Vox : 24 députés, et encore un meilleur score aux prochaines européennes !

Présent pour la première fois au parlement espagnol avec 24 députés, le parti VOX est en mesure de réaliser un score bien plus important lors des prochaines élections européennes du 26 mai et ce n’est pas la récente décision du PSOE (Socialistes) de Pedro Sanchez qui freinera cette progression attendue.

Les socialistes viennent d’approuver l’octroi de 71 millions d’euros comme aide à l’immigration clandestine.

En effet, le 26 avril dernier le Conseil des ministres socialistes a distribué cette somme très importante entre 42,2 millions à la Croix-Rouge, pour la prise en charge des migrants clandestins qui débarquent sur les côtes du sud de la péninsule et dans les îles, afin de financer les soins de santé, la nourriture, les vêtements et les articles d’hygiène de première nécessité.

Également 17,9 millions à CEAR (Comité espagnol d’aide aux réfugiés) et 10,8 millions à ACCEM, afin de privilégier la première réception au sein du système national d’accueil et d’intégration des réfugiés.

Et cela alors que l’annonce d’une augmentation des impôts vient d’être faite afin de diminuer la dette publique, bien que le pays affiche une croissance de plus de 2,5, la plus forte actuellement de l’Union européenne.

Depuis l’arrivée au pouvoir de Pedro Sanchez, les arrivées de migrants clandestins ont progressé de plus de 40 %, toutes entrées confondues, et cela malgré les dénégations des socialistes qui persistent à affirmer que le volume de l’immigration clandestine a diminué, alors que la réalité est tout autre.

Ces entrées illégales par mer ont augmentées de 76,6 % en péninsule ibérique et îles Baléares (5462 en 2019 contre 3067 pour toute l’année 2018), et de 139,4 % aux îles Canaries (170 en 2019 contre 71 en 2018) et elles ont effectivement diminuées par les enclaves marocaines de Ceuta et Melilla qui sont dorénavant mieux et plus sévèrement surveillées par les forces de sécurité, lassées d’être agressées impunément.

Toutes ces statistiques renforcent la position du parti VOX, qui est le seul à s’opposer réellement à cette immigration illégale et non contrôlée.

Comme le prouvent les récents incidents qui se produisent régulièrement en Catalogne, et plus précisément à Barcelone qui est devenue « une ville sans loi » à l’exemple de Paris et de Marseille, en France, pour ne citer que les principales, et cela depuis que la maire, Ada Colau, du parti Podemos, gère la ville.

Les Maghrébins squattent de plus en plus les logements vides ou proposés à la vente et refusent, souvent avec violence, de les quitter.

Le dernier indicent a eu lieu tout récemment dans le quartier Ciutat Vella, où le propriétaire a été attaqué alors qu’il tentait légalement d’expulser les Maghrébins groupés dans son appartement, prêt à être vendu.

Les voisins ont témoigné de l’attitude violente de ces occupants illégaux qui ont même attaqué les journalistes qui couvraient l’événement.

La police municipale n’a rien pu faire pour expulser ces migrants qui sont revenus par une fenêtre.

Le parti VOX a demandé l’expulsion immédiate de ces migrants illégaux et violents et réclamé la tolérance zéro pour de tels « crimes », notamment l’agression, ce dernier week-end, à Bilbao, de quatre jeunes par une quinzaine de Maghrébins qui, sous la menace de couteaux, leur ont volé leurs portables et cela en pleine Semaine sainte dans le parc Dona Casilda.

Et qu’à Grenade, également en pleine Semaine sainte, un migrant clandestin, employé illégalement dans un hôtel, a agressé sexuellement une gamine de 5 ans, dont il connaissait les parents.

L’examen médical ayant confirmé que la petite victime avait bien subi une agression sexuelle.

Le violeur a été arrêté alors qu’il tentait de s’enfuir après avoir volé l’argent de la caisse de l’hôtel, déclenchant les alarmes.

Tous ces faits divers devenus quotidiens réveillent et révoltent la population, jusqu’à peu de temps éloignée de ces problèmes qui bouleversaient l’Europe.

Alors que les récentes élections espagnoles ont fait apparaître un très net recul du « Parti Popular », notamment en Catalogne et en Galice, où la débâcle a été totale, et une inquiétude pour le parti d’extrême gauche Podemos et, en opposition, une occupation du pouvoir plus assurée par le PSOE et une consolidation du parti centriste Ciudadanos, la surprise espérée et attendue s’est concrétisée avec les 24 sièges (n’en déplaise à certains médias gauchistes d’Espagne et de France) et les 10,3 % de suffrages exprimés du parti VOX qui fait ainsi son entrée au Parlement alors qu’il n’existait pratiquement pas en 2016 (0,2 % des voix et aucun parlementaire).

Nous pouvons d’ores et déjà pronostiquer une progression très sensible de ce parti lors des très prochaines élections européennes et c’est cela qui inquiète les défenseurs de l’Union européenne qui vont trouver face à eux une opposition enfin à leur taille !