Cela fait déjà un bon moment que je voulais présenter cette nouvelle façon, façon totalement inédite de présenter ses “solutions”, le tout sous forme de promesses, promesses, qui, comme vous le vivez tous ici, c’est-à-dire de plus en plus souvent dans la douleur, car, d’une part, jamais respectées en terme de paroles, d’autre part, “promesses qui n’engagent que ceux qui veulent y croire ! ” ; les trahisons dans les promesses étant légion, inutiles de tenter de les répertorier, vous les connaissez toutes.
Alors, partant sur ce dernier constat sur les promesses en question que l’on a crues, je viens mettre sur la table une façon de faire qui aura des effets plus positifs, je les développe de suite.
Proposition qui devrait avoir le maximum de retour positif, sauf bien entendu de la part des concernés, dans leur majorité en tout cas, et vous allez facilement comprendre pourquoi, là :
Et c’est dans la Constitution que j’inscrirais ce qui va suivre, si j’étais en charge de l’orientation du devenir du pays…
À partir de maintenant, chaque politique qui voudra se présenter à une élection sera obligatoirement OBLIGÉ d’appliquer les préconisations, les solutions, tout ceci étant validé de la manière suivante :
Le candidat doit développer, en fonction du type de sujet, soit des faits, des chiffres, des démonstrations avec, et c’est l’autre nouveauté, en face de lui, des gens qui seront soit des experts, par exemple en économie, experts qui seront choisis pour leurs vraies capacités & connaissances dans le domaine objet de proposition/solutions.
Ce dernier point devra être creusé, car il n’est pas question que ce soit des “experts” en fumisterie qui interrogent le candidat, comme c’est le cas sur toutes les chaînes des médias-tv actuelles.
Cela implique, d’autant que ce sera dans la Constitution, que le candidat, s’il remporte l’élection, SERA OBLIGÉ de faire EXACTEMENT comme il s’en sera expliqué devant les experts en question.
Rappelé que tout cela sera filmé, et archivé, et que chaque débat sera retransmis en direct, permettant au gens du peuple d’enregistrer les débats en question.
Pour cela, il, le candidat, lui sera imputable le fait qu’il sera censé avoir l’ensemble des données connues au moment où il fera la démonstration de la proposition/solution par rapport au sujet dont il est question.
Je ne parle pas d’avoir “des diplômes” même si, au vu de cette nouvelle façon de se présenter à des élections, il vaudra mieux que le politique en question ait une connaissance, soit par des études, soit par des expériences étayées… ou les 2 bien sûr !
J’insiste sur le fait que le candidat élu ne pourra faire autre chose que ce qu’il a proposé, et dans les temps qu’il aura raisonnablement indiqués, ne pouvant, par conséquent, se réfugier derrière un temps, une latence, qui auraient pu l’exonérer, et pour diverses fausses raisons, l’empêcher de mettre en oeuvre la proposition/solution exposée.
J’ai également prévu le fait que, malgré une démonstration étayée, certains événements, qui seront examinés “à la loupe”, le candidat pourrait être empêché de mettre en oeuvre sa proposition/solution, temporairement dans la plupart des sujets qui intéressent les votants.
La loi sera formelle : le candidat DEVRA, et dans les délais les plus brefs, faire état de raisons, non seulement recevables, mais pouvant être constatées de suite !
À défaut, la loi que j’instaurerai prévoira, et quasi-instantanément, la démission forcée du candidat, et un tribunal se réunira afin de juger des circonstances, sachant que l’enquête se dirigera en premier vers un soupçon de malhonnêteté, comme c’est le cas pour un politique qui a été acheté afin de tromper – comme c’est le cas depuis tant de décennies – le peuple français !
Quels sont les premiers effets, “kiss” peut-être, mais sûrement pas “cool” pour plus de 90 % de la classe politique ?
Ils seront tout simplement mis au chômage, et cela définitivement… bon débarras !
Je suis conscient que, au vu de l’état du pays, les sujets importants – et j’entends par important le fait que le sujet le sera d’autant plus que le nombre de gens impactés par la proposition/solution le sera également – sont nombreux.
La logique voudrait aussi que toute pétition, dès à présent, ne dépende pas d’un nombre minimum de signatures, mais uniquement du nombre de gens impactés par la teneur de la pétition !
Parce que là, s’il y a pétition, c’est que le sujet a des implications sur la vie des gens et que donc que ce sujet ne peut plus être mis sous le tapis comme c’est la façon de faire des politiques depuis tant de décennies !
Je suis réaliste, je sais parfaitement que cette façon d’organiser les débats et “promesses”, qui deviendront vraiment des “propositions/solutions, ne sera jamais adoptée par ce gouvernement de traîtres qui est actuellement au pouvoir en France.
Il est clair que cette toute nouvelle façon d’organiser les débats, et le fait que la loi encadre de manière très très importante l’application des propositions/solutions développées, ne pourra être mise en oeuvre que dans un pays qui aura retrouvé sa souveraineté et qui ne sera plus, et en aucun cas, sous la tutelle quelconque d’une union, européenne ou autre !
Je viens de décrire et de faire une suggestion qui pourrait, enfin c’est mon avis, faire vraiment avancer le pays, et sur tous les plans.
Je remercie chaque personne qui fera un ou des commentaires, critiques, pertinents et positifs.
Quant à ceux qui commenceront à condamner, à critiquer sans apporter aucun argument, ou alors fallacieux, vous avez déjà une idée de ce que je peux penser de tels “commentaires”.
Et je suis aussi conscient que, dans cet article, la suggestion en question est décrite “brute de fonderie” et nécessiterait une approche plus approfondie que celle que je viens de faire.
Mais vous avez l’essentiel, c’est-à-dire l’idée de base.
Robert Lefrançais
BobbyFR94
Bravo ! Ce serait une solution idéale dans un monde idéal.
En tant qu’inventeur, je puis vous dire qu’on ne peut pas breveter une idée. On ne peut breveter qu’une description précise des moyens physiques mis en oeuvre pour aboutir à faire fonctionner une idée, dessins à l’appui si possible.
Il faudrait soumettre les aspirants aux fonctions politiques des procédures aussi rigoureuses que celles obligatoires pour l’obtention d’un brevet.
Et si leur idée n’est pas mise en oeuvre au bout d’un délai raisonnable : hop, à dégager !
Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal,, la république, qui n’est pas la démocratie, telle qu’elle est pratiquée, est faite pour favoriser le flou, le baratin, l’excroquerie. Le grand Jean-Marie avait inventé son véritable nom : la ripoublique…
en tout cas les débats organisés par “livre noir” opposant zemmour à d’autres a été remarquable
La solution est de mettre en place le référendum d’initiative populaire . Et ce , sans que les instances gouvernementales ( Assemblées , Conseil Constitutionnel …..) ne puissent intervenir . Bref , le système Suisse ( mais aussi dans certains Lands en Allemagne , et aussi aux Etats-Unis ..).
jamais en france, le peuple voterait mal (comme le disait le maire de callac)