Le réveil est difficile en ce mercredi 25 janvier pour les larbins de l’industrie du prêt-à-penser.
Malgré ce qu’aient pu en dire les chiens de garde de la vulgate idéologique de la bien-pensance tels que Libération, Le Monde, ou Écran Large, le film “Vaincre ou Mourir” est un chef-d’œuvre audiovisuel.
Le film produit par le Puy du Fou Films, moqué pour son petit budget et ses relents réactionnaires d’une France caduque, donne une leçon à l’industrie du cinéma.
“Vaincre ou Mourir” à l’affiche est un moment douloureux pour la gauche mainstream qui n’a plus tellement l’habitude d’être contredite dans son sempiternel mensonge. Celui qui infuse dans les manuels scolaires et l’industrie du divertissement.
La gauche progressiste au pouvoir depuis 40 ans boit la tasse avec ce récital qui vient rendre justice aux victimes d’une effroyable boucherie humaine, tue par le pouvoir après avoir tant tué.
“Vaincre ou Mourir” vient sonner le glas de la révolte. Celle de la France authentique, de la majorité silencieuse, face à une coterie hors-sol qui depuis des décennies méprise le peuple français et le culpabilise devant les hauts faits de ses glorieux aînés.
Mais, plus encore qu’être contredite, c’est la République qui est poussée dans ses retranchements.
Si les historiens tels que Jacques Bainville, Jean-Marie Petit-fils, Jean Sevilla et le spécialiste Reynald Secher ont prouvé que la République était porteuse d’une idéologie totalitaire qui avait énormément de sang sur les mains – malgré les belles choses qu’elle a pu apporter – une traduction à l’écran avec une forte audience en est une autre. C’est ce qui se passe aujourd’hui et qui fait tant grincer des dents.
La République cruelle et fourbe est dévoilée au grand jour, démasquée.
En somme, “Vaincre ou Mourir” est un film majuscule encore d’actualité, à voir sans attendre. Plus que passer un moment vibrant et exaltant, c’est un acte de résistance.
Gabriel Decroix
La définition du génocide date effectivement de 1944. Mais alors au prétexte que les Arméniens ont été exterminés par les turcs entre 1915 et 1918, il n’y a pas de génocide ?arménien ?
Si la retro-activité du mot génocide s’applique pour les Arméniens pourquoi ne s’appliquerait il pas pour les Vendéens ?
Les Vendéens ne sont pas un peuple distinct, entend-t-on également. Pour être victimes de génocide, il suffit que le persécuteur décide que tel groupe ne soit pas digne de vivre. Les Vendéens désignés par les républicains sous le terme de “brigands” constitue un groupe. Pour la volonté d’extermination, il faut également une chaîne hiérarchique et une organisation étatique. Les décrets du 1er août et du 1er octobre 1793 ont été pris par la Convention Nationale. Les 12 colonnes criminelles qui ont sévi en Vendée ont été organisées pour purifier le pays insurgé par le fer et le feu. Toujours pas de génocide ?
Pour une raison simple, pour qu’il y ait génocide contre un groupe il faut que celui ci soit préalablement défini. Les arméniens l’étaient depuis plus de deux siècles dans l’Empire Ottoman, d’une part parce que Orthodoxes et d’autre part issus d’une ethnie qui était persécutée depuis des siècles.
Rien de tout ça pour la Vendée. Tuer en masse des gens parce qu’ils habitent dans une certaine région ne définit par un génocide, car les opérations de répression en outre ne concernaient pas toute la Vendée mais une partie, les vendéens de l’intérieur étaient restés républicains. Parler de génocide à cette époque mais alors pourquoi pas lors de la première insurrection vendéenne sous Louis XIV Puis je vous conseiller de relire Albert Mathiez “La conspiration de l’étranger”. C’est encore mieux expliqué
@Degorde.
Parler de Vendée sous Louis XIV n’a pas de sens. Les départements n’existaient pas à l’époque.
Enfin ! Je pense que vous voulez parler du Bas-Poitou et des dragonnades, mais il n’y a eu aucun massacre commis à cette époque par les soldats de Louis XIV en Bas-Poitou !
Et je ne connais pas l’histoire des Protestants des Cévennes.
