Viande halal : ne comptons que sur nous-mêmes pour nous protéger d’un risque sanitaire majeur

Malgré toutes les tentatives des politiques (hors Front national) pour enterrer l’affaire de la viande halal qui est massivement vendue aux Français à leur insu, le « buzz » citoyen a parfaitement rempli son rôle : depuis le fameux reportage sur France 2 le 17 février, il y a eu des milliers d’articles, des dizaines de débats, des vidéos en ligne, etc.

http://rutube.ru/tracks/5326991.html

On ne va donc pas refaire ici tout le film des événements. L’essentiel, c’est que les Français sont donc désormais parfaitement informés (ou ré-informés), qu’ils se prononcent massivement dans tous les sondages comme choqués de la tromperie dont ils ont été victimes, et qu’ils réclament massivement un étiquetage de toute viande issue de l’abattage halal ou de tout produit élaboré à partir de cette viande islamisée.

Les consommateurs sont soutenus par les éleveurs, eux aussi contraints de voir leurs bêtes abattues selon le rite musulman parce qu’ils n’ont plus le choix ; mais aussi par les bouchers qui sont également victimes de la généralisation du halal et qui sont embarrassés par rapport à leurs clients croyant acheter de la viande normale.

Nous connaissons parfaitement les raisons de cette généralisation ahurissante de l’égorgement musulman à vif des animaux sur notre sol. La principale raison est doublement capitalistique :

1. Les producteurs de viande et les professionnels des abattoirs font des économies en ne retenant qu’un mode d’abattage, le halal, ce qui leur évite d’avoir plusieurs chaînes simultanées ou consécutives.

2. Ils recyclent les parties des animaux que les musulmans ne veulent pas manger, là encore pour des raisons strictement économiques.

Mais il ne faut oublier que s’ils en arrivent là, c’est aussi par l’explosion communautariste de la demande halal, donc à cause de l’islamisation de la France. Une fois de plus, islam et capitalisme font bon ménage, au détriment des citoyens.

Producteurs et islamiseurs sont-ils les seuls responsables ? Certainement pas, parce que le pouvoir politique UMPS est lui aussi totalement impliqué en voulant flatter les uns et les autres, et tant pis pour les consommateurs qu’il méprisera jusqu’à lui cacher sciemment les informations gravissimes qu’il détenait.

Résumons également les griefs légitimes que subissent les Français dans cette affaire :

1. Atteinte à la laïcité. En particulier en obligeant tout le monde à contribuer à la taxe halal finançant le culte musulman, et à l’insu de la grande majorité des consommateurs qui plus est !

2. Atteinte à la liberté de conscience. En effet, il est légitime que l’ensemble des non-musulmans refusent de participer indirectement à un culte qui leur est étranger. Que diraient les musulmans si on les forçait (sans leur dire) à ne manger que du pain béni au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ? Hé bien c’est pareil, les Français n’ont pas à cautionner un culte cruel à une divinité arabique du 7ème siècle. C’est également notre identité nationale, notre Histoire et nos valeurs qui sont en jeu, dans notre beau pays du saucisson et du pinard. Car plus nous accepterons la « halalisation », et plus nos traditions culinaires et notre souveraineté culturelle reculeront. Il n’y a qu’à constater la disparition des boucheries non halal en zone sous hégémonie musulmane…

3. Souffrance animale. Elle est constatable par tout un chacun dans le reportage de France 2, comme dans des dizaines de vidéos en ligne sur le net plus atroces les unes que les autres. Rappelons que la loi française oblige à l’étourdissement préalable, et on ne voit pas au nom de quoi on ferait des exceptions religieuses. Ou alors pourquoi ne pas faire des exceptions pour la polygamie, la répudiation et autres joyeusetés de l’islam ?

