Mardi 12 septembre dernier, les gouvernements polonais, hongrois et slovaque ont annoncé de conserve qu’ils prolongeraient l’interdiction d’importer des céréales ukrainiennes après le 15 septembre, date fixée par Bruxelles. Ces pays se plaignent du fait que ces importations créent une concurrence déloyale dont souffrent leurs agriculteurs. En Hongrie, le problème est particulièrement « chaud » pour le gouvernement Orban, à l’approche des élections dans moins d’un mois.
Kiev vient d’annoncer qu’il jugeait cette décision illégale et menace de traîner la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie devant l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
Le cocasse de l’affaire est que ces trois pays membres de l’UE sont à des titres divers alliés de l’Ukraine dans le conflit russo-ukrainien. Pour la Hongrie, cette histoire de céréales est le deuxième lourd contentieux qu’elle entretient avec l’Ukraine : le 8 septembre dernier, Orban menaçait Kiev de représailles en cas de sabotage du gazoduc Turkstream qui achemine le gaz russe vers l’Europe par le sud du continent.
Les 27 ministres de l’Agriculture de l’UE se sont retrouvés ce lundi à Bruxelles. Pour le ministre français Marc Fesneau, le refus des trois capitales « menace le fondement du projet européen. »
« On regrette un certain nombre de mesures unilatérales qui ont été prises par des pays frontaliers, ce n’est pas la première fois. Ça vient mettre en cause très profondément le marché unique et le marché commun et donc ça pose des questions qui sont très lourdes », a souligné le ministre français.
Afin de soutenir l’effort de guerre de Kiev, la Commission avait décidé en 2022 de lever les droits de douanes sur les importations de céréales ukrainiennes et faciliter ainsi les exportations vers l’Afrique et le Moyen-Orient, au détriment des céréaliers des autres pays de l’UE.
On remarquera que le ministre français a préféré se plier au diktat de la Commission plutôt que de venir en aide aux céréaliers français. La trahison des « élites » est décidément sans borne…
Henri Dubost
Bonjour Monsieur DUBOST,
Quand vous dites : “Mardi 12 septembre dernier, les gouvernements polonais, hongrois et slovaque ont annoncé de conserve qu’ils prolongeraient l’interdiction…etc”, voulez plutôt dire qu’ils ont annoncé de CONCERT…etc,
Les bons mots aux bons moments rendent le commentaire bien plus sérieux.
Cordialement
Et bravo à ces 3 GVTS pour le moment.
C’est pour quand un ORBAN chez nous ?????????
Quel bouffon ce mec entretenu ( sauf pour les fringues car faut faire style “je suis en guerre ” ) par les USA et ses petits toutous dégénérés !
L’Union europénne va égalemernt faciliter l’exportation de volailles ukrainiennes dans l’Union européenne sans que Macron réagisse. Un fois de plus les intérêts économiques de notre pays seront sacrifiés sur l’autel de la construction européennes et du soutien inconditionnel à l’actuel gouvernement ukrainien. Pour nos producteurs de volaille ce sera une concurrence rude car le coût de production est bien moins élevé en Ukraine.
ie
marché unique …marché commun ? depuis quand l’UKR fait elle partie de L UE ?
Ce président d’opérette, pauvre guignol qui étreint fortement le macronet lors de leurs rencontres, devrait improviser un récital de piano à queue dont il a la maitrise à l’Elysée. Mme Brichel devrait apprécier.
L’uion européenne devient de plus en plus un état américain….chacun chez soi et le monde ira mieux ! Viktor Orban défend son peuple c’est un exemple pour nos sinistres lopettes.
trois pays qui préfèrent leurs propres citoyens aux autres! des tyrans
bitensky l’ukronazi ramène toujours sa gueule , il n’y a personne pour l’envoyer rejoindre Satan ? J’espère que tous nos sinistres politichiens de tous bord que nous pouvons les traiter de Traîtres seront juger et monteront sur la bascule à Charlot .On ne laisse aucun traître vivant derrière soi !
ce zelensky ne touche plus terre !…attendez quand il sera “laché” par les USA….zelensky va faire pshitttttt,sa fin est proche.
Le freluquet et sa “dame” se feront un plaisir de l’accueillir à Bregançon !