le pétrin, et qui veut aujourd’hui apparaître comme la sauveuse du monde, en fournissant à prix d’or du matériel médical simple, parfois défectueux et notamment les masques dont nous avons tant besoin), il aurait pris, en un mois, des mesures d’urgence et autoritaires pour mettre en route, ou remettre en route en France, dans le délais d’un mois, des dizaines d’entreprises françaises permettant de produire des masques, des tests de dépistage, des blouses chirurgicales, des ventilateurs, et tout ce qui manque dans les hôpitaux, pour les soignants, les Ehpad, etc.

Si la France est encore la sixième puissance mondiale, alors elle est forcément capable de faire ça.

Au lieu de ça, il est uniquement capable de passer des commandes à la Chine, qui s’enrichit encore avec notre argent. C’est simple : il est nul.

Encore une fois, la comparaison avec Donald Trump tourne au ridicule pour lui. Outre le fait que Donald Trump a très rapidement fermé les frontières avec la Chine, même s’ il a commis l’erreur de laisser trop longtemps ouvertes celles avec l’Europe, car il ne pensait pas qu’on serait si nul et que le danger viendrait en fait de chez nous, il a surtout pris des décisions pratiques, pragmatiques, simples et efficaces, pour pallier au plus vite possible la situation.

Par exemple, et alors que les USA ont deux à trois semaines de retard sur l’Europe par rapport au Coronavirus, il sait que son pays va avoir besoin de respirateurs.

Il a donc réquisitionné Général Motors, pour qu’ils en fabriquent dare-dare !

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/trump-contraint-par-decret-general-motors-a-produire-des-respirateurs-20200327

Rappelons que l’État américain avait sauvé Général Motors de la faillite en 2009 et que Donald Trump les a obligés à abandonner leur idée de fermer une autre usine à Detroit pour la remplacer par une usine mexicaine.

https://www.capital.fr/economie-politique/trump-menace-de-couper-les-subventions-a-general-motors-apres-le-plan-social-1317540

En conséquence les respirateurs artificiels commencent à sortir des chaînes de production américaines par milliers, et vont largement venir concurrencer les produits chinois, tout comme l’industrie américaine avait su se mettre en branle, durant la Seconde Guerre mondiale pour fournir des centaines de bateaux, (car il fallait plus de bateaux que ce que les nazis étaient capables de couler), des milliers d’avions et de chars, des milliers de canons et d’armes en tout genre.

Cette fois, l’industrie américaine va montrer sa puissance dans l’industrie médicale.

Macron est également minable en comparaison de Benjamin Netanyahu, qui n’a pas hésité à mobiliser le Mossad, les services secrets israéliens, pour acheminer en Israël tout le matériel manquant pour protéger la population. En quelques heures, des dizaines de professionnels du renseignement et des actions commandos se sont mobilisés pour chercher, trouver, négocier et importer rapidement en Israël des produits manquants – et alors même que ces produits venaient de pays arabes qui ne reconnaissent même pas Israël officiellement !

Quelle réactivité ! Quel pragmatisme ! Quelle agilité d’esprit et d’action en comparaison du petit télégraphiste qu’est Emmanuel Macron, qui s’est révélé incapable de diriger une administration avec autorité pour anéantir toutes les lenteurs et pesanteurs bureaucratiques qui nous tuent (et pas seulement pendant la crise du Coronavirus…)

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coronavirus-comment-le-mossad-a-t-222502

Il est vrai que Benjamin Netanyahu est, comme son frère aîné décédé en 1976 lors du raid sur Entebbe,  un ancien de la Sayereth Matkal, l’unité commando israélienne la plus prestigieuse, celle qui mène les opérations les plus audacieuses en territoire ennemi.

https://www.idf.il/fr/minisites/sayeret-matkal/

Nous avons là l’exemple et le parcours de deux chefs ; des vrais.

L’un a fait ses preuves dans les affaires en construisant des dizaines de buildings en devenant milliardaire, et a survécu dans un monde de requins : celui de l’immobilier à New York. Il a toujours su réagir et se refaire lorsqu’il a connu des déboires.

L’autre a fait ses preuves dans le domaine militaire où il a planifié et participé à des actions commando en territoires ennemis, où chaque détail compte car il constitue la différence entre la vie et la mort.

En face, nous avons Emmanuel Macron, adolescent attardé qui n’a jamais été capable de séduire une autre femme que Brigitte, de 25 ans son aînée, sa seconde maman, qui a juste été bon à user ses fonds de culottes dans des salles de classe en grattant du papier, qui a bénéficié de la promotion bien française des élites via l’Ena en étant dispensé de tout apprentissage pratique à partir de la base du terrain, qui ne connaît rien de la France réelle et des Français, qui est resté perché dans un monde hors-sol en faisant des fusions- acquisitions chez Rothschild, qui n’a plus touché terre en prenant des décision engageant l’État, au ministère des Finances, comme par exemple la cession d’Alsthom et d’entreprises stratégiques à des États étrangers, sans que cela ne lui pose le moindre problème, qui se comporte de façon ridicule et puérile, comme un gamin de 5 ans en tenue de pilote de chasse devant des Rafales, alors qu’il ne mérite nullement de porter un tel uniforme, qui semble se pâmer de plaisir en compagnie de deux jeunes éphèbes délinquants « racisés » mais suintant la transpiration et qui font un doigt d’honneur aux Français.

Ce type s’enivre de mots creux, de formule débiles et se fait lui-même son cinéma.

Pour vous rappeler de quelle débilité ce type est capable, revoyez des extraits de ses délires : « pas ça, pas ça, pas ça »…

https://www.youtube.com/watch?v=RwprKV-Rs5o

À Marseille… je vois des Français… !!!!

https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=ZePFZp0QXC0&feature=emb_logo

L’Ecclésiaste disait : « Malheur au pays dont le roi est un enfant et dont les princes ont mangé dès le matin » : on y est.

Albert Nollet