4. Tromperie sur la marchandise et vente liée. Comme l’explique très bien Alain Wagner dans cette vidéo, on subordonne le financement du culte musulman à l’achat de viande sans en avertir le consommateur et sans qu’il ait le choix, d’autant plus qu’on lui cache sciemment cette vente liée pourtant interdite selon l’article L122-1 du Code de la consommation.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=KfOmBw2zb2U[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=KfOmBw2zb2U

5. Et enfin, et c’est certainement le plus grave : risque sanitaire majeur. Comme le montre le reportage de France 2 mais aussi celui-ci de France 5 que je vous invite à visionner. Oui, depuis plusieurs années, on sait que l’abattage halal favorise la contamination de la viande par la bactérie Escherichia coli responsable de plus d’une centaine de morts d’enfants en France par an ! Sans compter toutes les victimes obligées de vivre avec un handicap ou d’être dialysés à vie…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=bLUsnUpmKLA[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=bLUsnUpmKLA

Quand on pense le ramdam (et à juste titre) qu’on a fait sur la vache folle qui a causé au total 25 morts en France, ou sur la grippe aviaire, quand on pense au principe de précaution généralisé parfois à l’excès, on ne peut qu’être sidérés et indignés d’apprendre que non seulement nos gouvernants n’ont rien fait dans le cas de la viande halal, mais qu’en plus ils ont sciemment caché au public des informations qu’ils détenaient dans leurs ministères depuis des années. C’est un scandale de même nature que celui du sang contaminé.

Et nos politiciens ont continué non seulement à jouer les autruches après que l’affaire éclate au grand jour, mais le pire c’est qu’ils ont osé culpabiliser les victimes ou ceux qui, à l’instar de Marine Le Pen, se sont légitimement inquiétés. « Polémique vaine », « stigmatisation », « racisme », voilà leur réponse depuis le Front de gauche jusqu’à l’UMP et aux ministres. Il fallait circuler parce qu’il n’y avait rien à voir, et si vous osiez insister alors la reductio ad hitlerum s’abattait sur vous. Quelle honte de la part de responsables politiques et de dirigeants de l’État qui auraient dû être immédiatement démissionnés pour de telles fautes, de telles tromperies, de telles complicités !

Pour faire court, nous n’allons pas lister ici tous ces tartuffes irresponsables, les Jean-Luc Mélenchon, les Julien Dray, les François Hollande, les François Bayrou, les Éva Joly, les Bruno Lemaire, les Alain Juppé… et évidemment leurs idiots utiles habituels de SOS-Racisme, de l’UEJF, du Nouvel Observateur, de Libération… La liste serait trop longue, mais qu’ils sachent bien que le net a conservé la mémoire de toutes leurs déclarations et qu’il arrivera un jour ou l’autre où ils rendront des comptes au peuple de France.

Alors que faire pour nous défendre ?

Évidemment, il ne faut pas compter sur les politiques « responsables mais pas coupables » comme avait dit Laurent Fabius à propos du sang contaminé. Il ne faut pas compter sur la gauche autruche à souhait, y compris les Verts qui pourtant seraient prêts à étiqueter chaque œuf avec une carte à puce pour savoir s’il a été pondu dans les règles de l’art écologique ; mais qui se contrefichent du bien-être animal et de la santé des Français dès que ça risque de « stigmatiser » leurs amis verts de l’islam politique. Ne comptons pas non plus sur le Modem, totalement absent de ce débat.

Et la droite sarkozyste ? Elle nous a sorti deux lapins de son chapeau.

Le premier, c’est un décret pris en novembre dernier, obligeant les abattoirs à exiger une commande spécifiquement halal ou casher pour tout abattage rituel. Les professionnels de la filière ont même décidé d’avancer l’application de ce décret, initialement prévu pour le 1er juillet 2012.

Or ce décret ne changera rien aux cinq griefs que nous avons énumérés. En effet, dans une conversation assez vive entre Marine Le Pen et les producteurs au Salon de l’agriculture, la candidate et présidente du FN a demandé à ses interlocuteurs si après ce décret, il y aura toujours recyclage de parties de l’animal abattu rituellement dans le circuit normal et à l’insu des consommateurs. Eh bien… oui !

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xp7mwy_marine-le-pen-rencontre-avec-les-producteurs-de-viande_news[/dailymotion]

http://www.dailymotion.com/video/xp7mwy_marine-le-pen-rencontre-avec-les-producteurs-de-viande_news

Le second lapin qu’a inventé Nicolas Sarkozy pour cause de campagne électorale, c’est l’étiquetage de toute viande abattue rituellement. Mais après cette annonce qu’il voulait fracassante et aussitôt condamnée par les autorités religieuses juives et musulmanes, le président-candidat a vite fait machine arrière en disant que cet étiquetage se fera « sur la base du volontariat » (sic !) Autrement dit, il n’y aura strictement aucune loi, aucune obligation, et les producteurs étiquèteront si ça leur chante, et évidemment ils ne le feront pas si ce n’est pas leur intérêt.

