Un quinquennat Macron de plus et la France aura disparu

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Nous voici donc à mi-mandat d’un quinquennat qui devait propulser la France vers le monde d’après. Mais force est de constater qu’après 30 mois de gesticulations tous azimuts, c’est un bilan peu flatteur que l’on peut dresser de l’action présidentielle, malgré le concert de louanges quotidiennes déversées par une presse totalement soumise et acquise au mondialisme.

Notre Président, qui ne pense qu’à sa réélection en 2022,  s’inquiète de sa popularité en chute verticale. Comme si  un chef d’Etat  pouvait être aimé après avoir insulté son peuple et sali son pays comme aucun président au monde ne l’a jamais fait. Et que dire de l’affaire Benalla, qui a dévoilé les méthodes de gouvernance quasi-mafieuses de l’Elysée !

Sans parler des frasques élyséennes lors de la Fête de la musique de 2018 ou au cours du voyage présidentiel à Saint-Martin. Des photos sordides qui ont humilié les Français.

Cette première moitié de quinquennat  fut d’abord celle de l’arrogance et du mépris envers le peuple, jusqu’à la révolte des Gilets jaunes, qui fit redescendre Jupiter sur terre. Il se croyait aimé, il est détesté.

Depuis un an, la menace d’une autre révolte populaire inquiète quotidiennement l’hôte de l’Elysée, au point que son action est paralysée. Le “grand réformateur” n’ose plus bouger.

Partout où il se déplace, il ne sait que dire : “Ca ne se fera pas en un jour”, “Tout ne se fera pas en un mois”, “On ne va pas le faire en deux mois”, soudain conscient que les Français  ne voient aucune amélioration de leur quotidien, bien au contraire. D’ailleurs, les élections européennes ont montré que le compte n’y est pas, puisque c’est le RN qui a  raflé la mise.

Evidemment,  ses fans mettent en avant  la réforme du marché du travail, la modification de l’ISF, le prélèvement à la source, la réforme SNCF, l’allègement des charges des entreprises ou la suppression de la taxe d’habitation. Mais est-ce là un bilan suffisant, alors que 85% des Français ont soutenu le mouvement des Gilets jaunes et  que le 5 décembre se présente comme une journée d’action massive ?

La vérité est qu’Emmanuel Macron n’aime pas le risque. Dès 2017, il a montré les limites de son courage politique et  affiché son mépris de la démocratie, en capitulant  honteusement devant les squatteurs de Notre-Dame-des-Landes. Il s’est assis sur le référendum populaire et sur des dizaines de décisions de justice, toutes favorables au projet. Ce renoncement était annonciateur d’une immense faiblesse politique.

Sa deuxième faute impardonnable, fut de se mettre à dos la hiérarchie militaire en poussant à la démission le grand serviteur de l’Etat qu’était le général de Villiers. Jamais un chef d’Etat intelligent  n’aurait  humilié le Cema devant ses pairs et devant des officiers étrangers ! Mais Macron est un impulsif orgueilleux qui ne se maîtrise pas.

Pour l’école, toujours plus violente et islamisée, on attend des mesures énergiques qui ne viennent pas. L’immigration nous entraîne dans les bas-fonds du classement  Pisa.

Pour les hôpitaux au bord de l’explosion, on attend des  solutions pour améliorer le sort des personnels de santé sous payés et soumis aux violences des patients.

Pour les prisons surpeuplées, on constate que les 17 000 places de prison promises en 2017 ne seront plus que 4000. Plus la délinquance augmente, plus on cherche à vider les prisons avec des peines alternatives, totalement inefficaces. Dans les banlieues, un bracelet électronique c’est un trophée.

Pour la police et l’armée, deux institutions régaliennes sollicitées comme jamais, l’effort demandé est inversement proportionnel aux moyens alloués. Tout l’argent passe dans l’accueil des migrants. Nos policiers se suicident de plus en plus et nos soldats font la guerre avec du matériel hors d’âge.

Rien n’est fait pour améliorer le sort de nos paysans, écrasés par la concurrence déloyale des accords commerciaux qui les étranglent et par des normes règlementaires qui les ruinent. Les suicides s’enchaînent dans l’indifférence générale.

En matière d’insécurité, c’est la catastrophe, avec 1000 agressions gratuites par jour et une explosion des violences, qui font que les 2/3 des citoyens ne se sentent plus en sécurité nulle-part. Mais c’est le laxisme qui prévaut.

