Ci-dessus Azouz Begag, Nacira Guénef, Christine Tasin… il y avait aussi Ivan Rioufol sur le plateau.
Émission animée par un journaliste de France Ô (chaîne qui a disparu depuis). Ce journaliste était exemplaire. J’ai cessé d’être invitée sur cette chaîne après qu’un responsable du CCIF qui y était invité en même temps que moi a exigé que je sois désinvitée sauf à ce qu’il refuse de venir… J’ai été désinvitée… Ils avaient déjà gagné la première manche.
J’ai reçu le message ci-dessous de Paul, et j’ai pensé qu’il n’était pas inutile de le publier, il nous faut connaître et dénoncer tous ceux qui, parce que sociologues, anthropologues… confondent la recherche et le militantisme politique, mettant leurs recherches, payées par le contribuable, au service de leurs engagements privés. C’est donc l’occasion pour moi de renouer avec une vieille connaissance de plateau, accompagnée de Azouz Begag, j’avais avec moi Ivan Rioufol (qui était bien trop accommodant avec le halal à mon goût). C’était du temps où on y était invités, avant qu’ils ne comprennent que loin de nous ridiculiser nos interventions ouvraient les yeux des Français.
Le débat me semble intéressant à revoir, on mesure le chemin parcouru en 11 ans, entre l’apéro-saucisson-pinard, la campagne contre le halal… ce que l’on pouvait dire alors. Et notre gentillesse. On était prêts à discuter, à refuser les fondamentaux de l’islam comme les mosquées mais à accepter des petites salles de prières… À présent je suppose que je serais poursuivie au tribunal pour une bonne partie de mes paroles pourtant mesurées, dites sans agressivité, en souriant… Le camp d’en face s’est durci, cristallisé, renforcé. Et donc le nôtre aussi par réaction, forcément. En seulement 11 ans… ça fait peur.
Christine Tasin
Bonjour Mme Tasin, ce message d’abord pour vous remercier de votre clairvoyance, avec M. Cassen, sur l’islam totalitaire et guerrier, quiconque lit l’avant-dernière sourate 9 du Coran, donc abrogeante, non contredite par la dernière, la 110, peut se rendre compte de son aspect raciste antimécréant, totalitaire, guerrier et meurtrier, un Coran génocidaire pour les mécréants et leurs idées, un obscurantisme total à l’opposé des Lumières et de la laïcité.
France Ô ‘Toutes les France’ Ahmed El Keiy le 13/03/2012
Un débat à ne pas rater pour ceux qui sont concernés par le scandale de l’abattage rituel et de la viande halal qui est imposée aux consommateurs.
Nacira Guénif-Souilamas, née le à Soisy-sous-Montmorency, est une sociologue et anthropologue française, professeur des universités à l’université Paris-VIII.
Les recherches de Nacira Guénif-Souilamas portent sur les questions de genre et d’ethnicité, le rapport entre immigration et intégration dans les sociétés contemporaines, les formes familiales et générationnelles contemporaines, la déconstruction des stéréotypes raciaux, culturels et sociaux, l’imposition des normes et les assignations identitaires, les discriminations, et le racisme. Intellectuelle engagée, elle est proche du Parti des Indigènes de la République animé par Houria Bouteldja1,2,3.
[…]
Elle étudie à l’université Paris V Descartes, où elle obtient un DEA d’anthropologie sociale en 1983. Elle soutient un doctorat en sociologie en 1998 à l’EHESS, puis une habilitation à diriger des recherches. Sa thèse intitulée « Artisanes de libertés tempérées, les descendantes d’immigrants nord-africains en France entre sujétion et subjectivité » obtient le prix Le Monde de la recherche universitaire6.
[…]
Nacira Guénif est membre du réseau de recherche et de publication « Terra »12, et vice-présidente de l’Institut des cultures d’Islam de la mairie Paris, situé dans le quartier de la Goutte d’Or11.
Elle publie dans l’hebdomadaire d’actualité Politis, d’abord ponctuellement depuis 2009, puis mensuellement dans une chronique intitulée « Intersections », en alternance avec Rose-Marie Lagrave et Christelle Taraud.
Nacira Guénif est une « ancienne conseillère de Ségolène Royal »13.
Le , elle est membre du jury des Y’abon awards de l’association Les Indivisibles.
Selon Caroline Fourest, Nacira Guénif-Souilamas est la sociologue des Indigènes de la République et d’Une école pour tous14.
En , elle cosigne une tribune dénonçant le texte d’orientation adopté pour trois ans par le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) à son congrès des et à Bobigny. Les signataires de la tribune contestent « l’emploi de manière a-critique » de l’expression « racisme anti-blanc » évoquée dans le texte d’orientation15.
En 2016, elle signe une tribune de soutien à une rencontre réservée « aux personnes subissant à titre personnel le racisme d’État en contexte français »16 ; elle y affirme que :
« le groupe dominant fait partie du problème : les personnes blanches qui ne subissent pas le racisme et ne luttent pas contre, de fait, s’en accommodent et le légitiment. Il y a donc la volonté de construire un entre soi protégé, pour monter en puissance et parvenir à s’organiser17. »
[…]
Antisémitisme
Le , Nacira Guénif est appelée à témoigner aux côtés de plusieurs associations qui se sont constituées partie civile (le CCIF, la LICRA23, SOS Racisme24,25 et la Ligue des droits de l’homme26) dans le procès intenté à l’historien Georges Benssoussan. Lors du procès, elle « assure que l’insulte “espèce de juif, mes excuses”, souvent utilisée en arabe “est passée dans le langage courant et ne signifie pas la haine des juifs”27 »28.
En 2020, Nacira Guénif-Souilamas déclare avoir été désinvitée d’un colloque en Allemagne parce qu’identifiée comme antisémite29.
[…]
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nacira_Gu%C3%A9nif-Souilamas
Christine Tasin
le procès antisémite déclaré à G.B. à l’époque reste comme un marqueur avancé de l’antisémitisme musulman et gauchiste en france : “espèce de juif” n’est pas une insulte dans la bouche de l’islamo gauchiste et “est passé dans le langage arabe courant etc.. ” d’aussi lamentables explications à la haine des juifs laissent pantois – imaginons que “espèce d’islamiste” passe dans le langage courant, il n’y resterait pas longtemps
Nacira, fille d’harki ??? ¿¿¿¿
Alors si, on peut se demander ce que la France serait devenu si tous les soi-disant “français d’Algérie” avaient été “rapatrié” en metropole