Vaccination : va-t-on enfin raison trouver ?

Sur le débat, peut-on parler de débat, au vu du sujet, de la vaccination du Covid, la France s’est déchirée pendant des mois sur l’opportunité et les risques encourus par l’injection de produits proposés par le gouvernement, les autorités de santé publique et les grands laboratoires pharmaceutiques.

Va-t-on continuer de s’entretuer, s’ignorer ou s’injurier entre citoyens sur cette question ?
Chacun a fait son choix en conscience avec les informations qu’il avait à sa disposition pour prendre sa décision. Certains disent que les vaccins sont sûrs et que ne pas se faire vacciner est une erreur. Souhaitons que le premier point soit vrai. Ne tombons pas dans un esprit revanchard au prétexte d’avoir été mis de côté ou montrés du doigt, en souhaitant du mal à ceux qui ont voulu ostraciser les autres. En revanche, exigeons que les gens qui ont eu des mots très durs à l’encontre des personnes qui ne se sont pas faites vaccinées, parce qu’elles n’ont pas jugé la situation de la même manière et n’ont pas eu confiance en la parole des autorités publiques et de santé, respectent leur choix en retour.

Si chacun est responsable, à son niveau personnel, de sa vie et de sa santé, les vrais responsables de cette situation conflictuelle dans la société sont nos dirigeants, qui n’ont pas su avoir un discours et des attitudes dignes de responsables politiques en période de crise. La gravité de la situation exigeait qu’ils fassent preuve de mesure, d’évaluation minutieuse de la situation, de prévoyance sérieuse des risques et de retenu, en n’envoyant pas des signaux contradictoires, en permanence, rendant la situation encore plus confuse.

La population s’est vue plongée dans un délire médiatique qui loin d’aider à comprendre a brouillé les pistes. Quel que soit le choix que nous ayons fait, c’est vers nos responsables politiques et les autorités de santé publique que nous devons nous tourner pour exiger qu’ils rendent des comptes pour avoir plongé le pays dans une chienlit collective depuis plus de deux ans.

Car les victimes collatérales de cette non gestion de crise sont nombreuses : Personnes âgées non soignées au début de l’épidémie du fait de la suppression des produits immédiatement accessibles sur le marché, médecins et soignant exclus du système de soin car les autorités publiques n’ont pas voulu reconnaître leurs compétences et les ont traînés dans la boue, écroulement économique qui touche l’ensemble du pays, avec des faillites nombreuses pendant et encore aujourd’hui car il faut maintenant payer l’addition d’une gabegie financière initiées par nos gouvernants, souffrances morales et psychologiques du fait de confinements arbitraires et rigides, éclatement du lien social entre les gens, les uns vilipendant les autres et inversement sur des choix personnels qui ne regardent pas son voisin. La santé, qui est une question médicale sérieuse nécessitant rigueur d’analyse et de jugement, s’est transformée en une question politique et médiatique. Le politique instrumentalisant la médecine à des fins de divisions de la population et de l’éclatement de notre cohésion en tant qu’entité et peuple Français, le tout sous couvert d’intérêt général.

Reste la question des effets secondaires de la vaccination. Ils sont nombreux. Et personne n’a à s’en réjouir mais au contraire à essayer de trouver rapidement des solutions pour en limiter les effets et éviter qu’ils ne soient irréversibles. Beaucoup d’enfants innocents en sont victimes.
Va-t-on raison retrouver ? Ou va-t-on encore continuer de faire le jeu de nos gouvernants qui commentent la situation catastrophique actuelle avec leurs airs satisfaits et sourires en coin, à l’image du porte-parole du gouvernement, Olivier Véran ?

Etienne Darcourt-Lézat

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8 Commentaires

  1. Que l’on puisse s’attarder sur une faute d’orthographe me laisse pantois quand le sujet est aussi grave que la vaccination qui n’a jamais empêché une épidémie mais toujours empoisonné les organismes de ceux qui tendent le bras.
    Mais la santé n’est pas une “question médicale sérieuse” car la santé justement est de ne pas avoir besoin de la dite “science” médicale. Jean Rostand a bien résumé la chose “La médecine est pourvoyeuse de tares, elle se recrute des clients, elle crée des malades qui auront besoin d’avoir recours à elle.”

    • On dit aussi, le travail c’est la santé.
      L’OMS dit: « La santé est un état de bien-être physique, mental et social complet et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »

  2. le but n’est ni de chercher ni de trouver mais de faire du fric pour les banquiers/actionnaires

  3. “Qui ne se sont pas faites vaccinées”
    Ouahou !!!! 👏👏👏
    Vive Bescherelle et Grevisse !

    • Article écrit à 5 heures du matin sur un sujet difficile et dans un climat plus que pesant. Votre commentaire en est une illustration.
      J’ai déjà eu l’occasion de le dire, il m’arrive de faire des fautes d’orthographe, car je suis concentré sur le fond, sur des sujets plus que difficiles à traiter avec un souci de mesure et de recherche de positions équilibrées.
      Sur la faute d’orthographe, je vous donne raison. Vous ne m’en voudrez pas trop ?

      • Vous écrivez
        ” vaccin PROPOSÉ”
        C’est faux !! Il a été imposé Nombre de professions en souffrent encore.
        Pour ma part j’ai subi un harcèlement téléphonique répétitif de la Sécurité Sociale

        • Allez vous plaindre à la Sécurité Sociale, et portez plainte, je ne suis pas le bureau des pleurs.

    • Vous n’avez pas mieux comme commentaire car c’est petit et surtout inutile !

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