Un journal allemand titre : les migrants nous domineront

« Die Zeit » provoque un tollé avec un article affirmant que les Allemands de souche seront bientôt une minorité

Le plus dur, en rédigeant cet article, fut de trouver une photo illustrant le thème de la violence « des »   migrants. Internet fourmille d’illustration de la violence « contre » les migrants. Sans vouloir me faire mousser, je pratique couramment la langue de Schubert. Ce n’est donc pas mon ignorance qui est en cause, mais l’objectif visiblement poursuivi par les médias :  faire de nous des pigeons.

Eh non, je ne repousserais jamais un clando à la mer. Jamais ! Vous me prenez pour qui ? Moi je le sauverais. Je lui filerais une serviette et lui demanderais 1) ses papiers et 2) son portable.

En l’absence du 1, carrément plus utile que le 2, je lui chope son téléphone, qui de toute façon, doit être inutilisable, le met à l’abri, lui apporte de quoi béqueter et prends plein de photos. Il n’est pas question de mon portable, mais du sien, non ? Je me fais accompagner par un cameraman aussi raciste que moi, et lui demanderais de filmer la scène.

Lorsque, quelques semaines plus tard, j’écrirai un article suggérant le renvoi des inopportuns aux deux mille cinq cents hectares découpés dans le désert arabique, leurs vagues sablonneuses fuyant, à perte de vue, vers Suez et la mer Rouge, je serai convoquée devant un juge pour incitation à la haine raciale, j’aurai au moins quelques preuves irréfutables de ma solidarité envers les nouveaux arrivés.

Bref, passons au nœud de l’histoire :

« Die Zeit“ forcé de supprimer le lien vers son article. Nombreux utilisateurs bien formatés indignés face à la rhétorique.

Le journal allemand a provoqué une tempête sur les réseaux sociaux : il affirme que l’Allemagne sera bientôt “un pays dans lequel les migrants ne seront plus une minorité”.

Excusez-moi, il ne faut pas être lecteur du Zeit, et même pas savoir lire du tout, pour comprendre que c’est la pure réalité. Exemple : pendant que moi, malheureuse, je m’acharne à trouver des illustrations pour mon article, que pensez-vous que font des milliers de ménagères importées, avec leur kabir ? Déjà que c’est dimanche et que Boubakar ne doit même pas se présenter aux bureaux du chômage pour gribouiller une croix à coté de son nom… cela lui laisse quelques minutes. Fatoumata case les 7 premiers devant la télé, jette un coup d’œil sur la pâte des Baklawas, se frotte les mains sur le tablier, rajuste son torchon crânien et se met à la disposition de son mari devant Allah, le 8^e toujours dans les bras, car Boubakar déteste les hurlements qui le déconcentrent. Le virtuose de la copulation payante n’oublie pas de faire un saut (excusez l’expression…) chez Loubna pour la faire profiter, elle aussi, de ses gamètes. Dites-moi si je me trompe. Si vous estimez que j’exagère….

Photo de Fatoumata, le lendemain du jour où elle avait servi la Chakchouka trop salée. 

Mardi, Die Zeit a publié un article sur l’irréfrénable changement démographique avec la légende suivante :

L’intégration, c’était hier : L’Allemagne est le deuxième pays d’immigration au monde, et les Allemands d’origine sont vraisemblablement appelés à devenir une minorité dans un avenir proche. Et maintenant ?

La photo montrait un groupe de quatre „jeunes“ immigrés à bord d’une décapotable, souriant à l’appareil photo, avec le titre suivant : “Ils seront les puissants”.

L’article raconte l’époque de la “patrie-famille” avant l’arrivée des invités de Merkel, (chances pour l’Allemagne) expliquant que le pays ne comptait autrefois que 500.000 ressortissants étrangers et qu‘il “appartenait aux Allemands”. Explication : ceux qui travaillent et paient des impôts.

On connaissait ses voisins. On comprenait ce qu’ils disaient, ce qu’ils croyaient. La paix régnait. L’économie se développait. Nos enfants pouvaient rentrer seuls de l’école.

Bien que rappelant une époque plus paisible avant l’immigration de masse, l’article lui-même n’est pas anti-immigration. Il tente même de persuader le lecteur que l’Allemagne a toujours été un pays d’immigration, en citant les Prussiens qui importaient des travailleurs étrangers – oubliant de préciser que la quasi-totalité de ces travailleurs étaient européens et chrétiens.

L’Allemagne serait “plus sûre que jamais” ! Les meurtres et les viols collectifs connaissent une hausse dramatique, et la plus grande part sont commis par la population étrangère.

En fait, les viols collectifs ont atteint un niveau record en 2022, devinez donc à qui attribuer la moitié des suspects?

Néanmoins, la publication de l’article sur les médias sociaux a provoqué des remous dans le paysage politique.

“Pardon ?”, a écrit – vert de rage – l’eurodéputé vert Erik Marquardt sur Twitter en réponse à l’article de Die Zeit. Pas content, l’environnementaliste. On ne s’attaque pas aux cpa’s. Tous ses copains prônent le welcome refugees, il n’a pas envie d’être écarté de la prochaine foire au rutabaga de Rothenburg ob der Tauber.

D’autres, en revanche, ont félicité le journal d’avoir attiré l’attention sur cette incontestable réalité.

Exemple : Un Allemand + 1 (ou 2) épouses = 3 ou, 4 héritiers dans le pire des cas. Dont 2 mâles, soyons positif. 2 + 3,5 = 8 contribuables

Un muzz + 3 femmes = 21 moutards, dont 11 mâles. 11 + 3 moukères = 77 potentiels parasites reproducteurs. Et ce n’est que le début.

Pas besoin d’être raciste pour comprendre que nous sommes perdus.

Les niveaux records d’immigration de masse sous des années de gouvernance permissive.

C‘est fou, tout ce que l’on trouve, lorsqu’on recherche des données indispensables à la rédaction. Ecoutez donc, Monsieur Marquardt, le saviez-vous : Durant la période de menstrues, vos invités si opportuns interdisent – dans votre propre pays, pas dans le leur, qu’ils fuient – aux femmes de rentrer dans une salle de prière sans nécessité (darûrah) sauf en cas de danger imminent, par exemple. Si ces réunions ont lieu dans la salle de prière, interdiction d’entrer. En revanche, dans une salle annexe de la mosquée comme une salle de cours alors il sera possible d’assister. Cheikh Khalîl b. Ishâq dit dans son mukhtasar : “Il est interdit [lors de la période de menstrues] de rentrer dans une mosquée (masjid) ”. L’imâm al-Khourachi commente cela en disant : “ les menstrues lui interdisent l’entrée dans la mosquée (masjid) que ce soit pour y demeurer ou y passer.” Wa Llâhu a‘lam.

Il vaut mieux habituer vos enfants à de telles infamies, car c’est effectivement ce qui les attend.

Anne Schubert

Version complète:

https://archive.is/4LThX#selection-1235.0-1245.165