Qui plus est, Bruno Lemaire et d’autres spécialistes de l’enfumage nous expliquent que ce n’est pas si simple que ça, qu’il faut demander la permission à Bruxelles parce que ce serait la Commission européenne qui serait seule habilité à dire ce que doivent comporter nos étiquettes. Il faudrait même, paraît-il, avoir l’accord des 26 autres gouvernements européens. Cet argument est évidemment fallacieux. L’UE décide l’étiquetage minimum, et rien ne nous interdit d’en faire davantage si c’est dans l’intérêt du consommateur français. Mais évidemment, comme souvent, le gouvernement UMPS se cachera derrière Bruxelles pour botter en touche.

D’ailleurs Nicolas Sarkozy ne vient-il pas de faire une superbe marche arrière (la seconde après le « sur la base du volontariat »), lors de sa visite à la Mosquée de Paris ? Comme le titre 20 Minutes, il y est allé « pour enterrer la polémique sur le halal », afin que les musulmans ne soient pas « blessés par des polémiques qui n’ont pas lieu d’être ». Retour à la case départ.

Rien d’étonnant chez la girouette Nicolas Sarkozy, spécialiste en promesses non tenues, en décisions aléatoires non promises, et en changements incessants de prises de position.

Nous l’avons vu, nous l’avons entendu : la viande halal n’était pas un problème pour lui lors de sa visite à Rungis (« la polémique n’avait pas lieu d’être »), ni lors de sa visite du Salon de l’Agriculture. Mais quand il a appris par un sondage qu’une large majorité des Français souhaitaient l’étiquetage, alors il s’est dit que ça pourrait être utile de faire une promesse de campagne tonitruante qu’il parjurera quelques jours après par l’ajout de la mention « sur la base du volontariat ».

D’ailleurs, toujours sur cette affaire de viande halal, n’avait-il pas promis par écrit en 2006 à Brigitte Bardot qu’il imposera l’étourdissement préalable pour tout abattage même halal ? Hé bien c’était là aussi une promesse de campagne électorale, qui n’a pas vu le moindre début de commencement de réalisation, et qu’il a bien évité de réitérer en 2012.

Sarkozy a menti quand il a dit au Salon de l’agriculture que seuls 2,5% de la viande distribuée en Ile-de-France est halal ou casher, alors que nous savons fort bien que la moyenne nationale est de 51% des animaux. Son ministre Bruno Lemaire a menti lorsqu’il a parlé de 14%, en oubliant bien sûr de dire qu’il parlait en tonnage, et qu’il a depuis novembre 2011 un rapport de son ministère qu’il a caché au public et qui dit qu’on passé de 32% à  51% en trois ans.

Quant au ministre de l’Intérieur Claude Géant, il a affirmé tout de go « l’attachement de la France à l’abattage rituel » alors que toutes, oui, toutes les enquêtes d’opinion démontrent que les Français y sont très majoritairement opposés. Quel déni de réalité ! Quel mensonge au plus haut sommet de l’État !

Allons-nous faire confiance à des menteurs et à des autruches ? Allons-nous confier la clé du poulailler de nos enfants au renard du halal et de l’E-coli ?

Donc exit la gauche, exit la droite, exit le centre : aucun de ces mouvements politiques ne règlera aucun des cinq problèmes que pose la viande halal aux Français, et en particulier le risque sanitaire.

Il reste Marine Le Pen, qui est la seule qui a, sur ce sujet, un programme clair, cohérent et exhaustif (y compris l’étourdissement obligatoire), et qui a la volonté d’imposer l’autorité de l’État et l’intérêt des Français aux lobbies corporatistes et communautaristes. On a d’ailleurs vu comment elle a parlé aux producteurs au Salon de l’agriculture, ou à l’imam Chalghoumi sur un plateau de télévision. Je vous laisse donc apprécier son « programme » sur cette question : http://www.nationspresse.info/?p=162909

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=owiKqb70_qU[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=owiKqb70_qU

Mais encore faut-il qu’elle soit élue Présidente de la République…

Alors allons-nous subir quand même pendant des années le diktat du halal, y compris ses risques sanitaires, et la généralisation grandissante du « tout halal » ?

Non, car nous avons les moyens d’imposer l’inversion du rapport de force. Une fois de plus, il faut que la peur change de camp.

