Une Congolaise expulsable agresse 2 agents de la préfecture de Châteauroux

Ceux-ci lui ayant notifié la fin de ses droits et son assignation à résidence avant une prochaine reconduite à la frontière du Portugal, elle a sorti ses griffes (griefs) plutôt violemment puisque la préfecture a décidé de fermer ses portes le lendemain matin.

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/prefecture-deux-agents-agresses-par-une-femme

Agression suffisamment importante pour que le préfet de l’Indre s’exprime en ces termes :
« Cette personne était très énervée et violente. Elle a traumatisé non seulement nos 2 agents, mais aussi les nombreux usagers présents. Une personne a même eu une petite crise d’épilepsie qui a nécessité l’intervention des pompiers. »
Ceci en plus sous les yeux de ses 2 enfants. Elle a été conduite… au commissariat ?… Que non !… Elle a été conduite à l’hôpital !
Les 2 agents ont paraît-il porté plainte. (Espérons que ce soit effectivement vrai et pas seulement sous le coup de l’émotion). En soutien aux victimes, le préfet, comme je l’indiquais plus haut, a décidé de fermer les portes de la préfecture le lendemain matin.

Jusqu’à maintenant, les agressions aux préfectures ne semblent pas avoir été suffisamment nombreuses ou violentes pour qu’on en fasse mention. Peut-être que jusqu’à maintenant aussi, on a préféré taire les incidents mais que ceux-ci devenant plus fréquents, on ne saurait ou ne pourrait plus s’y résigner. Hélas donc, encore un lieu qui n’échappe pas à l’ensauvagement de notre société qu’on a laissé évoluer en détournant la tête. Et pourtant, la préfecture se devrait d’être respectée en tant que sanctuaire qui délivre les permis de toutes sortes, y compris celui qui donne le sésame pour obtenir la nationalité française. Lieu où il vaudrait mieux donc faire bonne impression.

Pour en revenir au cas, qui paraissait plutôt mal engagé, de cette Congolaise qui se nomme Mme Kipini-Tampa et dont la NR semble avoir oublié le nom dans son article du 10 août, nom pourtant mentionné à plusieurs reprises auparavant, puisque depuis le début de l’année nous avons eu droit à plusieurs épisodes dans les colonnes du journal d’une histoire la concernant. Histoire dont j’ai tout de suite pensé que c’était encore une histoire à dormir debout ! Une parmi tant d’autres, destinée à nous imposer l’immigration illégale.

Titres des articles et petit résumé :

27/1/2018 : L’ASILE D’UNE FAMILLE AU BOUT D’UN STYLO
Une pétition à l’initiative de RESF de l’Indre est lancée sur le marché de Châteauroux pour empêcher l’expulsion vers le Portugal d’une mère, Mme Kipuni-Tampa et de ses 2 enfants d’origine congolaise.

30/1/2018 : LE SORT D’UNE FAMILLE ENTRE LES MAINS DU PRÉFET
Munis paraît-il de 300 signatures sur papier et 750 sur Internet, quelques personnes seulement (je me permets d’ajouter : comme d’habitude !) se sont retrouvées devant la préfecture. Seules contre tous, mais animées d’une telle mauvaise foi qu’elles foncent sans complexe, leurs œillères collées depuis si longtemps sur la face. Elles sont allées à la rencontre de 2 agents préfectoraux (les futurs agressés ?) pour demander l’annulation de la procédure d’expulsion. La mère a fui le Brésil, avec ses 2 enfants Monica et Héritier, où elle avait reçu le statut de réfugié. Pourquoi cette fuite alors ?… Son compagnon lui avait proféré des menaces !!!
Pourquoi l’expulsion vers le Portugal ? Elle dispose d’un visa pour ce pays, où il est bien dit dans l’article qu’elle n’a jamais mis les pieds ! Elle ne veut pas s’y rendre, ses enfants ne maîtriseraient pas le portugais. Sa demande d’asile en France lui a été refusée… quelques mois après, elle est toujours là puisque le jeudi 9/8/2018 elle se manifeste violemment à la préfecture.

