Un migrant sur deux infecté par une maladie “disparue d’Europe”

Selon l’ONG « Médecins sans frontières », que l’on ne peut pas soupçonner d’être d’extrême droite, ni même de droite, un migrant clandestin sur deux serait infecté par une maladie « disparue d’Europe » depuis des décennies. C’est le résultat d’une étude effectuée sur un échantillon de plusieurs centaines d’individus, testés dans des centres d’hébergement, des foyers d’accueil et des réseaux de distribution alimentaire.

Ce fut d’ailleurs le cas lors du récent « Covid-19 » : les « étrangers », représentant 90 % de l’ensemble des « testés », affichaient un taux de positivité de 55 %, sans aucun doute à cause de la promiscuité, selon Corinne Torre, cheffe de la mission MSF/France.

Il est donc probable que des milliers de migrants clandestins, y compris de mineurs isolés, soient « porteurs » de ces maladies, comme ce fut le cas pour le Coronavirus, et que, ne pouvant pas être isolés séparément, ils poursuivront la progression des cas infectés.

Mais également, combien de milliers de ces migrants clandestins, donc en situation irrégulière, y compris de mineurs isolés, se sont disséminés sur tout le territoire européen et ne peuvent être ni contrôlés, ni testés, ni soignés ?

La première mesure préventive serait d’éviter que de nouveaux migrants clandestins, porteurs de ces maladies, ne viennent grossir les centres et les foyers d’accueil… et les cas de « positivité » et soient donc « contrôlés avant leur départ du continent africain ». 

Ces situations, extrêmement préoccupantes, inquiètent également les autorités espagnoles et c’est la Commissaire européenne aux Affaires intérieures, Ylva Johansson, qui l’affirme : « Les migrants arrivant clandestinement, notamment aux Canaries espagnoles, à un rythme insoutenable et l’on constate une augmentation de 700 % par rapport à 2019 ». Cela est confirmé par le ministre de l’Intérieur espagnol. « Depuis le début de l’année, plusieurs milliers de migrants clandestins ont débarqué, transportés par des centaines de  “pateras” (embarcations de fortune).

Il est à déplorer que plusieurs centaines de ces migrants, partis des côtes africaines vers les îles ou l’Europe, aient disparu lors d’un naufrage de l’une de ces pateras ou d’une embarcation de fortune.

Depuis longtemps, l’on soupçonne certaines ONG d’être les complices des réseaux mafieux de passeurs et cela est, à présent, une certitude (mais était-ce nécessaire de nous le confirmer ?).

En effet, la police grecque a démantelé un réseau international d’ONG, sous pavillons allemand, autrichien, norvégien, suisse, bulgare, et probablement d’autres pays comme l’Espagne et même la France, suspecté d’avoir, ces dernières années, organisé au moins une centaine de traversées illégales et transporté des milliers de clandestins, de la Turquie vers la Grèce, fournissant des renseignements sur la position des gardes-côtes (selon l’hebdo allemand « Junge Freiheit »).

Plusieurs dizaines d’employés de ces ONG ont été interpellés et sont accusés de « crimes organisés et d’espionnage ».

Selon « Frontex » (police européenne des frontières), environ 400 000 migrants clandestins ont rejoint illégalement l’Europe au cours de ces dernières années.

Combien depuis début 2023, puisque les cinq premiers mois ont déjà battu tous les records ? Frontex nous en informera en fin d’année et, sans aucun doute, ce record sera battu en 2024 et les années suivantes. Il s’agit là de l’une des seules certitudes en ce qui concerne le devenir de l’EUROPE !

Manuel Gomez