Un mondialisme bien ancré dans les esprits pour le malheur de l’humanité

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La mondialisation se réalise sous hégémonie judéo-protestante et sino-marxiste-léniniste, avec des relents nazis. Un choc des titans oppose le camp messianique transhumaniste des dystopies de Orwell et Huxley au camp de l’enracinement et de continuité naturelle de la vie organique des peuples et des nations.

Les milliardaires mondialistes haïssent les chrétiens, les patriotes, les nationalistes, ennemis naturels et obstacles à leur objectif de gouvernement mondial sans frontières. Le mythe fondateur de cet Occident globaliste est l’exceptionnalisme, et son dérivé l’impérialisme. L’idéologie mondialiste repose sur des mensonges :
Mensonges politiques : la démocratie, la séparation des pouvoirs, la souveraineté populaire, l’élection, les fausses promesses : la vidéo surveillance permettrait d’endiguer la criminalité.

Mensonges culturels : la cancel culture, le wokisme, le Tout culturel, l’anti-racisme.
Mensonge religieux : une religion mondiale fondée sur des croyances ésotériques.
Mensonge technologique : le transhumanisme.
Mensonges sociétaux : la théorie du genre et ses dérivés LGBTistes.
Mensonge écologique : le réchauffement climatique anthropique, les éoliennes.
Mensonge sanitaire : virus, vaccins.

Nous devons accepter ces mensonges, nous devons proclamer que ces mensonges constituent la vérité. Ainsi, des faussetés proclamées deviennent des dogmes séculaires. La notion de « vérité » perd tout son sens. La « vérité » s’accorde avec la ligne protocolaire, avec la narration officielle. La violence s’exerce au nom de l’argutie « parce que nous le pouvons », au nom de l’idéologie « parce qu’on le peut ». Exemples : les guerres génocidaires en Irak, en Lybie, l’attaque terroriste du Nord Stream 2. La société s’ouvre clairement et ostensiblement sur le mensonge, la violence et le terrorisme. Les oligarques suggèrent : « c’est bien si nous le faisons, et c’est mal si vous le faites ». Il y a donc supériorité de la classe dirigeante sur le peuple. Si j’accepte le mensonge, je suis « une bonne personne ». Si je refuse le mensonge, je suis complotiste, antisémite, fasciste… Le racisme dirigé contre les personnes défendant les valeurs traditionnelles devient un pilier central de la vision du monde des globalistes.

Les gens ordinaires ne peuvent plus contester l’autorité et les décisions des personnes au pouvoir. Les minorités extrémistes établissent un Ordre mondial monstrueux et tyrannique.
Le gouvernement produit un état d’Apocalypse permanent dans les esprits afin d’obtenir un consentement immédiat et faire en sorte que le dissident soit accusé de trahison. Par exemple, pendant la crise du Covid, l’inoculation Pfizer ne protégeait pas de la transmission ; le confinement, les auto-attestations de sortie, la suspension des soignants, n’avaient aucune base scientifique. Mais si je n’obéis pas, je suis un traître, responsable de la mort d’enfants. Des commentateurs télé accusent les non vaccinés de tuer, de commettre des meurtres. Cette Apocalypse donne un pouvoir considérable sur les masses, sur les peuples, un pouvoir à long terme, un pouvoir de créer des habitudes, et les habitudes font l’homme.

L’aveuglement pour la fiction du progrès affiche cet « habitus », manifeste l’hubris des transhumanistes, démesure, péché d’orgueil, volonté de toute puissance. Ce soi-disant progrès, entaché d’erreurs, perclus de croyances, devient une religion. Et on ne peut pas s’écarter de la « sainte parole » progressiste, sous peine d’être marginalisé, criminalisé, diabolisé.

Les révolutionnaires mondialistes recourent à une telle violence mesurée. Ils considèrent tous les habitants de la planète comme des bouches à nourrir et des ennemis de Gaïa, la Terre-Mère. Ils entreprennent une œuvre de dépopulation « propre », c’est-à-dire ils ne commettent pas d’assassinats, pas de meurtres, pas de torture comme ont fait leurs prédécesseurs, mais ils camouflent ces crimes. Les opposants les plus célèbres et dangereux se suicident ou s’éteignent de mort naturelle, ou sont emprisonnés. D’autres moyens permettront l’élimination du peuple : les épidémies, les vaccins, la malbouffe, les chemtrails…