4/4 Au-delà, On ne trouve trace ni dans les archives ni dans les sources d’histoire de la Révolution d’un corps de doctrine organisé autour d’un projet idéologique d’exclusion. Que cette guerre ait été atroce avec ses 200 000 morts, les barbaries innombrables, c’est entendu. Mais parler de génocide n’est pas sérieux.
Suivant la définition du génocide, si c’en est un : “Extermination systématique d’un groupe ethnique, religieux, social.” Or, les Vendéens (terme sui regroupe en fait les insurgés de l’Ouest appartenant à plusieurs départements) étaient devenus de fait un groupe ethnique, religieux et social qu’il s’agissait, pour la Convention, d’éradiquer. Donc, même si cela peut sembler anachronique, on parle bien d’un génocide.
Enfin, il y a bien des traces d’une organisation exterminatrice systémique. Lisez les mémoires du général Turreau, chef des Colonnes infernales, c’est très explicite. Le révolutionnaire Gracchus Babeuf en personne parlait de “populicide”, ancêtre du génocide.
Les Mauges, le Maine et Loire (sud) jusqu’à la Loire, l’est des Deux Sèvres, l’ouest de la Loire Atlantique, et le nord Vendée formaient un seul département nommé “la Vendée” à l’époque, dont le mot “Vendée militaire” souvent employé pour parler des guerres de Vendée.
ALors vous qualifieriez aussi de génocide la répression ordonnée par Louis XIV des protestants dans les Cévénnes ?
Enlève ton masque Christine.
C’est sûr ! Comme la Saint Barthélémy alors que ça faisait bientôt un siècle que les protestants tuaient les chrétiens à la St Michel, crimes qu’ils nommaient les michèlades. Et en Vendée ils dénonçaient l’armée royale en échange d’une maison, des documents existent dans les archives des notaires. Le protestantisme a été créé par la judéo-maçonnie pour détruire le catholicisme.
Vous êtes un négationniste républicain. Les Vendéens ont été exterminés pour ce qu’ils étaient : des chrétiens et des monarchistes (pas trop, au début). Jacques Villemin a parfaitement démontré que la volonté exterminatrice du comité de Salut public correspondait aux critères retenus pour le génocide.
L’ouvrage de Villemin est une falsification; relisez le ; il n’a consulté aucune archive.
3/3 Parler de génocide vendéen est un contresens. L’expression a été inventée en 1944 seulement par un historien et sociologue polonais. La naissance de cette « guerre » est liée aux rivalités politiques entre Girondins et Montagnards, sa poursuite et son ampleur tiendront aux concurrences entre Montagnards et sans-culottes. La lecture des décrets de la Convention exclut toute intention génocidaire pour deux raisons : les « Vendéens » en tant que tels ne sont pas définis, d’une part parce que personne n’a donné le moindre critère pour les définir, condition première pour parler de génocide par comparaison avec les juifs et les arméniens par exemple, d’autre part parce que la Convention n’ignore pas que des Vendéens de la Vendée départementale continuent d’être républicains.
Bravo, vous avez gagné une paire de lunettes à oeillères….
Votre diarrhée pseudo historique me fait penser à un proverbe populaire :
” La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale !…
Et la connerie ? Elle s’étale ou se renverse ?
2/3 Sur la toile de fond d’abord. Il n’existe pas de guerre civile. L’insurrection vendéenne était au service de l’étranger, des puissances qui menaçaient la France. La crainte des républicains était que le port de Nantes et l’estuaire de la Loire tombent aux mains des armées catholiques et royales et donc aux Anglais. La prise de Nantes n’a été évitée que de justesse en juin 1793 et la ville est pratiquement encerclée pendant tout l’hiver 1793-1794 On mentionnera les débarquements réalisés en 1795 par la marine anglaise sur la presqu’île de Quiberon et l’île d’Yeu pour illustrer l’insécurité qui règne dans toute la région jusqu’en 1795-1796. Les « vendéens » servaient clairement des intérêts étrangers. Il aurait été intéressant de rappeler un précédent, l’insurrection contre le pouvoir royal sous Louis XIV un siècle plus tôt, réprimée elle aussi avec violence.
La Convention n’avait aucune légitimité, car désignée par des élections frauduleuses, non sincères et non disputées. Elle était l’incarnation d’une minorité haineuse, sectaire et violente. Patrice Gueniffay a démontré que 30% du corps électoral seulement avait participé au vote de septembre 1792, Elon le système des “candidatures officielles. Les opposants ne pouvaient ni se présenter, ni s’exprimer !!!