20/8/2018 : PROCÉDURE IMMÉDIATE POUR LA FAMILLE KIPUNI
En plus du soutien de RESF 36 vient s’ajouter celui inévitable de la Ligue des droits de l’Homme de l’Indre et ça urge, car Madame Kipuni a reçu une convocation pour une expulsion : « Si Madame Kipuni ne se présente pas aujourd’hui à la convocation, elle sera considérée comme étant en fuite aux yeux des autorités. »

20/8/2018 : INDRE : LA FAMILLE CONGOLAISE NE S’EST PAS PRÉSENTÉE À LA POLICE
Elle est donc, dès ce 20 août, considérée en état de fuite…

Et depuis, plus de nouvelles, elle a pris le chemin de la clandestinité, chemin très encombré actuellement grâce à l’appui d’associations diverses qui ne devraient plus être subventionnées  puisqu’elles œuvrent à nous fourguer principalement des immigrés économiques qui arrivent  pour beaucoup d’Afrique. Il est en plus anormal de prêcher l’accueil non-stop d’étrangers illégaux qui ne respectent pas la loi mais qu’on se devrait d’accueillir au nom du respect de certains traités anciens.

La plainte déposée par les agents de la préfecture sera-t-elle abandonnée ? La dame irascible passera-t-elle au tribunal ? Certainement pas demain puisqu’elle a pris la fuite et vit donc cachée. Les tribunaux étant débordés ne la rechercheront sûrement pas. Comme la plupart des déboutés du droit d’asile en France, elle restera dans notre pays et grossira les rangs des pauvres assistés car elle ne sait sûrement rien faire de ses 10 doigts, nulle part il n’a été dit que cette personne disposait soit d’un métier soit d’un bagage intellectuel la rendant apte à s’intégrer facilement.

Je parlais à son propos d’une histoire à dormir debout, donc il n’est en rien étonnant à ce que le statut de demandeur d’asile lui ait été refusé :

– Son pays, le Congo, est certes un pays à l’économie peu florissante mais il dispose de beaucoup de pétrole et d’une grande diversité d’autres ressources. Au début des années 80, la croissance annuelle du PIB était de 5 % par an, l’un des plus forts d’Afrique. Il y a une faible densité démographique, 13 habitants au km2. Le pays est donc mal géré. Et alors ? En France, le pays est de moins en moins bien géré et il y a aussi de plus en plus de pauvres !

– En 2016, seulement 15,7 % des dossiers examinés de Congolais candidats au droit d’asile ont reçu une réponse positive.

– Cette dame récalcitrante ne veut pas aller au Portugal sous prétexte qu’elle n’y a jamais mis les pieds et que ses enfants ne parlent pas portugais. Pourtant, elle disposait d’un visa portugais qu’elle n’a pu obtenir que si elle en a fait personnellement la demande. Alors y est-elle allée ou pas ? Étrange de la retrouver ensuite au Brésil. Que n’y est-elle restée puisqu’elle y avait obtenu le statut de réfugiée ! Elle aurait quitté le Brésil parce que son compagnon lui aurait proféré des menaces ? Est-ce une raison suffisante pour quitter un pays qui vous a accordé le droit d’asile ? Pourquoi ce refus maintenant d’aller au Portugal sous prétexte que ses enfants ne parlent pas portugais ? Encore une mauvaise raison quand on connaît, et je parle par expérience, la capacité qu’ont les jeunes enfants à apprendre la langue du pays étranger dans lequel ils arrivent.

Cette Congolaise pouvait se faire expulser les yeux fermés vers le Portugal, elle n’y craignait rien ! Pensez donc, le pays ne connaît pas encore l’affreuse lèpre populiste qui gagne de plus en plus de pays d’Europe !
C’est un pays magnifique avec des gens accueillants. Longtemps terre d’émigration, il a remonté la pente sur le plan économique.

Pour l’instant, avec seulement 4 % d’immigrés, il ne connaît pas les problèmes liés à une immigration installée depuis plusieurs décennies comme la France peut connaître, problèmes qui ne cessent de croître. Pour cette raison, les Français traînent de plus en plus les pieds à accueillir des migrants alors que des migrants au Portugal, on en réclame ! De nombreux illégaux sont régularisés même s’ils n’ont aucune autorisation de résidence, ni de travail ! Le Portugal se veut vraiment une terre d’immigration comme l’attestent les propos récents d’Antonio Costa, Premier Ministre du Portugal, puisqu’ils ont été prononcés en juin dernier: « Nous avons besoin de plus d’immigration et nous ne tolérons aucun discours xénophobe. »

Madame Kipuni, le Portugal, c’est le pays qu’il vous faut ! Surtout qu’on se le dise en France ! Que tous les compatriotes congolais et autres qui traînent la misère dans différents coins de France le sachent. Ne gardons pas égoïstement pour nous trop de « chances » futures, question « chances » nous sommes déjà bien pourvus ! Le Portugal vous attend !

Françoise Lerat