Vaccins à ARN messager : la fabrique de crétins

Dans mon vaccin, il y avait de l’agneau, du coyote et un peu de rat musqué

Fièvre, fatigue, céphalées, allergies, quand la vaccination se passe à peu près bien.

Maladies cardiovasculaires, paralysies, embolies pulmonaires, phlébites, AVC quand ça tourne au désastre.

Autant de dégâts physiologiques que les vaccinators  mafieux de Big Pharma font tout pour minimiser, en imposant sous menace l’omerta à la profession médicale.

Mais on observe aussi des troubles psychologiques. Les plus frappants sont liés au SGB ou syndrome de Guillain Barré, une affection neurologique grave qui amène le système immunitaire du cobaye à endommager ses cellules nerveuses avec  perte de la parole ou élocution difficile et des paralysies parfois définitives.

Si des médecins honnêtes avertissent sur les risques à brève échéance des pseudo-vaccins, des biologistes et des généticiens alertent sur les ravages pouvant être causés à l’ADN, briques élémentaire de la vie, au niveau du cerveau et du système nerveux.

 Le transhumanisme

 À l’origine, cela ressemblait à de la science-fiction matinée d’escroqueries qui aurait redessiné les vieilles lunes de « l’homme nouveau » cher à Staline et à Adolf.

Prétendre grâce aux progrès de la biologie et de l’intelligence artificielle transformer ou améliorer l’humain pour créer des êtres aux capacités supérieures à celles des hommes actuels. Et dilapider de juteuses subventions à la poursuite d’une chimère.

Aujourd’hui ce n’est plus un rêve mais un cauchemar.

On dispose des technologies permettant de fabriquer des surhumains, muscles et réflexes, comme on sélectionne des rats de laboratoire. En choisissant des géniteurs et des mères porteuses. En influençant la gestation à l’aide de produits chimique et de radiations. Et en éliminant les « produits » décevants. Pour ensuite éduquer et conditionner les « heureux élus ».

Les lebensborn d’Adolf visaient ce but, mais de façon artisanale compte tenu des connaissances de l’époque sur l’atavisme.

Il y eut même, sous la précédente occupation, une « fabrique d’enfants parfaits » en France dans l’Oise.

Des femmes blondes bien charpentées étaient engrossées par l’élite des SS pour fabriquer de futurs surhommes ou de futurs ventres porteurs, qu’on enlevait à la mère à la naissance.

Les bambins, transbahutés ensuite d’une maternité nazie à l’autre, passaient entre les mains d’éducateurs « aryens » chargés de les formater comme il se doit.

Résultat : la plupart de ceux qui ont survécu sont des angoissés à la recherche de leurs racines. Souvent des multicomplexés, inadaptés sociaux.

Aujourd’hui on sait mieux faire !

Plutôt que d’utiliser la force, on a choisi la ruse : une pandémie artificielle pour convaincre le plus de gens possible de se laisser inoculer des molécules susceptibles de modifier leur personnalité. Et surtout d’être transmissibles à leur descendance.

L’ARN messager des pseudo-vaccins peut reformuler une partie de l’ADN.

 L’humain est un tout. Un gain d’un côté est compensé par une faiblesse ailleurs.

Les addicts aux stimulants finissent par payer l’addition. Les anabolisants, les amphétamines ou le Viagra, s’ils apportent une amélioration momentanée des facultés physiques ou intellectuelles, entraînent à terme des troubles psychiques ou organiques.

Dans la mesure où on est capable de cartographier une partie du génome, les manipulations épigénétiques, si elle permettent d’améliorer la stature, la musculature et les réflexes, entraîneront une réduction des capacités intellectuelles. N’en déplaise à ceux qui fantasment sur une intelligence artificielle greffée via une sorte d’interface homme-machine.

Mais fabriquer des loups soumis comme des agneaux, n’est-ce pas le but recherché ?

 Les personnes qui côtoient des vaccinés ARN dans leur environnement proche ou professionnel se sont bien rendu compte que ceux-ci avaient peu ou prou changé de personnalité. En proportion du nombre de doses injectées.

Tel qui était de nature avenante, sympathique, bon vivant, est devenu un inquisiteur paranoïaque, hyper-agressif qui ne supporte pas la moindre critique concernant la vaccination forcée et enverrait volontiers ses contradicteurs au bûcher.

Telle autre qui était d’esprit ouvert au dialogue, intéressée par les échanges d’idées, courtoise et respectueuse de ses interlocuteurs, est devenue une harpie hystérique qui insulte tous ceux qui ne partagent pas ses certitudes.

