Violences à Bordeaux : arrestations à l’extrême gauche !

Lundi matin vers 6h la police a procédé à l’arrestation d’une dizaine d’activistes d’extrême gauche. Nous ne savons pas, à cette heure, s’ils sont encore interrogés par la police, mais nous savons qu’ils sont entendus à propos d’une grave agression dont ils sont les auteurs, début juillet 2022.

Il s’agit de l’attaque du bar le Mushroom, place Gambetta. 30 à 40 individus, certains masqués et casqués, ont attaqué un groupe de jeunes Bordelais. Une attaque extrêmement violente aux cris de « vengeance pour Saint-Michel », « Bordeaux antifas », « Ultramarines ». Cette agression s’est soldée par de graves blessures, un traumatisme crânien, des fractures aux bras, au visage, des dents cassées, des blessures ouvertes… Une des victimes a subi plusieurs opérations chirurgicales. Plus de 4 mois d’interruption de travail. C’est l’utilisation d’armes comme des casques, des chaînes, des poings américains, des ceintures qui explique ce bilan aussi lourd. La préméditation ne fait aucun doute puisque les agresseurs ont eux-mêmes crié qu’ils souhaitaient venger la fausse ratonnade de Saint-Michel. Fake news largement relatée par la presse, qui avait eu lieu quelques jours avant, le 24 juin.

 

UNE AGRESSION JUSTIFIE LA SUIVANTE

Les antifas depuis plusieurs jours étaient à la recherche des militants patriotes impliqués dans la bagarre de Saint-Michel. Étaient-ils furieux que l’agression subie par 8 militants de droite se soit soldée par une déroute des agresseurs ? C’est cette première agression qui explique la deuxième. Cette fois-ci organisée et rassemblant de 30 à 40 gauchistes équipés pour une expédition punitive, pour un lynchage. Les victimes semblent avoir été trouvées par hasard, ou plutôt par erreur. Puisque parmi ces jeunes, dont de nombreux lycéens, ne se trouvait qu’un seul militant, un responsable Jeunes du Rassemblement national, Pierre Le Camus. Quelqu’un qui fait partie de la mouvance patriote. Il a été reconnu par les agresseurs, vraisemblablement parce qu’il a été candidat aux élections. Dur d’être de droite à Bordeaux, et surtout dangereux.

LA RESPONSABILITÉ DE LA PRESSE

La presse a une responsabilité dans cet emballement de la mouvance antifa. La façon mensongère dont elle a rapporté les évènements de Saint-Michel, en parlant de « ratonnade », a justifié, aux yeux de cette quarantaine de gauchistes une expédition punitive. L’impunité dont bénéficient systématiquement toutes les exactions de gauche, toutes les agressions de militants de droite à Bordeaux, y compris les plus violentes, explique certainement que ces esprits faibles se soient crus tout permis. Ils se sont rassemblés et équipé au moins pour blesser et peut-être pour tuer.

La façon dont les journaux ont transformé une altercation en une ratonnade, explique la mobilisation gauchiste. La presse a pris une grosse responsabilité. Oui des militants de droite se sont défendus contre des allogènes dans la rue, suite à une agression crapuleuse de MNA. Mais ils étaient en légitime défense. La presse a transformé cette altercation qui n’a fait ni dégâts, ni blessés, en une affaire d’agression raciste préméditée. Les journalistes avec leur plume militante d’extrême gauche ont joué un sale rôle. Ils ont menti et incité à la haine. Si cette agression antifa est instruite par la justice, le rôle de la presse devra être examiné de près et les responsabilités recherchées…

François Jay
image_pdfimage_print

3 Commentaires

  1. Place Beauvau ils lisent aussi les réseaux sociaux… et ils voient que doucement, la mer monte…

    L’écume des vagues, ce sont les commentaires, et dessous il y a l’eau qui monte, qui monte… comme les salles de meeting du Z pleines à craquer et l’équivalent dehors qui n’a pas pu rentrer !

    • les extrêmes gauches des pourris pire que ceux qu’ils prétendent luter, les antifa d’hier seront les fachistes de demain, c’est arrivé

Les commentaires sont fermés.