1/3 Il est toujours heureux qu’un film consacré à l’histoire de France sorte sur les écrans ; pour celui-ci il en manque combien. Comme tout film il doit être regardé et salué comme une œuvre de création et jugé à l’aune des exigences artistiques d’un film. Celui-ci apparaît particulièrement réussi au plan de la mise en scène et les actions individuelles ou collectives décrites sont crédibles. La critique venue de Libération est excessive donc sans importance. Passionnée elle manque son but. Si le film est louable, le contenu suggère de fortes réserves. Il commet en effet un anachronisme.
Un seul mot:ENFIN! Enfin un vrai film pour illustrer les dérives sauvages du totalitarisme révolutionnaire contre une population attachée à ses traditions et à ses valeurs. Des scènes m’ont fait pleurer! Tout était bien réalisé. Un seul point critiquable: les dialogues étaient en partie couverts par le fond sonore; il fallait tendre l’oreille pour comprendre tout ce qui se disait. Dommage pour la transmission des messages des personnages. Bravo. Et vivement un autre film dans cette même veine.
peut-on avoir le film pour le regarder chez soi car je ne le trouve pas programmé à PERPIGNAN
J’ai adoré ce film conforme à ce que j’ai appris grâce à des véritables historiens tel que Reynald Secher et d’autres, qui eux, ne travestissent pas l’histoire. Ce film ne fait que conforter mes idées Royalistes.
il a fallu deux siècles pour que la vérité éclate, les génocides, toutsi, arménien et kmer avait été reconnu plus tot. et pourtant les vendéens n’ont rien dit en 1789, ni même en 92, mais en 93 ils ont subit.
La république a voulu cacher qu’elle pouvait déclencher des événements qui n’ont rien à envier aux pires exactions du nazisme. Elle a réussi durant des décennies mais grâce à ce film le boomerang lui revient en pleine poire…
Les nazis ont atteint un point de non-retour dans l’Histoire de l’humanité. Un génocide industriel monstrueux où étaient prélevés les cheveux pour finir en tapis, graisses recueillies lors de la crémation des corps dans les fours crématoires, peaux tatouées prélevée pour “agrémenter”des abats-jours”, dents en or transformées en lingots. Sans compter les expériences “médicales” sur des cobayes humains, Juifs bien sûr, toujours, consistant à coudre des soeurs jumelles afin de tenter de les changer en siamoises ! Ou de rendre stériles des femmes en introduisant un rongeur quelconque dans leurs vagins et en recousant ensuite pour empêcher toute tentative d’évasion du rongeur. 6 millions ! L’Europe est le plus grand cimetière juif. Alors Laurent pas d’échelle de comparaison genre “qui n’avaient rien à envier au nazisme” en évoquant les massacres en Vendée.
“« Vaincre ou Mourir » vient sonner le glas de la révolte.”
Vous vouliez sans doute écrire “vient sonner le TOCSIN de la révolte.
Le glas : sonnerie de cloche pour la mort d’une personne et appeler à venir à son enterrement ou, par extension, pour la mort d’une cause et en faire le deuil.
Le tocsin : sonnerie de cloche d’alerte pour déclencher une réaction, appeler à une émeute ou à une révolte
Il y a d’autres héros Chouans à célébrer,le marquis de la Rouerie dont vous pouvez voir la belle statue à Fougères, chef de la Conjuration bretonne qui devait maintenir le bon roi Louis XVI sur le trône – mais il fut trahi par son médecin Cheftel.Il eut à ses côtés des femmes,et entr’ autres Louis du Pontavice… assassinés sur l ‘échafaud- tandis que du Boisguy ne fût jamais pris.
Voilà le thème d ‘un autre beau film dans la région de Fougères.
Ouais, le royalisme, c’est vachement mieux! 😀 Arrêtez de diviser les Français! Vous faites concurrence à Macron.
Merci pour cet article au nom de nos familles décimées et souhaitons un triomphe à ce très beau film qui fait salle pleine partout où il passe. Beaucoup comme moi ont pleuré, c’est très émouvant. Témoignons encore, plus jamais ça.
J’espère qu’il restera longtemps à l’affiche.