Notre affect, et plus généralement nos comportements sociaux, sont la résultante de l’éducation et de la culture, mais dépendent aussi grandement du rôle des neurotransmetteurs.

Ces molécules biochimiques fabriquées par l’organisme en fonction de stimuli extérieurs permettent la transmission des messages d’un neurone à l’autre via les réseaux de synapses. Ainsi y a-t-il des rétroactions permanentes entre les besoins de l’organisme d’équilibre, d’affection, de joie, de bonheur et les émotions négatives telles que peine, colère, déception, stress..

Un dysfonctionnement à un quelconque maillon de la chaîne produira des idiots, des inadaptés, des abouliques, des hyper-actifs, des énergumènes, des criminels.

Avec les pseudo-vaccins à ARN messager, les « maîtres du monde » et leurs épigones jouent aux apprentis sorciers.

Prenez des gens inéduqués et acculturés, sans repères solides, leur personnalité et leur libre arbitre dépendront presque uniquement des dosages et mélanges de  l’acétylcholine (mémoire, apprentissage) l’adrénaline, la noradrénaline (gestion du stress) la dopamine (énergie et récompense) la sérotonine (humeurs)  l’histamine, le glutamate (interactivité des cellules) les neuropeptides (traitement de l’information).

On peut donc orienter leurs réactions dans le sens général souhaité : servilité absolue à l’égard du pouvoir, conformisme des opinions, autocensure de toute critique, valorisation de l’espionnite, glorification de la délation, haine des dissidents présentés comme de dangereux ennemis de la société.

Le bonus, si on peut dire, étant de les rendre plus réceptifs aux « suggestions » des images subliminales et des slogans diffusés par des infrasons basse fréquence inaudibles à l’état conscient, et mêlés subrepticement à leur environnement sonore pour fabriquer l ‘opinion par défaut. Celle qui, pilotée par l’inconscient, ne répond à aucune nécessité et se passe de réflexion « parce que tout le monde fait comme ça ».

Ainsi « l’homme augmenté » s’il devient plus fort, plus solide, moins sujets aux maladies et peut vivre plus longtemps, à supposer que ces promesses soient suivies d’effets, sera un humanoïde à mi-chemin  entre un robot et un chien de Pavlov.

Mais la manipulation ne s’arrête pas là.

Les neurotransmetteurs inhibiteurs dits GABA acronyme de Gamma Butyric Acid empêchent le déclenchement d’un influx nerveux dans le neurone récepteur et peuvent le détourner vers un autre. Modifiant bien évidemment le comportement du sujet à son insu.

Plus besoin de délits d’opinion ni de virtuoses du tonfa pour le canaliser. La maîtrise des émotions de l’individu, non seulement le rendra docile, mais le détournera des « mauvaises pensées ».

« Le meilleur des mondes » nous y sommes déjà en plein dedans, mais je doute que les foules lobotomisées en aient la moindre idée.

Le mythe transhumaniste avance sous un masque de philanthropie pour occulter la toile planétaire d’intérêts économiques croisés où les banksters et les multinationales font la loi.

Leurs loufiats stipendiés comme Macronescu, Trudeau, Biden et Kamala, Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande, préparent l’avènement d’un gouvernement mondial tyrannique, sempiternel projet des franc-maçons, où les peuples asservis, acculturés, privés de leur identité ne seraient plus que des éléments interchangeables.

Tandis que leurs caisses de résonance Google, Facebook, YouTube, Twitter, Microsoft, IBM, Amazon prétendent définir des « bonnes pratiques » en bannissant les hérétiques.

Les promesses de disparition des maladies, d’éternelle jeunesse voire d’immortalité tant qu’on y est, occultent l’assujettissement des États-nations à une plate-forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant la mondocrature chère à Attali le banquier failli, la seule fois de sa vie où il a essayé de travailler « pour de vrai ».

Elles détournent le regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en masquant la menace réelle d’une déferlante migratoire qui a modifié radicalement leurs équilibres géopolitiques, économiques et sociétaux ainsi que leurs modes de vie.

Enfin elles parachèvent une paupérisation généralisée par la disparition des PME accroissant un chômage structurel permanent, compensé par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants des aides publiques et ainsi à enrayer toute velléité de contestation.

« L’avenir est sombre, disait Churchill au lendemain des accords de Munich, mais ce n’est pas une raison pour baisser les bras. »

Il appartient aux lucides de tout faire pour réveiller au moins une partie des anesthésiés.

Christian Navis

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