L’immigration pulvérise tous les records et Macron a avoué à Mayotte qu’il était  impuissant. Pour lui, c’est une fatalité et il faudra vivre avec. Sa réforme bidon se traduit par un élargissement du regroupement familial, une augmentation de l’immigration du travail alors que nous avons 6 millions de chômeurs, et par une explosion du nombre d’étudiants étrangers. Tout n’est que poudre aux yeux.

Sous couvert de volonté réformatrice, il met en place la société multiculturelle de ses rêves, évacuant le ratage de l’intégration.

Quant à l’islamisation de la France, elle avance au grand galop, Macron refusant obstinément de combattre l’islam politique omniprésent à tous les niveaux. Au cri d’Allahu akbar dans les rues de Paris, les islamistes se sentent pousser des ailes et les mini-califats se multiplient dans les banlieues.

Le chômage reste scotché à 9%, alors que dans toute l’Europe il baisse de façon significative.

La hausse du pouvoir d’achat dont se gargarise le pouvoir, n’a été obtenue que par l’emprunt. Les 17 milliards accordés aux Gilets jaunes viennent alourdir nos 2500 milliards de dettes, soit 100% du PIB.

Incapable de maitriser les dépenses, Macron voudrait s’affranchir des règles budgétaires européennes pour emprunter davantage. Des règles d’un autre âge nous dit-il.

On attend la grande réforme constitutionnelle, reportée de mois en mois. Sera t’elle enterrée pour ne pas froisser le Sénat ? Proportionnelle et diminution du nombre d’élus sont pourtant un souhait des Français.

La réforme des retraites, qui était la mesure phare du quinquennat, est mal partie. Par peur des manifestations, Macron envisage une mise en oeuvre  en 2065  avec la “clause du grand-père”. Grotesque. Soit cette réforme est mauvaise et il faut y renoncer, soit elle est  utile et il faut l’appliquer sans attendre 45 ans !!

Chez Emmanuel Macron, tout n’est que calcul et seule compte sa réélection en 2022, qui passe bien avant les intérêts de la France.

Pour ratisser le vote écolo, il a abandonné l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, il enterre le projet de la Montagne d’or en Guyane et il vient de renoncer au centre commercial EuropaCity, un grand projet créateur d’emplois.

Et aujourd’hui, alors que la France est leader dans la production d’énergie propre avec  75% d’électricité nucléaire, la ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne, demande à EDF de plancher sur un scénario d’énergies “100% renouvelables”. Le seul atout de nos entreprises, une électricité peu chère, va disparaitre.

De toutes façons les Français doivent comprendre que leur sort ne pourra jamais s’améliorer avec une immigration démentielle qui engloutit toute l’énergie de la nation. Le seul accueil des mineurs isolés coûte plus de 2 milliards par an, au détriment de l’entretien des routes et des lycées à la charge des départements.

Nous accueillons des millions de pauvres qu’il faut loger, nourrir, soigner, éduquer. C’est un coût démentiel. Sans ce gouffre sans fond, le niveau de vie des Français serait de 15% plus élevé.

Selon le World Economic Forum, , en matière d’entretien du réseau routier, la France est passée de la 1ère place en 2012 au 18e rang en 2019 ! Il faudrait 1 milliard par an pour nos routes, mais on les met chez les migrants !

Entre l’immigration légale et clandestine, ce sont 500 000 migrants qui débarquent chaque année, déshérités pour la plupart.

Tout est à l’abandon. Tous les services publics sont en chute libre à cause du coût de l’immigration qui dépasse les 100 milliards par an. Nous avons 15 millions d’immigrés non qualifiés pour la plupart et qui sont insuffisamment productifs.

On grappille 5 euros sur l’aide au logement des étudiants, mais on engloutit plus de 2 milliards pour les mineurs isolés, dont 60% sont des fraudeurs majeurs. Une gestion de Pieds nickelés.

Emporté par ses délire mondialistes, Macron va détruire le pays. Il refuse d’admettre que les cultures ne se mélangent pas et que l’islam est incompatible avec la République.

Et il nie la menace d’une guerre civile, pourtant annoncée par son ex-ministre de l’Intérieur. A t’il toute sa raison ? La question est posée.

Si Macron est réélu en 2022, il va poursuivre sa mission de démolition de la nation et liquider notre patrimoine culturel. C’est la pire menace que la France ait jamais connue, car si on se remet d’une guerre, un changement radical de population devient très vite irréversible.

En 2017, les Français ont élu un mondialiste dangereux et ils sont 62% à juger aujourd’hui que l’élection d’Emmanuel Macron a été une mauvaise chose.

Vont-ils récidiver et  livrer notre France millénaire à ceux qui veulent sa disparition ?

Nous verrons s’ils ont davantage peur du RN que de leur propre disparition….

Jacques Guillemain