« Vaccins » anticovid : la HAS reconnaît un « risque accru d’infarctus »

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Est-ce le début de la Grande Repentance ? Les faits sont têtus, disait Lénine. Après avoir nié le nombre et l’importance des effets secondaires post « vaccinaux », nos « élites sanitaires » viendraient-elles enfin à résipiscence ?

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Toujours est-il que dans un communiqué de ce lundi 21 février , la Haute autorité de santé (HAS) précise avoir été saisie par le Directeur général de la santé à la suite de la publication le 18 janvier (soit plus d’un mois auparavant : on appréciera la réactivité…) d’un rapport EPI-PHARE dont les résultats « suggèrent (sic) une légère augmentation du risque d’infarctus du myocarde dans les deux semaines suivant la vaccination (sic) par le vaccin Janssen [de Johnson & Johnson] » dans la population des moins de 75 ans.

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On rappellera qu’ EPI-PHARE, groupement d’intérêt scientifique créé en 2018, prétend apporter une expertise « indépendante » en épidémiologie des produits de santé. Or EPI-PHARE est conjointement géré par l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) et par la CNAM (la Caisse nationale de l’assurance maladie). En tant que tel, il n’est donc qu’un porte-voix du gouvernement :

On ne sera donc pas surpris des précautions rhétoriques employées par EPI-PHARE pour aborder la survenue d’événements cardiovasculaires post « vaccinaux ».

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Se fondant sur ce rapport, la HAS réaffirme néanmoins « toute sa confiance dans la sécurité des vaccins à ARNm vis-à-vis du risque d’événements cardiovasculaires graves » chez les adultes de cette même population, et précise qu’ « à ce stade, ces résultats préliminaires doivent être interprétés avec précaution (sic) et nécessitent d’être confirmés par d’autres études au niveau international ». Ajoutant : « La HAS estime que ces données doivent rapidement (sic !) faire l’objet d’un examen par l’Agence européenne du médicament (AEM) afin d’être confrontées aux données européennes de pharmacovigilance disponibles à date ».

Un pas en arrière suivi d’un pas en avant : la HAS précise en effet qu’« il convient de privilégier l’utilisation des vaccins à ARNm dans le cadre de la primovaccination ainsi que pour l’administration de la dose de rappel quand cela est possible, y compris pour ceux qui ont déjà reçu une dose du vaccin Janssen en primo-vaccination, en raison de leur meilleure efficacité ».

Après ce pas en avant, nouveau pas en arrière : dans l’attente des conclusions de l’AEM, la HAS recommande « de reporter la vaccination avec le vaccin Janssen, à l’exception des personnes à risque de forme sévère de la maladie qui présentent une contre-indication à l’administration d’un vaccin à ARNm. Pour ces personnes, le vaccin Janssen peut continuer à leur être proposé dans le cadre d’une décision médicale partagée, après leur avoir apporté une information claire sur les bénéfices et les risques potentiels ».

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Que retenir de ce salmigondis ? Manifestement que le gouvernement et ses pseudopodes (type HAS, EPI-PHARE…) sont désormais conscients qu’ils ont pris des risques démesurés en misant, sur pression de BigPharma, sur le tout-vaccinal, et que l’ampleur des conséquences sanitaires de ces décisions mercantiles est de nature à conduire un certain nombre de responsables derrière les verrous jusqu’à la fin de leur vie.

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La procédure juridique lancé le 5 février dernier par l’avocat allemand Reiner Fuellmich (voir ici et ici) va porter à la connaissance de l’opinion publique « toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre des dirigeants, des organisateurs, des instigateurs et des complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie. Les crimes, objet de l’enquête, englobent tous les actes commis par une personne en vertu d’un dessein partagé de commettre des crimes contre l’humanité et tous ces actes criminels seront condamnés dans les diverses communautés de jurés à travers le monde ».

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Les clauses de non-responsabilité des laboratoires pharmaceutiques sont illicites  : les politiques et les décideurs devront un jour rendre des comptes devant leurs peuples.

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Henri Dubost

In girum imus nocte ecce et consumimur igni