Nous avons vu que la majorité des Français (quasiment l’unanimité si on ne compte pas les 10 millions de musulmans d’Azouz Begag) est de notre avis : nous voulons l’étiquetage obligatoire de toute viande ou de toute préparation à base de viande distribuée en France. Nous ne nous contenterons pas d’une simple étiquette « abattu avec étourdissement préalable », mais de la mention explicite d’un sacrifice religieux. En effet, l’étourdissement préalable à lui seul répond au seul besoin de ne pas faire souffrir l’animal, mais pas aux quatre autres griefs que nous avons énumérés.

Nous allons appliquer nous-mêmes le principe de précaution. Comment ? En demandant à nos bouchers à et nos supermarchés de procéder à l’étiquetage que nous souhaitons. Alors, s’il leur arrivera de mentir dans cet étiquetage, nous pourrons les traîner en justice pour tromperie sur la marchandise. Mais gageons que nous n’aurons pas à user de telles extrémités, puisque l’intérêt des bouchers et des supermarchés sera alors de ne pas perdre de clients. D’ailleurs l’un d’entre eux a pris les devants, et qui plus est dans le Nord, département fortement islamisé.

Nous avons déjà les moyens de vérifier si la viande qu’ils vendent n’est ni halal ni casher. En effet, chaque barquette comporte le code de l’abattoir. Attention : ne confondez pas le code de l’abattoir et le code du lieu de découpe, qui ont la même structure “FE 99.999.999 CE” ! Et pour la vente à la découpe, les bouchers et les supermarchés sont obligés d’afficher ce code ou de vous le fournir sur demande. Or l’OABA (Oeuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs) a dressé une liste des abattoirs qui ne sont ni halal ni casher, avec la même codification. Cette liste a été diffusée par plusieurs médias (Le Point, Le Parisien, etc.) La voici :

abattoirs-ni-halal-ni-casher

Le Point a aussi donné la liste de tous les abattoirs agréés mais en marquant en rouge ceux qui pratiquent l’abattage rituel. On constate aisément que le non-halal non-casher est minoritaire, ce qui confirme les chiffres avancés par le rapport secret du ministère de l’Agriculture.

Ces listes ne sont sans doute pas parfaites. Elles ne concernent pas les abattoirs de volailles et de lapins, où l’OABA trouve systématiquement porte close. Il est possible que certains abattoirs passent au halal après la vérification par l’OABA. Mais c’est déjà un excellent outil de travail en attendant l’actualisation que l’OABA ne manquera pas de faire.

Il ne nous reste plus qu’à diffuser, imprimer, distribuer les quatre pages de la liste des abattoirs ni halal ni casher. Emportons-la avec nous quand nous allons faire les courses, parlons-en avec notre boucher et les employés des supermarchés, et vérifions ce que nous achetons !

Il faudra aussi organiser la communication entre nous, dans notre voisinage ou par internet. Par exemple, un internaute marseillais a posté le message suivant sur la page Facebook “JE NE VEUX PAS MANGER HALAL !”

« La réalité est effrayante mes chers amis………Voici ce que l’ai pu constater hier , au hasard , dans 2 supermarchés non loin de chez moi : magasin Monoprix gourmet des Galeries Lafayette de Marseille (considéré plutôt comme haut de gamme) , et supermarché Carrefour Vitrolles au nord de Marseille.
A Monoprix , toutes les barquettes de bœuf et de veau Monoprix proviennent du même abattoir no 85109005 , pratiquant l’abattage rituel…deux autres marques d’agneau et de veau ne comportaient pas de numéro.
A CARREFOUR , 12 types de barquettes vérifiées :
Bœuf abattoir 4218701 : halal
Bœuf abattoir 0331501 : halal
Bœuf abattoir 38051001 : conventionnel
Bœuf abattoir 5014702 : halal
Bœuf abattoir 51649001: halal

