Vous prendrez bien encore une petite casserole, Monsieur le Président ?

Manifestation en France contre la reforme des retraites

Le Macron a raté samedi une occasion en or pour se réconcilier avec les Français.

Il était dans un stade rempli de près de 80 000 personnes. Des fans de football. Des fans de football qui pensent aussi à leur retraite. Ils étaient là pour la Coupe de France retransmise dans tout le pays et ailleurs.

C’était l’occasion inespérée pour le Macron de reprendre contact avec les Français, comme il le souhaite, comme il le clame et comme on l’y pousse.

Il aurait pu prendre une casserole, la mettre sur la tête et faire le tour du stade en s’agenouillant et en demandant pardon pour tout le mal qu’il a fait à ce peuple qui l’a porté à l’Élysée.

La gratitude n’est pas le fort des présidents de la France. Mais le Macron a battu tous les records.

Au lieu de cela, il fut une mauviette. Une mauviette qui se cache. Il a préféré saluer les joueurs à la sortie des toilettes, puis disparaître dans les tribunes en s’abritant derrière sa Brigitte.

Tu faisais pitié, Manu. On ne t’a pas trop hué, mais tu t’es hué toi-même. Tu t’es avili devant des millions de téléspectateurs. De France et d’ailleurs.

Les casseroles ne se sont pas fait entendre, mais elles résonnaient dans tes oreilles.

Elles résonneront dans tes oreilles à jamais. Tu regretteras d’avoir brigué la présidence de la France. Tu n’as pas l’étoffe d’un président. Ton arrivée à l’Élysée est un pur accident. Et le peuple français n’est, malheureusement, pas assuré contre ce genre d’accident qui a tendance à se répéter ces dernières années.

Tu veux te mesurer avec Poutine, petit Manu, mais tu n’oses même pas de mettre debout dans un stade de football de ton propre pays, dans un stade de Paris.

Il est certain qu’à la fin du match, tu ne savais même pas qui avait gagné, tellement tu faisais dans ton froc.

Tu avais l’air sombre, angoissé et terrifié comme si tu redoutais une agression.

Tu as vraiment démontré qui tu es. Un freluquet. Un gringalet.

Dans les pays africains et en Chine, où tu as été en visite récemment, les populations et les dirigeants doivent se marrer de te voir faire caca dans le plus grand stade de France, alors que tu te comportais avec eux comme une sommité de la politique internationale.

Pas seulement dans ces pays. Ailleurs aussi. Les Algériens, tes amis, les Marocains, etc. doivent aussi applaudir tes déjections pressantes provoquées sans doute par le tintement incessant des casseroles subi au cours des derniers jours.

Les psychologues parlent, dans ce cas, de syndrome de “tintement casserolien influant et accélérant le rythme du transit intestinal”. Contre une telle diarrhée, ils recommandent deux gousses d’ail à s’introduire discrètement là où il faut, surtout en présence d’un grand public.

C’est d’ailleurs le remède qu’utilisent les membres de « La France Insoumise », notamment quand ils redoutent un problème de ‘fuite” en séances plénière…

C’est hautement recommandé par Mélenchon.

Allez, Manu, ne te décourage pas. Tu as raté la Coupe de France de football, mais ce n’est pas grave. Tu pourras toujours te rattraper lors de la cérémonie d’ouverture des JO.

Il faudra juste que tu portes cinq casseroles. Comme les cinq anneaux…

Brigitte te montrera où tu devras te les introduire.

Les Français te pardonneront sûrement.

Si jamais tu es encore là…

Messin’Issa

https://resistancerepublicaine.com/2023/05/01/vous-prendrez-bien-encore-une-petite-casserole-monsieur-le-president/

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5 Commentaires

  1. Macron n’aime pas les casseroles, lui il préfère la queue tout simplement.

  2. je ricane (fort) en constatant que les casserolades se font aussi avec une boite de conserve ou un simple bout de ferraille, et j’ai comme l’impression que ça durera au moins cent jours (ou plus su affinités)

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