Un besoin de dominer monte des entrailles de l’Europe

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Les informations tombent, impitoyables pour ces sourds qui n’entendent rien, ne comprennent rien, ne critiquent rien et obéissent.

Mais il faut les dire pour que l’avenir sache que des hommes libres existaient lors de la grande affabulation et persécution.

I. La corruption

Le mondialisme a pour but d’incorporer les corps intermédiaires, constitués pour lutter contre la concentration des pouvoirs, aux institutions qui exercent ce pouvoir, directement ou indirectement, afin de faire taire toute opposition. Des hochets et des espèces sonnantes et trébuchantes domestiquent ces hommes perdus. Un exemple.

En Australie, l’organisme principal du financement du système de santé, le « Welcome Trust », disposant d’une force de frappe financière de 29 milliards de livres est présidé par Julia Gillard, président de l’Union des Syndicats Australiens (Australian Trades Unions). A ce stade d’interpénétration des corps intermédiaires et des institutions, il n’est nul besoin d’examiner la qualité des autres membres du conseil d’administration de ce fonds pour comprendre le silence des syndicats, sensés défendre les salariés, devant l’agression de ces derniers par le gouvernement.

Il est à remarquer qu’en France le même silence des syndicats – Y compris ceux des soignants – autorise les pires affirmations, menaces contre les libertés et mesures discriminatoires contre les citoyens et parmi eux des salariés.

En Italie, les mêmes salariés ont manifesté devant le siège des syndicats à Rome sans un murmure de soutien de la part de ces apparatchiks.

Et qu’en est-il des syndicats de médecins « libéraux » ? Quelle est leur pensée quant au retrait du droit d’exercer la médecine à des milliers de leurs mandants ?

II. Le cas autrichien

L’Autriche qui a fait illusion pendant plusieurs années aux yeux des « conservateurs » européens quant à sa défense de sa souveraineté vient de démontrer la malignité des allégeances occultes qui enchaînent leurs élites.

Manipulations politiques

Alors qu’à la fin de l’été le chancelier Sébastian Kurz avait allégé les restrictions pesant sur les citoyens au titre de la « pandémie », il fut écarté du pouvoir à la surprise générale en octobre pour un soupçon de corruption. Nous eûmes la même cause alléguée pour écarter Netanyahou en Israël. Que Kurz se fut écarté immédiatement, sans broncher, parut suspect.
D’autant plus que son successeur – intérimaire qui plus est – Alexander Shallenberg s’attaqua immédiatement à la fin des libertés en décidant :

D’un confinement des seuls non-injectés et d’une obligation vaccinale au 15 février 2022.
D’un confinement général en décembre et de la promulgation des peines encourues pour non-obéissance à l’obligation vaccinale (7.200 euros d’amende et peines de prison si refus de payer)

Qu’un « intérimaire » n’attendent pas que la situation soit réglée pour le chancelier et ne se contente pas de gérer les affaires courantes est inhabituel, mais en dit long sur la manœuvre.

C’est alors que nous apprenons :

Que Sébastian Kurz, à 35 ans, pas encore mis en examen et encore moins jugé, se retire de la vie publique et donc politique.
Le même jour, on apprend que le petit dictateur, qui venait d’exclure plus du tiers de la population de ses droits, démissionne pour permettre la nomination d’un nouveau chancelier appartenant au parti du Peuple, majoritaire, dont Kurz était le président. Pourquoi n’avoir pas fait assurer l’intérim par un ministre de ce même parti lors de l’éviction de Kurz ?
Enfin on apprend que Kurz fait partie des personnalités répertoriées par Klaus Schwab au Forum économique Mondial de Davos et qu’il fut un « Young Leader », porte d’entrée du Mondialisme institutionnel.

Où est le « conservatisme là-dedans ? Car si l’on ne « conserve » pas la notion de souveraineté et donc de patriotisme, qu’y a-t-il encore à « conserver » ? Si tout ceci n’apparaît pas pour ce que c’est, il faut que nos « amis » obéissants et « bons citoyens » voient illico les écailles tomber de leurs yeux pour qu’ils soient ramenés à la vie.

Assassinat d’un lanceur d’alerte

Le docteur Andreas Noak était un chimiste de haut niveau, meilleur spécialiste du carbone en Europe.

Dès le début de la crise sanitaire, à l’instar d’autres sommités médicales ou scientifiques de par le monde, il constata que la politique de santé consistait à faire interdire les traitements disponibles et efficaces qui firent leur apparition (Hydroxychloroquine et Azythromycine, puis Ivermectine).

En novembre 2020, lors d’une visioconférence avec un partenaire, il entendit de coups violents à sa porte, il alla voir, et nous avons assisté à son arrestation brutale par des policiers militarisés qui l’emmenèrent.