Le régime mène une guerre de terreur contre le peuple en démantelant les infrastructures alimentaire et énergétique qui maintiennent les gens en vie, en libérant des prisonniers violents dans les rues, en incitant les clandestins à venir. Le régime saisit toutes les opportunités pour affamer, geler, harceler, tourmenter, vacciner le peuple. Des dictateurs prennent plaisir à voir souffrir les autres, c’est ce que font nos gouvernants.
Les politiques en place ne tombent pas du ciel. Ils ont été formatés et répartis par diverses forces. Dans de grandes écoles, on leur apprend que tout a une solution politico-techno-scientifique. On leur fait lire un traité de marketing plutôt que Cicéron, ou Blaise Pascal, ou Alain = Emile-Auguste Chartier. Ils sont initiés à des techniques et non à l’humain. Ils ne peuvent pas comprendre au sens affectif du terme.

Les mauvaises habitudes nous mènent tout droit vers le techno-totalitarisme. Offrir nos historiques d’achat aux GAFAM, Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft, se paiera très cher. De plus en plus de personnes se passent du cash, paient avec une carte de crédit ou avec leur smartphone. À force de sacrifier notre vie privée sur l’autel de la facilité, le monde pourrait se transformer en dystopie high-tech, en enfer et anormalité technologique : la vision politique, sociale et technologique décrit une évolution monstrueuse.

Les pouvoirs régaliens pour être souverains et ne dépendre de personne sont supprimés : battre sa monnaie, faire les lois, rendre la justice, décider de la paix et de la guerre, créer sa propre énergie.
Les dirigeants décideront où nous vivons, ce que nous mangeons (insectes et mauvaises herbes), comment nous nous reproduisons ou nous ne nous reproduisons pas, comment et où nous nous déplaçons. Autrement dit, nous ne maîtriserons pas nos fonctions d’habitat, d’alimentation, de reproduction, de déplacement. Le cartel économique mondialiste non élu pousse l’humanité dans le servage, la pauvreté et le dépeuplement. Nous allons vers un gouvernement supranational mondial, dans lequel seuls les acteurs milliardaires déterminent les politiques mises en œuvre.

Sur de nombreux sujets, les décisions sont prises par quelques personnes non élues, la théorie du genre, les spectacles de drag queen imposés aux enfants, les élections truquées, les « vaccins » tueurs et invalidants, les passeports vaccinaux, la censure agressive, les monnaies numériques, l’identité numérique, l’Intelligence artificielle, la recherche sur le gain de fonction, les villes de quinze minutes, le transhumanisme, la guerre avec la Russie, les accidents suspects, la fin de la souveraineté nationale, la gestion étatisée de tous les écosystèmes, l’abolition de la propriété privée, la restructuration de l’unité familiale, la création de zones de peuplement humain, le repeuplement de masse, la restriction majeure des déplacements, l’attribution du travail, indifféremment des choix personnels…

Tous ces événements sont mis en place par des agents et serviteurs de l’État profond pour faire avancer l’agenda élitiste. Dans une première phase, on crée les conditions installant le chaos, on détruit les structures, on perturbe les relations et interactions sociales, on cultive des sentiments d’incertitude, de polarisation et de terreur, on trouve un groupe bouc émissaire, on influence l’opinion populaire, on soumet la population afin qu’elle voue une obéissance servile aux gouvernants, on déclenche des guerres ou des actions contre un terrorisme qui n’existe pas. La violence anarchique, la peur, provoquent un état d’instabilité exigeant un système nouveau, un ordre autoritaire mondial. Dans une deuxième phase, on suggère une solution qui présente le globalisme comme le seul instrument capable de sauver la nation, on présente les élites comme le meilleur choix pour rétablir l’ordre. Nous vivons l’actualité de Descartes, l’homme au masque. Le Diable n’a pas de visage, ses adeptes portent souvent un masque.

Nous sommes soumis à une société de propagande, nous vivons dans une société de propagande, nous subissons une annihilation culturelle, nous endurons un asservissement à de bas instincts, nous constatons une dilution des spécificités nationales au sein d’un ensemble uniformisé par le multiculturalisme et désarmé par le relativisme. La laideur du monde va de pair avec le remplacisme global. C’est l’ère du faux, de l’ersatz, du monde remplacé et liquéfié, où plus rien n’est authentique ni identifiable. Selon les récentes conventions de l’ONU sur la protection des enfants, les parents n’ont plus le droit d’interdire à leurs enfants ce qui pourrait aller à l’encontre des traditions morales ou religieuses. Le but des Illuminati est de libérer les hommes de leurs attaches à la tradition et à la religion. Le programme éducatif mondial de l’UNESCO est un outil puissant pour agir sur la façon de penser. On développe chez les jeunes à l’école et à l’université la « libre opinion », en fait opinion fabriquée. La réalité constitue le meilleur antidote à cette société de propagande. Mais comment tout cela peut-il être accepté par le peuple ?

