Une mosquée de Bordeaux taguée, c’est bien pire qu’un prêtre égorgé !

Un crime de lèse-Allah a encore frappé nos « amis » musulmans dans la nuit du 27 au 28 février. En effet : « Le mur extérieur de la mosquée Nur-El Muhamadi, dans le quartier Saint-Michel, a été tagué à la bombe rouge dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 février, à Bordeaux. «- de SDF, + d’OQTF », est-il écrit, en référence à la procédure d’obligation de quitter le territoire français (OQTF) signifiée aux étrangers qui se voient refuser un titre de séjour. Les tags sont signés du groupuscule d’extrême droite Action directe identitaire. »

https://www.sudouest.fr/societe/egalite-femmes-hommes/les-locaux-du-planning-familial-de-gironde-une-nouvelle-fois-pris-pour-cible-14240846.php

(À ce crime « odieux » s’ajoute une autre dégradation, celle des locaux du planning familial de Gironde. Je ne vois pas le rapport, mais passons).

Cela fait donc six fois, depuis 2018, que la mosquée Nur-El Muhamadi est ciblée. Il faut dire qu’en octobre 2020, les vandales mécréants avaient cédé à l’amalgame en s’attaquant à cette mosquée, peu après la décapitation de Samuel Paty ! Même qu’ils ignoraient l’arabe, parce qu’à l’époque ils avaient cru que le nom de la mosquée signifiait : « Mahomet = lâche. »

Or, Nur-El Muhamadi veut dire en gros la « lumière mohammadienne », ou « lumière prophétique », laquelle éclaire à l’occasion violemment les mécréants dans un éclair de bombe !

Mais rassurez-vous tous, rien de comparable, dans ces dégradations, avec l’incendie d’une église ou la destruction de son mobilier. Comme, par exemple, l’église Saint-Martin à Orly (Val-de-Marne), dévastée en février dernier : « L’église a été découverte sens dessus dessous peu avant la messe du dimanche 12 février. Une statue de la Vierge Marie a notamment été décapitée, et des pupitres brisés. De l’argent et le tabernacle contenant des hosties consacrées ont aussi été volés. »

https://www.valeursactuelles.com/faits-divers/une-eglise-vandalisee-dans-le-val-de-marne-une-statue-de-la-vierge-decapitee

Et j’apprends ceci, comme pour confirmer que les catholiques n’ont plus droit de cité chez eux, en France, la fille aînée de l’Église : « Deux sœurs de la Fraternité bénédictine apostolique ont annoncé leur départ de la paroisse du centre-ville de Nantes (Loire-Atlantique) en raison d’une hausse permanente de l’insécurité. »

https://www.cnews.fr/videos/faits-divers/2023-03-02/nantes-face-linsecurite-des-religieuses-quittent-le-centre-ville

Sinon, vous connaissez Rouen, où fut brûlée Jeanne d’Arc en 1431 ; où naquit Flaubert, en 1821, reposant depuis 1880 au cimetière Monumental ; où Claude Monet peignit la cathédrale Notre-Dame, principalement son portail occidental ; où se trouve un fabuleux musée des Beaux-Arts recelant des tableaux de Nicolas Poussin, Caravage, Velázquez, Véronèse, Géricault, David, etc. ?

Rouen est une ville étonnante qui mêle le sublime à l’horrible, notamment ces abominables cités peuplées de diversitaires l’entourant comme César entoura l’oppidum d’Alésia. Rouen, il faut la voir de haut et admirer les méandres de la Seine qui ondulent au loin vers Le Havre. Là se déploient, telles des fusées mystiques en partance pour le Ciel, de puissantes et non moins gracieuses tours gothiques : celles de la cathédrale bien sûr – où repose le cœur de Richard… Cœur de Lion –, mais aussi des églises Saint-Laurent et Saint-Maclou ou encore de l’abbatiale Saint-Ouen.

Il est un lieu qui offre un panorama exceptionnel de Rouen, c’est le cimetière de Bonsecours, dont la tombe la plus célèbre est celle du poète José María de Heredia, auquel on doit ces vers :

« L’horizon tout entier s’enveloppe dans l’ombre,
Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre,
Ferme les branches d’or de son rouge éventail. »

(« Soleil couchant »)

 

Désormais, en plus de la sépulture du poète né à Cuba et venu mourir chez nous, après avoir servi avec amour notre langue, le cimetière de Bonsecours abrite une autre tombe – tristement – célèbre. C’est la tombe d’un homme de Dieu, martyr égorgé par des musulmans ayant fort bien compris le message du Coran, tandis qu’il célébrait la messe et dont le sang a tagué le sol de son église : le père Jacques Hamel…

Alors, les tags de la mosquée Nur-El Muhamadi, je m’en tape et je trouve que ce n’est pas cher payé !

Charles Demassieux

(Photos des tombes José María de Heredia et du père Jacques Hamel : Charles Demassieux)

image_pdfimage_print
15

7 Commentaires

  1. dessinez des petits cochonsssssssssssssss
    Tout est bon dans le cochonnnnnn

  2. Moi aussi rien à foutre des tags et vivement qu’ils se cassent tous ! ici on est en terre chrétienne…….

  3. Ne pas oublier l’incendie de Notre Dame de Paris que notre gouvernement n’a de cesse de vouloir prouver que c’est un accident !!
    Ne pas occulter que les chrétiens sont pourchassés partout par l’islam… mais chez nous le gouvernement est complice puisqu’il protège ceux qui nous attaquent.
    Un conseil : distribuer le Coran pour que les Français s’instruisent…. si c’est encore possible !

  4. Merci d.avoir évoqué à travers l‘ecume du fait divers la permanence de la vieille et fortecivilisation danslaquelle ceux prétendent s.installer en maîtres seront à jamais étrangers .comme tels ils seront iinéluctablement chassés .L.alliance du sang et du sol fera naître des moissons nouvelles.

  5. Vous ne voyez pas le rapport avec le planning familial ?
    Vous m’en bouchez un coin, comme dirait l’autre.

Les commentaires sont fermés.