La semaine dernière, il donna, dans une vidéo, son analyse du contenu des injections de Pfizer et autre Moderna, et expliqua la présence de particules d’hydroxyde de graphène dans les doses, d’une largeur de 50 nanomètres et d’une épaisseur de 0,1 nanomètres, disant que ce produit est non-dégradable et si dur qu’il peut être comparé à de minuscules lames de rasoir capables d’inciser les tissus des vaisseaux à tout endroit du corps. Il estimait que, selon lui, ce sont ces nanoparticules qui sont responsables des thromboses qu’on découvre chez les injectés, bien plus que les protéines spike de synthèse contenues dans les flacons.

A l’issue de cette vidéo, quelques heures plus tard, et devant son épouse qui s’en est expliquée, il fut battu à mort et décéda sous ses yeux. Ce crime qui succède à bien d’autres, a pour effet de valider sa découverte et de montrer que le dessein derrière cette crise n’est ni pacifique, ni avouable, ni thérapeutique mais bien politique au pire sens du terme : la domination par tous les moyens.

L’Ordre des médecins d’Autriche se dévoile

Le président de l’Ordre des médecins autrichiens, engagé et colonne vertébrale d’une tyrannie sanitaire ose s’interroger : « Faut-il attacher les récalcitrants pour les vacciner, la question se pose ! ». Donc nous y voilà, il faut que des brigades musclées se saisissent des citoyens non-vaccinés, et donc par des moyens de force, pour qu’ils reçoivent leurs piqures.

Il y a là une synthèse entre le corporatisme et le totalitarisme que les derniers « Ordres » illustrent parfaitement dans la guerre actuelle : nous devons revenir à l’ordre unanime de la société soumise aux directives des experts qui exigent d’elle qu’elle se conforme à leurs prescriptions.

Dernière nouvelle : le nouveau chancelier Nehammer du parti du Peuple, vient de déclarer qu’il fallait « diminuer la pression sur les « non-vaccinés » et prendre au sérieux les sceptiques du vaccin ». Une péripétie de plus entre les deux camps national et mondial ? Encore une preuve que cette lutte est titanesque.

III. L’Allemagne, chef de file de la « Grande Allemagne »

Angela Merkel

Dans ses derniers jours en tant que chancelier, celle qui ouvrit la porte à l’invasion de son pays et de l’Europe en 2015, celle qui enchaîna la France par la signature de son traité d’Aix-la-Chapelle, s’est permise d’imposer le confinement obligatoire des non-injectés, que l’Autriche avait déjà annoncé, avec les humiliations les plus dures à leur égard.

Voilà le visage de cette Allemagne dite démocratique dévoilé, malgré le masque, celui d’un retour à la nature profonde d’une Germanie éternelle.

Ursula von der Leyen

Merkel ayant ouvert la route, ce président de la Commission européenne sans légitimité démocratique, s’emballe et s’emporte contre le code de Nuremberg.

Dans cette circonstance, on ne pouvait pas faire mieux : une Allemande veut imposer à l’Europe une obligation vaccinale interdite par ces lois ou codes issues de l’effondrement et de la capitulation de l’Allemagne du IIIème Reich, édictés pour rendre impossible les expérimentations ou traitements sous contrainte.

Conclusion

Si on ne sait pas lire dans les dires et les faits quelle puissance est à l’œuvre, qu’on ne sait pas en tirer la conclusion que le totalitarisme est en marche avec ses projets d’unanimité dans la soumission et ses manières brutales et discriminatoires, c’est qu’on est de son côté ou incapable d’appeler un chat un chat, un voleur un voleur, un nazi un nazi et un communiste un communiste.

Georges Clément

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7 Commentaires

  1. Lorsque j’explique tout ça autour de moi, les gens se ferment !!!! pauvre France pleine de ces moutons qui crèveront un jour sans même savoir pourquoi !

  2. Nos ANCIENS, nos PARENTS, qui ont tant souffert par eux durant 3 guerres, nous répétaient sans cesse “il ne faudra jamais réunir les 2 Allemagnes”, dès qu’ils se sentent forts il faut qu’ils COMMANDENT, qu’ils ORDONNENT, qu’ils EXIGENT, qu’ils ECRASENT,. Résumé dans la phrase de Bismark “la force prime le droit”… URSULA VDL sent le boulet arriver : le cabinet d’avocats FUELMICH promet un procès international pour “crimes contre l’humanité”. Elle veut donc supprimer le code de NUREMBERG pour leur couper l’herbe sous les pieds.

  3. Rappelons-nous Soljenitsine : La Tchéka ne se serait jamais installée en Russie si les premiers tchékistes envoyés pour arrêter les opposants avaient été reçus à coups de revolver.

  4. pas de problemes tempetes de neige records de froid st petersbourg moins vingt volcanisme s accroissant ect sur tous les plans l hiver glaciaire arrive avec le temps du loup

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