Quand on va voir un match de foot, quand on est sous l’emprise d’une drogue, quand on est rivé devant sa télé, on ne se pose pas la question de la domination politique. La Boétie montre bien que cette stratégie a un double intérêt. D’une part, elle détourne l’attention du peuple de sa servitude. D’autre part, elle induit un amollissement du cerveau. L’accoutumance au divertissement nous fait perdre le goût de la liberté. La stratégie de relâchement de la volonté par le divertissement montre bien que le pouvoir ne s’exerce pas uniquement par la force. En effet, lorsque le pouvoir s’exerce par la force, il devient visible. Le pouvoir s’exerce d’abord par la ruse. Particulièrement aujourd’hui, où les formes de loisirs prolifèrent. Le divertissement, c’est la ruse du pouvoir pour produire un affaiblissement de la volonté et un abrutissement de l’esprit. On rend les individus consentants et donc acteurs de leur soumission. Un peuple diverti est un peuple consentant. D’où la multiplication des épreuves sportives télévisées, des jeux et des séries télévisés stupides, des spectacles débiles…

Georges Bernanos, écrivain français (1888-1948) : « Je pense depuis longtemps que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la curiosité, ni même les représailles de la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public ».

Bruno Latour, sociologue, philosophe français (1947-2022) : « Le contraste entre le calme avec lequel nous continuons à vivre tranquillement et ce qui nous arrive est vertigineux ».
Gilles Deleuze, philosophe français (1925-1995) : « Le pouvoir exige des corps tristes. Le pouvoir a besoin de tristesse parce qu’il peut dominer. La joie, par conséquent, est résistance, parce qu’elle n’abandonne pas. La joie en tant que puissance de vie, nous emmène dans des endroits où la tristesse ne nous mènerait jamais ».

Edouard Snowden, : « Ceux qui s’en foutent de la mise en place d’une société de contrôle parce qu’ils n’ont rien à cacher, sont aussi ceux qui n’en ont rien à foutre des atteintes à la liberté d’expression parce qu’ils n’ont rien à dire ».

Jean Saunier

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6 Commentaires

  1. le mondialisme et le progressisme sont l’enfant du marxisme, comme le disait Kroutchev: “le marxisme de Staline est le premier progressisme”

  2. Article intéressant en effet. Reste tout de même à se demander pourquoi la culture est si facilement complice de sa propre négation. Et là, ce n’est ni Deleuze ni Latour qui peuvent aider à creuser. Il faut analyser de manière bien plus précise les mécanismes des mirages, mensonges et illusions des cultures et de la culture. Ensuite seulement, on peut en réaliser les promesses.

    https://www.youtube.com/watch?v=595nvzb7lP4

  3. et pourtant…..on a pu en lire des bouquins de S-F, visionner des séries et films dystopiques traitant d’un avenir aussi sombre et maléfique que celui vers lequel les gens acceptent globalement d’être dirigés, sans parler des grosses défonces expérimentées qui montrent à la Conscience les images d’un enfer tout à fait possible si on se laisse aller à l’hédonisme à égoisme pur…ben non, on fait comme si tout passé servant de leçon n’eût jamais existé et qu’il fallait apprendre à vivre juste maintenant aujourd’hui sans l’aide ni de Dieu ni de tout humain qui vous entoure, leur plan marche magnifiquement. heureusement qu’on est une poignée à rester vigilants.

  4. Monsieur Saunier je suis bien étonné ,de nombreuses heures après la publication de votre article qu’il n’y ai encore aucun commentaire pour vous en remercier puisqu’une fois de plus vous nous offrez en quelques paragraphes un résumé si précis nous décrivant avec tant de talent la façon et les raisons de notre glissade continuelle vers le plus grand non sens..J’ai déjà recopié certains de vos papiers ,celui-çi probablement)pour sans doute être à même, à l’occasion d’en avoir pu retenir l’essentiel Bien que la teneur de cet article donne des sueurs glacées on y trouve un vrai plaisir à avoir l’impression de mieux comprendre l’état des choses .Merci encore

    • C’est normal car les lecteurs de RL sont largement aussi cons et manipulés que les autres ! Parlez d’Israël, des arabes de l’Ukraine et de Z émouvant ou MLP le sauveur vous aurez beaucoup de lecteurs !!!

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