Une histoire vraie, montrant la réalité de l’entrisme musulman dans la franc-maçonnerie

Un des mes amis franc-maçon de puis plus de 25 ans, a été piégé, lors d’un repas après réunion, par un jeune franc-maçon qu’il ne connaissait pas.

La discussion s’était engagée sur, le thème des lieux de culte et notamment d’un lieu de culte existant au sein d’existant au sein d’un hôpital toulonnais.

Ce jeune regrettait qu’il n’existe pas de mosquée à l’intérieur de l’établissement, alors qu’il existait un lieu « chrétien »

Mon ami, un pur laïque, s’étonna des ses propos, et lui posa la question de savoir, ce qu’il faisait en maçonnerie ?

Sa question était justifiée, par le fait même qu’il est dans les statuts préconisé de ne pas parler de religion, que cette dernière doit être uniquement de la sphère intime et qu’en aucun cas on ne peut faire de recrutement pour une quelconque religion, la maçonnerie en étant une laïque.

Mais le jeune, continua en lui disant que le coran était estimable, certes, lui répondit mon ami, mais avec beaucoup d’incohérences.

Comment tu connais le coran, oui lui répondit mon ami, mais pas de manière doctrinale, mais pour les phrases et mot qu’il contient.

Le jeune prêcheur était tombé sur un os, mais il lui dénia quand même le fait de connaître le coran.

Cette discussion ne se serait pas faite avec un croyant d’une autre religion.

Mais attendons la suite, rentré chez lui, le jeune prévint son président ; attitude pour le moins curieuse, qui prenant fait et cause pour son poulain, prévint le président de mon ami, et lui dit : » nous voulons des excuses ou nous irons en justice » !

Que peut-on tirer de cette anecdote ?

Tout d’ abord et bien que certaines précautions soient prises lors des affiliation, le jeune en question est passé au travers, par exemple : à une certaine époque les partisans de la peine de mort, étaient black-boulés.

Là, nous avons à faire à un jeune musulman prosélyte, ce qui est d’ailleurs un pléonasme, puisque l’un des piliers de l’islam est le devoir de prosélytisme, qui cherche querelle à un ancien et entraîne avec lui une partie de son entourage !

Nous avons à faire à une déstabilisation larvée de la fraternité.

Cette méthode bien que pernicieuse est connue, mais mise à part cette découverte fortuite des qualités du dit jeune, il n’en est pas l’auteur, car la technique employée ne peut lui être propre, elle est trop élaborée, c’est celle de l’entrisme **

Et c’est en que c’est inquiétant, en effet si l’un des infiltrés s’est découvert, c’est qu’il doit y en avoir d’autres, et sans lancer de chasse aux sorcières ils serait bon de s’en assurer.

Gérard Goffredi

*L’entrisme : Technique d’accaparement d’une structure associative ou politique, dans le but d’accroître le poids d’une organisation politique. On la pratique en faisant adhérer à ladite structure un grand nombre de personnes, ayant les mêmes optiques politiques, et, en général, en provenance d’une même organisation. Ces personnes doivent ensuite chercher à détenir le plus de postes clefs à l’intérieur de cette structure. La forme extrême de l’entrisme est lorsque l’organisation « entrante » à la majorité des voix dans une association et y prend le pouvoir effectif (voir contrôler). Mais, une forte présence au sein d’une structure importante, suffit à démultiplier le poids d’une organisation.