Bœuf Bio abattoir 8815501 : halal
Bœuf Bio abattoir 6100101 : halal
Bœuf Charal Bio abattoir 57463001 : halal
Agneau abattoir 13215004 : halal
Agneau abattoir 04160001 : halal
Veau abattoir 13215004 : halal
Veau marque Carrefour abattoir 2405301 : conventionnel
Donc , sur 1 total de 14 types différents de barquettes comportant les no d’abattoirs , SEULES 2 BARQUETTES SONT ISSUES D’ABATTOIRS PRATIQUANT L’ABATTAGE CONVENTIONNEL AVEC ÉTOURDISSEMENT ! TOUTES LES AUTRES proviennent d’abattoirs PRATIQUANT L’ABATTAGE RITUEL ! y COMPRIS LE BIO et les marques comme Charal…….
Je n’ose vous laisser imaginer ce qu’il en est pour les plats préparés type bourguignon de Fleury Michon ou autre blanquette de chez Marie , ainsi que pour la viande consommée dans les cantines et les restaurants !
Je suis effaré , je commence à comprendre pourquoi le gouvernement a refusé d’étiqueter : parce que les gens se seraient rendus compte qu’ils mangent halal quasi-tout le temps……..
Mes chers amis j’ai comme la triste impression que nous sommes en train de nous faire “bouffés tout crus” , dans une naïveté consternante !! Shocked »

J’ai moi-même vérifié la moitié des barquettes (hors porc et volailles) dans une supérette Carrefour City : toute provenaient d’abattoirs halal/casher… Toutes !

Et si vous constatez comme moi ou comme notre internaute qu’on ne trouve aucune viande normale dans une boutique, hé bien n’y allez plus et faites-le savoir au gérant en lui expliquant pourquoi, et si possible devant d’autres clients. Il nous reste aussi la possibilité de n’acheter que du porc, des œufs et du poisson en attendant que la sauce commence à prendre.

Certains professionnels nous objecteront que l’effet d’échelle du « tout halal » permet de faire baisser le coût des viandes recyclées dans le circuit traditionnel. On peut alors leur répondre que les consommateurs qui refusent le halal sont largement majoritaires dans notre pays, et donc qu’ils imposeront l’inversion de l’offre par un effet d’échelle « tout non halal ». Simple problème de rapport de force et de jeu de la concurrence !

Il y a aussi le cas de la viande importée. Mais là c’est très simple : il suffit… de ne plus en acheter ! Appliquons la préférence nationale et le protectionnisme alimentaire, pour le plus grand bien de nos paysans qui plus est !

Nous ne couvrirons pas tout le domaine de la distribution de viande halal. Notre internaute de Facebook signale le cas des plats préparés, des cantines, des restaurants.

Pour les plats préparés, je ne vois pas de solution immédiate. Mais rien n’empêche d’écrire aux marques pour leur demander l’étiquetage ou la garantie écrite que leurs préparations ne contiennent ni halal ni casher. Et de dire qu’on n’achètera plus chez eux tant qu’on n’a pas cette garantie.

Pour les restaurants, exigeons aussi l’étiquetage dans les menus. Les restaurateurs doivent pouvoir le faire, puisqu’ils achètent bien de la viande dont l’abattoir est « tracé » jusqu’à eux.

Idem pour les cantines. Et là encore, quel mensonge des politiques ! Ils nous qu’aucune cantine scolaire publique ne fournit de la viande halal. C’est doublement faux : c’est le cas à Strasbourg par exemple, et surtout, avec l’invasion du halal caché, il est évident que les cantines scolaires doivent en acheter des tonnes à l’insu de leur plein gré. Donc là encore, exigeons l’étiquetage et invitons nos enfants à y manger du porc (et à en réclamer quand il est banni sous la pression islamique), ou du poisson. Les parents d’élèves peuvent aussi inspecter les cantines pour vérifier de quel abattoir provient leurs viandes, et faire de la publicité aux établissements qui fourguent du halal en douce à nos enfants avec les risques de contamination E-coli.

Bien sûr tout cela demande à s’organiser au niveau local et national. Mais on voit déjà que chacun d’entre nous peut se prendre en main avec sa petite liste dans son panier à provisions. Vous verrez que vous susciterez de l’intérêt quand vous la brandirez en examinant les étiquettes. Profitez-en pour informer les autres consommateurs.

Et puis rien n’empêche de prendre d’autres initiatives au gré de votre imagination. Un ami médecin démarre une campagne d’information de ses patients et de ses confrères. Nos amis du Bloc identitaire sauront sans doute nous concocter des actions de terrain dont ils sont spécialistes et qui seront dûment médiatisées.

Alors, chers amis laïques, chrétiens, athées, chers consommateurs, chers parents, chers citoyens, au boulot ! Nous ferons reculer la « halalisation » de la France et nous mettrons à genoux les politiciens qui nous l’ont imposée. Parce qu’il ne faut pas oublier notre autre arme redoutable : notre bulletin de vote.

Roger Heurtebise

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