Valls et apartheid : j'attends avec impatience l'islamisation des beaux quartiers parisiens

valls-boubakeurrupturejeunAu moment où la gauche prévoit à grands coups de milliards une énième rénovation des quartiers dits sensibles, voilà une histoire de « ghetto » bien réelle. Il était une fois un vaste ensemble de grandes tours HLM sorties de terre entre les Portes de La Chapelle et de la Villette dans le 19è arrondissement de Paris à la fin des années 60.
Elles se remplirent très vite de locataires, majoritairement issus de la fonction publique et des services assimilés, agents de police, pompiers, postiers, agents de la SNCF, etc.
Bien sûr ce n’était pas Neuilly-Auteuil-Passy, ni l’avenue Foch, on n’y roulait pas sur l’or mais on était cependant loin de la misère, avec des appartements confortables, entourés de balcons. En résumé on y coulait des jours paisibles en famille,  dans des relations de voisinage conviviales, voire amicales. De nombreux commerces ravitaillaient et équipaient la population tandis que lignes de bus et de métro desservaient aisément les lieux comme ailleurs dans Paris.
Une dizaine d’années plus tard quelques familles venues de toute évidence de l’autre côté de la Méditerranée commencèrent à  remplacer les premiers locataires partis en retraite vers des rivages plus ensoleillés, ou mutés dans d’autres villes de France. Année après année, regroupement familial aidant (merci Chirac),  le phénomène s’accéléra. Les familles des premiers immigrants s’étaient agrandies et de nouvelles, de plus en plus nombreuses dans tous les sens du terme, étaient venues à leur tour (sans jeu de mots) s’installer.
Apparurent alors les premiers phénomènes mystérieux ; bien que dans les années précédentes quelques cas isolés d’incivisme eussent été déjà déplorés, graffitis obscènes, papiers gras jetés à terre, etc., les sols, néanmoins gardés jusque-là dans un état correct grâce à des gardiens consciencieux, se jonchèrent ostensiblement de détritus. De même, les murs comme les parois des ascenseurs ne tardèrent pas à se couvrir de rayures, graffitis et autres tags qu’il serait difficile de qualifier d’artistiques, même pour le plus enragé des bobos.
Comme il est évidemment hors de question d’incriminer ou de stigmatiser qui que ce soit, force est d’admettre qu’il s’agissait bien d’un phénomène d’ordre surnaturel, et que celui-ci semblait constituer en fait « la révolte des tours », ce que les événements survenus ensuite ne purent que confirmer. Ainsi, à l’image du bâton de Moïse accomplissant des prodiges, la nuit venue, les tours firent trembler leurs portes d’entrée de sorte que peu à peu leurs vitres se fissurèrent avant de se briser complètement. En multipliant les secousses, apparemment imperceptibles pour les habitants, mais bien réelles, ce furent bientôt les boîtes aux lettres qui virent leurs charnières se casser, quand elles-mêmes ne tombèrent pas carrément à terre. Il va de soi que dans un tel environnement hostile les ascenseurs eux-aussi déclaraient forfait les uns après les autres.
Totalement indifférents à ces phénomènes, les « djeunes » des tours et leurs copains d’autres immeubles voisins avaient désormais pris l’habitude de se réunir le soir et la nuit dans les halls d’entrée où une nouvelle convivialité était née, laquelle se traduisait le lendemain matin par des seringues au sol (sans doute pour soigner les camarades malades, on n’est pas des sauvages quand même !) et détritus divers, le tout dans une douce atmosphère de fumées qui ne rappelaient que de loin celles du tabac des anciens.
Les ascenseurs, chaque fois qu’ils étaient réparés, servaient de nouveau terrain de jeu pour les plus jeunes et il était habituel de voir les bambins de 7-8 ans passer leur temps au-delà de minuit du 1er au 18è en stoppant à chaque étage pour que cela soit plus festif avant de recommencer dans l’autre sens.
Les quelques survivants, ou plutôt survivantes des premières années,  puisqu’il s’agissait majoritairement de veuves, se résignaient à constater l’état déplorable dû à cette étonnante autodestruction des tours, tout en longeant les murs dans la journée ; dans la journée seulement car toute sortie nocturne relevait évidemment d’un comportement suicidaire qui leur était étranger.
