Ses prises de parole sur les banlieues lui valurent l’attention de Macron, qui l’avait ainsi nommé en 2018 au Conseil présidentiel des villes, destiné à alimenter la réflexion de l’exécutif sur les quartiers prioritaires…
Macron « le frère » de Bellatar
Longtemps, Bellatar s’est vanté de sa proximité avec Manu, qu’il appelait « mon frère ». Il l’avait rencontré en 2010 à l’Institut Montaigne et lui avait vendu son influence en banlieue, où il rêvait de devenir le nouveau Jamel Debbouze : « Notre pouvoir d’immersion dans les banlieues est avéré. Je ne suis pas un institutionnel, je peux me rendre dans n’importe quelle cité » disait-il alors, tout en prétendant que les territoires perdus étaient un fantasme raciste.
En mars 2018, Macron nomma donc Belattar au Conseil présidentiel des villes, instance composée d’associatifs, supposée l’assister dans la politique de la Ville et les « quartiers sensibles ». Il en a démissionné en pleine polémique sur le voile pendant les sorties scolaires. Dans une lettre ouverte à Manu, publiée par Libé, il évoquait un contexte rappelant « le pire passé »… concluant par le fait qu’il faudrait « légaliser les musulmans avant de légaliser la marijuana », etc.
Il n’avait pas manqué de faire la leçon à Blanquer, coupable de penser que si le voile islamique est légal, il n’est pas souhaitable dans la société : « On a un ministre de l’Éducation qui n’est pas éduqué… J’aimerais savoir de quel droit, maintenant, il rentre sur des notions de vivre-ensemble ? » avait-il demandé, avant de lâcher : « Si j’étais lui, j’éviterais de mettre les pieds dans le 93 », ce qui non seulement ressemblait fortement à une menace, laissant aussi penser que la Seine-Saint-Denis échappait à l’ordre républicain…
En 2015, il animait le gala du CCIF et posait complaisamment avec Tariq Ramadan. Il avait appelé à « aller récupérer les “djihadistes français” », qu’il comparait à « des gamins qui foutent le bordel à un anniversaire ». Il prétendait défendre « les musulmans », mais il ne parlait en fait qu’au nom de la frange perméable à l’islam politique. Du reste, c’est sans doute autant son analyse du marché que ses convictions qui l’ont conduit à ce positionnement : Belattar est ce que les chercheurs appellent un entrepreneur identitaire.
Puis s’étant, semble-t-il, engueulé avec beaucoup d’importants, l’on en n’avait plus de nouvelles…
Menaces de mort et de crimes…
Et voilà que l’on apprend qu’il sera jugé le 18 septembre par le tribunal correctionnel de Paris pour menaces de mort et de crimes visant des personnes du monde du spectacle en 2018 et 2019. Yassine Belattar avait été mis en examen en mars 2019 pour menaces de mort, menaces de crimes réitérées, envois réitérés de messages malveillants et harcèlement moral.
Ces poursuites lui avaient coûté sa place à l’antenne de Radio Nova, où il animait depuis 2016 l’émission quotidienne “Les 30 Glorieuses”.
À l’issue des investigations, une juge d’instruction du tribunal de Paris a ordonné le 21 septembre 2021 un procès contre Yassine Belattar, 41 ans, pour des appels malveillants en 2017, des menaces de mort réitérées en 2018 et 2019, ainsi que des menaces de crimes réitérées en 2018.
Le parquet de Paris a confirmé à l’AFP ce procès contre l’interprète d’Ingérable, titre de son spectacle, accusé d’avoir menacé de mort un scénariste et metteur en scène très connu, le directeur de production de ce dernier et trois humoristes. Pas moins.
« Nous nous réjouissons de pouvoir enfin nous expliquer, dans une enceinte judiciaire et de manière contradictoire, sur des faits qui ont fait l’objet de toutes les spéculations et les conjectures dans les médias. Des faits dont je rappelle que pour une grande partie, ils ont fait l’objet d’un non-lieu », a réagi auprès de l’AFP son avocate, Safya Akorri.
La magistrate instruisant le dossier n’a pas retenu le harcèlement moral dont l’accusait une ancienne collaboratrice de France 4, écartant aussi les menaces de mort dont l’accusait Bruno Gaccio, estimant qu’« aucun élément de la procédure ne (démontrait) l’existence » de ces faits. L’enquête avait débuté avec une plainte le 24 janvier 2019 de l’ancien auteur des Guignols de l’info, qui accusait l’humoriste de l’avoir menacé par téléphone après un échange sur Twitter.
Que justice soit faite et que cet atrabilaire, ni drôle ni sympathique, demeure dans l’ombre lui seyant si bien.
Daphné Rigobert
cet islamiste haineux aux menaces constantes, a été longtemps en majesté sur bien des plateaux télé
il y a une erreur dans le prénom de son avocate ; elle s’appelle Takya
https://www.dailymotion.com/video/x84lel3 Problème, exemple, solution, surtout en concentré façon Daphné ? Mon pote Momo le déteste même avec des origines identiques ? Moralité il fait du mal aux musulmans, qu’il se taise à jamais !
Yassine le vilain terroriste feddayine a vraiment la gueule du pithécanthrope barbu comme tous ses très con…génères. Je déteste l’islam et j’invite tout le monde intelligent à faire pareil. Cette secte ne fabrique que des crétins consanguins. L’islamophobie est un devoir citoyen.
on connait déjà la sanction: et il n’ira jamais en prison, la haine des blancs et des identitaires ne sera jamais punie
Attention belbatard…..à se jeux tu est très très loin d’être le plus fort…..la célébrité est un état à double tranchent…donc forcément une cible…….
extrêmement facile!….bien sur je dit cela pour ton bien
Il y a tellement de comment ils (les merdias-islamo-collabos) disent dejas?…ha! oui! de déséquilibrés…🤗🤭
Si la France veut avoir une chance de survivre, il faudrait vite voter une loi permettenant de réexpédier en port dû dans leurs vrais pays, ce genre d’energumène.
Et peu importe qu’il aient des papiers français, Inuits ou Javanais.
Le bannissement existait naguère, on peut le restaurer.