Depuis peu, les choses ont changé ! On ne pouvait bien évidemment laisser ces pauvres populations victimes du racisme de ces Français de souche qui les avaient « ghettoïsés », Français de souche qui un jour n’ont jamais existé, mais un autre jour sont d’abominables esclavagistes, c’est selon l’humeur du moment et le message à faire passer. Les mêmes transports en commun continuaient pourtant à desservir l’endroit et les commerces existaient toujours même s’ils s’étaient un peu orientalisés, ce qui logiquement ne pouvait déplaire à la nouvelle population locale. Émoi donc de la gauche, éternelle scandalisée, et une masse d’argent a donc été investie dans la rénovation des tours et du quartier, à l’instar de ce qui est englouti depuis des lustres et quasiment en pure perte, comme dans le tonneau des Danaïdes, dans les quartiers dits « sensibles » des banlieues des grandes villes. Le citoyen moyen se demande d’ailleurs bêtement pourquoi ils n’étaient pas « sensibles » dès l’origine. J’ai bien précisé bêtement, car un Français moyen d’origine européenne est forcément un « beauf » d’une imbécillité crasse, les « stars » de la boboland ne cessent de vous le répéter.
Les tours ont donc depuis repris un aspect normal avec a priori une sécurité renforcée, ce qui n’a quand même pas empêché l’intrusion et le vol dans un appartement équipé d’une porte blindée ! La question évidente à se poser est : jusqu’à quand ? Y-aura-t-il une nouvelle révolte des tours, et dans combien de temps ?
Notons que les tours seraient d’ailleurs éminemment racistes puisque les fonctionnaires du début ont laissé la place à de nombreux mâles barbus en chemises de nuit (pardon, en djellabas) et babouches, ou, pour les plus modernes, en habit européen mais coiffés du traditionnel bonnet musulman, tandis que les femmes arborent des boubous très colorés pour les unes, ou, plus fréquemment, de jolis tchadors, noirs, violets, marron pour les autres. Car la mode est fun à La Villette ! Bref, un bel échantillon représentatif de « l’Islam modéré » !  On voit quand même certaines dévergondées se contenter de simples voiles (sur les cheveux j’entends ; hey, what did you expect ? Pas de Shéhérazade ni de danse du ventre dans le cas présent !)  Évidemment, le cas de celles qui osent arborer une tenue occidentale satanique (comme une jupe courte, le comble de l’indécence), relève de la provocation suscitant la honte de la famille et la colère d’Allah dont, grâce au « Prophète », on connaît surtout l’humeur ombrageuse et le penchant pour les châtiments, disons sévères; comme il est –jusqu’à aujourd’hui en tout cas– difficile de pratiquer publiquement lapidation ou flagellation en plein Paris, pères, frères, oncles ou jeunes voisins se chargent sans doute de corriger discrètement ces moins-que-rien pour qu’elles se gardent de recommencer. Pour revenir à nos veuves encore présentes, ces dernières ne peuvent que subir cette évolution  lorsqu’elles n’ont eu la possibilité de  fuir sous d’autres cieux plus cléments, hélas de plus en plus rares dans notre ex-doux pays. Transcription du cauchemar d’une parente proche qui y habite depuis l’origine même si elle réussit à y échapper maintenant une bonne partie de l’année ; s’y ajoutent quelques constatations personnelles faites de visu depuis longtemps.
Mais Valls, et pour Paris, Madame Hidalgo, l’ont promis : plus question de laisser ce genre de situation perdurer. Les « beaux quartiers » devraient bientôt connaître les joies de ce merveilleux exemple du vivre ensemble dont on nous rebat les oreilles, de la mixité sociale, laquelle existait justement paisiblement dans les années 60, avant « l’invasion ». Attendons donc avec curiosité la réaction des habitants du 16è arrondissement lorsque fleuriront boucheries halal et tchadors, tags et dégradations en tous genres, même si la grande majorité d’entre eux n’a pas voté pour la « passionaria ».
En fait le plus amusant sera sans doute la réaction de la boboland des 5è et 6è arrondissements lorsqu’elle sera soumise aux réjouissances nocturnes du ramadan, et à sa propre « ghettoïsation » (la loi du nombre est impitoyable) associée à la peur quotidienne passé une certaine heure ; sans parler du réveil cruel quand elle verra la valeur de ses biens immobiliers fondre comme neige au soleil car selon l’expression bien connue, on a certes le cœur à gauche mais le portefeuille bien à droite… Car oui M. Valls il ya bien une forme d’apartheid en France, c’est celui qui, dans les quartiers que précisément vous désignez, frappe la population d’origine, laquelle se voit privée peu à peu de charcuteries, de boucheries traditionnelles, de cavistes, de médecins, de pharmaciens, laquelle se trouve sous la menace d’un coup de couteau pour un regard, pour un sandwich mangé en plein ramadan.
Daniel Boutonnet